Lisez vos journaux et voyez comment est traité le personnel de cette entreprise : c'est une honte à notre époque !!
De l'esclavagisme moderne .
ça me donne envoie de bouffer leurs directeurs :)))))
Pierre COURTIADE
Lisez vos journaux et voyez comment est traité le personnel de cette entreprise : c'est une honte à notre époque !!
De l'esclavagisme moderne .
ça me donne envoie de bouffer leurs directeurs :)))))
Euh, attention à ne pas réagir à de l'esclavagisme par du cannibalisme :-)))
On pourrait se faire une idée si vous donniez un lien vers cette information ! Je viens de passer quelque temps sur Internet, je n'y ai rien trouvé. Seriez-vous un concurrent de CDiscount ???
-- Cordialement, Pierre Courtiade [pour me répondre, remplacer mon prénom par mon nom]
Lisez vos journaux et voyez comment est traité le personnel de cette
entreprise : c'est une honte à notre époque !!
De l'esclavagisme moderne .
ça me donne envoie de bouffer leurs directeurs :)))))
Euh, attention à ne pas réagir à de l'esclavagisme par du cannibalisme
:-)))
On pourrait se faire une idée si vous donniez un lien vers cette
information ! Je viens de passer quelque temps sur Internet, je n'y ai
rien trouvé.
Seriez-vous un concurrent de CDiscount ???
--
Cordialement,
Pierre Courtiade
pierre@free.fr [pour me répondre, remplacer mon prénom par mon nom]
Lisez vos journaux et voyez comment est traité le personnel de cette entreprise : c'est une honte à notre époque !!
De l'esclavagisme moderne .
ça me donne envoie de bouffer leurs directeurs :)))))
Euh, attention à ne pas réagir à de l'esclavagisme par du cannibalisme :-)))
On pourrait se faire une idée si vous donniez un lien vers cette information ! Je viens de passer quelque temps sur Internet, je n'y ai rien trouvé. Seriez-vous un concurrent de CDiscount ???
-- Cordialement, Pierre Courtiade [pour me répondre, remplacer mon prénom par mon nom]
Didier Cuidet
Le Wed, 2 Mar 2005 17:44:42 +0100, dans fr.petites-annonces.divers,
Lisez vos journaux et voyez comment est traité le personnel de cette entreprise : c'est une honte à notre époque !!
De l'esclavagisme moderne .
ça me donne envoie de bouffer leurs directeurs :)))))
Euh, attention à ne pas réagir à de l'esclavagisme par du cannibalisme :-)))
e goret qui a remis le messages est toi a l'instant en plus en plaçant un FU2 bidon
Je serais assez curieux que l'on m'explique en quoi un fu2 sur news:fr.misc.divers est un fu2 bidon ??? -- Me & NoOneElse / 02/03/2005 22:53:50
Chomeur du futur
Quel journal?
"Sud ouest " du 01/03/05 :
"BLANQUEFORT. --La Gironde n'échappe pas à la brutale baisse des températures. Ayant trop froid dans leur entrepôt, certains employés de l'entreprise Cdiscount ont cessé le travail hier matin
Conséquence tout à fait inattendue du coup de froid : seize employés des entrepôts de Cdiscount de Blanquefort ont été contraints de quitter leur poste de travail hier matin. Frigorifiés. « Lorsque nous sommes arrivés à 6 heures, le thermomètre était à 3o dans l'entrepôt, raconte une employée. Impossible de faire quoi que ce soit. L'encre du stylo bille restait figée et il faisait si froid que nos mains tremblaient et que l'on avait du mal à attraper les choses. » Entreprise leader dans le domaine de la vente sur Internet, Cdiscount possède trois entrepôts en Gironde. Celui de Blanquefort est chargé de répondre aux commandes de petits matériels audio, les CD notamment. Au total travaillent ici une centaine de personnes (CDI et intérimaires). En 2 8, soit une cinquantaine de personnes le matin, autant l'après-midi. Les entrepôts sont anciens. « C'est là que réside le problème, note un employé. Ils sont si anciens qu'ils ne sont pas isolés et dépourvus d'un système de chauffage. Cela fait deux hivers que l'on est là, qu'on dénonce le problème et que rien n'est fait ou presque. Une seule partie des entrepôts commence à être chauffé. Et encore ! Il y faisait seulement 8 degrés ce matin. »
Des travaux engagés. Pour Antoine Lamarche, le chargé de communication de la société, ce mouvement de grève est à ramener à sa juste proportion. « Seulement seize employés ont cessé le travail sur les cent que nous employons sur le site », dit-il. Le représentant de la société reconnaît cependant que les entrepôts ne sont pas encore totalement équipés et que dans certains coins, il peut faire froid. « Nous occupions jusqu'à l'année dernière un seul entrepôt un peu ancien et difficile à aménager. Nous en avons pris un deuxième à proximité pour mieux organiser les lieux et offrir de meilleures conditions de travail. Le chauffage fait partie des améliorations apportées. Les travaux ont commencé. ils vont se poursuivre. » Les employés reconnaissent que des aménagements ont eu lieu, mais, selon eux, ils traînent en longueur. Notamment dans le bâtiment le plus ancien, une zone de stockage importante où travaillent en permanence les employés chargés du « picking », la préparation des commandes avec la collecte des pièces dans les casiers. C'est là qu'il faisait 3o hier matin.
« Température convenable ». « Si l'on veut qu'on travaille dans ce frigo, qu'on nous attribue une prime de froid ! », ironise une employée. « On nous dit : vous n'avez qu'à vous habiller chaudement. Comment voulez-vous travailler enveloppé d'une parka, avec un bonnet enfoncé jusqu'aux yeux et de gros gants de laine aux mains ? », surenchérit une autre. Les employés frigorifiés n'ont donc pas repris le travail hier matin et ne devraient pas regagner l'entrepôt avant d'avoir rencontré aujourd'hui l'un des responsables de l'entreprise. Avec l'espoir évidemment de ne pas faire l'objet de représailles. « Nous ne demandons rien d'autre qu'un bon chauffage », précise Martine Herbert, déléguée du personnel. Un chauffage qu'impose évidemment la loi. Même si ici les textes ne sont pas très clairs. « Aucune température n'est imposée, précise-t-on à la Direction du travail. Il est seulement demandé une température convenable pour que les employés travaillent dans des conditions normales. » Reste donc à savoir maintenant à quoi correspond une « température convenable » dans un entrepôt...
"BLANQUEFORT. --La Gironde n'échappe pas à la brutale baisse des
températures. Ayant trop froid dans leur entrepôt, certains employés
de l'entreprise Cdiscount ont cessé le travail hier matin
Conséquence tout à fait inattendue du coup de froid : seize employés
des entrepôts de Cdiscount de Blanquefort ont été contraints de
quitter leur poste de travail hier matin. Frigorifiés. « Lorsque nous
sommes arrivés à 6 heures, le thermomètre était à 3o dans l'entrepôt,
raconte une employée. Impossible de faire quoi que ce soit. L'encre du
stylo bille restait figée et il faisait si froid que nos mains
tremblaient et que l'on avait du mal à attraper les choses. »
Entreprise leader dans le domaine de la vente sur Internet, Cdiscount
possède trois entrepôts en Gironde. Celui de Blanquefort est chargé de
répondre aux commandes de petits matériels audio, les CD notamment. Au
total travaillent ici une centaine de personnes (CDI et intérimaires).
En 2 8, soit une cinquantaine de personnes le matin, autant
l'après-midi.
Les entrepôts sont anciens. « C'est là que réside le problème, note un
employé. Ils sont si anciens qu'ils ne sont pas isolés et dépourvus
d'un système de chauffage. Cela fait deux hivers que l'on est là,
qu'on dénonce le problème et que rien n'est fait ou presque. Une seule
partie des entrepôts commence à être chauffé. Et encore ! Il y faisait
seulement 8 degrés ce matin. »
Des travaux engagés. Pour Antoine Lamarche, le chargé de communication
de la société, ce mouvement de grève est à ramener à sa juste
proportion. « Seulement seize employés ont cessé le travail sur les
cent que nous employons sur le site », dit-il. Le représentant de la
société reconnaît cependant que les entrepôts ne sont pas encore
totalement équipés et que dans certains coins, il peut faire froid. «
Nous occupions jusqu'à l'année dernière un seul entrepôt un peu ancien
et difficile à aménager. Nous en avons pris un deuxième à proximité
pour mieux organiser les lieux et offrir de meilleures conditions de
travail. Le chauffage fait partie des améliorations apportées. Les
travaux ont commencé. ils vont se poursuivre. »
Les employés reconnaissent que des aménagements ont eu lieu, mais,
selon eux, ils traînent en longueur. Notamment dans le bâtiment le
plus ancien, une zone de stockage importante où travaillent en
permanence les employés chargés du « picking », la préparation des
commandes avec la collecte des pièces dans les casiers. C'est là qu'il
faisait 3o hier matin.
« Température convenable ». « Si l'on veut qu'on travaille dans ce
frigo, qu'on nous attribue une prime de froid ! », ironise une
employée.
« On nous dit : vous n'avez qu'à vous habiller chaudement. Comment
voulez-vous travailler enveloppé d'une parka, avec un bonnet enfoncé
jusqu'aux yeux et de gros gants de laine aux mains ? », surenchérit
une autre.
Les employés frigorifiés n'ont donc pas repris le travail hier matin
et ne devraient pas regagner l'entrepôt avant d'avoir rencontré
aujourd'hui l'un des responsables de l'entreprise. Avec l'espoir
évidemment de ne pas faire l'objet de représailles. « Nous ne
demandons rien d'autre qu'un bon chauffage », précise Martine Herbert,
déléguée du personnel.
Un chauffage qu'impose évidemment la loi. Même si ici les textes ne
sont pas très clairs. « Aucune température n'est imposée, précise-t-on
à la Direction du travail. Il est seulement demandé une température
convenable pour que les employés travaillent dans des conditions
normales. » Reste donc à savoir maintenant à quoi correspond une «
température convenable » dans un entrepôt...
"BLANQUEFORT. --La Gironde n'échappe pas à la brutale baisse des températures. Ayant trop froid dans leur entrepôt, certains employés de l'entreprise Cdiscount ont cessé le travail hier matin
Conséquence tout à fait inattendue du coup de froid : seize employés des entrepôts de Cdiscount de Blanquefort ont été contraints de quitter leur poste de travail hier matin. Frigorifiés. « Lorsque nous sommes arrivés à 6 heures, le thermomètre était à 3o dans l'entrepôt, raconte une employée. Impossible de faire quoi que ce soit. L'encre du stylo bille restait figée et il faisait si froid que nos mains tremblaient et que l'on avait du mal à attraper les choses. » Entreprise leader dans le domaine de la vente sur Internet, Cdiscount possède trois entrepôts en Gironde. Celui de Blanquefort est chargé de répondre aux commandes de petits matériels audio, les CD notamment. Au total travaillent ici une centaine de personnes (CDI et intérimaires). En 2 8, soit une cinquantaine de personnes le matin, autant l'après-midi. Les entrepôts sont anciens. « C'est là que réside le problème, note un employé. Ils sont si anciens qu'ils ne sont pas isolés et dépourvus d'un système de chauffage. Cela fait deux hivers que l'on est là, qu'on dénonce le problème et que rien n'est fait ou presque. Une seule partie des entrepôts commence à être chauffé. Et encore ! Il y faisait seulement 8 degrés ce matin. »
Des travaux engagés. Pour Antoine Lamarche, le chargé de communication de la société, ce mouvement de grève est à ramener à sa juste proportion. « Seulement seize employés ont cessé le travail sur les cent que nous employons sur le site », dit-il. Le représentant de la société reconnaît cependant que les entrepôts ne sont pas encore totalement équipés et que dans certains coins, il peut faire froid. « Nous occupions jusqu'à l'année dernière un seul entrepôt un peu ancien et difficile à aménager. Nous en avons pris un deuxième à proximité pour mieux organiser les lieux et offrir de meilleures conditions de travail. Le chauffage fait partie des améliorations apportées. Les travaux ont commencé. ils vont se poursuivre. » Les employés reconnaissent que des aménagements ont eu lieu, mais, selon eux, ils traînent en longueur. Notamment dans le bâtiment le plus ancien, une zone de stockage importante où travaillent en permanence les employés chargés du « picking », la préparation des commandes avec la collecte des pièces dans les casiers. C'est là qu'il faisait 3o hier matin.
« Température convenable ». « Si l'on veut qu'on travaille dans ce frigo, qu'on nous attribue une prime de froid ! », ironise une employée. « On nous dit : vous n'avez qu'à vous habiller chaudement. Comment voulez-vous travailler enveloppé d'une parka, avec un bonnet enfoncé jusqu'aux yeux et de gros gants de laine aux mains ? », surenchérit une autre. Les employés frigorifiés n'ont donc pas repris le travail hier matin et ne devraient pas regagner l'entrepôt avant d'avoir rencontré aujourd'hui l'un des responsables de l'entreprise. Avec l'espoir évidemment de ne pas faire l'objet de représailles. « Nous ne demandons rien d'autre qu'un bon chauffage », précise Martine Herbert, déléguée du personnel. Un chauffage qu'impose évidemment la loi. Même si ici les textes ne sont pas très clairs. « Aucune température n'est imposée, précise-t-on à la Direction du travail. Il est seulement demandé une température convenable pour que les employés travaillent dans des conditions normales. » Reste donc à savoir maintenant à quoi correspond une « température convenable » dans un entrepôt...