Vidéo. Piégé par les "Yes Men", des altermondialistes spécialisés dans
le détournement, le maire UMP de Levallois-Perret Patrick Balkany,
affirme qu'"il n'y a pas de misère en France" et que les pauvres
"vivent très bien". Il croyait s'exprimer sur une télévision
américaine.
Oui mais c'est quand même mieux taillé ! T'as déjà vu le cul d'une gonzesse dans un jean Auchan toi ?
C'est pas le cul que je regarde en 1er...mais curieusement j'entends dire ici et là de la part d'étudiantes que le levis 501 leur fait les fesses plates...
-- Alain verse
b0bba wrote:
Oui mais c'est quand même mieux taillé ! T'as déjà vu le cul d'une
gonzesse dans un jean Auchan toi ?
C'est pas le cul que je regarde en 1er...mais curieusement j'entends
dire ici et là de la part d'étudiantes que le levis 501 leur fait les
fesses plates...
Oui mais c'est quand même mieux taillé ! T'as déjà vu le cul d'une gonzesse dans un jean Auchan toi ?
C'est pas le cul que je regarde en 1er...mais curieusement j'entends dire ici et là de la part d'étudiantes que le levis 501 leur fait les fesses plates...
Vidéo. Piégé par les "Yes Men", des altermondialistes spécialisés dans le détournement, le maire UMP de Levallois-Perret Patrick Balkany, affirme qu'"il n'y a pas de misère en France" et que les pauvres "vivent très bien". Il croyait s'exprimer sur une télévision américaine.
Le Balkany qui se victimise sur les plateaux télé en criant sur tous les toits qu'il est un bon maire...Je me marre...
Un vendu, un de plus...Il ne vaut pas mieux que les autres....Il sent la corruption, le mensonge et l'hypocrisie à plein nez ce mec.
Il aura beau construire une mosquée, une école ou un accès pour personnes handicapées...il n'en demeure pas moins un corrompu.
Vidéo. Piégé par les "Yes Men", des altermondialistes spécialisés dans
le détournement, le maire UMP de Levallois-Perret Patrick Balkany,
affirme qu'"il n'y a pas de misère en France" et que les pauvres "vivent
très bien". Il croyait s'exprimer sur une télévision américaine.
Le Balkany qui se victimise sur les plateaux télé en criant sur tous les
toits qu'il est un bon maire...Je me marre...
Un vendu, un de plus...Il ne vaut pas mieux que les autres....Il sent la
corruption, le mensonge et l'hypocrisie à plein nez ce mec.
Il aura beau construire une mosquée, une école ou un accès pour
personnes handicapées...il n'en demeure pas moins un corrompu.
Vidéo. Piégé par les "Yes Men", des altermondialistes spécialisés dans le détournement, le maire UMP de Levallois-Perret Patrick Balkany, affirme qu'"il n'y a pas de misère en France" et que les pauvres "vivent très bien". Il croyait s'exprimer sur une télévision américaine.
Le Balkany qui se victimise sur les plateaux télé en criant sur tous les toits qu'il est un bon maire...Je me marre...
Un vendu, un de plus...Il ne vaut pas mieux que les autres....Il sent la corruption, le mensonge et l'hypocrisie à plein nez ce mec.
Il aura beau construire une mosquée, une école ou un accès pour personnes handicapées...il n'en demeure pas moins un corrompu.
-- Alain verse
fda
alexandre wrote:
La mienne était pauvre. Eh bien hormis pour notre logement, nous n'avons *jamais* eu recours à quelque forme de crédit que ce soit.
C'est où qu'ils font crédit sur une paire d'air max ? Aux puces de Montreuil ??!
Jamais entendu parler du crédit revolving des banques aux parents, naïf? J'en ai vu qui avec ça se retrouvaient à la fin des années 70 en taux réel de crédit de 18% (tout en croyant d'ailleurs ne payer que 7%; il ne leur venait pas à l'idée que le coût des intérêts se calcule sur le montant de l'emprunt résiduel à chaque période et non sur la somme gloable empruntée!).
Re-écoute "Marche à l'ombre" de Renauld (bon 77, mais c'est bien des blousons noirs que l'on parle) et fait attention aux santiags et autres levis, avant d'idéaliser le passé.
Renaud, c'est pas les années 50-60. Son papa et sa maman, peut-être.
De plus, entre les deux, il y a eu ce que l'on appelle la société de consommation.
Qui n'a pas duré très longtemps : 1963 (environ) : bonjour ! 1973 : ça ne va pas durer; 1983 : adieu !
Voilà. Ce style n'existait pas de façon répandue et presque banale comme aujourd'hui dans les années de l'immédiat après-guerre où on était dans un dénuement bien plus profond (hormis la moitié des petites fortunes françaises qui se sont constituées pendant la guerre : beurre, oeufs, fromages !). Et ensuite on vient nous dire que c'est pas la faute à l'immigration qui est arrivée depuis ? *BEN MERDE* !!!
J'espère que c'est du second degré. Car ça, c'est un sacré "raisonnement" de merde pour le coup. Si il y a bien une chose que l'on peut pas imputer à l'immigration, c'est bien d'avoir importé la société de consommation.
En effet. Mais en revanche de s'y être complue, et non seulement dans la consommation, mais dans les *apparences* de la consommation : faux sacs Vuitton, faux briquets Zippo, fausses montres. "Il nous semble si imporant de paraître heureux que nous serions souvent prêts àl'être moins pour le paraître davantage", écrivait déjà Fontenelle. De cela au moins le chistianisme, bien assimilé, préservait. L'islam en aucune façon. Du temps de Victor Hugo, des sultans ottomans avaient une bibliothèque comme des euniques avaient un harem.
Le fils de très pauvres non issue de l'immigration, au fin fond de sa campagne oubliée, bien loin des cités ghetto, "raisonne" aujourd'hui exactement pareil, au facteur d'amplification de la promiscuité des cités près.
Je n'en vois aucun découdre ses marques. Le masquage de la valeur réelle des choses semble pour le moment réservé aux propriétaires de BMW, qui font enlever en série par les garages les mentions genre "injection" ou autre parce qu'ils veulent le plaisir de la conduite sans exciter la convoitise du voisin. C'est sagesse.
alexandre wrote:
La mienne était pauvre. Eh bien hormis pour notre logement, nous
n'avons *jamais* eu recours à quelque forme de crédit que ce soit.
C'est où qu'ils font crédit sur une paire d'air max ? Aux puces de
Montreuil ??!
Jamais entendu parler du crédit revolving des banques aux parents, naïf?
J'en ai vu qui avec ça se retrouvaient à la fin des années 70 en taux
réel de crédit de 18% (tout en croyant d'ailleurs ne payer que 7%; il ne
leur venait pas à l'idée que le coût des intérêts se calcule sur le
montant de l'emprunt résiduel à chaque période et non sur la somme
gloable empruntée!).
Re-écoute "Marche à l'ombre" de Renauld (bon 77, mais c'est bien des
blousons noirs que l'on parle) et fait attention aux santiags et autres
levis, avant d'idéaliser le passé.
Renaud, c'est pas les années 50-60. Son papa et sa maman, peut-être.
De plus, entre les deux, il y a eu ce que l'on appelle la société de
consommation.
Qui n'a pas duré très longtemps : 1963 (environ) : bonjour ! 1973 : ça
ne va pas durer; 1983 : adieu !
Voilà. Ce style n'existait pas de façon répandue et presque banale comme
aujourd'hui dans les années de l'immédiat après-guerre où on était dans
un dénuement bien plus profond (hormis la moitié des petites fortunes
françaises qui se sont constituées pendant la guerre : beurre, oeufs,
fromages !). Et ensuite on vient nous dire que c'est pas la faute à
l'immigration qui est arrivée depuis ? *BEN MERDE* !!!
J'espère que c'est du second degré. Car ça, c'est un sacré "raisonnement"
de merde pour le coup. Si il y a bien une chose que l'on peut pas imputer
à l'immigration, c'est bien d'avoir importé la société de consommation.
En effet. Mais en revanche de s'y être complue, et non seulement dans la
consommation, mais dans les *apparences* de la consommation : faux sacs
Vuitton, faux briquets Zippo, fausses montres. "Il nous semble si
imporant de paraître heureux que nous serions souvent prêts àl'être
moins pour le paraître davantage", écrivait déjà Fontenelle. De cela au
moins le chistianisme, bien assimilé, préservait. L'islam en aucune
façon. Du temps de Victor Hugo, des sultans ottomans avaient une
bibliothèque comme des euniques avaient un harem.
Le fils de très pauvres non issue de l'immigration, au fin fond de sa
campagne oubliée, bien loin des cités ghetto, "raisonne" aujourd'hui
exactement pareil, au facteur d'amplification de la promiscuité des cités
près.
Je n'en vois aucun découdre ses marques. Le masquage de la valeur réelle
des choses semble pour le moment réservé aux propriétaires de BMW, qui
font enlever en série par les garages les mentions genre "injection" ou
autre parce qu'ils veulent le plaisir de la conduite sans exciter la
convoitise du voisin. C'est sagesse.
La mienne était pauvre. Eh bien hormis pour notre logement, nous n'avons *jamais* eu recours à quelque forme de crédit que ce soit.
C'est où qu'ils font crédit sur une paire d'air max ? Aux puces de Montreuil ??!
Jamais entendu parler du crédit revolving des banques aux parents, naïf? J'en ai vu qui avec ça se retrouvaient à la fin des années 70 en taux réel de crédit de 18% (tout en croyant d'ailleurs ne payer que 7%; il ne leur venait pas à l'idée que le coût des intérêts se calcule sur le montant de l'emprunt résiduel à chaque période et non sur la somme gloable empruntée!).
Re-écoute "Marche à l'ombre" de Renauld (bon 77, mais c'est bien des blousons noirs que l'on parle) et fait attention aux santiags et autres levis, avant d'idéaliser le passé.
Renaud, c'est pas les années 50-60. Son papa et sa maman, peut-être.
De plus, entre les deux, il y a eu ce que l'on appelle la société de consommation.
Qui n'a pas duré très longtemps : 1963 (environ) : bonjour ! 1973 : ça ne va pas durer; 1983 : adieu !
Voilà. Ce style n'existait pas de façon répandue et presque banale comme aujourd'hui dans les années de l'immédiat après-guerre où on était dans un dénuement bien plus profond (hormis la moitié des petites fortunes françaises qui se sont constituées pendant la guerre : beurre, oeufs, fromages !). Et ensuite on vient nous dire que c'est pas la faute à l'immigration qui est arrivée depuis ? *BEN MERDE* !!!
J'espère que c'est du second degré. Car ça, c'est un sacré "raisonnement" de merde pour le coup. Si il y a bien une chose que l'on peut pas imputer à l'immigration, c'est bien d'avoir importé la société de consommation.
En effet. Mais en revanche de s'y être complue, et non seulement dans la consommation, mais dans les *apparences* de la consommation : faux sacs Vuitton, faux briquets Zippo, fausses montres. "Il nous semble si imporant de paraître heureux que nous serions souvent prêts àl'être moins pour le paraître davantage", écrivait déjà Fontenelle. De cela au moins le chistianisme, bien assimilé, préservait. L'islam en aucune façon. Du temps de Victor Hugo, des sultans ottomans avaient une bibliothèque comme des euniques avaient un harem.
Le fils de très pauvres non issue de l'immigration, au fin fond de sa campagne oubliée, bien loin des cités ghetto, "raisonne" aujourd'hui exactement pareil, au facteur d'amplification de la promiscuité des cités près.
Je n'en vois aucun découdre ses marques. Le masquage de la valeur réelle des choses semble pour le moment réservé aux propriétaires de BMW, qui font enlever en série par les garages les mentions genre "injection" ou autre parce qu'ils veulent le plaisir de la conduite sans exciter la convoitise du voisin. C'est sagesse.
fda
Léonara wrote:
Quand tu penses que ça ne leur coûte rien... http://www.droitsenfant.com/nike.htm
C'est *là-dessus* qu'il faut mettre l'accent ! Comme le dit très bien Finkielkraut, "la honte est un puissant facteur de progrès personnel" (va savoir si ce n'est pas la clé de la réussite de l'Occident).
J'ai remarqué depuis quelques années qu'il y a une phrase qui porte sur les fumeurs qui grillent une clope dans un endroit interdit et désagréable à tout le monde, c'est de se tourner vers eux avec un air complice et de leur dire : "C'est dur, hein, d'arrêter !" ;-)
J'en ai même vu un enlever sa clope aussi sec. Il avait probablement décidé d'arrêter et s'était oublié l'espace de quelques secondes. Un peu comme les personnes très âgées font parfois sous elles, quoi.
Léonara wrote:
Quand tu penses que ça ne leur coûte rien...
http://www.droitsenfant.com/nike.htm
C'est *là-dessus* qu'il faut mettre l'accent ! Comme le dit très bien
Finkielkraut, "la honte est un puissant facteur de progrès personnel"
(va savoir si ce n'est pas la clé de la réussite de l'Occident).
J'ai remarqué depuis quelques années qu'il y a une phrase qui porte sur
les fumeurs qui grillent une clope dans un endroit interdit et
désagréable à tout le monde, c'est de se tourner vers eux avec un air
complice et de leur dire : "C'est dur, hein, d'arrêter !" ;-)
J'en ai même vu un enlever sa clope aussi sec. Il avait probablement
décidé d'arrêter et s'était oublié l'espace de quelques secondes. Un peu
comme les personnes très âgées font parfois sous elles, quoi.
Quand tu penses que ça ne leur coûte rien... http://www.droitsenfant.com/nike.htm
C'est *là-dessus* qu'il faut mettre l'accent ! Comme le dit très bien Finkielkraut, "la honte est un puissant facteur de progrès personnel" (va savoir si ce n'est pas la clé de la réussite de l'Occident).
J'ai remarqué depuis quelques années qu'il y a une phrase qui porte sur les fumeurs qui grillent une clope dans un endroit interdit et désagréable à tout le monde, c'est de se tourner vers eux avec un air complice et de leur dire : "C'est dur, hein, d'arrêter !" ;-)
J'en ai même vu un enlever sa clope aussi sec. Il avait probablement décidé d'arrêter et s'était oublié l'espace de quelques secondes. Un peu comme les personnes très âgées font parfois sous elles, quoi.
Sirius
Au sommet de son art, fda a pondu :
C'est *là-dessus* qu'il faut mettre l'accent ! Comme le dit très bien Finkielkraut, "la honte est un puissant facteur de progrès personnel" (va savoir si ce n'est pas la clé de la réussite de l'Occident).
Quel con ce Finkielkraut.
Au sommet de son art, fda a pondu :
C'est *là-dessus* qu'il faut mettre l'accent ! Comme le dit très bien
Finkielkraut, "la honte est un puissant facteur de progrès personnel"
(va savoir si ce n'est pas la clé de la réussite de l'Occident).
C'est *là-dessus* qu'il faut mettre l'accent ! Comme le dit très bien Finkielkraut, "la honte est un puissant facteur de progrès personnel" (va savoir si ce n'est pas la clé de la réussite de l'Occident).
Quel con ce Finkielkraut.
Solanar
Timidement Léonara a tapoté:
"fda" a écrit dans le message de news:
De mon temps, d'ailleurs, quand on avait une marque extérieure sur un vêtement ou des godasses, la première chose qu'on faisait était de l'enlever avant de sortir avec.
;-))) C'est vrai. Fut un temps où on appelait ça des tee shirts publicitaires et où on les *donnait* (si on ne rémunérait pas celui qui les portait).
Quand j'etais gamin, les objets publicitaires etaient gratuits Buvards, crayons, accessoires d'ecole Pour les fringues aussi mais c'etait la honte de les porter A la rigueur,planqués sous la blouse grise ou noire
Maintenant c'est bizarre on paye pour avoir le droit de se transformer en homme sandwich On devrait mettre des publicitaires ou des spécialistes en marketting pour resoudre les problemes de société
-- Solanar Etre libre, c'est n'avoir rien à perdre
Timidement Léonara a tapoté:
"fda" <armingaud@noos.fr> a écrit dans le message de news:
De mon temps, d'ailleurs, quand on avait une marque extérieure sur un
vêtement ou des godasses, la première chose qu'on faisait était de
l'enlever avant de sortir avec.
;-)))
C'est vrai.
Fut un temps où on appelait ça des tee shirts publicitaires et où on
les *donnait* (si on ne rémunérait pas celui qui les portait).
Quand j'etais gamin, les objets publicitaires etaient gratuits
Buvards, crayons, accessoires d'ecole
Pour les fringues aussi mais c'etait la honte de les porter
A la rigueur,planqués sous la blouse grise ou noire
Maintenant c'est bizarre on paye pour avoir le droit de se transformer en
homme sandwich
On devrait mettre des publicitaires ou des spécialistes en marketting pour
resoudre les problemes de société
--
Solanar
Etre libre, c'est n'avoir rien à perdre
De mon temps, d'ailleurs, quand on avait une marque extérieure sur un vêtement ou des godasses, la première chose qu'on faisait était de l'enlever avant de sortir avec.
;-))) C'est vrai. Fut un temps où on appelait ça des tee shirts publicitaires et où on les *donnait* (si on ne rémunérait pas celui qui les portait).
Quand j'etais gamin, les objets publicitaires etaient gratuits Buvards, crayons, accessoires d'ecole Pour les fringues aussi mais c'etait la honte de les porter A la rigueur,planqués sous la blouse grise ou noire
Maintenant c'est bizarre on paye pour avoir le droit de se transformer en homme sandwich On devrait mettre des publicitaires ou des spécialistes en marketting pour resoudre les problemes de société
-- Solanar Etre libre, c'est n'avoir rien à perdre
;-))) C'est vrai. Fut un temps où on appelait ça des tee shirts publicitaires et où on les *donnait* (si on ne rémunérait pas celui qui les portait).
Moi, j'étais jaloux de mes copains qui avaient une casquette Ricard.
Jac.
fda
Léonara wrote:
Hop, tu t'assieds et tu écris trois petites lettres : une au "Canard", une au commissariat du quartier, et une à la préfecture, des fois que le commissariat ne se montrerat pas très zélé. Ils ont horreur que les préfets soient informés des petites affaires dont ils devraient s'occuper et ne s'occupent pas. Surtout en ce moment. Fonce !
Je n'arrive pas à croire que je suis la seule à l'avoir constaté.
Sais-tu pourquoi les lettres sont prises en considération avec autant d'importance par les entreprises ? Parce qu'elles savent
- que pour un mécontent qui écrit il y en a cent qui n'ont pas écrit
et
- que le mécontent en parle à dix personnes autour de lui, et le satisfait à une ou deux seulement.
Ta lettre a donc un poids d'environ mille votes. Cela ne fait pas très cher au prix du timbre, n'est-ce pas ?
Léonara wrote:
Hop, tu t'assieds et tu écris trois petites lettres : une au "Canard", une
au commissariat du quartier, et une à la préfecture, des fois que le
commissariat ne se montrerat pas très zélé. Ils ont horreur que les
préfets soient informés des petites affaires dont ils devraient s'occuper
et ne s'occupent pas. Surtout en ce moment. Fonce !
Je n'arrive pas à croire que je suis la seule à l'avoir constaté.
Sais-tu pourquoi les lettres sont prises en considération avec autant
d'importance par les entreprises ? Parce qu'elles savent
- que pour un mécontent qui écrit il y en a cent qui n'ont pas écrit
et
- que le mécontent en parle à dix personnes autour de lui, et le
satisfait à une ou deux seulement.
Ta lettre a donc un poids d'environ mille votes. Cela ne fait pas très
cher au prix du timbre, n'est-ce pas ?
Hop, tu t'assieds et tu écris trois petites lettres : une au "Canard", une au commissariat du quartier, et une à la préfecture, des fois que le commissariat ne se montrerat pas très zélé. Ils ont horreur que les préfets soient informés des petites affaires dont ils devraient s'occuper et ne s'occupent pas. Surtout en ce moment. Fonce !
Je n'arrive pas à croire que je suis la seule à l'avoir constaté.
Sais-tu pourquoi les lettres sont prises en considération avec autant d'importance par les entreprises ? Parce qu'elles savent
- que pour un mécontent qui écrit il y en a cent qui n'ont pas écrit
et
- que le mécontent en parle à dix personnes autour de lui, et le satisfait à une ou deux seulement.
Ta lettre a donc un poids d'environ mille votes. Cela ne fait pas très cher au prix du timbre, n'est-ce pas ?
fda
Sirius wrote:
Au sommet de son art, fda a pondu :
C'est *là-dessus* qu'il faut mettre l'accent ! Comme le dit très bien Finkielkraut, "la honte est un puissant facteur de progrès personnel" (va savoir si ce n'est pas la clé de la réussite de l'Occident).
Quel con ce Finkielkraut.
-1. C'est vrai en revanche que ceux qui n'en sont pas encore au principe de réalité peuvent avoir un peu de mal à le comprendre.
Sirius wrote:
Au sommet de son art, fda a pondu :
C'est *là-dessus* qu'il faut mettre l'accent ! Comme le dit très bien
Finkielkraut, "la honte est un puissant facteur de progrès personnel"
(va savoir si ce n'est pas la clé de la réussite de l'Occident).
Quel con ce Finkielkraut.
-1. C'est vrai en revanche que ceux qui n'en sont pas encore au principe
de réalité peuvent avoir un peu de mal à le comprendre.
C'est *là-dessus* qu'il faut mettre l'accent ! Comme le dit très bien Finkielkraut, "la honte est un puissant facteur de progrès personnel" (va savoir si ce n'est pas la clé de la réussite de l'Occident).
Quel con ce Finkielkraut.
-1. C'est vrai en revanche que ceux qui n'en sont pas encore au principe de réalité peuvent avoir un peu de mal à le comprendre.
