Ces cons ne l'ont pas laissé partir !
Le
Ku Pe Sing Tsang Khat Phe Zho

http://www.paris-normandie.fr/region/adel-kermiche-l-un-des-tueurs-avait-tente-deux-fois-de-rejoindre-la-syrie-GY6427459#.V5fVDPmLSUk
Adel Kermiche, l’un des tueurs avait tenté deux fois de rejoindre la Syrie
« Le meurtrier, abattu hier, était né à Mont-Saint-Aignan, le 25 mars
1997. Il n’avait jamais été condamné, même s’il avait tenté, par deux
fois, de rejoindre la Syrie. Une première fois alors qu’il était encore
mineur : le 23 mars 2015, il est interpellé en Allemagne alors qu’il
tentait de rallier la Syrie avec la carte d’identité de son frère. Mis
en examen le 28 mars 2015, il est placé sous contrôle judiciaire avec
interdiction de quitter la Seine-Maritime, l’obligation de pointer une
fois par semaine au commissariat et l’obligation de trouver une
formation ou un emploi. Le 11 mai 2015, il quitte le domicile familial.
Un mandat international est délivré. Adel Kermiche est interpellé en
Turquie cette fois, avec les papiers d’identité de son cousin, le 13 mai
2015. À son retour en France, il est à nouveau mis en examen. Son
contrôle judiciaire est révoqué. Il restera en détention jusqu’au 18
mars 2016. Le parquet avait fait appel de sa libération mais, le 25 mars
2016, la cour d’appel confirme la décision du juge d’instruction. Adel
Kermiche est assigné à résidence, avec l’obligation d’être logé chez ses
parents et une autorisation de sortie valable, du lundi au vendredi, de
8 h 30 à 12 h 30. »
***********
Le mec se barre - bon débarras ! - ils vont le chercher, ils lui mettent
un bracelet et le laissent sortir !
S'ils l'avaient laissé partir, une bombe du grand Vladimir Poutine nous
en aurait débarrassé à tout jamais !
Les gens qui nous dirigent ont la mort du prêtre sur la conscience.
Enfin, non, correction : ils n'ont pas de conscience, ils n'ont qu'un
portefeuille.
Adel Kermiche, l’un des tueurs avait tenté deux fois de rejoindre la Syrie
« Le meurtrier, abattu hier, était né à Mont-Saint-Aignan, le 25 mars
1997. Il n’avait jamais été condamné, même s’il avait tenté, par deux
fois, de rejoindre la Syrie. Une première fois alors qu’il était encore
mineur : le 23 mars 2015, il est interpellé en Allemagne alors qu’il
tentait de rallier la Syrie avec la carte d’identité de son frère. Mis
en examen le 28 mars 2015, il est placé sous contrôle judiciaire avec
interdiction de quitter la Seine-Maritime, l’obligation de pointer une
fois par semaine au commissariat et l’obligation de trouver une
formation ou un emploi. Le 11 mai 2015, il quitte le domicile familial.
Un mandat international est délivré. Adel Kermiche est interpellé en
Turquie cette fois, avec les papiers d’identité de son cousin, le 13 mai
2015. À son retour en France, il est à nouveau mis en examen. Son
contrôle judiciaire est révoqué. Il restera en détention jusqu’au 18
mars 2016. Le parquet avait fait appel de sa libération mais, le 25 mars
2016, la cour d’appel confirme la décision du juge d’instruction. Adel
Kermiche est assigné à résidence, avec l’obligation d’être logé chez ses
parents et une autorisation de sortie valable, du lundi au vendredi, de
8 h 30 à 12 h 30. »
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Le mec se barre - bon débarras ! - ils vont le chercher, ils lui mettent
un bracelet et le laissent sortir !
S'ils l'avaient laissé partir, une bombe du grand Vladimir Poutine nous
en aurait débarrassé à tout jamais !
Les gens qui nous dirigent ont la mort du prêtre sur la conscience.
Enfin, non, correction : ils n'ont pas de conscience, ils n'ont qu'un
portefeuille.
Pas forcément, s'il va combattre au coté de Daesh il faut envoyer
le Charles de Gaulle et le bombarder avec des Rafales à l'heure de
vol au coût prohibitif, là il a suffit de quelques balles du
pistolet réglementaire de la Police nationale.
Maintenant que vous le dites.
Le CDG doit être en IPER, de toute façon c'est Poutine qui l'aurait eu,
la république ne bombarde pas les terroristes financés par le Qatar-UMP
ou l'Arabie-PS, ou elle fait semblant de rater.
écrit :
Chez ces gens là, Monsieur, on ne pense pas, on compte
Euh... Finalement on va quand même laisser faire Poutine : ce sera plus
efficace.
--
On avait dit : pas les affaires !
Oui, en iper-mauvais état.
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On avait dit : pas les affaires !