J'ai là des diapos de tableaux que j'ai faites en lumière du jour, avec
une charte kodak pour les gris et les 3 tache cyan, magenta, jaune.
Avec l'outil courbe j'édite le blanc et le gris, mais le bleu et le
magenta sont plutôt faux...Par quoi dois-je commencer ?
Je n'ai ni les tableaux ni le peintre sous le nez.
Impossible à dire, la peinture possède-t-elle des noirs profonds et des blancs éclatants, est-elle au contraire très pastel et tout en douceur ? Il n'y a pas de règle, c'est au coup par coup.
J'ai beau avoir une bonne mémoire des teintes, sans le tableau je ne peux pas le faire !
Si c'est un peintre que je connais bien et dont j'ai déjà vu plusieurs oeuvres en vrai, je me sors pas trop mal de mémoire, mais si, pour moi, c'est un parfait inconnu...
Bah, c'est clair que ce sera plus facile avec un numérique...
C'est pas faux.
sans une reference couleur, ou l'artiste a ses cotés, de tête commeca, moi je veux bien , mais ona toujours eu besoin d'un minimum de references, comme je disais, j'ai fait ça, bon, je règles les vues en raw et apres je vois avec l'artiste, il me dit, oui, vraiment c'est pas mal, mais tu vois mes noirs ne sont pas si noirs, ils ont un petit reflet verdâtre, etc, ca, je ne peux pas l'inventer si je n'ai pas la toile ou le peintre .
-- -- Ricco
Jean-Claude Ghislain wrote:
Tu mettrais à combien le noir et le blanc ?
Impossible à dire, la peinture possède-t-elle des noirs profonds et
des blancs éclatants, est-elle au contraire très pastel et tout en
douceur ? Il n'y a pas de règle, c'est au coup par coup.
J'ai beau avoir une bonne mémoire des teintes, sans le tableau je ne
peux pas le faire !
Si c'est un peintre que je connais bien et dont j'ai déjà vu plusieurs
oeuvres en vrai, je me sors pas trop mal de mémoire, mais si, pour
moi, c'est un parfait inconnu...
Bah, c'est clair que ce sera plus facile avec un numérique...
C'est pas faux.
sans une reference couleur, ou l'artiste a ses cotés, de tête commeca, moi
je veux bien , mais ona toujours eu besoin d'un minimum de references,
comme je disais, j'ai fait ça, bon, je règles les vues en raw et apres je
vois avec l'artiste, il me dit, oui, vraiment c'est pas mal, mais tu vois
mes noirs ne sont pas si noirs, ils ont un petit reflet verdâtre, etc, ca,
je ne peux pas l'inventer si je n'ai pas la toile ou le peintre .
Impossible à dire, la peinture possède-t-elle des noirs profonds et des blancs éclatants, est-elle au contraire très pastel et tout en douceur ? Il n'y a pas de règle, c'est au coup par coup.
J'ai beau avoir une bonne mémoire des teintes, sans le tableau je ne peux pas le faire !
Si c'est un peintre que je connais bien et dont j'ai déjà vu plusieurs oeuvres en vrai, je me sors pas trop mal de mémoire, mais si, pour moi, c'est un parfait inconnu...
Bah, c'est clair que ce sera plus facile avec un numérique...
C'est pas faux.
sans une reference couleur, ou l'artiste a ses cotés, de tête commeca, moi je veux bien , mais ona toujours eu besoin d'un minimum de references, comme je disais, j'ai fait ça, bon, je règles les vues en raw et apres je vois avec l'artiste, il me dit, oui, vraiment c'est pas mal, mais tu vois mes noirs ne sont pas si noirs, ils ont un petit reflet verdâtre, etc, ca, je ne peux pas l'inventer si je n'ai pas la toile ou le peintre .
-- -- Ricco
YouDontNeedToKnowButItsNoëlle
Tu mettrais à combien le noir et le blanc ?
Impossible à dire, la peinture possède-t-elle des noirs profonds et des blancs éclatants, est-elle au contraire très pastel et tout en douceur ? Il n'y a pas de règle, c'est au coup par coup.
N'y a pas de noir, n'y a pas de blanc ( en dehors de la charte à coté ), c'est tout en nuances de rouges profonds pour certains et de bleus lumineux pour d'autre ( ceux là, pas de charte en plus, ce n'est pas moi qui ai fait les dias ). C'est plutôt intense, pas pastel non. L'artiste utilise pas mal les pigments directement avec du Gesso.
J'ai beau avoir une bonne mémoire des teintes, sans le tableau je ne peux pas le faire !
Si c'est un peintre que je connais bien et dont j'ai déjà vu plusieurs oeuvres en vrai, je me sors pas trop mal de mémoire, mais si, pour moi, c'est un parfait inconnu...
Rien n'est parfait ! On peut juste essayer d'être un peu fidèle. Et d'améliorer ce qu'on fait, pour la fois prochaine.
Bah, c'est clair que ce sera plus facile avec un numérique...
C'est pas faux.
Hi hi. Entre ce qui n'est pas faux et ce qui est vrai, il y a de la marge pour pas mal de choses !
Noëlle Adam.
Tu mettrais à combien le noir et le blanc ?
Impossible à dire, la peinture possède-t-elle des noirs profonds et des
blancs éclatants, est-elle au contraire très pastel et tout en douceur ?
Il n'y a pas de règle, c'est au coup par coup.
N'y a pas de noir, n'y a pas de blanc ( en dehors de la charte à coté ),
c'est tout en nuances de rouges profonds pour certains et de bleus
lumineux pour d'autre ( ceux là, pas de charte en plus, ce n'est pas moi
qui ai fait les dias ). C'est plutôt intense, pas pastel non. L'artiste
utilise pas mal les pigments directement avec du Gesso.
J'ai beau avoir une bonne mémoire des teintes, sans le tableau je ne
peux pas le faire !
Si c'est un peintre que je connais bien et dont j'ai déjà vu plusieurs
oeuvres en vrai, je me sors pas trop mal de mémoire, mais si, pour moi,
c'est un parfait inconnu...
Rien n'est parfait ! On peut juste essayer d'être un peu fidèle.
Et d'améliorer ce qu'on fait, pour la fois prochaine.
Bah, c'est clair que ce sera plus facile avec un numérique...
C'est pas faux.
Hi hi. Entre ce qui n'est pas faux et ce qui est vrai, il y a de la
marge pour pas mal de choses !
Impossible à dire, la peinture possède-t-elle des noirs profonds et des blancs éclatants, est-elle au contraire très pastel et tout en douceur ? Il n'y a pas de règle, c'est au coup par coup.
N'y a pas de noir, n'y a pas de blanc ( en dehors de la charte à coté ), c'est tout en nuances de rouges profonds pour certains et de bleus lumineux pour d'autre ( ceux là, pas de charte en plus, ce n'est pas moi qui ai fait les dias ). C'est plutôt intense, pas pastel non. L'artiste utilise pas mal les pigments directement avec du Gesso.
J'ai beau avoir une bonne mémoire des teintes, sans le tableau je ne peux pas le faire !
Si c'est un peintre que je connais bien et dont j'ai déjà vu plusieurs oeuvres en vrai, je me sors pas trop mal de mémoire, mais si, pour moi, c'est un parfait inconnu...
Rien n'est parfait ! On peut juste essayer d'être un peu fidèle. Et d'améliorer ce qu'on fait, pour la fois prochaine.
Bah, c'est clair que ce sera plus facile avec un numérique...
C'est pas faux.
Hi hi. Entre ce qui n'est pas faux et ce qui est vrai, il y a de la marge pour pas mal de choses !
Noëlle Adam.
Sansame
J'ai là des diapos de tableaux que j'ai faites en lumière du jour, avec une charte kodak pour les gris et les 3 tache cyan, magenta, jaune. Avec l'outil courbe j'édite le blanc et le gris, mais le bleu et le magenta sont plutôt faux...Par quoi dois-je commencer ? Je n'ai ni les tableaux ni le peintre sous le nez.
Quelques conseils (dont certains sont hélas encore coûteux) sur la reproduction des oeuvres d'art à deux dimensions (pour la sculpture, c'est une autre paire de manches). Je suis un peu hors sujet par rapport à votre question posée sur des diapos, mais bon, ça peu tout de même vous intéresser pour de prochaines expériences :
1 - La reproduction de tableaux ou de gravures est quasiment la seule acrobatie photographique pour laquelle un calibrage d'APN fait accomplir de véritables progrès. C'est pour cette raison que la prise de vue numérique a conquis très rapidement le marché des grands musées (par exemple l'atelier de reproduction de la Réunion des Musées Nationaux).
Pour cela, il faut un logiciel de développement RAW qui sache produire des fichiers "bruts" dématriçés non encore "rendus-codés" dans un espace de travail standard. Tous les logiciels fournis avec les dos moyen format savent très bien s'y prendre (comme les CreoLeaf utilisés par les musées). Pour les logiciels de développement RAW 24x36 ou plus petit, c'est plus difficile à trouver. Un logiciel jadis gratuit et malheureusement disparu appliquait une procédure praticulièrement limpide, RawShooter. Capture ONE sait aussi jouer ce rôle mais il est plus délicat à paramétrer. Pour le calibrage ICC, il faut une mire ColorChecker standard ou SG et un logiciel de calibrage d'APN comme Gretag PM5, qui est coûteux, ou comme le plus abordable Gretag EyeOne Match.
2 - La balance des blancs est primordiale, et il vaut mieux utiliser une mire grise spécialement conçue pour la balance qu'une mire fabriquée pour la mesure des temps de pose (genre gris Kodak). Les petites mires bon marché vendues par Christophe Métairie sont très très bonnes. La mire Gretag pour balance des blancs est parfaite.
3 - Pour la conversion colorimétrique destinée à l'impression, il est finalement assez rare que le mode de rendu Perceptive soit approprié. Selon les pigments employés, huile ou acrylique, il faut faire des essais, mais un mode de rendu Colorimétrie donne généralement des résultats plus fidèles. Il respecte, bien sûr, les couleurs qui sont dans le gamut cible d'impression, et ce sont justement ces couleurs qui marquent en général le véritable caractère d'une barbouille dans sa perception par un observateur.
Post scriptum optimiste : c'est étonnant comme, dans cette activité pourtant "artistique", les éditeurs ou les galeries hésitent peu à diffuser des reproductions totalement nulles. Je me souviens d'un Viallat, photographié par ma fille avec un petit engin numérique déjà démodé il y a 4 ans, et dont l'impression par une Epson 1290 sur un papier brillant standard était plus fidèle que sa reproduction sur le carton d'invitation de la prestigieuse galerie... Conclusion, photographes, photographes, y'a de la tune à faire en s'y prenant pas trop mal !
-- Sansame
J'ai là des diapos de tableaux que j'ai faites en lumière du jour, avec une
charte kodak pour les gris et les 3 tache cyan, magenta, jaune.
Avec l'outil courbe j'édite le blanc et le gris, mais le bleu et le magenta
sont plutôt faux...Par quoi dois-je commencer ?
Je n'ai ni les tableaux ni le peintre sous le nez.
Quelques conseils (dont certains sont hélas encore coûteux) sur la
reproduction des oeuvres d'art à deux dimensions (pour la sculpture,
c'est une autre paire de manches). Je suis un peu hors sujet par
rapport à votre question posée sur des diapos, mais bon, ça peu tout de
même vous intéresser pour de prochaines expériences :
1 - La reproduction de tableaux ou de gravures est quasiment la seule
acrobatie photographique pour laquelle un calibrage d'APN fait
accomplir de véritables progrès. C'est pour cette raison que la prise
de vue numérique a conquis très rapidement le marché des grands musées
(par exemple l'atelier de reproduction de la Réunion des Musées
Nationaux).
Pour cela, il faut un logiciel de développement RAW qui sache produire
des fichiers "bruts" dématriçés non encore "rendus-codés" dans un
espace de travail standard. Tous les logiciels fournis avec les dos
moyen format savent très bien s'y prendre (comme les CreoLeaf utilisés
par les musées). Pour les logiciels de développement RAW 24x36 ou plus
petit, c'est plus difficile à trouver. Un logiciel jadis gratuit et
malheureusement disparu appliquait une procédure praticulièrement
limpide, RawShooter. Capture ONE sait aussi jouer ce rôle mais il est
plus délicat à paramétrer. Pour le calibrage ICC, il faut une mire
ColorChecker standard ou SG et un logiciel de calibrage d'APN comme
Gretag PM5, qui est coûteux, ou comme le plus abordable Gretag EyeOne
Match.
2 - La balance des blancs est primordiale, et il vaut mieux utiliser
une mire grise spécialement conçue pour la balance qu'une mire
fabriquée pour la mesure des temps de pose (genre gris Kodak). Les
petites mires bon marché vendues par Christophe Métairie sont très très
bonnes. La mire Gretag pour balance des blancs est parfaite.
3 - Pour la conversion colorimétrique destinée à l'impression, il est
finalement assez rare que le mode de rendu Perceptive soit approprié.
Selon les pigments employés, huile ou acrylique, il faut faire des
essais, mais un mode de rendu Colorimétrie donne généralement des
résultats plus fidèles. Il respecte, bien sûr, les couleurs qui sont
dans le gamut cible d'impression, et ce sont justement ces couleurs qui
marquent en général le véritable caractère d'une barbouille dans sa
perception par un observateur.
Post scriptum optimiste : c'est étonnant comme, dans cette activité
pourtant "artistique", les éditeurs ou les galeries hésitent peu à
diffuser des reproductions totalement nulles. Je me souviens d'un
Viallat, photographié par ma fille avec un petit engin numérique déjà
démodé il y a 4 ans, et dont l'impression par une Epson 1290 sur un
papier brillant standard était plus fidèle que sa reproduction sur le
carton d'invitation de la prestigieuse galerie... Conclusion,
photographes, photographes, y'a de la tune à faire en s'y prenant pas
trop mal !
J'ai là des diapos de tableaux que j'ai faites en lumière du jour, avec une charte kodak pour les gris et les 3 tache cyan, magenta, jaune. Avec l'outil courbe j'édite le blanc et le gris, mais le bleu et le magenta sont plutôt faux...Par quoi dois-je commencer ? Je n'ai ni les tableaux ni le peintre sous le nez.
Quelques conseils (dont certains sont hélas encore coûteux) sur la reproduction des oeuvres d'art à deux dimensions (pour la sculpture, c'est une autre paire de manches). Je suis un peu hors sujet par rapport à votre question posée sur des diapos, mais bon, ça peu tout de même vous intéresser pour de prochaines expériences :
1 - La reproduction de tableaux ou de gravures est quasiment la seule acrobatie photographique pour laquelle un calibrage d'APN fait accomplir de véritables progrès. C'est pour cette raison que la prise de vue numérique a conquis très rapidement le marché des grands musées (par exemple l'atelier de reproduction de la Réunion des Musées Nationaux).
Pour cela, il faut un logiciel de développement RAW qui sache produire des fichiers "bruts" dématriçés non encore "rendus-codés" dans un espace de travail standard. Tous les logiciels fournis avec les dos moyen format savent très bien s'y prendre (comme les CreoLeaf utilisés par les musées). Pour les logiciels de développement RAW 24x36 ou plus petit, c'est plus difficile à trouver. Un logiciel jadis gratuit et malheureusement disparu appliquait une procédure praticulièrement limpide, RawShooter. Capture ONE sait aussi jouer ce rôle mais il est plus délicat à paramétrer. Pour le calibrage ICC, il faut une mire ColorChecker standard ou SG et un logiciel de calibrage d'APN comme Gretag PM5, qui est coûteux, ou comme le plus abordable Gretag EyeOne Match.
2 - La balance des blancs est primordiale, et il vaut mieux utiliser une mire grise spécialement conçue pour la balance qu'une mire fabriquée pour la mesure des temps de pose (genre gris Kodak). Les petites mires bon marché vendues par Christophe Métairie sont très très bonnes. La mire Gretag pour balance des blancs est parfaite.
3 - Pour la conversion colorimétrique destinée à l'impression, il est finalement assez rare que le mode de rendu Perceptive soit approprié. Selon les pigments employés, huile ou acrylique, il faut faire des essais, mais un mode de rendu Colorimétrie donne généralement des résultats plus fidèles. Il respecte, bien sûr, les couleurs qui sont dans le gamut cible d'impression, et ce sont justement ces couleurs qui marquent en général le véritable caractère d'une barbouille dans sa perception par un observateur.
Post scriptum optimiste : c'est étonnant comme, dans cette activité pourtant "artistique", les éditeurs ou les galeries hésitent peu à diffuser des reproductions totalement nulles. Je me souviens d'un Viallat, photographié par ma fille avec un petit engin numérique déjà démodé il y a 4 ans, et dont l'impression par une Epson 1290 sur un papier brillant standard était plus fidèle que sa reproduction sur le carton d'invitation de la prestigieuse galerie... Conclusion, photographes, photographes, y'a de la tune à faire en s'y prenant pas trop mal !
-- Sansame
Ricco
Sansame wrote: . Conclusion,
photographes, photographes, y'a de la tune à faire en s'y prenant pas trop mal !
et en s'y prenant tôt dirait on !
-- -- Ricco
Sansame wrote:
. Conclusion,
photographes, photographes, y'a de la tune à faire en s'y prenant pas
trop mal !
photographes, photographes, y'a de la tune à faire en s'y prenant pas trop mal !
et en s'y prenant tôt dirait on !
-- -- Ricco
YouDontNeedToKnowButItsNoëlle
Quelques conseils (dont certains sont hélas encore coûteux) sur la reproduction des oeuvres d'art à deux dimensions (pour la sculpture, c'est une autre paire de manches). Je suis un peu hors sujet par rapport à votre question posée sur des diapos, mais bon, ça peu tout de même vous intéresser pour de prochaines expériences :
Ca servira à quelqu'un d'autre, merci, c'est très bien !
Pour cela, il faut un logiciel de développement RAW qui sache produire des fichiers "bruts" dématriçés non encore "rendus-codés" dans un espace de travail standard. Tous les logiciels fournis avec les dos moyen format savent très bien s'y prendre (comme les CreoLeaf utilisés par les musées). Pour les logiciels de développement RAW 24x36 ou plus petit, c'est plus difficile à trouver. Un logiciel jadis gratuit et malheureusement disparu appliquait une procédure praticulièrement limpide, RawShooter.
Mon compagnon a un D70, et j'utilise parfois rawshooter essentials avec, mais je ne sais pas très bien me servir de ce soft !
Capture ONE sait aussi jouer ce rôle mais il est
plus délicat à paramétrer. Pour le calibrage ICC, il faut une mire ColorChecker standard ou SG et un logiciel de calibrage d'APN comme Gretag PM5, qui est coûteux, ou comme le plus abordable Gretag EyeOne Match.
Bon, faut pas exagerer non plus, je fais ça pour rendre service et ne peux pas investir grand chose que de la patience...
2 - La balance des blancs est primordiale, et il vaut mieux utiliser une mire grise spécialement conçue pour la balance qu'une mire fabriquée pour la mesure des temps de pose (genre gris Kodak). Comme le gris 18 % ? J'avais mis 2 mires en faire, mon 18% et une de 20
niveaux du blanc au noir
Les petites mires
bon marché vendues par Christophe Métairie sont très très bonnes. La mire Gretag pour balance des blancs est parfaite.
Bon à savoir. D'autant que Métairie fait du bon boulot et que j'aurais peut-être une commande de profil à faire.
3 - Pour la conversion colorimétrique destinée à l'impression, il est finalement assez rare que le mode de rendu Perceptive soit approprié. Selon les pigments employés, huile ou acrylique, il faut faire des essais, mais un mode de rendu Colorimétrie donne généralement des résultats plus fidèles. Il respecte, bien sûr, les couleurs qui sont dans le gamut cible d'impression, Faut pas rêver, le rouge profond est une couleur difficile.
et ce sont justement ces couleurs qui
marquent en général le véritable caractère d'une barbouille dans sa perception par un observateur.
Post scriptum optimiste : c'est étonnant comme, dans cette activité pourtant "artistique", les éditeurs ou les galeries hésitent peu à diffuser des reproductions totalement nulles. Je me souviens d'un Viallat, photographié par ma fille avec un petit engin numérique déjà démodé il y a 4 ans, et dont l'impression par une Epson 1290 sur un papier brillant standard était plus fidèle que sa reproduction sur le carton d'invitation de la prestigieuse galerie... Conclusion, photographes, photographes, y'a de la tune à faire en s'y prenant pas trop mal !
Pis, j'ai vu le bouquin proposé par le musée de Quimper sur l'uvre du peintre Tanguy, qui faisait beaucoup dans les gris colorés. Dans le bouquin, tout était bleu. Pour le carton ça peut aussi venir de l'imprimeur...Depuis pas mal il n'y a plus guère de chromistes, ça coûte ! Merci pour moi et les autres, Noëlle Adam.
Quelques conseils (dont certains sont hélas encore coûteux) sur la
reproduction des oeuvres d'art à deux dimensions (pour la sculpture,
c'est une autre paire de manches). Je suis un peu hors sujet par rapport
à votre question posée sur des diapos, mais bon, ça peu tout de même
vous intéresser pour de prochaines expériences :
Ca servira à quelqu'un d'autre, merci, c'est très bien !
Pour cela, il faut un logiciel de développement RAW qui sache produire
des fichiers "bruts" dématriçés non encore "rendus-codés" dans un espace
de travail standard. Tous les logiciels fournis avec les dos moyen
format savent très bien s'y prendre (comme les CreoLeaf utilisés par les
musées). Pour les logiciels de développement RAW 24x36 ou plus petit,
c'est plus difficile à trouver. Un logiciel jadis gratuit et
malheureusement disparu appliquait une procédure praticulièrement
limpide, RawShooter.
Mon compagnon a un D70, et j'utilise parfois rawshooter essentials avec,
mais je ne sais pas très bien me servir de ce soft !
Capture ONE sait aussi jouer ce rôle mais il est
plus délicat à paramétrer. Pour le calibrage ICC, il faut une mire
ColorChecker standard ou SG et un logiciel de calibrage d'APN comme
Gretag PM5, qui est coûteux, ou comme le plus abordable Gretag EyeOne
Match.
Bon, faut pas exagerer non plus, je fais ça pour rendre service et ne
peux pas investir grand chose que de la patience...
2 - La balance des blancs est primordiale, et il vaut mieux utiliser une
mire grise spécialement conçue pour la balance qu'une mire fabriquée
pour la mesure des temps de pose (genre gris Kodak).
Comme le gris 18 % ? J'avais mis 2 mires en faire, mon 18% et une de 20
niveaux du blanc au noir
Les petites mires
bon marché vendues par Christophe Métairie sont très très bonnes. La
mire Gretag pour balance des blancs est parfaite.
Bon à savoir. D'autant que Métairie fait du bon boulot et que j'aurais
peut-être une commande de profil à faire.
3 - Pour la conversion colorimétrique destinée à l'impression, il est
finalement assez rare que le mode de rendu Perceptive soit approprié.
Selon les pigments employés, huile ou acrylique, il faut faire des
essais, mais un mode de rendu Colorimétrie donne généralement des
résultats plus fidèles. Il respecte, bien sûr, les couleurs qui sont
dans le gamut cible d'impression,
Faut pas rêver, le rouge profond est une couleur difficile.
et ce sont justement ces couleurs qui
marquent en général le véritable caractère d'une barbouille dans sa
perception par un observateur.
Post scriptum optimiste : c'est étonnant comme, dans cette activité
pourtant "artistique", les éditeurs ou les galeries hésitent peu à
diffuser des reproductions totalement nulles. Je me souviens d'un
Viallat, photographié par ma fille avec un petit engin numérique déjà
démodé il y a 4 ans, et dont l'impression par une Epson 1290 sur un
papier brillant standard était plus fidèle que sa reproduction sur le
carton d'invitation de la prestigieuse galerie... Conclusion,
photographes, photographes, y'a de la tune à faire en s'y prenant pas
trop mal !
Pis, j'ai vu le bouquin proposé par le musée de Quimper sur l'uvre du
peintre Tanguy, qui faisait beaucoup dans les gris colorés.
Dans le bouquin, tout était bleu. Pour le carton ça peut aussi venir de
l'imprimeur...Depuis pas mal il n'y a plus guère de chromistes, ça coûte !
Merci pour moi et les autres,
Noëlle Adam.
Quelques conseils (dont certains sont hélas encore coûteux) sur la reproduction des oeuvres d'art à deux dimensions (pour la sculpture, c'est une autre paire de manches). Je suis un peu hors sujet par rapport à votre question posée sur des diapos, mais bon, ça peu tout de même vous intéresser pour de prochaines expériences :
Ca servira à quelqu'un d'autre, merci, c'est très bien !
Pour cela, il faut un logiciel de développement RAW qui sache produire des fichiers "bruts" dématriçés non encore "rendus-codés" dans un espace de travail standard. Tous les logiciels fournis avec les dos moyen format savent très bien s'y prendre (comme les CreoLeaf utilisés par les musées). Pour les logiciels de développement RAW 24x36 ou plus petit, c'est plus difficile à trouver. Un logiciel jadis gratuit et malheureusement disparu appliquait une procédure praticulièrement limpide, RawShooter.
Mon compagnon a un D70, et j'utilise parfois rawshooter essentials avec, mais je ne sais pas très bien me servir de ce soft !
Capture ONE sait aussi jouer ce rôle mais il est
plus délicat à paramétrer. Pour le calibrage ICC, il faut une mire ColorChecker standard ou SG et un logiciel de calibrage d'APN comme Gretag PM5, qui est coûteux, ou comme le plus abordable Gretag EyeOne Match.
Bon, faut pas exagerer non plus, je fais ça pour rendre service et ne peux pas investir grand chose que de la patience...
2 - La balance des blancs est primordiale, et il vaut mieux utiliser une mire grise spécialement conçue pour la balance qu'une mire fabriquée pour la mesure des temps de pose (genre gris Kodak). Comme le gris 18 % ? J'avais mis 2 mires en faire, mon 18% et une de 20
niveaux du blanc au noir
Les petites mires
bon marché vendues par Christophe Métairie sont très très bonnes. La mire Gretag pour balance des blancs est parfaite.
Bon à savoir. D'autant que Métairie fait du bon boulot et que j'aurais peut-être une commande de profil à faire.
3 - Pour la conversion colorimétrique destinée à l'impression, il est finalement assez rare que le mode de rendu Perceptive soit approprié. Selon les pigments employés, huile ou acrylique, il faut faire des essais, mais un mode de rendu Colorimétrie donne généralement des résultats plus fidèles. Il respecte, bien sûr, les couleurs qui sont dans le gamut cible d'impression, Faut pas rêver, le rouge profond est une couleur difficile.
et ce sont justement ces couleurs qui
marquent en général le véritable caractère d'une barbouille dans sa perception par un observateur.
Post scriptum optimiste : c'est étonnant comme, dans cette activité pourtant "artistique", les éditeurs ou les galeries hésitent peu à diffuser des reproductions totalement nulles. Je me souviens d'un Viallat, photographié par ma fille avec un petit engin numérique déjà démodé il y a 4 ans, et dont l'impression par une Epson 1290 sur un papier brillant standard était plus fidèle que sa reproduction sur le carton d'invitation de la prestigieuse galerie... Conclusion, photographes, photographes, y'a de la tune à faire en s'y prenant pas trop mal !
Pis, j'ai vu le bouquin proposé par le musée de Quimper sur l'uvre du peintre Tanguy, qui faisait beaucoup dans les gris colorés. Dans le bouquin, tout était bleu. Pour le carton ça peut aussi venir de l'imprimeur...Depuis pas mal il n'y a plus guère de chromistes, ça coûte ! Merci pour moi et les autres, Noëlle Adam.
JL
Bonjour, Essaie ceci : R227 G228 B230 R82 V77 B73 (valeurs sRGB 255 Pantone, Kodak Grey Scale A et 19, mesures Eye One Pro sur charte Kodak)
Cordialement, Jean-Luc Ernst www.digigrey.com
"YouDontNeedToKnowButItsNoëlle" <"YoudontNeedThatNeither"@sol.earth> a écrit dans le message de news: 4708b60c$0$27380$
.../... Tu mettrais à combien le noir et le blanc ?
.../...
Bonjour,
Essaie ceci :
R227 G228 B230
R82 V77 B73
(valeurs sRGB 255 Pantone, Kodak Grey Scale A et 19, mesures Eye One Pro sur
charte Kodak)
Cordialement,
Jean-Luc Ernst
www.digigrey.com
"YouDontNeedToKnowButItsNoëlle" <"YoudontNeedThatNeither"@sol.earth> a écrit
dans le message de news: 4708b60c$0$27380$ba4acef3@news.orange.fr...
.../... Tu mettrais à combien le noir et le blanc ?