Ça rappelle nécessairement l'anecdote citée par Vian dans "En avant la zizique" (livre indispensable, en poche 10/18 je crois) d'une jeune fille qui entrait chez le disquaire et lui avait demandé s'il avait "Tristesse de Chopin" *DE* Mario Melfi (bellâtre qui poussait la chansonnette dans les années 30).
J'aime bien qu'on puisse imaginer que quelqu'un ait écrit un morceau sur la tristesse du Frédéric à la réception d'une lettre de rupture de George qui en aurait pincé à nouveau pour Alfred... :-)
-- Gérald
oragoun <oragoun_b@yahoo.fr> wrote:
heu... Brahms ?? (jdcjdr) ;)
Ça rappelle nécessairement l'anecdote citée par Vian dans "En avant la
zizique" (livre indispensable, en poche 10/18 je crois) d'une jeune
fille qui entrait chez le disquaire et lui avait demandé s'il avait
"Tristesse de Chopin" *DE* Mario Melfi (bellâtre qui poussait la
chansonnette dans les années 30).
J'aime bien qu'on puisse imaginer que quelqu'un ait écrit un morceau sur
la tristesse du Frédéric à la réception d'une lettre de rupture de
George qui en aurait pincé à nouveau pour Alfred... :-)
Ça rappelle nécessairement l'anecdote citée par Vian dans "En avant la zizique" (livre indispensable, en poche 10/18 je crois) d'une jeune fille qui entrait chez le disquaire et lui avait demandé s'il avait "Tristesse de Chopin" *DE* Mario Melfi (bellâtre qui poussait la chansonnette dans les années 30).
J'aime bien qu'on puisse imaginer que quelqu'un ait écrit un morceau sur la tristesse du Frédéric à la réception d'une lettre de rupture de George qui en aurait pincé à nouveau pour Alfred... :-)
-- Gérald
Pierre Dujardin
"Cornelia Schneider" > Ya pas de miracle : c'est ma langue maternelle.
Il fut un temps j'étais fou de l' Allemagne,
il ne se passait pas une journée, sans que je ne ponctue mes phrases de Bayerishe, München, Spaten, (point bleu) et autre mots Germaniques.
Aujourd'hui, j'en parle moins, mais les magasins hard-discount Allemand restent une référence en matière de qualité-prix.
Pour rester dans le sujet de la musique, toutes les bricoles importées par les magasins Allemand se vendent comme des petits pains.
"Cornelia Schneider"
> Ya pas de miracle : c'est ma langue maternelle.
Il fut un temps j'étais fou de l' Allemagne,
il ne se passait pas une journée, sans que je ne ponctue mes phrases de
Bayerishe, München, Spaten, (point bleu) et autre mots Germaniques.
Aujourd'hui, j'en parle moins, mais les magasins hard-discount Allemand
restent une référence en matière de qualité-prix.
Pour rester dans le sujet de la musique, toutes les bricoles importées par
les magasins Allemand se vendent comme des petits pains.