Comment éliminer les bruits et les parasites d’un fichier mp3 ?
16 réponses
steph01
Bonjour,
J’ai un Digital Voice recorder (RCA , RP5032) que je l’utilise pour enregistrer mes cours en classe, mon problème est que la qualité du son est très mauvaise, beaucoup de bruits et de parasites de façon que je ne comprend presque aucun mot. J’ai utilisé le logiciel Audacity, mais il n’a pas résolu mon problème. Ya-t-il une solution pour ca ? Merci
Le Mardi 13 janvier 2009 à 09:07 UTC, Bernard Meylan écrivait sur fr.comp.musique :
Ben ça remplace pas (encore ?) un couple de bons micros bien placés. Mais c'est quand même étonnant de qualité.
Tout est dans le placement de l'enregistreur, comme quand on fait une prise au couple.
On va sortir du fil (?) mais là ça m'intéresse beaucoup: tu pourrais préciser en tant que pro comment tu vois le "tout est dans le placement de l'enregistreur"... parce j'ai pas mal utilisé ce petit engin avec toujours l'impression que je le plaçais mal et qu'il aurait suffit d'un poil à gauche/droite/avant/arrière pour que tout change.
J'ai fait récemment une prise piano/voix avec un Zoom H4 sur un Steinway dans un auditorium. C'était prévu pour juste fixer une idée, être un témoin/archive.
Justement: tu l'as placé où le H4? dans le piano? au niveau du clavier?
Si j'osais, allez j'ose ! Je redirigerais vers le tout nouveau fr.rec.audio où ce serait en plein dans le sujet. ;-)
@+ -- Gérald Niel <http://news.gegeweb.org>
(suivi sur fr.rec.audio)
Le Mardi 13 janvier 2009 à 09:07 UTC, Bernard Meylan écrivait sur
fr.comp.musique :
Ben ça remplace pas (encore ?) un couple de bons micros bien placés. Mais
c'est quand même étonnant de qualité.
Tout est dans le placement de l'enregistreur, comme quand on fait une
prise au couple.
On va sortir du fil (?) mais là ça m'intéresse beaucoup: tu pourrais
préciser en tant que pro comment tu vois le "tout est dans le placement de
l'enregistreur"... parce j'ai pas mal utilisé ce petit engin avec toujours
l'impression que je le plaçais mal et qu'il aurait suffit d'un poil à
gauche/droite/avant/arrière pour que tout change.
J'ai fait récemment une prise piano/voix avec un Zoom H4 sur un Steinway
dans un auditorium. C'était prévu pour juste fixer une idée, être un
témoin/archive.
Justement: tu l'as placé où le H4? dans le piano? au niveau du clavier?
Si j'osais, allez j'ose ! Je redirigerais vers le tout nouveau
fr.rec.audio où ce serait en plein dans le sujet. ;-)
Le Mardi 13 janvier 2009 à 09:07 UTC, Bernard Meylan écrivait sur fr.comp.musique :
Ben ça remplace pas (encore ?) un couple de bons micros bien placés. Mais c'est quand même étonnant de qualité.
Tout est dans le placement de l'enregistreur, comme quand on fait une prise au couple.
On va sortir du fil (?) mais là ça m'intéresse beaucoup: tu pourrais préciser en tant que pro comment tu vois le "tout est dans le placement de l'enregistreur"... parce j'ai pas mal utilisé ce petit engin avec toujours l'impression que je le plaçais mal et qu'il aurait suffit d'un poil à gauche/droite/avant/arrière pour que tout change.
J'ai fait récemment une prise piano/voix avec un Zoom H4 sur un Steinway dans un auditorium. C'était prévu pour juste fixer une idée, être un témoin/archive.
Justement: tu l'as placé où le H4? dans le piano? au niveau du clavier?
Si j'osais, allez j'ose ! Je redirigerais vers le tout nouveau fr.rec.audio où ce serait en plein dans le sujet. ;-)
@+ -- Gérald Niel <http://news.gegeweb.org>
dume
Bernard Meylan a écrit :
Le Mon, 12 Jan 2009 17:38:21 +0100, dume a écrit:
Que pensez vous de votre Zoom H4 ? Permet t-il selon vous l'enregistrement correct d'une répétition ou d'un concert ?
J'en suis très content. Il ne remplacera évidemment pas une paire de micros (il en possède 2 montés à demeure) placés là où il faut par un ingénieur du son compétent avec une table de mixage, mais les résultats que j'ai obtenus en enregistrant un choeur, puis un ensemble de musique de chambre m'ont convaincus. Son petit frère, le H2, est lui pourvu de 4 micros et peut se placer au milieu d'un ensemble ou d'un groupe de personnes et enregistre sur 360 degrés.
Merci beaucoup pour vos réponses . Etant donné un prix qui a l'air raisonnable au regard des qualités décrites , je crois que je vais me l'offrir très prochainement.
Bernard Meylan a écrit :
Le Mon, 12 Jan 2009 17:38:21 +0100, dume <dume@orange.fr> a écrit:
Que pensez vous de votre Zoom H4 ?
Permet t-il selon vous l'enregistrement correct d'une répétition ou
d'un concert ?
J'en suis très content. Il ne remplacera évidemment pas une paire de
micros (il en possède 2 montés à demeure) placés là où il faut par un
ingénieur du son compétent avec une table de mixage, mais les
résultats que j'ai obtenus en enregistrant un choeur, puis un ensemble
de musique de chambre m'ont convaincus. Son petit frère, le H2, est
lui pourvu de 4 micros et peut se placer au milieu d'un ensemble ou
d'un groupe de personnes et enregistre sur 360 degrés.
Merci beaucoup pour vos réponses .
Etant donné un prix qui a l'air raisonnable au regard des qualités
décrites , je crois que je vais me l'offrir très prochainement.
Que pensez vous de votre Zoom H4 ? Permet t-il selon vous l'enregistrement correct d'une répétition ou d'un concert ?
J'en suis très content. Il ne remplacera évidemment pas une paire de micros (il en possède 2 montés à demeure) placés là où il faut par un ingénieur du son compétent avec une table de mixage, mais les résultats que j'ai obtenus en enregistrant un choeur, puis un ensemble de musique de chambre m'ont convaincus. Son petit frère, le H2, est lui pourvu de 4 micros et peut se placer au milieu d'un ensemble ou d'un groupe de personnes et enregistre sur 360 degrés.
Merci beaucoup pour vos réponses . Etant donné un prix qui a l'air raisonnable au regard des qualités décrites , je crois que je vais me l'offrir très prochainement.
On ne peut pas rêver média plus subjectif, et c'est là que c'est génial :))
Nous "travaillons" (avec ou sans les guillements) un média immateriel, dans le sens ou on ne peut ni le toucher ni le voir. Ce n'est qu'une p*tain d'onde, on peut imaginer et utiliser des représentations graphiques en 2D ou en 3D, les synthétiser, analyser en temps et en fréquence, visualiser les formants, mais ce n'est, et cela ne restera qu'une onde, une collision en chaîne entre molécules qui excite un recepteur qui transmet, avec toutes ses imperfections propres, des informations à notre cerveau qui les interprete suivant la culture qui l'a formé.
Je pense que c'est quand on a compris (et intégré) tout cela que l'on peut bosser sereinement, sans craintes ni stress.
Quand un stagiaire (un débutant) me demande combien de watts fait ma console... Et quand un invité au studio/en régie me demande comment je m'y retrouve avec tous ces boutons...
J'ai la (mal)chance d'avoir une oreille quasi-absolue, et une ultra- sensibilité rythmique, l'une et l'autre à-priori de naissance mais (en plus)affutées d'abord par mon environnement familial puis par mon métier. Quand lors d'une séance d'enregistrement je demande à tous les cuivres de se ré-accorder, à un guitariste de se brancher sur son accordeur, à un batteur de jouer "plus en avant", ou "plus au fond du temps", et qu'ensuite on me demande comment j'ai entendu ça... Ben je ne sais pas trop quoi répondre... A part, "c'est ce que j'entends" ou "à cause de l'âge du capitaine"....
Savoir entendre une opposition de phase, essayer de capter au mieux (où au moins pire...) un timbre, faire la part des choses entre les bruits de fond et le signal utile, utiliser le bon micro au bon moment, etc... Ce n'est que de l'expérience. Ensuite on peut être plus ou moins aidé par la nature. Mais il n'y a aucun secret, fondamentalement ce n'est que du travail, encore du travail, toujours du travail.
On ne peut pas rêver média plus subjectif, et c'est là que c'est génial
:))
Nous "travaillons" (avec ou sans les guillements) un média immateriel,
dans le sens ou on ne peut ni le toucher ni le voir. Ce n'est qu'une
p*tain d'onde, on peut imaginer et utiliser des représentations
graphiques en 2D ou en 3D, les synthétiser, analyser en temps et en
fréquence, visualiser les formants, mais ce n'est, et cela ne restera
qu'une onde, une collision en chaîne entre molécules qui excite un
recepteur qui transmet, avec toutes ses imperfections propres, des
informations à notre cerveau qui les interprete suivant la culture qui
l'a formé.
Je pense que c'est quand on a compris (et intégré) tout cela que l'on
peut bosser sereinement, sans craintes ni stress.
Quand un stagiaire (un débutant) me demande combien de watts fait ma
console... Et quand un invité au studio/en régie me demande comment je
m'y retrouve avec tous ces boutons...
J'ai la (mal)chance d'avoir une oreille quasi-absolue, et une ultra-
sensibilité rythmique, l'une et l'autre à-priori de naissance mais (en
plus)affutées d'abord par mon environnement familial puis par mon métier.
Quand lors d'une séance d'enregistrement je demande à tous les cuivres de
se ré-accorder, à un guitariste de se brancher sur son accordeur, à un
batteur de jouer "plus en avant", ou "plus au fond du temps", et
qu'ensuite on me demande comment j'ai entendu ça... Ben je ne sais pas
trop quoi répondre... A part, "c'est ce que j'entends" ou "à cause de
l'âge du capitaine"....
Savoir entendre une opposition de phase, essayer de capter au mieux (où
au moins pire...) un timbre, faire la part des choses entre les bruits de
fond et le signal utile, utiliser le bon micro au bon moment, etc... Ce
n'est que de l'expérience. Ensuite on peut être plus ou moins aidé par la
nature. Mais il n'y a aucun secret, fondamentalement ce n'est que du
travail, encore du travail, toujours du travail.
On ne peut pas rêver média plus subjectif, et c'est là que c'est génial :))
Nous "travaillons" (avec ou sans les guillements) un média immateriel, dans le sens ou on ne peut ni le toucher ni le voir. Ce n'est qu'une p*tain d'onde, on peut imaginer et utiliser des représentations graphiques en 2D ou en 3D, les synthétiser, analyser en temps et en fréquence, visualiser les formants, mais ce n'est, et cela ne restera qu'une onde, une collision en chaîne entre molécules qui excite un recepteur qui transmet, avec toutes ses imperfections propres, des informations à notre cerveau qui les interprete suivant la culture qui l'a formé.
Je pense que c'est quand on a compris (et intégré) tout cela que l'on peut bosser sereinement, sans craintes ni stress.
Quand un stagiaire (un débutant) me demande combien de watts fait ma console... Et quand un invité au studio/en régie me demande comment je m'y retrouve avec tous ces boutons...
J'ai la (mal)chance d'avoir une oreille quasi-absolue, et une ultra- sensibilité rythmique, l'une et l'autre à-priori de naissance mais (en plus)affutées d'abord par mon environnement familial puis par mon métier. Quand lors d'une séance d'enregistrement je demande à tous les cuivres de se ré-accorder, à un guitariste de se brancher sur son accordeur, à un batteur de jouer "plus en avant", ou "plus au fond du temps", et qu'ensuite on me demande comment j'ai entendu ça... Ben je ne sais pas trop quoi répondre... A part, "c'est ce que j'entends" ou "à cause de l'âge du capitaine"....
Savoir entendre une opposition de phase, essayer de capter au mieux (où au moins pire...) un timbre, faire la part des choses entre les bruits de fond et le signal utile, utiliser le bon micro au bon moment, etc... Ce n'est que de l'expérience. Ensuite on peut être plus ou moins aidé par la nature. Mais il n'y a aucun secret, fondamentalement ce n'est que du travail, encore du travail, toujours du travail.
Cordialement
oragoun
Gérald Niel
(suivi sur fr.usenet.distribution)
Le Vendredi 06 février 2009 à 01:06 UTC, oragoun écrivait sur fr.comp.musique :