Après l'ART, voyant ses compétences élargies à la Poste, avec la fin
d'un monopole, qui s'appellera l'Autorité de Régulation des
Communications Electroniques et de Postes – l'ARCEP, c'est au tour,
maintenant, de la DIGITIP, la Direction Générale de l'Industrie des
Technologies de l'Information et des Postes, de changer de nom, pour
fusionner avec la DARMPI – Direction de l'Action Régionale de la
Moyenne et Petite Industrie, et rester toujours sous la tutelle du
ministre de l'industrie, Monsieur Devedjian.
Cette fusion donne naissance à la Direction Générale des Entreprises,
la DGE.
Les radioamateurs qui n'avaient pas encore mémorisé les sigles de leur
tutelle, vont devoir faire une fois encore, un effort de mémoire !
La tutelle ART et DIGITIP, se trouve donc transférée d'office à
l'ARCEP et à la DGE.
Que penser des dirigeants d'une association reconnue d'utilité
publique, qui se disent représenter les radioamateurs français et qui
ont missionné un avocat en Conseil d'Etat pour tenter de faire
demeurer le Service Amateur français dans un tel giron de
privatisation d'entreprises ou il n'a vraiment rien à faire …
Pour mémoire et selon le Règlement des Radiocommunications – le RR,
qui a force de loi en France de part la loi 62-633, la gestion des
Services Amateurs et amateurs par satellite, doit rester étatique.
Depuis plus de sept ans la CFRR et les requérants se battent pour que
l'état français respecte ses lois, ses règlements et ses engagements
internationaux. C'est peut-être cela que l'on cherche à cacher aux
radioamateurs, appuyez en cela par certains responsables d'association
totalement incapables de se battre pour une vraie tutelle étatique.
Qui sait, il y a quelques années, leurs a-t-on promis pour leur
association (en premier à F3YP, puis F6DRV, maintenant F5GZJ), la
gestion privée par délégation des Services Amateurs français dans
leurs totalités, avec délivrance et gestion des indicatifs,
l'organisation et la gestion des examens, la gestion des fréquences
amateur etc… pour que tous ces dirigeants réagissent ainsi. Que de
doux rêveurs parmi eux !
A quand une "CiBi-plus" à la place du Service amateur, l'avenir nous
le dira.
Ce communiqué est disponible sur le réseau packet et Internet
(www.f8air.org) libre de diffusion sous réserve qu'elle soit
intégrale.
Après l'ART, voyant ses compétences élargies à la Poste, avec la fin d'un monopole, qui s'appellera l'Autorité de Régulation des Communications Electroniques et de Postes - l'ARCEP, c'est au tour, maintenant, de la DIGITIP, la Direction Générale de l'Industrie des Technologies de l'Information et des Postes, de changer de nom, pour fusionner avec la DARMPI - Direction de l'Action Régionale de la Moyenne et Petite Industrie, et rester toujours sous la tutelle du ministre de l'industrie, Monsieur Devedjian. Cette fusion donne naissance à la Direction Générale des Entreprises, la DGE.
Les radioamateurs qui n'avaient pas encore mémorisé les sigles de leur tutelle, vont devoir faire une fois encore, un effort de mémoire ! La tutelle ART et DIGITIP, se trouve donc transférée d'office à l'ARCEP et à la DGE.
Que penser des dirigeants d'une association reconnue d'utilité publique, qui se disent représenter les radioamateurs français et qui ont missionné un avocat en Conseil d'Etat pour tenter de faire demeurer le Service Amateur français dans un tel giron de privatisation d'entreprises ou il n'a vraiment rien à faire . Pour mémoire et selon le Règlement des Radiocommunications - le RR, qui a force de loi en France de part la loi 62-633, la gestion des Services Amateurs et amateurs par satellite, doit rester étatique.
Depuis plus de sept ans la CFRR et les requérants se battent pour que l'état français respecte ses lois, ses règlements et ses engagements internationaux. C'est peut-être cela que l'on cherche à cacher aux radioamateurs, appuyez en cela par certains responsables d'association totalement incapables de se battre pour une vraie tutelle étatique. Qui sait, il y a quelques années, leurs a-t-on promis pour leur association (en premier à F3YP, puis F6DRV, maintenant F5GZJ), la gestion privée par délégation des Services Amateurs français dans leurs totalités, avec délivrance et gestion des indicatifs, l'organisation et la gestion des examens, la gestion des fréquences amateur etc. pour que tous ces dirigeants réagissent ainsi. Que de doux rêveurs parmi eux !
A quand une "CiBi-plus" à la place du Service amateur, l'avenir nous le dira.
Ce communiqué est disponible sur le réseau packet et Internet (www.f8air.org) libre de diffusion sous réserve qu'elle soit intégrale.
Fin du communiqué n° 2005 - 02
Le Président Bernard SINEUX / F5LPQ
Paye donc ton amende requérant de mes deux !
<cfrrinfo@aol.com> a écrit dans le message de news:
5bfc9562.0502191115.5d57f5e@posting.google.com...
COMMUNIQUE D'INFORMATION de la C.F.R.R.
du 16 février 2005 N° 2005-02
Changement de noms de la tutelle amateur.
Après l'ART, voyant ses compétences élargies à la Poste, avec la fin
d'un monopole, qui s'appellera l'Autorité de Régulation des
Communications Electroniques et de Postes - l'ARCEP, c'est au tour,
maintenant, de la DIGITIP, la Direction Générale de l'Industrie des
Technologies de l'Information et des Postes, de changer de nom, pour
fusionner avec la DARMPI - Direction de l'Action Régionale de la
Moyenne et Petite Industrie, et rester toujours sous la tutelle du
ministre de l'industrie, Monsieur Devedjian.
Cette fusion donne naissance à la Direction Générale des Entreprises,
la DGE.
Les radioamateurs qui n'avaient pas encore mémorisé les sigles de leur
tutelle, vont devoir faire une fois encore, un effort de mémoire !
La tutelle ART et DIGITIP, se trouve donc transférée d'office à
l'ARCEP et à la DGE.
Que penser des dirigeants d'une association reconnue d'utilité
publique, qui se disent représenter les radioamateurs français et qui
ont missionné un avocat en Conseil d'Etat pour tenter de faire
demeurer le Service Amateur français dans un tel giron de
privatisation d'entreprises ou il n'a vraiment rien à faire .
Pour mémoire et selon le Règlement des Radiocommunications - le RR,
qui a force de loi en France de part la loi 62-633, la gestion des
Services Amateurs et amateurs par satellite, doit rester étatique.
Depuis plus de sept ans la CFRR et les requérants se battent pour que
l'état français respecte ses lois, ses règlements et ses engagements
internationaux. C'est peut-être cela que l'on cherche à cacher aux
radioamateurs, appuyez en cela par certains responsables d'association
totalement incapables de se battre pour une vraie tutelle étatique.
Qui sait, il y a quelques années, leurs a-t-on promis pour leur
association (en premier à F3YP, puis F6DRV, maintenant F5GZJ), la
gestion privée par délégation des Services Amateurs français dans
leurs totalités, avec délivrance et gestion des indicatifs,
l'organisation et la gestion des examens, la gestion des fréquences
amateur etc. pour que tous ces dirigeants réagissent ainsi. Que de
doux rêveurs parmi eux !
A quand une "CiBi-plus" à la place du Service amateur, l'avenir nous
le dira.
Ce communiqué est disponible sur le réseau packet et Internet
(www.f8air.org) libre de diffusion sous réserve qu'elle soit
intégrale.
Après l'ART, voyant ses compétences élargies à la Poste, avec la fin d'un monopole, qui s'appellera l'Autorité de Régulation des Communications Electroniques et de Postes - l'ARCEP, c'est au tour, maintenant, de la DIGITIP, la Direction Générale de l'Industrie des Technologies de l'Information et des Postes, de changer de nom, pour fusionner avec la DARMPI - Direction de l'Action Régionale de la Moyenne et Petite Industrie, et rester toujours sous la tutelle du ministre de l'industrie, Monsieur Devedjian. Cette fusion donne naissance à la Direction Générale des Entreprises, la DGE.
Les radioamateurs qui n'avaient pas encore mémorisé les sigles de leur tutelle, vont devoir faire une fois encore, un effort de mémoire ! La tutelle ART et DIGITIP, se trouve donc transférée d'office à l'ARCEP et à la DGE.
Que penser des dirigeants d'une association reconnue d'utilité publique, qui se disent représenter les radioamateurs français et qui ont missionné un avocat en Conseil d'Etat pour tenter de faire demeurer le Service Amateur français dans un tel giron de privatisation d'entreprises ou il n'a vraiment rien à faire . Pour mémoire et selon le Règlement des Radiocommunications - le RR, qui a force de loi en France de part la loi 62-633, la gestion des Services Amateurs et amateurs par satellite, doit rester étatique.
Depuis plus de sept ans la CFRR et les requérants se battent pour que l'état français respecte ses lois, ses règlements et ses engagements internationaux. C'est peut-être cela que l'on cherche à cacher aux radioamateurs, appuyez en cela par certains responsables d'association totalement incapables de se battre pour une vraie tutelle étatique. Qui sait, il y a quelques années, leurs a-t-on promis pour leur association (en premier à F3YP, puis F6DRV, maintenant F5GZJ), la gestion privée par délégation des Services Amateurs français dans leurs totalités, avec délivrance et gestion des indicatifs, l'organisation et la gestion des examens, la gestion des fréquences amateur etc. pour que tous ces dirigeants réagissent ainsi. Que de doux rêveurs parmi eux !
A quand une "CiBi-plus" à la place du Service amateur, l'avenir nous le dira.
Ce communiqué est disponible sur le réseau packet et Internet (www.f8air.org) libre de diffusion sous réserve qu'elle soit intégrale.