Comparaison entre l'ANI et la dernière mouture sortie de la CMP.
1 réponse
Ricazerty
Sensée garantir les équilibres de la sociétés, la loi constituait
la "force des plus faibles" face au "droit de la force" (*). Ainsi
les accords collectifs étaient-ils jusqu'à ce jours conclus dans
les "clous" du code du travail et de la loi. Ce n'est dorénavant
plus le cas : les accords collectifs, fussent-ils signés par des
syndicats non représentatifs et/ou sous le chantage à l'emploi,
prennent désormais force de loi.
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alain191
Ricazerty wrote:
Sensée garantir les équilibres de la sociétés, la loi constituait la "force des plus faibles" face au "droit de la force" (*). Ainsi les accords collectifs étaient-ils jusqu'à ce jours conclus dans les "clous" du code du travail et de la loi. Ce n'est dorénavant plus le cas : les accords collectifs, fussent-ils signés par des syndicats non représentatifs et/ou sous le chantage à l'emploi, prennent désormais force de loi.
Préservant soigneusement des apparences comme partenariat, débat, ou encore participation, l'ordre social actuel est encore et toujours fondé sur une autorité imposée indépendamment des choix et projets populaires, ça ne s'appelle visiblemment pas dictature, mais ce sont bien des minorités qui parviennent à faire passer leurs choix et les mettre en application, alors que la population n'a d'autre choix que se résigner, du moins jusqu'à aujourd'hui.
Cet autoritarisme est à dénoncer, évidemment, mais surtout à combattre.
Alain
Ricazerty <ricazerty@free.fr> wrote:
Sensée garantir les équilibres de la sociétés, la loi constituait
la "force des plus faibles" face au "droit de la force" (*). Ainsi
les accords collectifs étaient-ils jusqu'à ce jours conclus dans
les "clous" du code du travail et de la loi. Ce n'est dorénavant
plus le cas : les accords collectifs, fussent-ils signés par des
syndicats non représentatifs et/ou sous le chantage à l'emploi,
prennent désormais force de loi.
Préservant soigneusement des apparences comme partenariat, débat, ou
encore participation, l'ordre social actuel est encore et toujours fondé
sur une autorité imposée indépendamment des choix et projets populaires,
ça ne s'appelle visiblemment pas dictature, mais ce sont bien des
minorités qui parviennent à faire passer leurs choix et les mettre en
application, alors que la population n'a d'autre choix que se résigner,
du moins jusqu'à aujourd'hui.
Cet autoritarisme est à dénoncer, évidemment, mais surtout à combattre.
Sensée garantir les équilibres de la sociétés, la loi constituait la "force des plus faibles" face au "droit de la force" (*). Ainsi les accords collectifs étaient-ils jusqu'à ce jours conclus dans les "clous" du code du travail et de la loi. Ce n'est dorénavant plus le cas : les accords collectifs, fussent-ils signés par des syndicats non représentatifs et/ou sous le chantage à l'emploi, prennent désormais force de loi.
Préservant soigneusement des apparences comme partenariat, débat, ou encore participation, l'ordre social actuel est encore et toujours fondé sur une autorité imposée indépendamment des choix et projets populaires, ça ne s'appelle visiblemment pas dictature, mais ce sont bien des minorités qui parviennent à faire passer leurs choix et les mettre en application, alors que la population n'a d'autre choix que se résigner, du moins jusqu'à aujourd'hui.
Cet autoritarisme est à dénoncer, évidemment, mais surtout à combattre.