La situation que je vais décrire est délicate, aussi je vais donner
juste les détails nécessaires à la compréhension de ma requête.
Ma soeur fréquente une prépa privée du secteur paramédical. La semaine
dernièr, une des enseignantes a fait une tentative de suicide devant la
classe, elle avait avalé une forte quantité de médicaments et s'est
effondrée devant les élèves, après avoir tenu des propos inchérents. Ce
sont eux qui ont appelé le SAMU. Elle avait aussi laissé une lettre
qui leur était explicitement destinée.
Après avoir subi un lavage d'estomac, elle est sortie de l'hôpital le
lendemain en signant une décharge, et s'est présentée ce matin pour
assurer "normallement" son cours. Evidemment, une bonne partie des
élèves avait été profondément choquée par la situation, et se sont
révélés plus choqués encore de la voir revenir et faire comme si rien ne
s'était passé.
Visiblement, cette personne n'est pas en état d'enseigner, elle est
fortement dépressive et présente à l'évidence des menaces de violence au
moins psychologique à l'égard de son public. Elle refuse de prendre les
congés de maladie auquels elle pourrait légitimement prétendre au vu de
son état. La direction de l'établissement tente quant à elle de
minimiser l'événement, voire de le nier, et prétend qu'elle ne peut rien
faire pour l'empêcher de reprendre ses cours. Or, pour ma soeur au
moins, l'idée de reprendre "comme avant" est insupportable.
Je voudrais donc savoir de quels moyens nous disposons pour contraindre
l'établissement à suspendre très rapidement cette enseignante (sachant
que des remplacements en interne sont possibles) compte tenu de la
situation. La pétition a été envisagée et sera sans doute mise en place.
Mon interrogation porte plutôt sur les solutions juridiques (en
supposant comme c'est probable que la négociation échoue) :
- Contacter la médecine ou l'inspection du travail vous semble-t-il
adapté ?
- Existe-t-il des procédures en référé adaptées à ce cas, et si oui sur
quelles bases ?
- D'autres possibilités que j'aurais oubliées ?
Époque toxique, tout le monde semble devenu fou. Le mépris est à son
comble.
C'est peut-être cette constatation qui a poussé cette enseignante à désespérer de tout, à moins que ce soient le comportement des élèves dont les parents imaginent des actions en justice aussi honteuses. A vomir.
Hum ce qui est à vomir est le préjudice moral que cette enseignante a fait subir à ses élèves. Qu'avait-elle besoin de se suicider devant eux? (c'est une faute) L'administration est clairement en cause car elle a l'option de la médecine du travail pour aider à déterminer si cette enseignante est encore apte à enseigner... Sans compter qu'elle aurait pu prononcer une mise à pied (suspension?) conservatoire en attendant l'expertise de la médecine du travail.
"Ch.Esperado" <ch.esperado@hamster-fr.org> a écrit dans le message de
news:XnF947EFBA1F7F3sperado@Hamster-fr.org...
Époque toxique, tout le monde semble devenu fou. Le mépris est à son
comble.
C'est peut-être cette constatation qui a poussé cette enseignante à
désespérer de tout, à moins que ce soient le comportement des élèves dont
les parents imaginent des actions en justice aussi honteuses.
A vomir.
Hum ce qui est à vomir est le préjudice moral que cette enseignante a fait
subir à ses élèves. Qu'avait-elle besoin de se suicider devant eux? (c'est
une faute) L'administration est clairement en cause car elle a l'option de
la médecine du travail pour aider à déterminer si cette enseignante est
encore apte à enseigner... Sans compter qu'elle aurait pu prononcer une mise
à pied (suspension?) conservatoire en attendant l'expertise de la médecine
du travail.
Époque toxique, tout le monde semble devenu fou. Le mépris est à son
comble.
C'est peut-être cette constatation qui a poussé cette enseignante à désespérer de tout, à moins que ce soient le comportement des élèves dont les parents imaginent des actions en justice aussi honteuses. A vomir.
Hum ce qui est à vomir est le préjudice moral que cette enseignante a fait subir à ses élèves. Qu'avait-elle besoin de se suicider devant eux? (c'est une faute) L'administration est clairement en cause car elle a l'option de la médecine du travail pour aider à déterminer si cette enseignante est encore apte à enseigner... Sans compter qu'elle aurait pu prononcer une mise à pied (suspension?) conservatoire en attendant l'expertise de la médecine du travail.
Pierre Cerf
david écrivait :
Hum ce qui est à vomir est le préjudice moral que cette enseignante a fait subir à ses élèves. Qu'avait-elle besoin de se suicider devant eux? (c'est une faute) L'administration est clairement en cause car elle a l'option de la médecine du travail pour aider à déterminer si cette enseignante est encore apte à enseigner... Sans compter qu'elle aurait pu prononcer une mise à pied (suspension?) conservatoire en attendant l'expertise de la médecine du travail.
Fin de l'histoire. Je viens d'apprendre qu'elle a été licenciée pour faute grave, à l'initiative de la direction, donc. (Je n'ai pas plus de détails pour le moment).
Cette solution extrême ne va pas favoriser sa santé psychologique, c'est une évidence. Mais les élèves sont soulagés.
-- P.
david écrivait :
Hum ce qui est à vomir est le préjudice moral que cette enseignante
a fait subir à ses élèves. Qu'avait-elle besoin de se suicider
devant eux? (c'est une faute) L'administration est clairement en
cause car elle a l'option de la médecine du travail pour aider à
déterminer si cette enseignante est encore apte à enseigner... Sans
compter qu'elle aurait pu prononcer une mise à pied (suspension?)
conservatoire en attendant l'expertise de la médecine du travail.
Fin de l'histoire. Je viens d'apprendre qu'elle a été licenciée pour
faute grave, à l'initiative de la direction, donc. (Je n'ai pas plus de
détails pour le moment).
Cette solution extrême ne va pas favoriser sa santé psychologique, c'est
une évidence. Mais les élèves sont soulagés.
Hum ce qui est à vomir est le préjudice moral que cette enseignante a fait subir à ses élèves. Qu'avait-elle besoin de se suicider devant eux? (c'est une faute) L'administration est clairement en cause car elle a l'option de la médecine du travail pour aider à déterminer si cette enseignante est encore apte à enseigner... Sans compter qu'elle aurait pu prononcer une mise à pied (suspension?) conservatoire en attendant l'expertise de la médecine du travail.
Fin de l'histoire. Je viens d'apprendre qu'elle a été licenciée pour faute grave, à l'initiative de la direction, donc. (Je n'ai pas plus de détails pour le moment).
Cette solution extrême ne va pas favoriser sa santé psychologique, c'est une évidence. Mais les élèves sont soulagés.
-- P.
Tartofrez
Bonjour,
Qu'avait-elle besoin de se suicider devant eux ?
Quand vous aurez envie de vous suicider, on verra si vous êtes sain d'esprit et si vous avez ce genre de considérations par rapport au public auquel vous vous donnez en spectacle.
A mon avis quand on fait ce genre de chose on n'a plus toute sa tête, le monde pourrait bien s'écrouler on ne s'en rendrait pas compte.
Attention à ne pas raisonner de façon implacable quand il est question de comportements personnels et subjectifs, après coup il est toujours facile de dire "vous avez mal réagi"... Quand ça arrive, on ne sait jamais que faire.
Bonjour,
Qu'avait-elle besoin de se suicider devant eux ?
Quand vous aurez envie de vous suicider, on verra si vous êtes sain d'esprit
et si vous avez ce genre de considérations par rapport au public auquel vous
vous donnez en spectacle.
A mon avis quand on fait ce genre de chose on n'a plus toute sa tête, le
monde pourrait bien s'écrouler on ne s'en rendrait pas compte.
Attention à ne pas raisonner de façon implacable quand il est question de
comportements personnels et subjectifs, après coup il est toujours facile de
dire "vous avez mal réagi"... Quand ça arrive, on ne sait jamais que faire.
Quand vous aurez envie de vous suicider, on verra si vous êtes sain d'esprit et si vous avez ce genre de considérations par rapport au public auquel vous vous donnez en spectacle.
A mon avis quand on fait ce genre de chose on n'a plus toute sa tête, le monde pourrait bien s'écrouler on ne s'en rendrait pas compte.
Attention à ne pas raisonner de façon implacable quand il est question de comportements personnels et subjectifs, après coup il est toujours facile de dire "vous avez mal réagi"... Quand ça arrive, on ne sait jamais que faire.
david
"Tartofrez" a écrit dans le message de news:bv91m4$kjr$
On est désormais HS sur ce forum pour traiter des considérations psychologique
Quand vous aurez envie de vous suicider, on verra si vous êtes sain
d'esprit
et si vous avez ce genre de considérations par rapport au public auquel
vous
vous donnez en spectacle.
Veuillez noter le comportement de cette femme, qui de surcroît essayait d'en faire supporter la responsabilité à ses élèves...
A mon avis quand on fait ce genre de chose on n'a plus toute sa tête, le monde pourrait bien s'écrouler on ne s'en rendrait pas compte.
Bien au contraire! Si on veut vraiment mourrir on ne s'y prend pas de cette manière!
Attention à ne pas raisonner de façon implacable quand il est question de comportements personnels et subjectifs, après coup il est toujours facile
de
dire "vous avez mal réagi"... Quand ça arrive, on ne sait jamais que
faire.
Les mises en scène des délirants n'ont pas leur place dans une salle de cours... Elle n'y avait plus sa place... Ensuite, personne ne juge le suicide en tant que tel...
"Tartofrez" <nospam@runite.tk> a écrit dans le message de
news:bv91m4$kjr$1@apollon.grec.isp.9tel.net...
On est désormais HS sur ce forum pour traiter des considérations
psychologique
Quand vous aurez envie de vous suicider, on verra si vous êtes sain
d'esprit
et si vous avez ce genre de considérations par rapport au public auquel
vous
vous donnez en spectacle.
Veuillez noter le comportement de cette femme, qui de surcroît essayait d'en
faire supporter la responsabilité à ses élèves...
A mon avis quand on fait ce genre de chose on n'a plus toute sa tête, le
monde pourrait bien s'écrouler on ne s'en rendrait pas compte.
Bien au contraire! Si on veut vraiment mourrir on ne s'y prend pas de cette
manière!
Attention à ne pas raisonner de façon implacable quand il est question de
comportements personnels et subjectifs, après coup il est toujours facile
de
dire "vous avez mal réagi"... Quand ça arrive, on ne sait jamais que
faire.
Les mises en scène des délirants n'ont pas leur place dans une salle de
cours... Elle n'y avait plus sa place... Ensuite, personne ne juge le
suicide en tant que tel...
"Tartofrez" a écrit dans le message de news:bv91m4$kjr$
On est désormais HS sur ce forum pour traiter des considérations psychologique
Quand vous aurez envie de vous suicider, on verra si vous êtes sain
d'esprit
et si vous avez ce genre de considérations par rapport au public auquel
vous
vous donnez en spectacle.
Veuillez noter le comportement de cette femme, qui de surcroît essayait d'en faire supporter la responsabilité à ses élèves...
A mon avis quand on fait ce genre de chose on n'a plus toute sa tête, le monde pourrait bien s'écrouler on ne s'en rendrait pas compte.
Bien au contraire! Si on veut vraiment mourrir on ne s'y prend pas de cette manière!
Attention à ne pas raisonner de façon implacable quand il est question de comportements personnels et subjectifs, après coup il est toujours facile
de
dire "vous avez mal réagi"... Quand ça arrive, on ne sait jamais que
faire.
Les mises en scène des délirants n'ont pas leur place dans une salle de cours... Elle n'y avait plus sa place... Ensuite, personne ne juge le suicide en tant que tel...
david
"Pierre Cerf" a écrit dans le message de news:
Fin de l'histoire. Je viens d'apprendre qu'elle a été licenciée pour faute grave, à l'initiative de la direction, donc. (Je n'ai pas plus de détails pour le moment).
Il y avait obligatoirement une mesure conservatoire à prendre dans cette situation. Maintenant, est-ce que la forme du licenciement pour faute grave est adaptée, là j'en suis moins sûr... Au prud'hom, l'employeur risque de perdre... Ce serait intéressant justement d'en connaître l'analyse juridique... Les seuls cas d'exonération de responsabilité en droit pour "folie", ont lieu en droit pénal, pas en droit civil, ni en droit du travail... Ca n'empêche donc ni de réclamer des dommages et intérêts, ni de licencier logiquement... D'ailleurs, le trend actuel est de limiter dans les faits cette exonération de responsabilité en droit pénal, vu le nombre de "délirants" ou "agités" qui sont en prison (30% d'après certains reportages), alors qu'ils devraient être en HP...
Cette solution extrême ne va pas favoriser sa santé psychologique, c'est une évidence. Mais les élèves sont soulagés.
Pour la santé mentale, au contraire, il est mieux pour les délirants de fixer une limite... C'est le contraire qui n'aide pas! Sinon ils perdent tout repère.
"Pierre Cerf" <cerfpmaps@tiscali.fr> a écrit dans le message de
news:XnF947EC2892C5BPierreCerf@213.228.0.133...
Fin de l'histoire. Je viens d'apprendre qu'elle a été licenciée pour
faute grave, à l'initiative de la direction, donc. (Je n'ai pas plus de
détails pour le moment).
Il y avait obligatoirement une mesure conservatoire à prendre dans cette
situation. Maintenant, est-ce que la forme du licenciement pour faute grave
est adaptée, là j'en suis moins sûr... Au prud'hom, l'employeur risque de
perdre... Ce serait intéressant justement d'en connaître l'analyse
juridique... Les seuls cas d'exonération de responsabilité en droit pour
"folie", ont lieu en droit pénal, pas en droit civil, ni en droit du
travail... Ca n'empêche donc ni de réclamer des dommages et intérêts, ni de
licencier logiquement... D'ailleurs, le trend actuel est de limiter dans les
faits cette exonération de responsabilité en droit pénal, vu le nombre de
"délirants" ou "agités" qui sont en prison (30% d'après certains
reportages), alors qu'ils devraient être en HP...
Cette solution extrême ne va pas favoriser sa santé psychologique, c'est
une évidence. Mais les élèves sont soulagés.
Pour la santé mentale, au contraire, il est mieux pour les délirants de
fixer une limite... C'est le contraire qui n'aide pas! Sinon ils perdent
tout repère.
Fin de l'histoire. Je viens d'apprendre qu'elle a été licenciée pour faute grave, à l'initiative de la direction, donc. (Je n'ai pas plus de détails pour le moment).
Il y avait obligatoirement une mesure conservatoire à prendre dans cette situation. Maintenant, est-ce que la forme du licenciement pour faute grave est adaptée, là j'en suis moins sûr... Au prud'hom, l'employeur risque de perdre... Ce serait intéressant justement d'en connaître l'analyse juridique... Les seuls cas d'exonération de responsabilité en droit pour "folie", ont lieu en droit pénal, pas en droit civil, ni en droit du travail... Ca n'empêche donc ni de réclamer des dommages et intérêts, ni de licencier logiquement... D'ailleurs, le trend actuel est de limiter dans les faits cette exonération de responsabilité en droit pénal, vu le nombre de "délirants" ou "agités" qui sont en prison (30% d'après certains reportages), alors qu'ils devraient être en HP...
Cette solution extrême ne va pas favoriser sa santé psychologique, c'est une évidence. Mais les élèves sont soulagés.
Pour la santé mentale, au contraire, il est mieux pour les délirants de fixer une limite... C'est le contraire qui n'aide pas! Sinon ils perdent tout repère.
Fred
Le jeu, 29 jan 2004 at 08:15 GMT, david a écrit:
"Tartofrez" a écrit dans le message de news:bv91m4$kjr$
On est désormais HS sur ce forum pour traiter des considérations psychologique
Quand vous aurez envie de vous suicider, on verra si vous êtes sain
d'esprit
et si vous avez ce genre de considérations par rapport au public auquel
vous
vous donnez en spectacle.
Veuillez noter le comportement de cette femme, qui de surcroît essayait d'en faire supporter la responsabilité à ses élèves...
A mon avis quand on fait ce genre de chose on n'a plus toute sa tête, le monde pourrait bien s'écrouler on ne s'en rendrait pas compte.
Bien au contraire! Si on veut vraiment mourrir on ne s'y prend pas de cette manière!
Attention à ne pas raisonner de façon implacable quand il est question de comportements personnels et subjectifs, après coup il est toujours facile
de
dire "vous avez mal réagi"... Quand ça arrive, on ne sait jamais que
faire.
Les mises en scène des délirants n'ont pas leur place dans une salle de cours... Elle n'y avait plus sa place... Ensuite, personne ne juge le suicide en tant que tel...
<Troll>
Oui, mai on parle d'une prépa *Médecine* .
Ça pourra être utile aux étudiants (majeurs en l'occurence) qui sauront désormais repérer les comportement à risque.
</Troll>
Le jeu, 29 jan 2004 at 08:15 GMT, david <david_PasDESPAMrevel@hotmail.com> a écrit:
"Tartofrez" <nospam@runite.tk> a écrit dans le message de
news:bv91m4$kjr$1@apollon.grec.isp.9tel.net...
On est désormais HS sur ce forum pour traiter des considérations
psychologique
Quand vous aurez envie de vous suicider, on verra si vous êtes sain
d'esprit
et si vous avez ce genre de considérations par rapport au public auquel
vous
vous donnez en spectacle.
Veuillez noter le comportement de cette femme, qui de surcroît essayait d'en
faire supporter la responsabilité à ses élèves...
A mon avis quand on fait ce genre de chose on n'a plus toute sa tête, le
monde pourrait bien s'écrouler on ne s'en rendrait pas compte.
Bien au contraire! Si on veut vraiment mourrir on ne s'y prend pas de cette
manière!
Attention à ne pas raisonner de façon implacable quand il est question de
comportements personnels et subjectifs, après coup il est toujours facile
de
dire "vous avez mal réagi"... Quand ça arrive, on ne sait jamais que
faire.
Les mises en scène des délirants n'ont pas leur place dans une salle de
cours... Elle n'y avait plus sa place... Ensuite, personne ne juge le
suicide en tant que tel...
<Troll>
Oui, mai on parle d'une prépa *Médecine* .
Ça pourra être utile aux étudiants (majeurs en l'occurence) qui sauront
désormais repérer les comportement à risque.
"Tartofrez" a écrit dans le message de news:bv91m4$kjr$
On est désormais HS sur ce forum pour traiter des considérations psychologique
Quand vous aurez envie de vous suicider, on verra si vous êtes sain
d'esprit
et si vous avez ce genre de considérations par rapport au public auquel
vous
vous donnez en spectacle.
Veuillez noter le comportement de cette femme, qui de surcroît essayait d'en faire supporter la responsabilité à ses élèves...
A mon avis quand on fait ce genre de chose on n'a plus toute sa tête, le monde pourrait bien s'écrouler on ne s'en rendrait pas compte.
Bien au contraire! Si on veut vraiment mourrir on ne s'y prend pas de cette manière!
Attention à ne pas raisonner de façon implacable quand il est question de comportements personnels et subjectifs, après coup il est toujours facile
de
dire "vous avez mal réagi"... Quand ça arrive, on ne sait jamais que
faire.
Les mises en scène des délirants n'ont pas leur place dans une salle de cours... Elle n'y avait plus sa place... Ensuite, personne ne juge le suicide en tant que tel...
<Troll>
Oui, mai on parle d'une prépa *Médecine* .
Ça pourra être utile aux étudiants (majeurs en l'occurence) qui sauront désormais repérer les comportement à risque.
</Troll>
david
"Fred" a écrit dans le message de news:401a580d$0$29090$
<Troll>
Oui, mai on parle d'une prépa *Médecine* .
Ça pourra être utile aux étudiants (majeurs en l'occurence) qui sauront désormais repérer les comportement à risque.
</Troll>
Arf;-)
"Fred" <arleach@free.fr> a écrit dans le message de
news:401a580d$0$29090$636a55ce@news.free.fr...
<Troll>
Oui, mai on parle d'une prépa *Médecine* .
Ça pourra être utile aux étudiants (majeurs en l'occurence) qui sauront
désormais repérer les comportement à risque.