Mi janvier après que mon emloyeur m'ai dit d'aller chercher un travail
ailleurs, je lui ai dit que j'avais trouver un autre emploi et fixer
oralement un préavis à la fin du mois de janvier. Puis, je lui ai dit
que je ne voulais pas démissionner puis je lui ai donné ma demission
pour la reprendre le surlendemain. En pleine dépression et surmenée,
mon état de santé s'est aggravé et j'étais déboussolée. En février, je
lui encore remis ma démission mais avec toujours la même lettre:
c'est-à-dire datée de fin janvier et prévoyant un préavis finissant le
31 janvier. Cette démission est-elle valable sachant que le lendemain
je suis rentrée à l'hôpital pour dépression ?
Je l'ai revu disant que je voulais reprendre mon poste, il m'a dit que
je n'avais qu'à envoyer une nouvelle candidature. Sur le coup, je n'ai
pas pensé à contester ma démisssion.
Merci
Mi janvier après que mon emloyeur m'ai dit d'aller chercher un travail
ailleurs, je lui ai dit que j'avais trouver un autre emploi et fixer
oralement un préavis à la fin du mois de janvier. Puis, je lui ai dit
que je ne voulais pas démissionner puis je lui ai donné ma demission
pour la reprendre le surlendemain. En pleine dépression et surmenée,
mon état de santé s'est aggravé et j'étais déboussolée. En février, je
lui encore remis ma démission mais avec toujours la même lettre:
c'est-à-dire datée de fin janvier et prévoyant un préavis finissant le
31 janvier. Cette démission est-elle valable sachant que le lendemain
je suis rentrée à l'hôpital pour dépression ?
Je l'ai revu disant que je voulais reprendre mon poste, il m'a dit que
je n'avais qu'à envoyer une nouvelle candidature. Sur le coup, je n'ai
pas pensé à contester ma démisssion.
Merci
Mi janvier après que mon emloyeur m'ai dit d'aller chercher un travail
ailleurs, je lui ai dit que j'avais trouver un autre emploi et fixer
oralement un préavis à la fin du mois de janvier. Puis, je lui ai dit
que je ne voulais pas démissionner puis je lui ai donné ma demission
pour la reprendre le surlendemain. En pleine dépression et surmenée,
mon état de santé s'est aggravé et j'étais déboussolée. En février, je
lui encore remis ma démission mais avec toujours la même lettre:
c'est-à-dire datée de fin janvier et prévoyant un préavis finissant le
31 janvier. Cette démission est-elle valable sachant que le lendemain
je suis rentrée à l'hôpital pour dépression ?
Je l'ai revu disant que je voulais reprendre mon poste, il m'a dit que
je n'avais qu'à envoyer une nouvelle candidature. Sur le coup, je n'ai
pas pensé à contester ma démisssion.
Merci
Mi janvier après que mon emloyeur m'ai dit d'aller chercher un travail
ailleurs, je lui ai dit que j'avais trouver un autre emploi et fixer
oralement un préavis à la fin du mois de janvier. Puis, je lui ai dit
que je ne voulais pas démissionner puis je lui ai donné ma demission
pour la reprendre le surlendemain. En pleine dépression et surmenée,
mon état de santé s'est aggravé et j'étais déboussolée. En février, je
lui encore remis ma démission mais avec toujours la même lettre:
c'est-à-dire datée de fin janvier et prévoyant un préavis finissant le
31 janvier. Cette démission est-elle valable sachant que le lendemain
je suis rentrée à l'hôpital pour dépression ?
Je l'ai revu disant que je voulais reprendre mon poste, il m'a dit que
je n'avais qu'à envoyer une nouvelle candidature. Sur le coup, je n'ai
pas pensé à contester ma démisssion.
Merci
Mi janvier après que mon emloyeur m'ai dit d'aller chercher un travail
ailleurs, je lui ai dit que j'avais trouver un autre emploi et fixer
oralement un préavis à la fin du mois de janvier. Puis, je lui ai dit
que je ne voulais pas démissionner puis je lui ai donné ma demission
pour la reprendre le surlendemain. En pleine dépression et surmenée,
mon état de santé s'est aggravé et j'étais déboussolée. En février, je
lui encore remis ma démission mais avec toujours la même lettre:
c'est-à-dire datée de fin janvier et prévoyant un préavis finissant le
31 janvier. Cette démission est-elle valable sachant que le lendemain
je suis rentrée à l'hôpital pour dépression ?
Je l'ai revu disant que je voulais reprendre mon poste, il m'a dit que
je n'avais qu'à envoyer une nouvelle candidature. Sur le coup, je n'ai
pas pensé à contester ma démisssion.
Merci
Mi janvier après que mon emloyeur m'ai dit d'aller chercher un travail
ailleurs, je lui ai dit que j'avais trouver un autre emploi et fixer
oralement un préavis à la fin du mois de janvier. Puis, je lui ai dit
que je ne voulais pas démissionner puis je lui ai donné ma demission
pour la reprendre le surlendemain. En pleine dépression et surmenée,
mon état de santé s'est aggravé et j'étais déboussolée. En février, je
lui encore remis ma démission mais avec toujours la même lettre:
c'est-à-dire datée de fin janvier et prévoyant un préavis finissant le
31 janvier. Cette démission est-elle valable sachant que le lendemain
je suis rentrée à l'hôpital pour dépression ?
Je l'ai revu disant que je voulais reprendre mon poste, il m'a dit que
je n'avais qu'à envoyer une nouvelle candidature. Sur le coup, je n'ai
pas pensé à contester ma démisssion.
Merci
Bonjour,
La démission suppose la manifestation d'une volonté claire et définitive
rupture, et non des propos du salarié dus à une émotion ou à un état
physique anormal. La démission doit être claire et non équivoque.
Ainsi, la démission donnée au moyen d'une lettre rédigée par le salarié à
son domicile alors que ce salarié était sujet à un état dépressif de
à altérer son jugement, n'est pas considérée comme la manifestation non
équivoque de rompre le contrat de travail (cass.soc. 1er février 2000,
D).
Bon courage.
Isabelle www.eden-fisc.com
"Camille" wrote in message
news:
> Mi janvier après que mon emloyeur m'ai dit d'aller chercher un travail
> ailleurs, je lui ai dit que j'avais trouver un autre emploi et fixer
> oralement un préavis à la fin du mois de janvier. Puis, je lui ai dit
> que je ne voulais pas démissionner puis je lui ai donné ma demission
> pour la reprendre le surlendemain. En pleine dépression et surmenée,
> mon état de santé s'est aggravé et j'étais déboussolée. En février, je
> lui encore remis ma démission mais avec toujours la même lettre:
> c'est-à-dire datée de fin janvier et prévoyant un préavis finissant le
> 31 janvier. Cette démission est-elle valable sachant que le lendemain
> je suis rentrée à l'hôpital pour dépression ?
>
> Je l'ai revu disant que je voulais reprendre mon poste, il m'a dit que
> je n'avais qu'à envoyer une nouvelle candidature. Sur le coup, je n'ai
> pas pensé à contester ma démisssion.
>
> Merci
Bonjour,
La démission suppose la manifestation d'une volonté claire et définitive
rupture, et non des propos du salarié dus à une émotion ou à un état
physique anormal. La démission doit être claire et non équivoque.
Ainsi, la démission donnée au moyen d'une lettre rédigée par le salarié à
son domicile alors que ce salarié était sujet à un état dépressif de
à altérer son jugement, n'est pas considérée comme la manifestation non
équivoque de rompre le contrat de travail (cass.soc. 1er février 2000,
D).
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"Camille" <camille_del@yahoo.fr> wrote in message
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> Mi janvier après que mon emloyeur m'ai dit d'aller chercher un travail
> ailleurs, je lui ai dit que j'avais trouver un autre emploi et fixer
> oralement un préavis à la fin du mois de janvier. Puis, je lui ai dit
> que je ne voulais pas démissionner puis je lui ai donné ma demission
> pour la reprendre le surlendemain. En pleine dépression et surmenée,
> mon état de santé s'est aggravé et j'étais déboussolée. En février, je
> lui encore remis ma démission mais avec toujours la même lettre:
> c'est-à-dire datée de fin janvier et prévoyant un préavis finissant le
> 31 janvier. Cette démission est-elle valable sachant que le lendemain
> je suis rentrée à l'hôpital pour dépression ?
>
> Je l'ai revu disant que je voulais reprendre mon poste, il m'a dit que
> je n'avais qu'à envoyer une nouvelle candidature. Sur le coup, je n'ai
> pas pensé à contester ma démisssion.
>
> Merci
Bonjour,
La démission suppose la manifestation d'une volonté claire et définitive
rupture, et non des propos du salarié dus à une émotion ou à un état
physique anormal. La démission doit être claire et non équivoque.
Ainsi, la démission donnée au moyen d'une lettre rédigée par le salarié à
son domicile alors que ce salarié était sujet à un état dépressif de
à altérer son jugement, n'est pas considérée comme la manifestation non
équivoque de rompre le contrat de travail (cass.soc. 1er février 2000,
D).
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> Mi janvier après que mon emloyeur m'ai dit d'aller chercher un travail
> ailleurs, je lui ai dit que j'avais trouver un autre emploi et fixer
> oralement un préavis à la fin du mois de janvier. Puis, je lui ai dit
> que je ne voulais pas démissionner puis je lui ai donné ma demission
> pour la reprendre le surlendemain. En pleine dépression et surmenée,
> mon état de santé s'est aggravé et j'étais déboussolée. En février, je
> lui encore remis ma démission mais avec toujours la même lettre:
> c'est-à-dire datée de fin janvier et prévoyant un préavis finissant le
> 31 janvier. Cette démission est-elle valable sachant que le lendemain
> je suis rentrée à l'hôpital pour dépression ?
>
> Je l'ai revu disant que je voulais reprendre mon poste, il m'a dit que
> je n'avais qu'à envoyer une nouvelle candidature. Sur le coup, je n'ai
> pas pensé à contester ma démisssion.
>
> Merci
attention, dans ce genre de situation,
tout est lié au cas particulier et no à un arrêt de principe,
plus particulièrement, dans la décision de la cour d'appel de bordeaux,
ce qui a guidé la décision c'est les circonstances de la rédaction
de la lettre (unique) de démission :
elle a été rédigé au domicile du salarié certes
MAIS SURTOUT en présence de l'employeur
qui était donc venu
et c'est cela qui a tout changé !
--
www.juristprudence.fr.st (site de droit social)
accès sans abonnement, sans mot de passe
"isabelle" a écrit dans le message de news:
403a717e$0$15584$
> Bonjour,
>
> La démission suppose la manifestation d'une volonté claire et définitive
de
> rupture, et non des propos du salarié dus à une émotion ou à un état
> physique anormal. La démission doit être claire et non équivoque.
> Ainsi, la démission donnée au moyen d'une lettre rédigée par le salarié à
> son domicile alors que ce salarié était sujet à un état dépressif de
nature
> à altérer son jugement, n'est pas considérée comme la manifestation non
> équivoque de rompre le contrat de travail (cass.soc. 1er février 2000,
n°654
> D).
>
> Bon courage.
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> "Camille" wrote in message
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> > Mi janvier après que mon emloyeur m'ai dit d'aller chercher un travail
> > ailleurs, je lui ai dit que j'avais trouver un autre emploi et fixer
> > oralement un préavis à la fin du mois de janvier. Puis, je lui ai dit
> > que je ne voulais pas démissionner puis je lui ai donné ma demission
> > pour la reprendre le surlendemain. En pleine dépression et surmenée,
> > mon état de santé s'est aggravé et j'étais déboussolée. En février, je
> > lui encore remis ma démission mais avec toujours la même lettre:
> > c'est-à-dire datée de fin janvier et prévoyant un préavis finissant le
> > 31 janvier. Cette démission est-elle valable sachant que le lendemain
> > je suis rentrée à l'hôpital pour dépression ?
> >
> > Je l'ai revu disant que je voulais reprendre mon poste, il m'a dit que
> > je n'avais qu'à envoyer une nouvelle candidature. Sur le coup, je n'ai
> > pas pensé à contester ma démisssion.
> >
> > Merci
>
>
attention, dans ce genre de situation,
tout est lié au cas particulier et no à un arrêt de principe,
plus particulièrement, dans la décision de la cour d'appel de bordeaux,
ce qui a guidé la décision c'est les circonstances de la rédaction
de la lettre (unique) de démission :
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>
> La démission suppose la manifestation d'une volonté claire et définitive
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> rupture, et non des propos du salarié dus à une émotion ou à un état
> physique anormal. La démission doit être claire et non équivoque.
> Ainsi, la démission donnée au moyen d'une lettre rédigée par le salarié à
> son domicile alors que ce salarié était sujet à un état dépressif de
nature
> à altérer son jugement, n'est pas considérée comme la manifestation non
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> > ailleurs, je lui ai dit que j'avais trouver un autre emploi et fixer
> > oralement un préavis à la fin du mois de janvier. Puis, je lui ai dit
> > que je ne voulais pas démissionner puis je lui ai donné ma demission
> > pour la reprendre le surlendemain. En pleine dépression et surmenée,
> > mon état de santé s'est aggravé et j'étais déboussolée. En février, je
> > lui encore remis ma démission mais avec toujours la même lettre:
> > c'est-à-dire datée de fin janvier et prévoyant un préavis finissant le
> > 31 janvier. Cette démission est-elle valable sachant que le lendemain
> > je suis rentrée à l'hôpital pour dépression ?
> >
> > Je l'ai revu disant que je voulais reprendre mon poste, il m'a dit que
> > je n'avais qu'à envoyer une nouvelle candidature. Sur le coup, je n'ai
> > pas pensé à contester ma démisssion.
> >
> > Merci
>
>
attention, dans ce genre de situation,
tout est lié au cas particulier et no à un arrêt de principe,
plus particulièrement, dans la décision de la cour d'appel de bordeaux,
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> rupture, et non des propos du salarié dus à une émotion ou à un état
> physique anormal. La démission doit être claire et non équivoque.
> Ainsi, la démission donnée au moyen d'une lettre rédigée par le salarié à
> son domicile alors que ce salarié était sujet à un état dépressif de
nature
> à altérer son jugement, n'est pas considérée comme la manifestation non
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> > ailleurs, je lui ai dit que j'avais trouver un autre emploi et fixer
> > oralement un préavis à la fin du mois de janvier. Puis, je lui ai dit
> > que je ne voulais pas démissionner puis je lui ai donné ma demission
> > pour la reprendre le surlendemain. En pleine dépression et surmenée,
> > mon état de santé s'est aggravé et j'étais déboussolée. En février, je
> > lui encore remis ma démission mais avec toujours la même lettre:
> > c'est-à-dire datée de fin janvier et prévoyant un préavis finissant le
> > 31 janvier. Cette démission est-elle valable sachant que le lendemain
> > je suis rentrée à l'hôpital pour dépression ?
> >
> > Je l'ai revu disant que je voulais reprendre mon poste, il m'a dit que
> > je n'avais qu'à envoyer une nouvelle candidature. Sur le coup, je n'ai
> > pas pensé à contester ma démisssion.
> >
> > Merci
>
>
attention, dans ce genre de situation,
tout est lié au cas particulier et no à un arrêt de principe,
plus particulièrement, dans la décision de la cour d'appel de bordeaux,
ce qui a guidé la décision c'est les circonstances de la rédaction
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> physique anormal. La démission doit être claire et non équivoque.
> Ainsi, la démission donnée au moyen d'une lettre rédigée par le salarié à
> son domicile alors que ce salarié était sujet à un état dépressif de
nature
> à altérer son jugement, n'est pas considérée comme la manifestation non
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n°654
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> Bon courage.
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> > Mi janvier après que mon emloyeur m'ai dit d'aller chercher un travail
> > ailleurs, je lui ai dit que j'avais trouver un autre emploi et fixer
> > oralement un préavis à la fin du mois de janvier. Puis, je lui ai dit
> > que je ne voulais pas démissionner puis je lui ai donné ma demission
> > pour la reprendre le surlendemain. En pleine dépression et surmenée,
> > mon état de santé s'est aggravé et j'étais déboussolée. En février, je
> > lui encore remis ma démission mais avec toujours la même lettre:
> > c'est-à-dire datée de fin janvier et prévoyant un préavis finissant le
> > 31 janvier. Cette démission est-elle valable sachant que le lendemain
> > je suis rentrée à l'hôpital pour dépression ?
> >
> > Je l'ai revu disant que je voulais reprendre mon poste, il m'a dit que
> > je n'avais qu'à envoyer une nouvelle candidature. Sur le coup, je n'ai
> > pas pensé à contester ma démisssion.
> >
> > Merci
>
>
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tout est lié au cas particulier et no à un arrêt de principe,
plus particulièrement, dans la décision de la cour d'appel de bordeaux,
ce qui a guidé la décision c'est les circonstances de la rédaction
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> physique anormal. La démission doit être claire et non équivoque.
> Ainsi, la démission donnée au moyen d'une lettre rédigée par le salarié à
> son domicile alors que ce salarié était sujet à un état dépressif de
nature
> à altérer son jugement, n'est pas considérée comme la manifestation non
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> > ailleurs, je lui ai dit que j'avais trouver un autre emploi et fixer
> > oralement un préavis à la fin du mois de janvier. Puis, je lui ai dit
> > que je ne voulais pas démissionner puis je lui ai donné ma demission
> > pour la reprendre le surlendemain. En pleine dépression et surmenée,
> > mon état de santé s'est aggravé et j'étais déboussolée. En février, je
> > lui encore remis ma démission mais avec toujours la même lettre:
> > c'est-à-dire datée de fin janvier et prévoyant un préavis finissant le
> > 31 janvier. Cette démission est-elle valable sachant que le lendemain
> > je suis rentrée à l'hôpital pour dépression ?
> >
> > Je l'ai revu disant que je voulais reprendre mon poste, il m'a dit que
> > je n'avais qu'à envoyer une nouvelle candidature. Sur le coup, je n'ai
> > pas pensé à contester ma démisssion.
> >
> > Merci
>
>
attention, dans ce genre de situation,
tout est lié au cas particulier et no à un arrêt de principe,
plus particulièrement, dans la décision de la cour d'appel de bordeaux,
ce qui a guidé la décision c'est les circonstances de la rédaction
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> rupture, et non des propos du salarié dus à une émotion ou à un état
> physique anormal. La démission doit être claire et non équivoque.
> Ainsi, la démission donnée au moyen d'une lettre rédigée par le salarié à
> son domicile alors que ce salarié était sujet à un état dépressif de
nature
> à altérer son jugement, n'est pas considérée comme la manifestation non
> équivoque de rompre le contrat de travail (cass.soc. 1er février 2000,
n°654
> D).
>
> Bon courage.
>
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>
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> news:
> > Mi janvier après que mon emloyeur m'ai dit d'aller chercher un travail
> > ailleurs, je lui ai dit que j'avais trouver un autre emploi et fixer
> > oralement un préavis à la fin du mois de janvier. Puis, je lui ai dit
> > que je ne voulais pas démissionner puis je lui ai donné ma demission
> > pour la reprendre le surlendemain. En pleine dépression et surmenée,
> > mon état de santé s'est aggravé et j'étais déboussolée. En février, je
> > lui encore remis ma démission mais avec toujours la même lettre:
> > c'est-à-dire datée de fin janvier et prévoyant un préavis finissant le
> > 31 janvier. Cette démission est-elle valable sachant que le lendemain
> > je suis rentrée à l'hôpital pour dépression ?
> >
> > Je l'ai revu disant que je voulais reprendre mon poste, il m'a dit que
> > je n'avais qu'à envoyer une nouvelle candidature. Sur le coup, je n'ai
> > pas pensé à contester ma démisssion.
> >
> > Merci
>
>
Ai-je intérêt à téléphoner à mon employeur pour lui dire que je
préfère contester ma démission pour retrouver mon poste plutôt que lui
envoyer à nouveau une lettre de motivation
Ai-je intérêt à téléphoner à mon employeur pour lui dire que je
préfère contester ma démission pour retrouver mon poste plutôt que lui
envoyer à nouveau une lettre de motivation
Ai-je intérêt à téléphoner à mon employeur pour lui dire que je
préfère contester ma démission pour retrouver mon poste plutôt que lui
envoyer à nouveau une lettre de motivation
Oui mais que faire aujourd'hui, est-il possible que mon employeur me
rende mon poste si je conteste la démission ? N'est-il pas trop tard?
La lettre de démission date du 22 janvier mais a été donnée avec
témoin le 4 février.
Oui mais que faire aujourd'hui, est-il possible que mon employeur me
rende mon poste si je conteste la démission ? N'est-il pas trop tard?
La lettre de démission date du 22 janvier mais a été donnée avec
témoin le 4 février.
Oui mais que faire aujourd'hui, est-il possible que mon employeur me
rende mon poste si je conteste la démission ? N'est-il pas trop tard?
La lettre de démission date du 22 janvier mais a été donnée avec
témoin le 4 février.
Bonjour,
> Ai-je intérêt à téléphoner à mon employeur pour lui dire que je
> préfère contester ma démission pour retrouver mon poste plutôt que lui
> envoyer à nouveau une lettre de motivation
Avez vous eu un solde de tout compte ?
Bonjour,
> Ai-je intérêt à téléphoner à mon employeur pour lui dire que je
> préfère contester ma démission pour retrouver mon poste plutôt que lui
> envoyer à nouveau une lettre de motivation
Avez vous eu un solde de tout compte ?
Bonjour,
> Ai-je intérêt à téléphoner à mon employeur pour lui dire que je
> préfère contester ma démission pour retrouver mon poste plutôt que lui
> envoyer à nouveau une lettre de motivation
Avez vous eu un solde de tout compte ?