Marc-Antoine a ecritBonjour
Suite à une suspension administrative de son permis de conduire, une amie
attends donc la procédure judiciaire.
c'est le cheminement par essence normalAfin de pouvoir exposer ces "arguments", elle a demandé a être citée devant
le tribunal de police.
si cela releve du "police" comparution volontaire pas possible iciElle se demandait ainsi si sa requête sera retenue ou si il elle pourrait
tout de même faire l'objet d'une procédure d'ordonnance, donc ne pas être
entendue ?
oui et avec la possibilité de s'y opposer et là bien d'etre entendue
contradictoirementDans le cas d'une citation, il lui aurait été dit qu'à défaut d'avocat, il
lui en sera commis un d'office, est-ce vrai ?
pas làQuelques précisions sur cette procédure, seraient le bien venue.
Merci beaucoup.
Sof
Marc-Antoine a ecrit
Bonjour
Suite à une suspension administrative de son permis de conduire, une amie
attends donc la procédure judiciaire.
c'est le cheminement par essence normal
Afin de pouvoir exposer ces "arguments", elle a demandé a être citée devant
le tribunal de police.
si cela releve du "police" comparution volontaire pas possible ici
Elle se demandait ainsi si sa requête sera retenue ou si il elle pourrait
tout de même faire l'objet d'une procédure d'ordonnance, donc ne pas être
entendue ?
oui et avec la possibilité de s'y opposer et là bien d'etre entendue
contradictoirement
Dans le cas d'une citation, il lui aurait été dit qu'à défaut d'avocat, il
lui en sera commis un d'office, est-ce vrai ?
pas là
Quelques précisions sur cette procédure, seraient le bien venue.
Merci beaucoup.
Sof
Marc-Antoine a ecritBonjour
Suite à une suspension administrative de son permis de conduire, une amie
attends donc la procédure judiciaire.
c'est le cheminement par essence normalAfin de pouvoir exposer ces "arguments", elle a demandé a être citée devant
le tribunal de police.
si cela releve du "police" comparution volontaire pas possible iciElle se demandait ainsi si sa requête sera retenue ou si il elle pourrait
tout de même faire l'objet d'une procédure d'ordonnance, donc ne pas être
entendue ?
oui et avec la possibilité de s'y opposer et là bien d'etre entendue
contradictoirementDans le cas d'une citation, il lui aurait été dit qu'à défaut d'avocat, il
lui en sera commis un d'office, est-ce vrai ?
pas làQuelques précisions sur cette procédure, seraient le bien venue.
Merci beaucoup.
Sof
Web Dreamer a ecritsobeol a écrit ce mardi 4 novembre 2008 14:58 dans
:Il n'est pas considéré ni meme presumé coupable , il lui est juste
demandé de rapporter pour etre relaxé,la preuve contraire selon les
dispositions du 537CPP
Ce qui "techniquement" est ni plus ni moins totalement égale à être
présumé coupable, mais en voulant maladroitement faire semblant du
contraire.
hé non !
sinon le CPP ne distinguerait pas entre 430 et 537 CPP
mais là il faut comprendre ;o)
sof
Web Dreamer a ecrit
sobeol a écrit ce mardi 4 novembre 2008 14:58 dans
<mn.23827d8bc390a43d.4336@oil.org> :
Il n'est pas considéré ni meme presumé coupable , il lui est juste
demandé de rapporter pour etre relaxé,la preuve contraire selon les
dispositions du 537CPP
Ce qui "techniquement" est ni plus ni moins totalement égale à être
présumé coupable, mais en voulant maladroitement faire semblant du
contraire.
hé non !
sinon le CPP ne distinguerait pas entre 430 et 537 CPP
mais là il faut comprendre ;o)
sof
Web Dreamer a ecritsobeol a écrit ce mardi 4 novembre 2008 14:58 dans
:Il n'est pas considéré ni meme presumé coupable , il lui est juste
demandé de rapporter pour etre relaxé,la preuve contraire selon les
dispositions du 537CPP
Ce qui "techniquement" est ni plus ni moins totalement égale à être
présumé coupable, mais en voulant maladroitement faire semblant du
contraire.
hé non !
sinon le CPP ne distinguerait pas entre 430 et 537 CPP
mais là il faut comprendre ;o)
sof
Je réponds à "sobeol" qui a formulé ce qui suit :Marc-Antoine a ecritBonjour
Suite à une suspension administrative de son permis de conduire, une
amie attends donc la procédure judiciaire.
c'est le cheminement par essence normalAfin de pouvoir exposer ces "arguments", elle a demandé a être citée
devant le tribunal de police.
si cela releve du "police" comparution volontaire pas possible iciElle se demandait ainsi si sa requête sera retenue ou si il elle
pourrait tout de même faire l'objet d'une procédure d'ordonnance, donc
ne pas être entendue ?
oui et avec la possibilité de s'y opposer et là bien d'etre entendue
contradictoirementDans le cas d'une citation, il lui aurait été dit qu'à défaut d'avocat,
il lui en sera commis un d'office, est-ce vrai ?
pas làQuelques précisions sur cette procédure, seraient le bien venue.
Merci beaucoup.
Sof
Ok merci à vous tous, j'en conclurais donc :
- qu'elle peut de s'opposer à une éventuelle procédure d'ordonnance et
demander à être entendue,
- que l'avocat n'est pas obligatoire et que par conséquent il ne lui en
sera pas commis un d'office, ce que je présumais d'ailleurs.
Merci beaucoup de ces précisions.
Pour ce qui est de la "présomption d'innocence", la personne ayant
reconnue les faits qui lui ont été reprochés (excès de vitesse), elle
voulait juste essayer de présenter, ce qui pourrait passer pour des
"circonstances atténuantes", à savoir qu'un chauffard lui collait aux
fesses depuis plusieurs Km et qu'en doublant un camion elle a pris
peur, et au lieu de garder sa vitesse (et son sang froid) a accélérer.
Personnellement je lui ai dis qu'elle avait peu de chance que cela
puisse jouer en sa faveur, mais bon! sait-on jamais...
Je réponds à "sobeol" qui a formulé ce qui suit :
Marc-Antoine a ecrit
Bonjour
Suite à une suspension administrative de son permis de conduire, une
amie attends donc la procédure judiciaire.
c'est le cheminement par essence normal
Afin de pouvoir exposer ces "arguments", elle a demandé a être citée
devant le tribunal de police.
si cela releve du "police" comparution volontaire pas possible ici
Elle se demandait ainsi si sa requête sera retenue ou si il elle
pourrait tout de même faire l'objet d'une procédure d'ordonnance, donc
ne pas être entendue ?
oui et avec la possibilité de s'y opposer et là bien d'etre entendue
contradictoirement
Dans le cas d'une citation, il lui aurait été dit qu'à défaut d'avocat,
il lui en sera commis un d'office, est-ce vrai ?
pas là
Quelques précisions sur cette procédure, seraient le bien venue.
Merci beaucoup.
Sof
Ok merci à vous tous, j'en conclurais donc :
- qu'elle peut de s'opposer à une éventuelle procédure d'ordonnance et
demander à être entendue,
- que l'avocat n'est pas obligatoire et que par conséquent il ne lui en
sera pas commis un d'office, ce que je présumais d'ailleurs.
Merci beaucoup de ces précisions.
Pour ce qui est de la "présomption d'innocence", la personne ayant
reconnue les faits qui lui ont été reprochés (excès de vitesse), elle
voulait juste essayer de présenter, ce qui pourrait passer pour des
"circonstances atténuantes", à savoir qu'un chauffard lui collait aux
fesses depuis plusieurs Km et qu'en doublant un camion elle a pris
peur, et au lieu de garder sa vitesse (et son sang froid) a accélérer.
Personnellement je lui ai dis qu'elle avait peu de chance que cela
puisse jouer en sa faveur, mais bon! sait-on jamais...
Je réponds à "sobeol" qui a formulé ce qui suit :Marc-Antoine a ecritBonjour
Suite à une suspension administrative de son permis de conduire, une
amie attends donc la procédure judiciaire.
c'est le cheminement par essence normalAfin de pouvoir exposer ces "arguments", elle a demandé a être citée
devant le tribunal de police.
si cela releve du "police" comparution volontaire pas possible iciElle se demandait ainsi si sa requête sera retenue ou si il elle
pourrait tout de même faire l'objet d'une procédure d'ordonnance, donc
ne pas être entendue ?
oui et avec la possibilité de s'y opposer et là bien d'etre entendue
contradictoirementDans le cas d'une citation, il lui aurait été dit qu'à défaut d'avocat,
il lui en sera commis un d'office, est-ce vrai ?
pas làQuelques précisions sur cette procédure, seraient le bien venue.
Merci beaucoup.
Sof
Ok merci à vous tous, j'en conclurais donc :
- qu'elle peut de s'opposer à une éventuelle procédure d'ordonnance et
demander à être entendue,
- que l'avocat n'est pas obligatoire et que par conséquent il ne lui en
sera pas commis un d'office, ce que je présumais d'ailleurs.
Merci beaucoup de ces précisions.
Pour ce qui est de la "présomption d'innocence", la personne ayant
reconnue les faits qui lui ont été reprochés (excès de vitesse), elle
voulait juste essayer de présenter, ce qui pourrait passer pour des
"circonstances atténuantes", à savoir qu'un chauffard lui collait aux
fesses depuis plusieurs Km et qu'en doublant un camion elle a pris
peur, et au lieu de garder sa vitesse (et son sang froid) a accélérer.
Personnellement je lui ai dis qu'elle avait peu de chance que cela
puisse jouer en sa faveur, mais bon! sait-on jamais...
Marc-Antoine a écrit ce mardi 4 novembre 2008 15:52 dans
<491061a1$0$11943$ :Je réponds à "sobeol" qui a formulé ce qui suit :Marc-Antoine a ecritBonjour
Suite à une suspension administrative de son permis de conduire, une
amie attends donc la procédure judiciaire. c'est le cheminement par
essence normal Afin de pouvoir exposer ces "arguments", elle a demandé a
être citée devant le tribunal de police. si cela releve du "police"
comparution volontaire pas possible ici Elle se demandait ainsi si sa
requête sera retenue ou si il elle pourrait tout de même faire l'objet
d'une procédure d'ordonnance, donc ne pas être entendue ?
oui et avec la possibilité de s'y opposer et là bien d'etre entendue
contradictoirementDans le cas d'une citation, il lui aurait été dit qu'à défaut d'avocat,
il lui en sera commis un d'office, est-ce vrai ? pas là
Quelques précisions sur cette procédure, seraient le bien venue.
Merci beaucoup.
Sof
Ok merci à vous tous, j'en conclurais donc :
- qu'elle peut de s'opposer à une éventuelle procédure d'ordonnance et
demander à être entendue,
- que l'avocat n'est pas obligatoire et que par conséquent il ne lui en
sera pas commis un d'office, ce que je présumais d'ailleurs.
Merci beaucoup de ces précisions.
Pour ce qui est de la "présomption d'innocence", la personne ayant
reconnue les faits qui lui ont été reprochés (excès de vitesse), elle
voulait juste essayer de présenter, ce qui pourrait passer pour des
"circonstances atténuantes", à savoir qu'un chauffard lui collait aux
fesses depuis plusieurs Km et qu'en doublant un camion elle a pris
peur, et au lieu de garder sa vitesse (et son sang froid) a accélérer.
Personnellement je lui ai dis qu'elle avait peu de chance que cela
puisse jouer en sa faveur, mais bon! sait-on jamais...
Si, elle peut tenter ceci:
La personne qui lui collait derrière en ne respectait aucune distance de
sécurité et donc violait l'article 223-1 du Code pénal:
http://legifrance.gouv.fr/affichCodeArticle.do;jsessionid`56E92B93C277AC7651EFAF6D54D3BF.tpdjo13v_1?idArticle=LEGIARTI000006417770&cidTexte=LEGITEXT000006070719&dateTexte 081104
" Le fait d'exposer directement autrui à un risque immédiat de mort ou de
blessures de nature à entraîner une mutilation ou une infirmité permanente
par la violation manifestement délibérée d'une obligation particulière de
sécurité ou de prudence imposée par la loi ou le règlement est puni d'un an
d'emprisonnement et de 15000 euros d'amende."
Et qu'elle se sentait menacée et en danger et qu'afin que cette personne ne
lui colle plus au cul elle appliquait (et demande l'application) de
l'article 122-7 du code pénal:
http://legifrance.gouv.fr/affichCodeArticle.do;jsessionid`56E92B93C277AC7651EFAF6D54D3BF.tpdjo13v_1?idArticle=LEGIARTI000006417220&cidTexte=LEGITEXT000006070719&dateTexte 081104
"N'est pas pénalement responsable la personne qui, face à un danger actuel
ou imminent qui menace elle-même, autrui ou un bien, accomplit un acte
nécessaire à la sauvegarde de la personne ou du bien, sauf s'il y a
disproportion entre les moyens employés et la gravité de la menace."
À voir.
Marc-Antoine a écrit ce mardi 4 novembre 2008 15:52 dans
<491061a1$0$11943$426a74cc@news.free.fr> :
Je réponds à "sobeol" qui a formulé ce qui suit :
Marc-Antoine a ecrit
Bonjour
Suite à une suspension administrative de son permis de conduire, une
amie attends donc la procédure judiciaire. c'est le cheminement par
essence normal Afin de pouvoir exposer ces "arguments", elle a demandé a
être citée devant le tribunal de police. si cela releve du "police"
comparution volontaire pas possible ici Elle se demandait ainsi si sa
requête sera retenue ou si il elle pourrait tout de même faire l'objet
d'une procédure d'ordonnance, donc ne pas être entendue ?
oui et avec la possibilité de s'y opposer et là bien d'etre entendue
contradictoirement
Dans le cas d'une citation, il lui aurait été dit qu'à défaut d'avocat,
il lui en sera commis un d'office, est-ce vrai ? pas là
Quelques précisions sur cette procédure, seraient le bien venue.
Merci beaucoup.
Sof
Ok merci à vous tous, j'en conclurais donc :
- qu'elle peut de s'opposer à une éventuelle procédure d'ordonnance et
demander à être entendue,
- que l'avocat n'est pas obligatoire et que par conséquent il ne lui en
sera pas commis un d'office, ce que je présumais d'ailleurs.
Merci beaucoup de ces précisions.
Pour ce qui est de la "présomption d'innocence", la personne ayant
reconnue les faits qui lui ont été reprochés (excès de vitesse), elle
voulait juste essayer de présenter, ce qui pourrait passer pour des
"circonstances atténuantes", à savoir qu'un chauffard lui collait aux
fesses depuis plusieurs Km et qu'en doublant un camion elle a pris
peur, et au lieu de garder sa vitesse (et son sang froid) a accélérer.
Personnellement je lui ai dis qu'elle avait peu de chance que cela
puisse jouer en sa faveur, mais bon! sait-on jamais...
Si, elle peut tenter ceci:
La personne qui lui collait derrière en ne respectait aucune distance de
sécurité et donc violait l'article 223-1 du Code pénal:
http://legifrance.gouv.fr/affichCodeArticle.do;jsessionid`56E92B93C277AC7651EFAF6D54D3BF.tpdjo13v_1?idArticle=LEGIARTI000006417770&cidTexte=LEGITEXT000006070719&dateTexte 081104
" Le fait d'exposer directement autrui à un risque immédiat de mort ou de
blessures de nature à entraîner une mutilation ou une infirmité permanente
par la violation manifestement délibérée d'une obligation particulière de
sécurité ou de prudence imposée par la loi ou le règlement est puni d'un an
d'emprisonnement et de 15000 euros d'amende."
Et qu'elle se sentait menacée et en danger et qu'afin que cette personne ne
lui colle plus au cul elle appliquait (et demande l'application) de
l'article 122-7 du code pénal:
http://legifrance.gouv.fr/affichCodeArticle.do;jsessionid`56E92B93C277AC7651EFAF6D54D3BF.tpdjo13v_1?idArticle=LEGIARTI000006417220&cidTexte=LEGITEXT000006070719&dateTexte 081104
"N'est pas pénalement responsable la personne qui, face à un danger actuel
ou imminent qui menace elle-même, autrui ou un bien, accomplit un acte
nécessaire à la sauvegarde de la personne ou du bien, sauf s'il y a
disproportion entre les moyens employés et la gravité de la menace."
À voir.
Marc-Antoine a écrit ce mardi 4 novembre 2008 15:52 dans
<491061a1$0$11943$ :Je réponds à "sobeol" qui a formulé ce qui suit :Marc-Antoine a ecritBonjour
Suite à une suspension administrative de son permis de conduire, une
amie attends donc la procédure judiciaire. c'est le cheminement par
essence normal Afin de pouvoir exposer ces "arguments", elle a demandé a
être citée devant le tribunal de police. si cela releve du "police"
comparution volontaire pas possible ici Elle se demandait ainsi si sa
requête sera retenue ou si il elle pourrait tout de même faire l'objet
d'une procédure d'ordonnance, donc ne pas être entendue ?
oui et avec la possibilité de s'y opposer et là bien d'etre entendue
contradictoirementDans le cas d'une citation, il lui aurait été dit qu'à défaut d'avocat,
il lui en sera commis un d'office, est-ce vrai ? pas là
Quelques précisions sur cette procédure, seraient le bien venue.
Merci beaucoup.
Sof
Ok merci à vous tous, j'en conclurais donc :
- qu'elle peut de s'opposer à une éventuelle procédure d'ordonnance et
demander à être entendue,
- que l'avocat n'est pas obligatoire et que par conséquent il ne lui en
sera pas commis un d'office, ce que je présumais d'ailleurs.
Merci beaucoup de ces précisions.
Pour ce qui est de la "présomption d'innocence", la personne ayant
reconnue les faits qui lui ont été reprochés (excès de vitesse), elle
voulait juste essayer de présenter, ce qui pourrait passer pour des
"circonstances atténuantes", à savoir qu'un chauffard lui collait aux
fesses depuis plusieurs Km et qu'en doublant un camion elle a pris
peur, et au lieu de garder sa vitesse (et son sang froid) a accélérer.
Personnellement je lui ai dis qu'elle avait peu de chance que cela
puisse jouer en sa faveur, mais bon! sait-on jamais...
Si, elle peut tenter ceci:
La personne qui lui collait derrière en ne respectait aucune distance de
sécurité et donc violait l'article 223-1 du Code pénal:
http://legifrance.gouv.fr/affichCodeArticle.do;jsessionid`56E92B93C277AC7651EFAF6D54D3BF.tpdjo13v_1?idArticle=LEGIARTI000006417770&cidTexte=LEGITEXT000006070719&dateTexte 081104
" Le fait d'exposer directement autrui à un risque immédiat de mort ou de
blessures de nature à entraîner une mutilation ou une infirmité permanente
par la violation manifestement délibérée d'une obligation particulière de
sécurité ou de prudence imposée par la loi ou le règlement est puni d'un an
d'emprisonnement et de 15000 euros d'amende."
Et qu'elle se sentait menacée et en danger et qu'afin que cette personne ne
lui colle plus au cul elle appliquait (et demande l'application) de
l'article 122-7 du code pénal:
http://legifrance.gouv.fr/affichCodeArticle.do;jsessionid`56E92B93C277AC7651EFAF6D54D3BF.tpdjo13v_1?idArticle=LEGIARTI000006417220&cidTexte=LEGITEXT000006070719&dateTexte 081104
"N'est pas pénalement responsable la personne qui, face à un danger actuel
ou imminent qui menace elle-même, autrui ou un bien, accomplit un acte
nécessaire à la sauvegarde de la personne ou du bien, sauf s'il y a
disproportion entre les moyens employés et la gravité de la menace."
À voir.
sobeol a écrit ce mardi 4 novembre 2008 15:28 dans
:
Un refus de demande de jugement contradictoire suite à ordonnance pénal
en violation de l?article 6 de la Convention.
sobeol a écrit ce mardi 4 novembre 2008 15:28 dans
<mn.23a07d8b7416e8c2.4336@oil.org> :
Un refus de demande de jugement contradictoire suite à ordonnance pénal
en violation de l?article 6 de la Convention.
sobeol a écrit ce mardi 4 novembre 2008 15:28 dans
:
Un refus de demande de jugement contradictoire suite à ordonnance pénal
en violation de l?article 6 de la Convention.
À voir.
À voir.
À voir.
Je comprends que le cas des "infractions" (hors délits) est manifestement
considérée par cette article comme de l'irréfutable présomption de
culpabilité, c'est exprimé clairement.
:-)
Je comprends que le cas des "infractions" (hors délits) est manifestement
considérée par cette article comme de l'irréfutable présomption de
culpabilité, c'est exprimé clairement.
:-)
Je comprends que le cas des "infractions" (hors délits) est manifestement
considérée par cette article comme de l'irréfutable présomption de
culpabilité, c'est exprimé clairement.
:-)
Je réponds à "Web Dreamer" qui a formulé ce qui suit :La personne qui lui collait derrière en ne respectait aucune distance de
sécurité et donc violait l'article 223-1 du Code pénal:
" Le fait d'exposer directement autrui à un risque immédiat de mort ou de
blessures de nature à entraîner une mutilation ou une infirmité
permanente par la violation manifestement délibérée d'une obligation
particulière de sécurité ou de prudence imposée par la loi ou le
règlement est puni d'un an d'emprisonnement et de 15000 euros d'amende."
Et qu'elle se sentait menacée et en danger et qu'afin que cette personne
ne lui colle plus au cul elle appliquait (et demande l'application) de
l'article 122-7 du code pénal:
"N'est pas pénalement responsable la personne qui, face à un danger
actuel ou imminent qui menace elle-même, autrui ou un bien, accomplit un
acte nécessaire à la sauvegarde de la personne ou du bien, sauf s'il y a
disproportion entre les moyens employés et la gravité de la menace."
À voir.
Pourquoi pas, mais je ne suis pas certain que le tribunal retienne en
sa faveur la première argumentation. Ce n'est pas parce que quelqu'un
viole le code de la route qu'on peut le faire soit-même.
Quant à la seconde, elle me parait plus "acceptable", à savoir
toutefois, si le juge considérera qu'il y avait danger imminent qui la
menaçait. Mais ça vaut peut-être le coup ;-)
Merci je lui en ferais part.
Je réponds à "Web Dreamer" qui a formulé ce qui suit :
La personne qui lui collait derrière en ne respectait aucune distance de
sécurité et donc violait l'article 223-1 du Code pénal:
" Le fait d'exposer directement autrui à un risque immédiat de mort ou de
blessures de nature à entraîner une mutilation ou une infirmité
permanente par la violation manifestement délibérée d'une obligation
particulière de sécurité ou de prudence imposée par la loi ou le
règlement est puni d'un an d'emprisonnement et de 15000 euros d'amende."
Et qu'elle se sentait menacée et en danger et qu'afin que cette personne
ne lui colle plus au cul elle appliquait (et demande l'application) de
l'article 122-7 du code pénal:
"N'est pas pénalement responsable la personne qui, face à un danger
actuel ou imminent qui menace elle-même, autrui ou un bien, accomplit un
acte nécessaire à la sauvegarde de la personne ou du bien, sauf s'il y a
disproportion entre les moyens employés et la gravité de la menace."
À voir.
Pourquoi pas, mais je ne suis pas certain que le tribunal retienne en
sa faveur la première argumentation. Ce n'est pas parce que quelqu'un
viole le code de la route qu'on peut le faire soit-même.
Quant à la seconde, elle me parait plus "acceptable", à savoir
toutefois, si le juge considérera qu'il y avait danger imminent qui la
menaçait. Mais ça vaut peut-être le coup ;-)
Merci je lui en ferais part.
Je réponds à "Web Dreamer" qui a formulé ce qui suit :La personne qui lui collait derrière en ne respectait aucune distance de
sécurité et donc violait l'article 223-1 du Code pénal:
" Le fait d'exposer directement autrui à un risque immédiat de mort ou de
blessures de nature à entraîner une mutilation ou une infirmité
permanente par la violation manifestement délibérée d'une obligation
particulière de sécurité ou de prudence imposée par la loi ou le
règlement est puni d'un an d'emprisonnement et de 15000 euros d'amende."
Et qu'elle se sentait menacée et en danger et qu'afin que cette personne
ne lui colle plus au cul elle appliquait (et demande l'application) de
l'article 122-7 du code pénal:
"N'est pas pénalement responsable la personne qui, face à un danger
actuel ou imminent qui menace elle-même, autrui ou un bien, accomplit un
acte nécessaire à la sauvegarde de la personne ou du bien, sauf s'il y a
disproportion entre les moyens employés et la gravité de la menace."
À voir.
Pourquoi pas, mais je ne suis pas certain que le tribunal retienne en
sa faveur la première argumentation. Ce n'est pas parce que quelqu'un
viole le code de la route qu'on peut le faire soit-même.
Quant à la seconde, elle me parait plus "acceptable", à savoir
toutefois, si le juge considérera qu'il y avait danger imminent qui la
menaçait. Mais ça vaut peut-être le coup ;-)
Merci je lui en ferais part.
Un refus de demande de jugement contradictoire suite à ordonnance
pénal en violation de l?article 6 de la Convention.
dans le cadre de l'OP c'est impossible, l'opposition parfaitement formée
ne peut que deboucher vers une audience contradictoire.
Un refus de demande de jugement contradictoire suite à ordonnance
pénal en violation de l?article 6 de la Convention.
dans le cadre de l'OP c'est impossible, l'opposition parfaitement formée
ne peut que deboucher vers une audience contradictoire.
Un refus de demande de jugement contradictoire suite à ordonnance
pénal en violation de l?article 6 de la Convention.
dans le cadre de l'OP c'est impossible, l'opposition parfaitement formée
ne peut que deboucher vers une audience contradictoire.
Je réponds à "Web Dreamer" qui a formulé ce qui suit :Marc-Antoine a écrit ce mardi 4 novembre 2008 15:52 dans
<491061a1$0$11943$ :Je réponds à "sobeol" qui a formulé ce qui suit :Marc-Antoine a ecritBonjour
Suite à une suspension administrative de son permis de conduire,
une
amie attends donc la procédure judiciaire. c'est le cheminement
par essence normal Afin de pouvoir exposer ces "arguments", elle a
demandé a être citée devant le tribunal de police. si cela releve
du "police" comparution volontaire pas possible ici Elle se
demandait ainsi si sa requête sera retenue ou si il elle pourrait
tout de même faire l'objet d'une procédure d'ordonnance, donc ne
pas être entendue ?
oui et avec la possibilité de s'y opposer et là bien d'etre
entendue
contradictoirementDans le cas d'une citation, il lui aurait été dit qu'à défaut
d'avocat,
il lui en sera commis un d'office, est-ce vrai ? pas là
Quelques précisions sur cette procédure, seraient le bien venue.
Merci beaucoup.
Sof
Ok merci à vous tous, j'en conclurais donc :
- qu'elle peut de s'opposer à une éventuelle procédure d'ordonnance
et
demander à être entendue,
- que l'avocat n'est pas obligatoire et que par conséquent il ne lui
en
sera pas commis un d'office, ce que je présumais d'ailleurs.
Merci beaucoup de ces précisions.
Pour ce qui est de la "présomption d'innocence", la personne ayant
reconnue les faits qui lui ont été reprochés (excès de vitesse),
elle
voulait juste essayer de présenter, ce qui pourrait passer pour des
"circonstances atténuantes", à savoir qu'un chauffard lui collait
aux
fesses depuis plusieurs Km et qu'en doublant un camion elle a pris
peur, et au lieu de garder sa vitesse (et son sang froid) a
accélérer.
Personnellement je lui ai dis qu'elle avait peu de chance que cela
puisse jouer en sa faveur, mais bon! sait-on jamais...
Si, elle peut tenter ceci:
La personne qui lui collait derrière en ne respectait aucune distance
de
sécurité et donc violait l'article 223-1 du Code pénal:
http://legifrance.gouv.fr/affichCodeArticle.do;jsessionid`56E92B93C277AC7651EFAF6D54D3BF.tpdjo13v_1?idArticle=LEGIARTI000006417770&cidTexte=LEGITEXT000006070719&dateTexte 081104
" Le fait d'exposer directement autrui à un risque immédiat de mort
ou de
blessures de nature à entraîner une mutilation ou une infirmité
permanente
par la violation manifestement délibérée d'une obligation
particulière de
sécurité ou de prudence imposée par la loi ou le règlement est puni
d'un an
d'emprisonnement et de 15000 euros d'amende."
Et qu'elle se sentait menacée et en danger et qu'afin que cette
personne ne
lui colle plus au cul elle appliquait (et demande l'application) de
l'article 122-7 du code pénal:
http://legifrance.gouv.fr/affichCodeArticle.do;jsessionid`56E92B93C277AC7651EFAF6D54D3BF.tpdjo13v_1?idArticle=LEGIARTI000006417220&cidTexte=LEGITEXT000006070719&dateTexte 081104
"N'est pas pénalement responsable la personne qui, face à un danger
actuel
ou imminent qui menace elle-même, autrui ou un bien, accomplit un
acte
nécessaire à la sauvegarde de la personne ou du bien, sauf s'il y a
disproportion entre les moyens employés et la gravité de la menace."
À voir.
Pourquoi pas, mais je ne suis pas certain que le tribunal retienne en
sa faveur la première argumentation. Ce n'est pas parce que quelqu'un
viole le code de la route qu'on peut le faire soit-même.
Quant à la seconde, elle me parait plus "acceptable", à savoir
toutefois, si le juge considérera qu'il y avait danger imminent qui la
menaçait. Mais ça vaut peut-être le coup ;-)
Merci je lui en ferais part.
--
Marc-Antoine
Je réponds à "Web Dreamer" qui a formulé ce qui suit :
Marc-Antoine a écrit ce mardi 4 novembre 2008 15:52 dans
<491061a1$0$11943$426a74cc@news.free.fr> :
Je réponds à "sobeol" qui a formulé ce qui suit :
Marc-Antoine a ecrit
Bonjour
Suite à une suspension administrative de son permis de conduire,
une
amie attends donc la procédure judiciaire. c'est le cheminement
par essence normal Afin de pouvoir exposer ces "arguments", elle a
demandé a être citée devant le tribunal de police. si cela releve
du "police" comparution volontaire pas possible ici Elle se
demandait ainsi si sa requête sera retenue ou si il elle pourrait
tout de même faire l'objet d'une procédure d'ordonnance, donc ne
pas être entendue ?
oui et avec la possibilité de s'y opposer et là bien d'etre
entendue
contradictoirement
Dans le cas d'une citation, il lui aurait été dit qu'à défaut
d'avocat,
il lui en sera commis un d'office, est-ce vrai ? pas là
Quelques précisions sur cette procédure, seraient le bien venue.
Merci beaucoup.
Sof
Ok merci à vous tous, j'en conclurais donc :
- qu'elle peut de s'opposer à une éventuelle procédure d'ordonnance
et
demander à être entendue,
- que l'avocat n'est pas obligatoire et que par conséquent il ne lui
en
sera pas commis un d'office, ce que je présumais d'ailleurs.
Merci beaucoup de ces précisions.
Pour ce qui est de la "présomption d'innocence", la personne ayant
reconnue les faits qui lui ont été reprochés (excès de vitesse),
elle
voulait juste essayer de présenter, ce qui pourrait passer pour des
"circonstances atténuantes", à savoir qu'un chauffard lui collait
aux
fesses depuis plusieurs Km et qu'en doublant un camion elle a pris
peur, et au lieu de garder sa vitesse (et son sang froid) a
accélérer.
Personnellement je lui ai dis qu'elle avait peu de chance que cela
puisse jouer en sa faveur, mais bon! sait-on jamais...
Si, elle peut tenter ceci:
La personne qui lui collait derrière en ne respectait aucune distance
de
sécurité et donc violait l'article 223-1 du Code pénal:
http://legifrance.gouv.fr/affichCodeArticle.do;jsessionid`56E92B93C277AC7651EFAF6D54D3BF.tpdjo13v_1?idArticle=LEGIARTI000006417770&cidTexte=LEGITEXT000006070719&dateTexte 081104
" Le fait d'exposer directement autrui à un risque immédiat de mort
ou de
blessures de nature à entraîner une mutilation ou une infirmité
permanente
par la violation manifestement délibérée d'une obligation
particulière de
sécurité ou de prudence imposée par la loi ou le règlement est puni
d'un an
d'emprisonnement et de 15000 euros d'amende."
Et qu'elle se sentait menacée et en danger et qu'afin que cette
personne ne
lui colle plus au cul elle appliquait (et demande l'application) de
l'article 122-7 du code pénal:
http://legifrance.gouv.fr/affichCodeArticle.do;jsessionid`56E92B93C277AC7651EFAF6D54D3BF.tpdjo13v_1?idArticle=LEGIARTI000006417220&cidTexte=LEGITEXT000006070719&dateTexte 081104
"N'est pas pénalement responsable la personne qui, face à un danger
actuel
ou imminent qui menace elle-même, autrui ou un bien, accomplit un
acte
nécessaire à la sauvegarde de la personne ou du bien, sauf s'il y a
disproportion entre les moyens employés et la gravité de la menace."
À voir.
Pourquoi pas, mais je ne suis pas certain que le tribunal retienne en
sa faveur la première argumentation. Ce n'est pas parce que quelqu'un
viole le code de la route qu'on peut le faire soit-même.
Quant à la seconde, elle me parait plus "acceptable", à savoir
toutefois, si le juge considérera qu'il y avait danger imminent qui la
menaçait. Mais ça vaut peut-être le coup ;-)
Merci je lui en ferais part.
--
Marc-Antoine
Je réponds à "Web Dreamer" qui a formulé ce qui suit :Marc-Antoine a écrit ce mardi 4 novembre 2008 15:52 dans
<491061a1$0$11943$ :Je réponds à "sobeol" qui a formulé ce qui suit :Marc-Antoine a ecritBonjour
Suite à une suspension administrative de son permis de conduire,
une
amie attends donc la procédure judiciaire. c'est le cheminement
par essence normal Afin de pouvoir exposer ces "arguments", elle a
demandé a être citée devant le tribunal de police. si cela releve
du "police" comparution volontaire pas possible ici Elle se
demandait ainsi si sa requête sera retenue ou si il elle pourrait
tout de même faire l'objet d'une procédure d'ordonnance, donc ne
pas être entendue ?
oui et avec la possibilité de s'y opposer et là bien d'etre
entendue
contradictoirementDans le cas d'une citation, il lui aurait été dit qu'à défaut
d'avocat,
il lui en sera commis un d'office, est-ce vrai ? pas là
Quelques précisions sur cette procédure, seraient le bien venue.
Merci beaucoup.
Sof
Ok merci à vous tous, j'en conclurais donc :
- qu'elle peut de s'opposer à une éventuelle procédure d'ordonnance
et
demander à être entendue,
- que l'avocat n'est pas obligatoire et que par conséquent il ne lui
en
sera pas commis un d'office, ce que je présumais d'ailleurs.
Merci beaucoup de ces précisions.
Pour ce qui est de la "présomption d'innocence", la personne ayant
reconnue les faits qui lui ont été reprochés (excès de vitesse),
elle
voulait juste essayer de présenter, ce qui pourrait passer pour des
"circonstances atténuantes", à savoir qu'un chauffard lui collait
aux
fesses depuis plusieurs Km et qu'en doublant un camion elle a pris
peur, et au lieu de garder sa vitesse (et son sang froid) a
accélérer.
Personnellement je lui ai dis qu'elle avait peu de chance que cela
puisse jouer en sa faveur, mais bon! sait-on jamais...
Si, elle peut tenter ceci:
La personne qui lui collait derrière en ne respectait aucune distance
de
sécurité et donc violait l'article 223-1 du Code pénal:
http://legifrance.gouv.fr/affichCodeArticle.do;jsessionid`56E92B93C277AC7651EFAF6D54D3BF.tpdjo13v_1?idArticle=LEGIARTI000006417770&cidTexte=LEGITEXT000006070719&dateTexte 081104
" Le fait d'exposer directement autrui à un risque immédiat de mort
ou de
blessures de nature à entraîner une mutilation ou une infirmité
permanente
par la violation manifestement délibérée d'une obligation
particulière de
sécurité ou de prudence imposée par la loi ou le règlement est puni
d'un an
d'emprisonnement et de 15000 euros d'amende."
Et qu'elle se sentait menacée et en danger et qu'afin que cette
personne ne
lui colle plus au cul elle appliquait (et demande l'application) de
l'article 122-7 du code pénal:
http://legifrance.gouv.fr/affichCodeArticle.do;jsessionid`56E92B93C277AC7651EFAF6D54D3BF.tpdjo13v_1?idArticle=LEGIARTI000006417220&cidTexte=LEGITEXT000006070719&dateTexte 081104
"N'est pas pénalement responsable la personne qui, face à un danger
actuel
ou imminent qui menace elle-même, autrui ou un bien, accomplit un
acte
nécessaire à la sauvegarde de la personne ou du bien, sauf s'il y a
disproportion entre les moyens employés et la gravité de la menace."
À voir.
Pourquoi pas, mais je ne suis pas certain que le tribunal retienne en
sa faveur la première argumentation. Ce n'est pas parce que quelqu'un
viole le code de la route qu'on peut le faire soit-même.
Quant à la seconde, elle me parait plus "acceptable", à savoir
toutefois, si le juge considérera qu'il y avait danger imminent qui la
menaçait. Mais ça vaut peut-être le coup ;-)
Merci je lui en ferais part.
--
Marc-Antoine