Un discussion sur la numérisation de la radio est en cours auprès du CSA.
Différents intervenants du monde de la radio ont répondu à la demande
d'avis.
Dans de nombreuses d'entre elles, il est question d'une augmentation de
la couverture pour les radios existantes.
Hors, lorsque dans certaines zones il n'y a de disponible qu'une dizaine
de stations voire moins je m'interroge sur la raison ?
S'agit'il d'un simple manque d'audience potentiel, en quoi je pense
qu'il n'y a pas de raison alors pour laquelle les diffuseurs
installeraient des emetteurs numériques ?
S'agit-il d'un problème de ressources fréquentielles ? Mais dans ce cas,
comment avec 10 malheureux emetteurs peut-on saturer une bande de 20,5
MHz. Certes il faut prendre en compte les emetteurs de voisinage pour ne
pas parisiter les autres, mais dans ce cas, il s'agit plus
grossièrement d'une mauvaise planification des fréquences sur le
territoire qui n'est pas uniformément égale en ressources
fréquentielles, non ?
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Zeldus
Pierre PANTALÉON a écrit :
Bonjour,
Un discussion sur la numérisation de la radio est en cours auprès du CSA.
Différents intervenants du monde de la radio ont répondu à la demande d'avis.
Dans de nombreuses d'entre elles, il est question d'une augmentation de la couverture pour les radios existantes.
Hors, lorsque dans certaines zones il n'y a de disponible qu'une dizaine de stations voire moins je m'interroge sur la raison ?
S'agit'il d'un simple manque d'audience potentiel, en quoi je pense qu'il n'y a pas de raison alors pour laquelle les diffuseurs installeraient des emetteurs numériques ?
S'agit-il d'un problème de ressources fréquentielles ? Mais dans ce cas, comment avec 10 malheureux emetteurs peut-on saturer une bande de 20,5 MHz. Certes il faut prendre en compte les emetteurs de voisinage pour ne pas parisiter les autres, mais dans ce cas, il s'agit plus grossièrement d'une mauvaise planification des fréquences sur le territoire qui n'est pas uniformément égale en ressources fréquentielles, non ?
Bonsoir,
A mon avis, c'est le même problème que pour le GSM, certains endroits ne disposent pas d'assez d'auditeurs pour rentabiliser les installations requises.
Dans la téléphonie mobile, des calculs sont faits pour tous les relais avec ce qu'ils ont coûtés et l'argent qu'ils ont rapporté par les communications qu'ils ont récupérés dans un temps donné.
En France, un relais GSM qui a couté plus de 100 k-euros situé Porte Maillot, à Paris peut se rentabiliser en moins d'une semaine, il en va tout autrement d'une installation située en plein milieu de la Creuse !
Je laisse les spécialistes de la FM répondre plus précisément au sujet du post mais c'est un problème probablement similaire je pense.
Suivi sur frtom
Zeldus
Pierre PANTALÉON a écrit :
Bonjour,
Un discussion sur la numérisation de la radio est en cours auprès du CSA.
Différents intervenants du monde de la radio ont répondu à la demande
d'avis.
Dans de nombreuses d'entre elles, il est question d'une augmentation de
la couverture pour les radios existantes.
Hors, lorsque dans certaines zones il n'y a de disponible qu'une dizaine
de stations voire moins je m'interroge sur la raison ?
S'agit'il d'un simple manque d'audience potentiel, en quoi je pense
qu'il n'y a pas de raison alors pour laquelle les diffuseurs
installeraient des emetteurs numériques ?
S'agit-il d'un problème de ressources fréquentielles ? Mais dans ce cas,
comment avec 10 malheureux emetteurs peut-on saturer une bande de 20,5
MHz. Certes il faut prendre en compte les emetteurs de voisinage pour ne
pas parisiter les autres, mais dans ce cas, il s'agit plus
grossièrement d'une mauvaise planification des fréquences sur le
territoire qui n'est pas uniformément égale en ressources
fréquentielles, non ?
Bonsoir,
A mon avis, c'est le même problème que pour le GSM, certains endroits ne
disposent pas d'assez d'auditeurs pour rentabiliser les installations
requises.
Dans la téléphonie mobile, des calculs sont faits pour tous les relais
avec ce qu'ils ont coûtés et l'argent qu'ils ont rapporté par les
communications qu'ils ont récupérés dans un temps donné.
En France, un relais GSM qui a couté plus de 100 k-euros situé Porte
Maillot, à Paris peut se rentabiliser en moins d'une semaine, il en va
tout autrement d'une installation située en plein milieu de la Creuse !
Je laisse les spécialistes de la FM répondre plus précisément au sujet
du post mais c'est un problème probablement similaire je pense.
Un discussion sur la numérisation de la radio est en cours auprès du CSA.
Différents intervenants du monde de la radio ont répondu à la demande d'avis.
Dans de nombreuses d'entre elles, il est question d'une augmentation de la couverture pour les radios existantes.
Hors, lorsque dans certaines zones il n'y a de disponible qu'une dizaine de stations voire moins je m'interroge sur la raison ?
S'agit'il d'un simple manque d'audience potentiel, en quoi je pense qu'il n'y a pas de raison alors pour laquelle les diffuseurs installeraient des emetteurs numériques ?
S'agit-il d'un problème de ressources fréquentielles ? Mais dans ce cas, comment avec 10 malheureux emetteurs peut-on saturer une bande de 20,5 MHz. Certes il faut prendre en compte les emetteurs de voisinage pour ne pas parisiter les autres, mais dans ce cas, il s'agit plus grossièrement d'une mauvaise planification des fréquences sur le territoire qui n'est pas uniformément égale en ressources fréquentielles, non ?
Bonsoir,
A mon avis, c'est le même problème que pour le GSM, certains endroits ne disposent pas d'assez d'auditeurs pour rentabiliser les installations requises.
Dans la téléphonie mobile, des calculs sont faits pour tous les relais avec ce qu'ils ont coûtés et l'argent qu'ils ont rapporté par les communications qu'ils ont récupérés dans un temps donné.
En France, un relais GSM qui a couté plus de 100 k-euros situé Porte Maillot, à Paris peut se rentabiliser en moins d'une semaine, il en va tout autrement d'une installation située en plein milieu de la Creuse !
Je laisse les spécialistes de la FM répondre plus précisément au sujet du post mais c'est un problème probablement similaire je pense.
Suivi sur frtom
Zeldus
Jil S
Le 06/08/2005, Zeldus a supposé :
Pierre PANTALÉON a écrit :
Bonjour,
Un discussion sur la numérisation de la radio est en cours auprès du CSA.
Différents intervenants du monde de la radio ont répondu à la demande d'avis.
Dans de nombreuses d'entre elles, il est question d'une augmentation de la couverture pour les radios existantes.
Hors, lorsque dans certaines zones il n'y a de disponible qu'une dizaine de stations voire moins je m'interroge sur la raison ?
S'agit'il d'un simple manque d'audience potentiel, en quoi je pense qu'il n'y a pas de raison alors pour laquelle les diffuseurs installeraient des emetteurs numériques ?
S'agit-il d'un problème de ressources fréquentielles ? Mais dans ce cas, comment avec 10 malheureux emetteurs peut-on saturer une bande de 20,5 MHz. Certes il faut prendre en compte les emetteurs de voisinage pour ne pas parisiter les autres, mais dans ce cas, il s'agit plus grossièrement d'une mauvaise planification des fréquences sur le territoire qui n'est pas uniformément égale en ressources fréquentielles, non ?
Bonsoir,
A mon avis, c'est le même problème que pour le GSM, certains endroits ne disposent pas d'assez d'auditeurs pour rentabiliser les installations requises.
Dans la téléphonie mobile, des calculs sont faits pour tous les relais avec ce qu'ils ont coûtés et l'argent qu'ils ont rapporté par les communications qu'ils ont récupérés dans un temps donné.
En France, un relais GSM qui a couté plus de 100 k-euros situé Porte Maillot, à Paris peut se rentabiliser en moins d'une semaine, il en va tout autrement d'une installation située en plein milieu de la Creuse !
Donc en 1 an, avec ce qu'il rapporte on peut supposer que ce relais peut financer facilement l'installation de 200 relais en zones blanches.
Car qu'arrive't il quand l'abonné qui passe tous les jours porte Maillot, et qui découvre en vacance qu'il est dans une zone non couverte par son opérateur? Et encore pire: si l'opérateur concurrent marche bien et pas le sien? S'il prévoit de revenir dans la région, il prévoiera aussi de changer d'opérateur lors de son renouvellement de mobile+contrat....
Je laisse les spécialistes de la FM répondre plus précisément au sujet du post mais c'est un problème probablement similaire je pense.
Suivi sur frtom
Zeldus
--
Jil S
Le 06/08/2005, Zeldus a supposé :
Pierre PANTALÉON a écrit :
Bonjour,
Un discussion sur la numérisation de la radio est en cours auprès du CSA.
Différents intervenants du monde de la radio ont répondu à la demande
d'avis.
Dans de nombreuses d'entre elles, il est question d'une augmentation de la
couverture pour les radios existantes.
Hors, lorsque dans certaines zones il n'y a de disponible qu'une dizaine de
stations voire moins je m'interroge sur la raison ?
S'agit'il d'un simple manque d'audience potentiel, en quoi je pense qu'il
n'y a pas de raison alors pour laquelle les diffuseurs installeraient des
emetteurs numériques ?
S'agit-il d'un problème de ressources fréquentielles ? Mais dans ce cas,
comment avec 10 malheureux emetteurs peut-on saturer une bande de 20,5 MHz.
Certes il faut prendre en compte les emetteurs de voisinage pour ne pas
parisiter les autres, mais dans ce cas, il s'agit plus grossièrement d'une
mauvaise planification des fréquences sur le territoire qui n'est pas
uniformément égale en ressources fréquentielles, non ?
Bonsoir,
A mon avis, c'est le même problème que pour le GSM, certains endroits ne
disposent pas d'assez d'auditeurs pour rentabiliser les installations
requises.
Dans la téléphonie mobile, des calculs sont faits pour tous les relais avec
ce qu'ils ont coûtés et l'argent qu'ils ont rapporté par les communications
qu'ils ont récupérés dans un temps donné.
En France, un relais GSM qui a couté plus de 100 k-euros situé Porte Maillot,
à Paris peut se rentabiliser en moins d'une semaine, il en va tout autrement
d'une installation située en plein milieu de la Creuse !
Donc en 1 an, avec ce qu'il rapporte on peut supposer que ce relais
peut financer facilement l'installation de 200 relais en zones
blanches.
Car qu'arrive't il quand l'abonné qui passe tous les jours porte
Maillot, et qui découvre en vacance qu'il est dans une zone non
couverte par son opérateur? Et encore pire: si l'opérateur concurrent
marche bien et pas le sien?
S'il prévoit de revenir dans la région, il prévoiera aussi de changer
d'opérateur lors de son renouvellement de mobile+contrat....
Je laisse les spécialistes de la FM répondre plus précisément au sujet du
post mais c'est un problème probablement similaire je pense.
Un discussion sur la numérisation de la radio est en cours auprès du CSA.
Différents intervenants du monde de la radio ont répondu à la demande d'avis.
Dans de nombreuses d'entre elles, il est question d'une augmentation de la couverture pour les radios existantes.
Hors, lorsque dans certaines zones il n'y a de disponible qu'une dizaine de stations voire moins je m'interroge sur la raison ?
S'agit'il d'un simple manque d'audience potentiel, en quoi je pense qu'il n'y a pas de raison alors pour laquelle les diffuseurs installeraient des emetteurs numériques ?
S'agit-il d'un problème de ressources fréquentielles ? Mais dans ce cas, comment avec 10 malheureux emetteurs peut-on saturer une bande de 20,5 MHz. Certes il faut prendre en compte les emetteurs de voisinage pour ne pas parisiter les autres, mais dans ce cas, il s'agit plus grossièrement d'une mauvaise planification des fréquences sur le territoire qui n'est pas uniformément égale en ressources fréquentielles, non ?
Bonsoir,
A mon avis, c'est le même problème que pour le GSM, certains endroits ne disposent pas d'assez d'auditeurs pour rentabiliser les installations requises.
Dans la téléphonie mobile, des calculs sont faits pour tous les relais avec ce qu'ils ont coûtés et l'argent qu'ils ont rapporté par les communications qu'ils ont récupérés dans un temps donné.
En France, un relais GSM qui a couté plus de 100 k-euros situé Porte Maillot, à Paris peut se rentabiliser en moins d'une semaine, il en va tout autrement d'une installation située en plein milieu de la Creuse !
Donc en 1 an, avec ce qu'il rapporte on peut supposer que ce relais peut financer facilement l'installation de 200 relais en zones blanches.
Car qu'arrive't il quand l'abonné qui passe tous les jours porte Maillot, et qui découvre en vacance qu'il est dans une zone non couverte par son opérateur? Et encore pire: si l'opérateur concurrent marche bien et pas le sien? S'il prévoit de revenir dans la région, il prévoiera aussi de changer d'opérateur lors de son renouvellement de mobile+contrat....
Je laisse les spécialistes de la FM répondre plus précisément au sujet du post mais c'est un problème probablement similaire je pense.
Suivi sur frtom
Zeldus
--
Jil S
Nicolas Croiset
Pierre PANTALÉON wrote :
Hors, lorsque dans certaines zones il n'y a de disponible qu'une dizaine de stations voire moins je m'interroge sur la raison ?
S'agit'il d'un simple manque d'audience potentiel, en quoi je pense qu'il n'y a pas de raison alors pour laquelle les diffuseurs installeraient des emetteurs numériques ?
S'agit-il d'un problème de ressources fréquentielles ? Mais dans ce cas, comment avec 10 malheureux emetteurs peut-on saturer une bande de 20,5 MHz. Certes il faut prendre en compte les emetteurs de voisinage pour ne pas parisiter les autres, mais dans ce cas, il s'agit plus grossièrement d'une mauvaise planification des fréquences sur le territoire qui n'est pas uniformément égale en ressources fréquentielles, non ?
Salut Pierre,
il y a plusieurs raisons :
- Zones aux alentours d'une zone très dense en émetteurs, impose que ces zones ont moins d'émetteurs pour des problèmes de brouillages (Rouen par exemple).
- Zones frontalières qui impose la répartition équitable des ressources spectrales entre les différents états (Strasbourg Par exemple).
- Zone inintéressantes car la densité de population est largement insuffisante pour rentabiliser un émetteur (Lozère par exemple).
Le passage en numérique de type DAB permet une meilleure gestion des ressources du fait de la mise en place de réseau de type SFN (Single Frequency Network) impossible en FM.
Hors, lorsque dans certaines zones il n'y a de disponible qu'une dizaine
de stations voire moins je m'interroge sur la raison ?
S'agit'il d'un simple manque d'audience potentiel, en quoi je pense
qu'il n'y a pas de raison alors pour laquelle les diffuseurs
installeraient des emetteurs numériques ?
S'agit-il d'un problème de ressources fréquentielles ? Mais dans ce cas,
comment avec 10 malheureux emetteurs peut-on saturer une bande de 20,5
MHz. Certes il faut prendre en compte les emetteurs de voisinage pour ne
pas parisiter les autres, mais dans ce cas, il s'agit plus
grossièrement d'une mauvaise planification des fréquences sur le
territoire qui n'est pas uniformément égale en ressources
fréquentielles, non ?
Salut Pierre,
il y a plusieurs raisons :
- Zones aux alentours d'une zone très dense en émetteurs, impose que ces
zones ont moins d'émetteurs pour des problèmes de brouillages (Rouen par
exemple).
- Zones frontalières qui impose la répartition équitable des ressources
spectrales entre les différents états (Strasbourg Par exemple).
- Zone inintéressantes car la densité de population est largement
insuffisante pour rentabiliser un émetteur (Lozère par exemple).
Le passage en numérique de type DAB permet une meilleure gestion des
ressources du fait de la mise en place de réseau de type SFN (Single
Frequency Network) impossible en FM.
Hors, lorsque dans certaines zones il n'y a de disponible qu'une dizaine de stations voire moins je m'interroge sur la raison ?
S'agit'il d'un simple manque d'audience potentiel, en quoi je pense qu'il n'y a pas de raison alors pour laquelle les diffuseurs installeraient des emetteurs numériques ?
S'agit-il d'un problème de ressources fréquentielles ? Mais dans ce cas, comment avec 10 malheureux emetteurs peut-on saturer une bande de 20,5 MHz. Certes il faut prendre en compte les emetteurs de voisinage pour ne pas parisiter les autres, mais dans ce cas, il s'agit plus grossièrement d'une mauvaise planification des fréquences sur le territoire qui n'est pas uniformément égale en ressources fréquentielles, non ?
Salut Pierre,
il y a plusieurs raisons :
- Zones aux alentours d'une zone très dense en émetteurs, impose que ces zones ont moins d'émetteurs pour des problèmes de brouillages (Rouen par exemple).
- Zones frontalières qui impose la répartition équitable des ressources spectrales entre les différents états (Strasbourg Par exemple).
- Zone inintéressantes car la densité de population est largement insuffisante pour rentabiliser un émetteur (Lozère par exemple).
Le passage en numérique de type DAB permet une meilleure gestion des ressources du fait de la mise en place de réseau de type SFN (Single Frequency Network) impossible en FM.