Une question que je me pose aujourd'hui, puisqu'étant devenu avec le
temps une grosse bite
dans l'histoire de l'humanité (pas célèbre, je sais, mais grosse bite
quand même),
je m'autorise aujourd'hui à singer les cons, tous azimuths, en passant
pas Descartes, Einstein,
Saint Paul, etcetera, c'est:
"Comment a-t-on pu glorifier les merdes de ce singe photographe?"
Quelles merdes, mais quelles merdes...
Le débat est ouvert.
Autorisation totale de se déchaîner et d'en mettre plein la gueule à
votre cible du jour...
> Une question que je me pose aujourd'hui, puisqu'étant devenu avec le temps > une grosse bite > dans l'histoire de l'humanité (pas célèbre, je sais, mais grosse bite quand > même), > je m'autorise aujourd'hui à singer les cons, tous azimuths, en passant pas > Descartes, Einstein, > Saint Paul, etcetera, c'est: > "Comment a-t-on pu glorifier les merdes de ce singe photographe?" > Quelles merdes, mais quelles merdes... > Le débat est ouvert. > Autorisation totale de se déchaîner et d'en mettre plein la gueule à votre > cible du jour...
Hamilton c'est un style correpondant à une époque. que l'on aime ou que l'on n'aime pas c'est l'affaire de chacun.
Un peu comme Yves Klein.
je ne comprends pas l'intérêt du débat.
Moi non plus, j'ai addddorrrrré Dali dans ma jeunesse et je n'y trouve plus aucun intérêt aujourd'hui. Creux, vide, rien, nada... sans aucun intérêt. En parlant d'intérêt, son travail ne vaut plus grand chose, il décôte.
-- "La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi. Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et personne ne sait pourquoi !" [ Albert Einstein ]
Alf92 <alf921@gmail.com> wrote:
Richard Hachel :
> Une question que je me pose aujourd'hui, puisqu'étant devenu avec le temps
> une grosse bite
> dans l'histoire de l'humanité (pas célèbre, je sais, mais grosse bite quand
> même),
> je m'autorise aujourd'hui à singer les cons, tous azimuths, en passant pas
> Descartes, Einstein,
> Saint Paul, etcetera, c'est:
> "Comment a-t-on pu glorifier les merdes de ce singe photographe?"
> Quelles merdes, mais quelles merdes...
> Le débat est ouvert.
> Autorisation totale de se déchaîner et d'en mettre plein la gueule à votre
> cible du jour...
Hamilton c'est un style correpondant à une époque.
que l'on aime ou que l'on n'aime pas c'est l'affaire de chacun.
Un peu comme Yves Klein.
je ne comprends pas l'intérêt du débat.
Moi non plus, j'ai addddorrrrré Dali dans ma jeunesse et je n'y trouve
plus aucun intérêt aujourd'hui. Creux, vide, rien, nada... sans aucun
intérêt. En parlant d'intérêt, son travail ne vaut plus grand chose, il
décôte.
--
"La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La
pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi.
Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et
personne ne sait pourquoi !" [ Albert Einstein ]
> Une question que je me pose aujourd'hui, puisqu'étant devenu avec le temps > une grosse bite > dans l'histoire de l'humanité (pas célèbre, je sais, mais grosse bite quand > même), > je m'autorise aujourd'hui à singer les cons, tous azimuths, en passant pas > Descartes, Einstein, > Saint Paul, etcetera, c'est: > "Comment a-t-on pu glorifier les merdes de ce singe photographe?" > Quelles merdes, mais quelles merdes... > Le débat est ouvert. > Autorisation totale de se déchaîner et d'en mettre plein la gueule à votre > cible du jour...
Hamilton c'est un style correpondant à une époque. que l'on aime ou que l'on n'aime pas c'est l'affaire de chacun.
Un peu comme Yves Klein.
je ne comprends pas l'intérêt du débat.
Moi non plus, j'ai addddorrrrré Dali dans ma jeunesse et je n'y trouve plus aucun intérêt aujourd'hui. Creux, vide, rien, nada... sans aucun intérêt. En parlant d'intérêt, son travail ne vaut plus grand chose, il décôte.
-- "La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi. Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et personne ne sait pourquoi !" [ Albert Einstein ]
Daurade Royale
Benoit a écrit sur fr.rec.photo :
Moi non plus, j'ai addddorrrrré Dali dans ma jeunesse et je n'y trouve plus aucun intérêt aujourd'hui. Creux, vide, rien, nada... sans aucun intérêt. En parlant d'intérêt, son travail ne vaut plus grand chose, il décôte.
C'est donc son prix qui fait la valeur artistique d'un tableau. Je vous suggère de vous abonner à un fan-club de mangas, puisque vous vous y connaissez en art.
Benoit a écrit sur fr.rec.photo :
Moi non plus, j'ai addddorrrrré Dali dans ma jeunesse et je n'y
trouve plus aucun intérêt aujourd'hui. Creux, vide, rien, nada...
sans aucun intérêt. En parlant d'intérêt, son travail ne vaut plus
grand chose, il décôte.
C'est donc son prix qui fait la valeur artistique d'un tableau.
Je vous suggère de vous abonner à un fan-club de mangas, puisque vous
vous y connaissez en art.
Moi non plus, j'ai addddorrrrré Dali dans ma jeunesse et je n'y trouve plus aucun intérêt aujourd'hui. Creux, vide, rien, nada... sans aucun intérêt. En parlant d'intérêt, son travail ne vaut plus grand chose, il décôte.
C'est donc son prix qui fait la valeur artistique d'un tableau. Je vous suggère de vous abonner à un fan-club de mangas, puisque vous vous y connaissez en art.
Daurade Royale
Richard Hachel a écrit sur fr.rec.photo :
Le 18/07/2015 à 21:47, jfc a écrit :
Le 18/07/2015 12:42, Richard Hachel a écrit :
"Comment a-t-on pu glorifier les merdes de ce singe photographe?"
parce que ça fonctionne comme l'art moderne. Les milieux autorisés du genre, fabriquent les réputations, montent des expos, écrivent dans des revues chébran et font du blé avec. Ce sont des conseiller financiers, tel artiste monte, tel artiste descend, c'est comme les actions. cerise sur le gâteau, l'art en France n'est pas imposé.
Il doit y avoir du vrai dans ce que tu dis.
Oui, la présence d'une cerise sur le gâteau est très appréciée des gourmands.
Richard Hachel a écrit sur fr.rec.photo :
Le 18/07/2015 à 21:47, jfc a écrit :
Le 18/07/2015 12:42, Richard Hachel a écrit :
"Comment a-t-on pu glorifier les merdes de ce singe photographe?"
parce que ça fonctionne comme l'art moderne. Les milieux autorisés
du genre, fabriquent les réputations, montent des expos, écrivent
dans des revues chébran et font du blé avec. Ce sont des conseiller
financiers, tel artiste monte, tel artiste descend, c'est comme les
actions. cerise sur le gâteau, l'art en France n'est pas imposé.
Il doit y avoir du vrai dans ce que tu dis.
Oui, la présence d'une cerise sur le gâteau est très appréciée des
gourmands.
"Comment a-t-on pu glorifier les merdes de ce singe photographe?"
parce que ça fonctionne comme l'art moderne. Les milieux autorisés du genre, fabriquent les réputations, montent des expos, écrivent dans des revues chébran et font du blé avec. Ce sont des conseiller financiers, tel artiste monte, tel artiste descend, c'est comme les actions. cerise sur le gâteau, l'art en France n'est pas imposé.
Il doit y avoir du vrai dans ce que tu dis.
Oui, la présence d'une cerise sur le gâteau est très appréciée des gourmands.
GhostRaider
Le 18/07/2015 21:55, jfc a écrit :
Le 18/07/2015 21:48, jfc a écrit :
parce que ça fonctionne comme l'art moderne.
Harouel a écrit un bouquin magistral là dessus : l'Art et le néant http://www.lefigaro.fr/livres/2009/05/07/03005-20090507ARTFIG00394-l-art-et-le-neant-.php
extrait : On passe en moins d'un demi-siècle d'Ingres ou Corot à Carré blanc sur fond blanc de Malevitch. Harouel y voit "l'acte de décès de la peinture, victime d'une implosion pure et simple". On trouvera alors toutes les astuces rhétoriques (on devrait plutôt dire tautologiques) pour sauver l'embardée en considérant comme ½uvre d'art ce qui est produit par un artiste qui se définit, à son tour, par le fait qu'il fait des ½uvres d'art. CQFD. Et impossible de remettre en cause une telle évidence. Bref, c'est le début de la grande plaisanterie dont Marcel Duchamp saura se faire le meilleur interprète : « On peut faire avaler n'importe quoi aux gens. » Au moins les grands esprits ont-ils le mérite de la sincérité. C'est moins vrai de ceux qui vont s'en faire les héritiers.
Harouel tape dur : « Ne requérant aucun savoir ni aucun effort de compréhension, cet ersatz d'art se trouve parfaitement adapté à l'actuelle inculture de la plupart des puissants de l'argent et du pouvoir. »
Avec le bout du bout de l'imposture : l'art scatologique : Manzoni, Andres Serrano, Gilbert et George etc... où on est passé de la plaisanterie du contenant de Duchamp à la régression infantile du contenu.
Le 18/07/2015 21:55, jfc a écrit :
Le 18/07/2015 21:48, jfc a écrit :
parce que ça fonctionne comme l'art moderne.
Harouel a écrit un bouquin magistral là dessus : l'Art et le néant
http://www.lefigaro.fr/livres/2009/05/07/03005-20090507ARTFIG00394-l-art-et-le-neant-.php
extrait :
On passe en moins d'un demi-siècle d'Ingres ou Corot à Carré blanc sur
fond blanc de Malevitch. Harouel y voit "l'acte de décès de la peinture,
victime d'une implosion pure et simple". On trouvera alors toutes les
astuces rhétoriques (on devrait plutôt dire tautologiques) pour sauver
l'embardée en considérant comme ½uvre d'art ce qui est produit par un
artiste qui se définit, à son tour, par le fait qu'il fait des ½uvres
d'art. CQFD. Et impossible de remettre en cause une telle évidence.
Bref, c'est le début de la grande plaisanterie dont Marcel Duchamp saura
se faire le meilleur interprète : « On peut faire avaler n'importe quoi
aux gens. » Au moins les grands esprits ont-ils le mérite de la
sincérité. C'est moins vrai de ceux qui vont s'en faire les héritiers.
Harouel tape dur : « Ne requérant aucun savoir ni aucun effort de
compréhension, cet ersatz d'art se trouve parfaitement adapté à
l'actuelle inculture de la plupart des puissants de l'argent et du
pouvoir. »
Avec le bout du bout de l'imposture : l'art scatologique : Manzoni,
Andres Serrano, Gilbert et George etc... où on est passé de la
plaisanterie du contenant de Duchamp à la régression infantile du contenu.
Harouel a écrit un bouquin magistral là dessus : l'Art et le néant http://www.lefigaro.fr/livres/2009/05/07/03005-20090507ARTFIG00394-l-art-et-le-neant-.php
extrait : On passe en moins d'un demi-siècle d'Ingres ou Corot à Carré blanc sur fond blanc de Malevitch. Harouel y voit "l'acte de décès de la peinture, victime d'une implosion pure et simple". On trouvera alors toutes les astuces rhétoriques (on devrait plutôt dire tautologiques) pour sauver l'embardée en considérant comme ½uvre d'art ce qui est produit par un artiste qui se définit, à son tour, par le fait qu'il fait des ½uvres d'art. CQFD. Et impossible de remettre en cause une telle évidence. Bref, c'est le début de la grande plaisanterie dont Marcel Duchamp saura se faire le meilleur interprète : « On peut faire avaler n'importe quoi aux gens. » Au moins les grands esprits ont-ils le mérite de la sincérité. C'est moins vrai de ceux qui vont s'en faire les héritiers.
Harouel tape dur : « Ne requérant aucun savoir ni aucun effort de compréhension, cet ersatz d'art se trouve parfaitement adapté à l'actuelle inculture de la plupart des puissants de l'argent et du pouvoir. »
Avec le bout du bout de l'imposture : l'art scatologique : Manzoni, Andres Serrano, Gilbert et George etc... où on est passé de la plaisanterie du contenant de Duchamp à la régression infantile du contenu.
victor.naytoayeur
Le jeudi 30 juillet 2015 19:26:33 UTC+2, GhostRaider a écrit :
Le 18/07/2015 21:55, jfc a écrit : > Le 18/07/2015 21:48, jfc a écrit : > >> parce que ça fonctionne comme l'art moderne. > > Harouel a écrit un bouquin magistral là dessus : l'Art et le néan t > http://www.lefigaro.fr/livres/2009/05/07/03005-20090507ARTFIG00394-l-ar t-et-le-neant-.php > > extrait : > On passe en moins d'un demi-siècle d'Ingres ou Corot à Carré blan c sur > fond blanc de Malevitch. Harouel y voit "l'acte de décès de la pein ture, > victime d'une implosion pure et simple". On trouvera alors toutes les > astuces rhétoriques (on devrait plutôt dire tautologiques) pour sau ver > l'embardée en considérant comme oeuvre d'art ce qui est produit par un > artiste qui se définit, à son tour, par le fait qu'il fait des oeuv res > d'art. CQFD. Et impossible de remettre en cause une telle évidence. > Bref, c'est le début de la grande plaisanterie dont Marcel Duchamp sa ura > se faire le meilleur interprète : << On peut faire avaler n'importe q uoi > aux gens. >> Au moins les grands esprits ont-ils le mérite de la > sincérité. C'est moins vrai de ceux qui vont s'en faire les hérit iers. > > Harouel tape dur : << Ne requérant aucun savoir ni aucun effort de > compréhension, cet ersatz d'art se trouve parfaitement adapté à > l'actuelle inculture de la plupart des puissants de l'argent et du > pouvoir. >>
Avec le bout du bout de l'imposture : l'art scatologique : Manzoni, Andres Serrano, Gilbert et George etc... où on est passé de la plaisanterie du contenant de Duchamp à la régression infantile du con tenu.
ouais,........, proutttt...... c'est bien ça, gosse bridé ?
Le jeudi 30 juillet 2015 19:26:33 UTC+2, GhostRaider a écrit :
Le 18/07/2015 21:55, jfc a écrit :
> Le 18/07/2015 21:48, jfc a écrit :
>
>> parce que ça fonctionne comme l'art moderne.
>
> Harouel a écrit un bouquin magistral là dessus : l'Art et le néan t
> http://www.lefigaro.fr/livres/2009/05/07/03005-20090507ARTFIG00394-l-ar t-et-le-neant-.php
>
> extrait :
> On passe en moins d'un demi-siècle d'Ingres ou Corot à Carré blan c sur
> fond blanc de Malevitch. Harouel y voit "l'acte de décès de la pein ture,
> victime d'une implosion pure et simple". On trouvera alors toutes les
> astuces rhétoriques (on devrait plutôt dire tautologiques) pour sau ver
> l'embardée en considérant comme oeuvre d'art ce qui est produit par un
> artiste qui se définit, à son tour, par le fait qu'il fait des oeuv res
> d'art. CQFD. Et impossible de remettre en cause une telle évidence.
> Bref, c'est le début de la grande plaisanterie dont Marcel Duchamp sa ura
> se faire le meilleur interprète : << On peut faire avaler n'importe q uoi
> aux gens. >> Au moins les grands esprits ont-ils le mérite de la
> sincérité. C'est moins vrai de ceux qui vont s'en faire les hérit iers.
>
> Harouel tape dur : << Ne requérant aucun savoir ni aucun effort de
> compréhension, cet ersatz d'art se trouve parfaitement adapté à
> l'actuelle inculture de la plupart des puissants de l'argent et du
> pouvoir. >>
Avec le bout du bout de l'imposture : l'art scatologique : Manzoni,
Andres Serrano, Gilbert et George etc... où on est passé de la
plaisanterie du contenant de Duchamp à la régression infantile du con tenu.
ouais,........, proutttt...... c'est bien ça, gosse bridé ?
Le jeudi 30 juillet 2015 19:26:33 UTC+2, GhostRaider a écrit :
Le 18/07/2015 21:55, jfc a écrit : > Le 18/07/2015 21:48, jfc a écrit : > >> parce que ça fonctionne comme l'art moderne. > > Harouel a écrit un bouquin magistral là dessus : l'Art et le néan t > http://www.lefigaro.fr/livres/2009/05/07/03005-20090507ARTFIG00394-l-ar t-et-le-neant-.php > > extrait : > On passe en moins d'un demi-siècle d'Ingres ou Corot à Carré blan c sur > fond blanc de Malevitch. Harouel y voit "l'acte de décès de la pein ture, > victime d'une implosion pure et simple". On trouvera alors toutes les > astuces rhétoriques (on devrait plutôt dire tautologiques) pour sau ver > l'embardée en considérant comme oeuvre d'art ce qui est produit par un > artiste qui se définit, à son tour, par le fait qu'il fait des oeuv res > d'art. CQFD. Et impossible de remettre en cause une telle évidence. > Bref, c'est le début de la grande plaisanterie dont Marcel Duchamp sa ura > se faire le meilleur interprète : << On peut faire avaler n'importe q uoi > aux gens. >> Au moins les grands esprits ont-ils le mérite de la > sincérité. C'est moins vrai de ceux qui vont s'en faire les hérit iers. > > Harouel tape dur : << Ne requérant aucun savoir ni aucun effort de > compréhension, cet ersatz d'art se trouve parfaitement adapté à > l'actuelle inculture de la plupart des puissants de l'argent et du > pouvoir. >>
Avec le bout du bout de l'imposture : l'art scatologique : Manzoni, Andres Serrano, Gilbert et George etc... où on est passé de la plaisanterie du contenant de Duchamp à la régression infantile du con tenu.
ouais,........, proutttt...... c'est bien ça, gosse bridé ?
