Pourquoi pas un DD interne, tout simplement, s'il n'y a pas d'échange de fichiers d'un PC à l'autre ?
Ce n'est pas de la sauvegarde, tout juste de la redondance.
si un des DD foire, rien n'est perdu. Il faudrait une sacrée coïncidence pour que les 2 cassent en même temps ...
D'autres risques sont à considérer, par exemple : - défaillance de l'alimentation qui crame tout (ça arrive) - effacement des données par un virus ou une erreur de manipulation
docanski wrote:
Pourquoi pas un DD interne, tout simplement, s'il n'y a pas d'échange de
fichiers d'un PC à l'autre ?
Ce n'est pas de la sauvegarde, tout juste de la redondance.
si un des
DD foire, rien n'est perdu. Il faudrait une sacrée coïncidence pour que
les 2 cassent en même temps ...
D'autres risques sont à considérer, par exemple :
- défaillance de l'alimentation qui crame tout (ça arrive)
- effacement des données par un virus ou une erreur de manipulation
Pourquoi pas un DD interne, tout simplement, s'il n'y a pas d'échange de fichiers d'un PC à l'autre ?
Ce n'est pas de la sauvegarde, tout juste de la redondance.
si un des DD foire, rien n'est perdu. Il faudrait une sacrée coïncidence pour que les 2 cassent en même temps ...
D'autres risques sont à considérer, par exemple : - défaillance de l'alimentation qui crame tout (ça arrive) - effacement des données par un virus ou une erreur de manipulation
Biggs
Pourquoi pas un DD interne, tout simplement, s'il n'y a pas d'échange de fichiers d'un PC à l'autre ?
C'est ce que je faisais autrefois, mais comme l'a dit Annie il s'agit plus de redondance que de véritable sauvegarde. Pour moi une sauvegarde doit être la plus distincte, la plus éloignée, la plus indépendante du reste de l'ordinateur. En cas de pépin sur ce dernier, je veux pouvoir être sûr que les sauvegardes ne sont pas impliquées. Bien sûr on peut faire beaucoup mieux qu'un disque externe pour respecter ce principe, par exemple installer carrément un serveur NAS dans un local à part, mais on sort alors du cadre des sauvegardes d'un simple particulier.
-- Biggs
Pourquoi pas un DD interne, tout simplement, s'il n'y a pas d'échange
de fichiers d'un PC à l'autre ?
C'est ce que je faisais autrefois, mais comme l'a dit Annie il s'agit
plus de redondance que de véritable sauvegarde. Pour moi une sauvegarde
doit être la plus distincte, la plus éloignée, la plus indépendante du
reste de l'ordinateur. En cas de pépin sur ce dernier, je veux pouvoir
être sûr que les sauvegardes ne sont pas impliquées. Bien sûr on peut
faire beaucoup mieux qu'un disque externe pour respecter ce principe,
par exemple installer carrément un serveur NAS dans un local à part,
mais on sort alors du cadre des sauvegardes d'un simple particulier.
Pourquoi pas un DD interne, tout simplement, s'il n'y a pas d'échange de fichiers d'un PC à l'autre ?
C'est ce que je faisais autrefois, mais comme l'a dit Annie il s'agit plus de redondance que de véritable sauvegarde. Pour moi une sauvegarde doit être la plus distincte, la plus éloignée, la plus indépendante du reste de l'ordinateur. En cas de pépin sur ce dernier, je veux pouvoir être sûr que les sauvegardes ne sont pas impliquées. Bien sûr on peut faire beaucoup mieux qu'un disque externe pour respecter ce principe, par exemple installer carrément un serveur NAS dans un local à part, mais on sort alors du cadre des sauvegardes d'un simple particulier.
-- Biggs
docanski
De ses petits doigts agiles tapotant delicatement le clavier, Annie D. nous a transmis un message disant en substance ce qui suit, en date du 20/05/2004 20:47 :
D'autres risques sont à considérer, par exemple : - défaillance de l'alimentation qui crame tout (ça arrive) - effacement des données par un virus ou une erreur de manipulation
J'oubliais d'ajouter : les 2 sauvegardes sous 2 OS différents : Win2000 et Linux Mdk. Ce qui permet, en cas de problème de boot sous Win2000 (des pannes de ce genre sont plus rares sous Linux) de toujours retrouver les deux partitions. C'est aussi une précaution supplémentaire en cas "d'attaque virale". Pour ce qui est de l'alimentation ... pas de parade. Je serais toutefois curieux de savoir comment une alimentation pourrait arriver à bousiller un DD ... Suis sceptique sur ce coup ... -- Cordialement, docanski
Nature, histoire et légendes en - Côtes du nord de la Bretagne - Vallée de la Rance maritime Memento des champignons http://armorance.free.fr
De ses petits doigts agiles tapotant delicatement le clavier, Annie D.
nous a transmis un message disant en substance ce qui suit, en date du
20/05/2004 20:47 :
D'autres risques sont à considérer, par exemple :
- défaillance de l'alimentation qui crame tout (ça arrive)
- effacement des données par un virus ou une erreur de manipulation
J'oubliais d'ajouter : les 2 sauvegardes sous 2 OS différents : Win2000
et Linux Mdk.
Ce qui permet, en cas de problème de boot sous Win2000 (des pannes de ce
genre sont plus rares sous Linux) de toujours retrouver les deux partitions.
C'est aussi une précaution supplémentaire en cas "d'attaque virale".
Pour ce qui est de l'alimentation ... pas de parade. Je serais toutefois
curieux de savoir comment une alimentation pourrait arriver à bousiller
un DD ... Suis sceptique sur ce coup ...
--
Cordialement,
docanski
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http://armorance.free.fr
De ses petits doigts agiles tapotant delicatement le clavier, Annie D. nous a transmis un message disant en substance ce qui suit, en date du 20/05/2004 20:47 :
D'autres risques sont à considérer, par exemple : - défaillance de l'alimentation qui crame tout (ça arrive) - effacement des données par un virus ou une erreur de manipulation
J'oubliais d'ajouter : les 2 sauvegardes sous 2 OS différents : Win2000 et Linux Mdk. Ce qui permet, en cas de problème de boot sous Win2000 (des pannes de ce genre sont plus rares sous Linux) de toujours retrouver les deux partitions. C'est aussi une précaution supplémentaire en cas "d'attaque virale". Pour ce qui est de l'alimentation ... pas de parade. Je serais toutefois curieux de savoir comment une alimentation pourrait arriver à bousiller un DD ... Suis sceptique sur ce coup ... -- Cordialement, docanski
Nature, histoire et légendes en - Côtes du nord de la Bretagne - Vallée de la Rance maritime Memento des champignons http://armorance.free.fr
Annie D.
docanski wrote:
D'autres risques sont à considérer, par exemple : - défaillance de l'alimentation qui crame tout (ça arrive) - effacement des données par un virus ou une erreur de manipulation
J'oubliais d'ajouter : les 2 sauvegardes sous 2 OS différents : Win2000 et Linux Mdk.
Ça ne change rien : à partir du moment où les deux disques sont montés, leur contenu peut être altéré.
Ce qui permet, en cas de problème de boot sous Win2000 (des pannes de ce genre sont plus rares sous Linux) de toujours retrouver les deux partitions. C'est aussi une précaution supplémentaire en cas "d'attaque virale".
Dans l'absolu, qu'est-ce qui empêche un virus Windows de détruire sauvagement une partition Linux ?
Je serais toutefois curieux de savoir comment une alimentation pourrait arriver à bousiller un DD
Les alimentations sont de type à découpage, il n'y a pas de transformateur abaisseur de tension. Ce qui signifie qu'en cas de défaillance de certains composants-clés, c'est l'intégralité de la tension secteur qui peut se retrouver en sortie de l'alimentation. Et même si ce n'est que 10 % de celle-ci (~ 20V) qui se retrouve sur la sortie +5V, ça suffit largement à griller tout élément de PC branché dessus.
C'est arrivé à un PC de mon boulot la semaine dernière. Tout a dégagé, pas seulement les disques durs.
docanski wrote:
D'autres risques sont à considérer, par exemple :
- défaillance de l'alimentation qui crame tout (ça arrive)
- effacement des données par un virus ou une erreur de manipulation
J'oubliais d'ajouter : les 2 sauvegardes sous 2 OS différents : Win2000
et Linux Mdk.
Ça ne change rien : à partir du moment où les deux disques sont montés,
leur contenu peut être altéré.
Ce qui permet, en cas de problème de boot sous Win2000 (des pannes de ce
genre sont plus rares sous Linux) de toujours retrouver les deux partitions.
C'est aussi une précaution supplémentaire en cas "d'attaque virale".
Dans l'absolu, qu'est-ce qui empêche un virus Windows de détruire
sauvagement une partition Linux ?
Je serais toutefois curieux de savoir comment une alimentation
pourrait arriver à bousiller un DD
Les alimentations sont de type à découpage, il n'y a pas de
transformateur abaisseur de tension. Ce qui signifie qu'en cas de
défaillance de certains composants-clés, c'est l'intégralité de la
tension secteur qui peut se retrouver en sortie de l'alimentation. Et
même si ce n'est que 10 % de celle-ci (~ 20V) qui se retrouve sur la
sortie +5V, ça suffit largement à griller tout élément de PC branché
dessus.
C'est arrivé à un PC de mon boulot la semaine dernière. Tout a dégagé,
pas seulement les disques durs.
D'autres risques sont à considérer, par exemple : - défaillance de l'alimentation qui crame tout (ça arrive) - effacement des données par un virus ou une erreur de manipulation
J'oubliais d'ajouter : les 2 sauvegardes sous 2 OS différents : Win2000 et Linux Mdk.
Ça ne change rien : à partir du moment où les deux disques sont montés, leur contenu peut être altéré.
Ce qui permet, en cas de problème de boot sous Win2000 (des pannes de ce genre sont plus rares sous Linux) de toujours retrouver les deux partitions. C'est aussi une précaution supplémentaire en cas "d'attaque virale".
Dans l'absolu, qu'est-ce qui empêche un virus Windows de détruire sauvagement une partition Linux ?
Je serais toutefois curieux de savoir comment une alimentation pourrait arriver à bousiller un DD
Les alimentations sont de type à découpage, il n'y a pas de transformateur abaisseur de tension. Ce qui signifie qu'en cas de défaillance de certains composants-clés, c'est l'intégralité de la tension secteur qui peut se retrouver en sortie de l'alimentation. Et même si ce n'est que 10 % de celle-ci (~ 20V) qui se retrouve sur la sortie +5V, ça suffit largement à griller tout élément de PC branché dessus.
C'est arrivé à un PC de mon boulot la semaine dernière. Tout a dégagé, pas seulement les disques durs.
docanski
De ses petits doigts agiles tapotant delicatement le clavier, Annie D. nous a transmis un message disant en substance ce qui suit, en date du 21/05/2004 01:09 :
Dans l'absolu, qu'est-ce qui empêche un virus Windows de détruire sauvagement une partition Linux ?
Il ne la "voit" pas, comme Windows ne peut lire et donc "voir" une partition Linux. Et comme un virus "développé" pour pouvoir sévir sous Fat, Fat32 ou NTFS n'a jusqu'à présent (à ma connaissance) jamais été capable de corrompre en même temps une partition ext2 ou ext3 (extensions Linux) ...
Et même si ce n'est que 10 % de celle-ci (~ 20V) qui se retrouve sur la sortie +5V, ça suffit largement à griller tout élément de PC branché dessus. C'est arrivé à un PC de mon boulot la semaine dernière. Tout a dégagé, pas seulement les disques durs.
Curieux quand même car à l'entrée il s'agit de courant alternatif et à la sortie de courant continu ... A l'entrée, protégé par un fusible thermique : ce n'est pas suffisant dans certaines circonstances, notamment s'il s'agit de pics de tension très rapides où le fusible n'a pas le temps de "chauffer" pour être efficace. La foudre est l'exemple le plus "frappant" dans ces circonstances. Dans ces conditions, une protection par disjoncteur thermique électronique (à l'opposé du mécanique qu'est le simple fusible) est, normalement, suffisante. Après ce fusible, les composants sont essentiellement faits de transistors et de diodes dont les fourchettes de fonctionnement sont, en principe, garantes d'une tension régulière ... ou d'une coupure immédiate si les diodes sont correctement calibrées. Ce qui signifie, en résumé, que tout dépend de la qualité des composants de l'alimentation. -- Cordialement, docanski
Nature, histoire et légendes en - Côtes du nord de la Bretagne - Vallée de la Rance maritime Memento des champignons http://armorance.free.fr
De ses petits doigts agiles tapotant delicatement le clavier, Annie D.
nous a transmis un message disant en substance ce qui suit, en date du
21/05/2004 01:09 :
Dans l'absolu, qu'est-ce qui empêche un virus Windows de détruire
sauvagement une partition Linux ?
Il ne la "voit" pas, comme Windows ne peut lire et donc "voir" une
partition Linux.
Et comme un virus "développé" pour pouvoir sévir sous Fat, Fat32 ou NTFS
n'a jusqu'à présent (à ma connaissance) jamais été capable de corrompre
en même temps une partition ext2 ou ext3 (extensions Linux) ...
Et
même si ce n'est que 10 % de celle-ci (~ 20V) qui se retrouve sur la
sortie +5V, ça suffit largement à griller tout élément de PC branché
dessus.
C'est arrivé à un PC de mon boulot la semaine dernière. Tout a dégagé,
pas seulement les disques durs.
Curieux quand même car à l'entrée il s'agit de courant alternatif et à
la sortie de courant continu ...
A l'entrée, protégé par un fusible thermique : ce n'est pas suffisant
dans certaines circonstances, notamment s'il s'agit de pics de tension
très rapides où le fusible n'a pas le temps de "chauffer" pour être
efficace. La foudre est l'exemple le plus "frappant" dans ces
circonstances. Dans ces conditions, une protection par disjoncteur
thermique électronique (à l'opposé du mécanique qu'est le simple
fusible) est, normalement, suffisante.
Après ce fusible, les composants sont essentiellement faits de
transistors et de diodes dont les fourchettes de fonctionnement sont, en
principe, garantes d'une tension régulière ... ou d'une coupure
immédiate si les diodes sont correctement calibrées.
Ce qui signifie, en résumé, que tout dépend de la qualité des composants
de l'alimentation.
--
Cordialement,
docanski
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- Côtes du nord de la Bretagne
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De ses petits doigts agiles tapotant delicatement le clavier, Annie D. nous a transmis un message disant en substance ce qui suit, en date du 21/05/2004 01:09 :
Dans l'absolu, qu'est-ce qui empêche un virus Windows de détruire sauvagement une partition Linux ?
Il ne la "voit" pas, comme Windows ne peut lire et donc "voir" une partition Linux. Et comme un virus "développé" pour pouvoir sévir sous Fat, Fat32 ou NTFS n'a jusqu'à présent (à ma connaissance) jamais été capable de corrompre en même temps une partition ext2 ou ext3 (extensions Linux) ...
Et même si ce n'est que 10 % de celle-ci (~ 20V) qui se retrouve sur la sortie +5V, ça suffit largement à griller tout élément de PC branché dessus. C'est arrivé à un PC de mon boulot la semaine dernière. Tout a dégagé, pas seulement les disques durs.
Curieux quand même car à l'entrée il s'agit de courant alternatif et à la sortie de courant continu ... A l'entrée, protégé par un fusible thermique : ce n'est pas suffisant dans certaines circonstances, notamment s'il s'agit de pics de tension très rapides où le fusible n'a pas le temps de "chauffer" pour être efficace. La foudre est l'exemple le plus "frappant" dans ces circonstances. Dans ces conditions, une protection par disjoncteur thermique électronique (à l'opposé du mécanique qu'est le simple fusible) est, normalement, suffisante. Après ce fusible, les composants sont essentiellement faits de transistors et de diodes dont les fourchettes de fonctionnement sont, en principe, garantes d'une tension régulière ... ou d'une coupure immédiate si les diodes sont correctement calibrées. Ce qui signifie, en résumé, que tout dépend de la qualité des composants de l'alimentation. -- Cordialement, docanski
Nature, histoire et légendes en - Côtes du nord de la Bretagne - Vallée de la Rance maritime Memento des champignons http://armorance.free.fr
Annie D.
docanski wrote:
Dans l'absolu, qu'est-ce qui empêche un virus Windows de détruire sauvagement une partition Linux ?
Il ne la "voit" pas, comme Windows ne peut lire et donc "voir" une partition Linux.
Windows "voit" les partitions non-Windows, par l'intermédiaire de son gestionnaire de disques. Il ne peut pas les monter, c'est tout. Il peut également les effacer, alors un virus sous Windows le peut aussi. Avec un accès bas niveau au disque, on peut tout faire sous n'importe quel OS.
Et comme un virus "développé" pour pouvoir sévir sous Fat, Fat32 ou NTFS n'a jusqu'à présent (à ma connaissance) jamais été capable de corrompre en même temps une partition ext2 ou ext3 (extensions Linux) ...
Vous souvenez-vous du virus Tchernobyl/CIH ? Il effaçait méthodiquement le premier méga-octet du disque dur, écrasant la table de partition et le début de la première partition. Quel que soit sont type. Pas sectaire, le virus...
Curieux quand même car à l'entrée il s'agit de courant alternatif et à la sortie de courant continu ...
Le courant est toujours redressé avant d'être découpé. D'ailleurs, nombre d'alimentations secteur à découpage pourraient fonctionner aussi avec une source de courant continu. De toute façon, peu importe que la surtension en sortie soit alternative ou continue.
A l'entrée, protégé par un fusible thermique : ce n'est pas suffisant dans certaines circonstances, notamment s'il s'agit de pics de tension très rapides où le fusible n'a pas le temps de "chauffer" pour être efficace.
Surtout qu'un fusible protège des surintensités, pas des surtensions. Ensuite, pour les détails, je ne m'y connais pas plus que ça en alim à découpage.
Ce qui signifie, en résumé, que tout dépend de la qualité des composants de l'alimentation.
Oui, et de la qualité de la conception. Tout ça a un coût, comme toujours.
docanski wrote:
Dans l'absolu, qu'est-ce qui empêche un virus Windows de détruire
sauvagement une partition Linux ?
Il ne la "voit" pas, comme Windows ne peut lire et donc "voir" une
partition Linux.
Windows "voit" les partitions non-Windows, par l'intermédiaire de son
gestionnaire de disques. Il ne peut pas les monter, c'est tout. Il peut
également les effacer, alors un virus sous Windows le peut aussi. Avec
un accès bas niveau au disque, on peut tout faire sous n'importe quel
OS.
Et comme un virus "développé" pour pouvoir sévir sous Fat, Fat32 ou NTFS
n'a jusqu'à présent (à ma connaissance) jamais été capable de corrompre
en même temps une partition ext2 ou ext3 (extensions Linux) ...
Vous souvenez-vous du virus Tchernobyl/CIH ? Il effaçait méthodiquement
le premier méga-octet du disque dur, écrasant la table de partition et
le début de la première partition. Quel que soit sont type. Pas
sectaire, le virus...
Curieux quand même car à l'entrée il s'agit de courant alternatif et à
la sortie de courant continu ...
Le courant est toujours redressé avant d'être découpé. D'ailleurs,
nombre d'alimentations secteur à découpage pourraient fonctionner aussi
avec une source de courant continu. De toute façon, peu importe que la
surtension en sortie soit alternative ou continue.
A l'entrée, protégé par un fusible thermique : ce n'est pas suffisant
dans certaines circonstances, notamment s'il s'agit de pics de tension
très rapides où le fusible n'a pas le temps de "chauffer" pour être
efficace.
Surtout qu'un fusible protège des surintensités, pas des surtensions.
Ensuite, pour les détails, je ne m'y connais pas plus que ça en alim à
découpage.
Ce qui signifie, en résumé, que tout dépend de la qualité des composants
de l'alimentation.
Oui, et de la qualité de la conception. Tout ça a un coût, comme
toujours.
Dans l'absolu, qu'est-ce qui empêche un virus Windows de détruire sauvagement une partition Linux ?
Il ne la "voit" pas, comme Windows ne peut lire et donc "voir" une partition Linux.
Windows "voit" les partitions non-Windows, par l'intermédiaire de son gestionnaire de disques. Il ne peut pas les monter, c'est tout. Il peut également les effacer, alors un virus sous Windows le peut aussi. Avec un accès bas niveau au disque, on peut tout faire sous n'importe quel OS.
Et comme un virus "développé" pour pouvoir sévir sous Fat, Fat32 ou NTFS n'a jusqu'à présent (à ma connaissance) jamais été capable de corrompre en même temps une partition ext2 ou ext3 (extensions Linux) ...
Vous souvenez-vous du virus Tchernobyl/CIH ? Il effaçait méthodiquement le premier méga-octet du disque dur, écrasant la table de partition et le début de la première partition. Quel que soit sont type. Pas sectaire, le virus...
Curieux quand même car à l'entrée il s'agit de courant alternatif et à la sortie de courant continu ...
Le courant est toujours redressé avant d'être découpé. D'ailleurs, nombre d'alimentations secteur à découpage pourraient fonctionner aussi avec une source de courant continu. De toute façon, peu importe que la surtension en sortie soit alternative ou continue.
A l'entrée, protégé par un fusible thermique : ce n'est pas suffisant dans certaines circonstances, notamment s'il s'agit de pics de tension très rapides où le fusible n'a pas le temps de "chauffer" pour être efficace.
Surtout qu'un fusible protège des surintensités, pas des surtensions. Ensuite, pour les détails, je ne m'y connais pas plus que ça en alim à découpage.
Ce qui signifie, en résumé, que tout dépend de la qualité des composants de l'alimentation.
Oui, et de la qualité de la conception. Tout ça a un coût, comme toujours.