Le Mon, 04 Apr 2005 22:29:26 +0000, A. Caspis a écrit :et que la presse continue à présenter la signature électronique
comme un progrès pour l'usager, alors qu'ici au contraire c'est
un élément de preuve qui lui est opposable et qui finira par
avoir davantage de poids juridique qu'une signature manuscrite.
Amha, une signature électronique ne peut pas avoir plus de poids qu'une
signature manuelle, ne serait-ce que parce que sa valeur est limitée à
la durée de vie de clé qui l'a générée. Si on ajoute à cela toutes
Le Mon, 04 Apr 2005 22:29:26 +0000, A. Caspis a écrit :
et que la presse continue à présenter la signature électronique
comme un progrès pour l'usager, alors qu'ici au contraire c'est
un élément de preuve qui lui est opposable et qui finira par
avoir davantage de poids juridique qu'une signature manuscrite.
Amha, une signature électronique ne peut pas avoir plus de poids qu'une
signature manuelle, ne serait-ce que parce que sa valeur est limitée à
la durée de vie de clé qui l'a générée. Si on ajoute à cela toutes
Le Mon, 04 Apr 2005 22:29:26 +0000, A. Caspis a écrit :et que la presse continue à présenter la signature électronique
comme un progrès pour l'usager, alors qu'ici au contraire c'est
un élément de preuve qui lui est opposable et qui finira par
avoir davantage de poids juridique qu'une signature manuscrite.
Amha, une signature électronique ne peut pas avoir plus de poids qu'une
signature manuelle, ne serait-ce que parce que sa valeur est limitée à
la durée de vie de clé qui l'a générée. Si on ajoute à cela toutes
Nombreuses NullPointerExceptions dans la console (pas très
rassurant de la part d'une appli crypto... heureusement que
ce n'est pas du C).
Pour la déclaration des revenus, les enjeux sont faibles.
Mais cela m'ennuierait que la même infrastructure soit
généralisée à des applications plus sensibles (santé ?)
et que la presse continue à présenter la signature électronique
comme un progrès pour l'usager, alors qu'ici au contraire c'est
un élément de preuve qui lui est opposable et qui finira par
avoir davantage de poids juridique qu'une signature manuscrite.
Je suggère donc les améliorations suivantes:
- Une procédure qui me permet de générer mon certificat avec
le logiciel (ou token) de mon choix. Concrêtement: un
formulaire web où je saisis mon nom, mon numéro, le montant
de mon dernier impôt et mon certificat en upload, et qui me
renvoie mon certificat signé par la DGI.
D'ailleurs on peut probablement déjà faire ça en décortiquant
teleir_cryptolib.jar et les échanges avec le serveur.
- Une procédure de déclaration par email.
Logiquement c'est par là que la PKI devrait se développer.
En pratique: J'édite ma déclaration en ligne avec des jolis
formulaires en HTML, de l'aide en ligne etc. Puis le serveur
me l'envoie par email dans un format non ambigu (XML, ascii).
Je signe et je renvoie l'email signé.
Idéalement, le serveur m'envoie un accusé de réception signé.
Y a t-il des impossibilités techniques ?
Nombreuses NullPointerExceptions dans la console (pas très
rassurant de la part d'une appli crypto... heureusement que
ce n'est pas du C).
Pour la déclaration des revenus, les enjeux sont faibles.
Mais cela m'ennuierait que la même infrastructure soit
généralisée à des applications plus sensibles (santé ?)
et que la presse continue à présenter la signature électronique
comme un progrès pour l'usager, alors qu'ici au contraire c'est
un élément de preuve qui lui est opposable et qui finira par
avoir davantage de poids juridique qu'une signature manuscrite.
Je suggère donc les améliorations suivantes:
- Une procédure qui me permet de générer mon certificat avec
le logiciel (ou token) de mon choix. Concrêtement: un
formulaire web où je saisis mon nom, mon numéro, le montant
de mon dernier impôt et mon certificat en upload, et qui me
renvoie mon certificat signé par la DGI.
D'ailleurs on peut probablement déjà faire ça en décortiquant
teleir_cryptolib.jar et les échanges avec le serveur.
- Une procédure de déclaration par email.
Logiquement c'est par là que la PKI devrait se développer.
En pratique: J'édite ma déclaration en ligne avec des jolis
formulaires en HTML, de l'aide en ligne etc. Puis le serveur
me l'envoie par email dans un format non ambigu (XML, ascii).
Je signe et je renvoie l'email signé.
Idéalement, le serveur m'envoie un accusé de réception signé.
Y a t-il des impossibilités techniques ?
Nombreuses NullPointerExceptions dans la console (pas très
rassurant de la part d'une appli crypto... heureusement que
ce n'est pas du C).
Pour la déclaration des revenus, les enjeux sont faibles.
Mais cela m'ennuierait que la même infrastructure soit
généralisée à des applications plus sensibles (santé ?)
et que la presse continue à présenter la signature électronique
comme un progrès pour l'usager, alors qu'ici au contraire c'est
un élément de preuve qui lui est opposable et qui finira par
avoir davantage de poids juridique qu'une signature manuscrite.
Je suggère donc les améliorations suivantes:
- Une procédure qui me permet de générer mon certificat avec
le logiciel (ou token) de mon choix. Concrêtement: un
formulaire web où je saisis mon nom, mon numéro, le montant
de mon dernier impôt et mon certificat en upload, et qui me
renvoie mon certificat signé par la DGI.
D'ailleurs on peut probablement déjà faire ça en décortiquant
teleir_cryptolib.jar et les échanges avec le serveur.
- Une procédure de déclaration par email.
Logiquement c'est par là que la PKI devrait se développer.
En pratique: J'édite ma déclaration en ligne avec des jolis
formulaires en HTML, de l'aide en ligne etc. Puis le serveur
me l'envoie par email dans un format non ambigu (XML, ascii).
Je signe et je renvoie l'email signé.
Idéalement, le serveur m'envoie un accusé de réception signé.
Y a t-il des impossibilités techniques ?
Erwann ABALEA wrote:Tu proposes quoi pour faire la même chose, en t'adaptant le plus possible
à l'audience la plus large?
Une API suffisamment documentée pour que je puisse l'utiliser
avec des logiciels auxquels je fais confiance. Ensuite, libre à
la DGI (ou à des tiers) de proposer une interface interactive
au dessus. Pour la télédéclaration de la TVA des entreprises,
les éditeurs de logiciels de compta n'ont-ils aucun moyen
d'automatiser la procédure ?
La version user-friendly, c'est ce que tu vois à l'écran. La version
parsable par une machine, c'est ce que l'applet signe. Il n'y a pas de
juste milieu.
C'est pourtant un problème crucial. Que se passe t-il si je signe
un document ambigü tel que:
<body bgcolor="#E0E0E0">
<font color="#D0D0D0">Revenus 2004: 0 euro</font>
<font color="#F0F0F0">Revenus 2004: 1 euro</font>
</body>
- Pourquoi l'accusé de réception n'est-il pas signé, lui ?
Mme Michu pourrait-elle le vérifier?
Son Outlook afficherait un gros warning en rouge clignotant,
tout comme IE lorsqu'un site web présente un certificat louche.
Erwann ABALEA wrote:
Tu proposes quoi pour faire la même chose, en t'adaptant le plus possible
à l'audience la plus large?
Une API suffisamment documentée pour que je puisse l'utiliser
avec des logiciels auxquels je fais confiance. Ensuite, libre à
la DGI (ou à des tiers) de proposer une interface interactive
au dessus. Pour la télédéclaration de la TVA des entreprises,
les éditeurs de logiciels de compta n'ont-ils aucun moyen
d'automatiser la procédure ?
La version user-friendly, c'est ce que tu vois à l'écran. La version
parsable par une machine, c'est ce que l'applet signe. Il n'y a pas de
juste milieu.
C'est pourtant un problème crucial. Que se passe t-il si je signe
un document ambigü tel que:
<body bgcolor="#E0E0E0">
<font color="#D0D0D0">Revenus 2004: 0 euro</font>
<font color="#F0F0F0">Revenus 2004: 1 euro</font>
</body>
- Pourquoi l'accusé de réception n'est-il pas signé, lui ?
Mme Michu pourrait-elle le vérifier?
Son Outlook afficherait un gros warning en rouge clignotant,
tout comme IE lorsqu'un site web présente un certificat louche.
Erwann ABALEA wrote:Tu proposes quoi pour faire la même chose, en t'adaptant le plus possible
à l'audience la plus large?
Une API suffisamment documentée pour que je puisse l'utiliser
avec des logiciels auxquels je fais confiance. Ensuite, libre à
la DGI (ou à des tiers) de proposer une interface interactive
au dessus. Pour la télédéclaration de la TVA des entreprises,
les éditeurs de logiciels de compta n'ont-ils aucun moyen
d'automatiser la procédure ?
La version user-friendly, c'est ce que tu vois à l'écran. La version
parsable par une machine, c'est ce que l'applet signe. Il n'y a pas de
juste milieu.
C'est pourtant un problème crucial. Que se passe t-il si je signe
un document ambigü tel que:
<body bgcolor="#E0E0E0">
<font color="#D0D0D0">Revenus 2004: 0 euro</font>
<font color="#F0F0F0">Revenus 2004: 1 euro</font>
</body>
- Pourquoi l'accusé de réception n'est-il pas signé, lui ?
Mme Michu pourrait-elle le vérifier?
Son Outlook afficherait un gros warning en rouge clignotant,
tout comme IE lorsqu'un site web présente un certificat louche.
Erwann ABALEA wrote:
Mme Michu, Mme Michu... Me rappeler mon mot de passe une fois par an, j'ai du
mal aussi! J'ai eu besoin de quelques essais, et heureusement que c'est un mot
de passe que j'utilise ailleurs.
Et là, quelle solution, à part le noter quelque part, ce mot de passe?
Pas exactement. On sait fournir un certificat à l'usager final quel que
soit son navigateur (en gros). Ca ne pose aucun problème depuis plusieurs
années. Mais ici, on a besoin d'utiliser le certificat pour un usage non
prévu par les navigateurs, et ça coince.
L'authentification du client par le serveur?
D'ailleurs, il faudra que je vois s'il est possible/utile de chercher un contact
technique pour remonter ces problèmes si j'arrive à les cerner correctement.
Il veut que frjv disparaisse afin que les contacts entre pirates
et public soit réduits. Cela afin d'assurer son pain quotidien.
lepen va etre content d'apprendre que des ges partageant ses idees
Erwann ABALEA wrote:
Mme Michu, Mme Michu... Me rappeler mon mot de passe une fois par an, j'ai du
mal aussi! J'ai eu besoin de quelques essais, et heureusement que c'est un mot
de passe que j'utilise ailleurs.
Et là, quelle solution, à part le noter quelque part, ce mot de passe?
Pas exactement. On sait fournir un certificat à l'usager final quel que
soit son navigateur (en gros). Ca ne pose aucun problème depuis plusieurs
années. Mais ici, on a besoin d'utiliser le certificat pour un usage non
prévu par les navigateurs, et ça coince.
L'authentification du client par le serveur?
D'ailleurs, il faudra que je vois s'il est possible/utile de chercher un contact
technique pour remonter ces problèmes si j'arrive à les cerner correctement.
Il veut que frjv disparaisse afin que les contacts entre pirates
et public soit réduits. Cela afin d'assurer son pain quotidien.
lepen va etre content d'apprendre que des ges partageant ses idees
Erwann ABALEA wrote:
Mme Michu, Mme Michu... Me rappeler mon mot de passe une fois par an, j'ai du
mal aussi! J'ai eu besoin de quelques essais, et heureusement que c'est un mot
de passe que j'utilise ailleurs.
Et là, quelle solution, à part le noter quelque part, ce mot de passe?
Pas exactement. On sait fournir un certificat à l'usager final quel que
soit son navigateur (en gros). Ca ne pose aucun problème depuis plusieurs
années. Mais ici, on a besoin d'utiliser le certificat pour un usage non
prévu par les navigateurs, et ça coince.
L'authentification du client par le serveur?
D'ailleurs, il faudra que je vois s'il est possible/utile de chercher un contact
technique pour remonter ces problèmes si j'arrive à les cerner correctement.
Il veut que frjv disparaisse afin que les contacts entre pirates
et public soit réduits. Cela afin d'assurer son pain quotidien.
lepen va etre content d'apprendre que des ges partageant ses idees
Par contre, comment l'administration fiscale peut-elle prouver qu'une
déclaration donnée a bien été effectuée par un contribuable et pas par
l'administration fiscale elle-même ?
Justement parce que le certificat du client est généré par l'applet
Java sur le poste du client, et que l'administration n'en possède pas la
clé publique. Non ?
Par contre, comment l'administration fiscale peut-elle prouver qu'une
déclaration donnée a bien été effectuée par un contribuable et pas par
l'administration fiscale elle-même ?
Justement parce que le certificat du client est généré par l'applet
Java sur le poste du client, et que l'administration n'en possède pas la
clé publique. Non ?
Par contre, comment l'administration fiscale peut-elle prouver qu'une
déclaration donnée a bien été effectuée par un contribuable et pas par
l'administration fiscale elle-même ?
Justement parce que le certificat du client est généré par l'applet
Java sur le poste du client, et que l'administration n'en possède pas la
clé publique. Non ?
C'est pas une mauvaise solution, si tu n'utilises pas le post-it sous le
clavier. Un logiciel pour stocker tes différents mots de passe, le tout
sous une forme chiffrée, c'est pas si mauvais. C'est un peu comme un
coffre qui contiendrait des clés d'autres coffres.
Client au sens humain, pas au sens navigateur. On délivre un certificat
pour un usager. On a plusieurs solutions pour ça:
- type DGI: des infos d'un niveau de confidentialité variable sont
envoyées à l'usager, et sont stockées sur les serveurs de la DGI. Une
comparaison est effectuée quand l'usager veut un certificat,
- type Verisign serveur: l'usager demande un certificat, sa demande est
en attente côté AC, un (ou plusieurs) représentant de l'AC contacte
l'usager (par téléphone par exemple), effectue quelques vérifications,
et décide de valider ou rejeter la requête.
Je ne peux pas remonter ces infos, mais je sais que ça ne sert à rien,
tout sera changé pour la prochaine campagne.
C'est pas une mauvaise solution, si tu n'utilises pas le post-it sous le
clavier. Un logiciel pour stocker tes différents mots de passe, le tout
sous une forme chiffrée, c'est pas si mauvais. C'est un peu comme un
coffre qui contiendrait des clés d'autres coffres.
Client au sens humain, pas au sens navigateur. On délivre un certificat
pour un usager. On a plusieurs solutions pour ça:
- type DGI: des infos d'un niveau de confidentialité variable sont
envoyées à l'usager, et sont stockées sur les serveurs de la DGI. Une
comparaison est effectuée quand l'usager veut un certificat,
- type Verisign serveur: l'usager demande un certificat, sa demande est
en attente côté AC, un (ou plusieurs) représentant de l'AC contacte
l'usager (par téléphone par exemple), effectue quelques vérifications,
et décide de valider ou rejeter la requête.
Je ne peux pas remonter ces infos, mais je sais que ça ne sert à rien,
tout sera changé pour la prochaine campagne.
C'est pas une mauvaise solution, si tu n'utilises pas le post-it sous le
clavier. Un logiciel pour stocker tes différents mots de passe, le tout
sous une forme chiffrée, c'est pas si mauvais. C'est un peu comme un
coffre qui contiendrait des clés d'autres coffres.
Client au sens humain, pas au sens navigateur. On délivre un certificat
pour un usager. On a plusieurs solutions pour ça:
- type DGI: des infos d'un niveau de confidentialité variable sont
envoyées à l'usager, et sont stockées sur les serveurs de la DGI. Une
comparaison est effectuée quand l'usager veut un certificat,
- type Verisign serveur: l'usager demande un certificat, sa demande est
en attente côté AC, un (ou plusieurs) représentant de l'AC contacte
l'usager (par téléphone par exemple), effectue quelques vérifications,
et décide de valider ou rejeter la requête.
Je ne peux pas remonter ces infos, mais je sais que ça ne sert à rien,
tout sera changé pour la prochaine campagne.
Non. Qu'est-ce qui prouve que le "poste du client" n'est pas en fait
le poste d'un employé de l'administration fiscale ?
Non. Qu'est-ce qui prouve que le "poste du client" n'est pas en fait
le poste d'un employé de l'administration fiscale ?
Non. Qu'est-ce qui prouve que le "poste du client" n'est pas en fait
le poste d'un employé de l'administration fiscale ?
Client au sens humain, pas au sens navigateur. On délivre un certificat
pour un usager. On a plusieurs solutions pour ça:
- type DGI: des infos d'un niveau de confidentialité variable sont
envoyées à l'usager, et sont stockées sur les serveurs de la DGI. Une
comparaison est effectuée quand l'usager veut un certificat,
Client au sens humain, pas au sens navigateur. On délivre un certificat
pour un usager. On a plusieurs solutions pour ça:
- type DGI: des infos d'un niveau de confidentialité variable sont
envoyées à l'usager, et sont stockées sur les serveurs de la DGI. Une
comparaison est effectuée quand l'usager veut un certificat,
Client au sens humain, pas au sens navigateur. On délivre un certificat
pour un usager. On a plusieurs solutions pour ça:
- type DGI: des infos d'un niveau de confidentialité variable sont
envoyées à l'usager, et sont stockées sur les serveurs de la DGI. Une
comparaison est effectuée quand l'usager veut un certificat,
Outre le fait que le HTML n'est pas la meilleure forme pour stocker des
informations manipulées par une machine, quelle est réellement ta
question?
Si tu décides de signer ça, tu t'engages sur des c*nneries, et
tant pis pour toi. [...]
Outre le fait que le HTML n'est pas la meilleure forme pour stocker des
informations manipulées par une machine, quelle est réellement ta
question?
Si tu décides de signer ça, tu t'engages sur des c*nneries, et
tant pis pour toi. [...]
Outre le fait que le HTML n'est pas la meilleure forme pour stocker des
informations manipulées par une machine, quelle est réellement ta
question?
Si tu décides de signer ça, tu t'engages sur des c*nneries, et
tant pis pour toi. [...]
Le Tue, 05 Apr 2005 06:20:47 +0000, Fabien LE LEZ a écrit :Par contre, comment l'administration fiscale peut-elle prouver qu'une
déclaration donnée a bien été effectuée par un contribuable et pas par
l'administration fiscale elle-même ?
Justement parce que le certificat du client est généré par l'applet
Java sur le poste du client, et que l'administration n'en possède pas la
clé publique. Non ?
Évidemment, on pourrait arguer que l'applet est
biaisée et que la clé privée est en fait envoyée à la méchante
administration, mais les études de l'applet ne le montre pas.
Le Tue, 05 Apr 2005 06:20:47 +0000, Fabien LE LEZ a écrit :
Par contre, comment l'administration fiscale peut-elle prouver qu'une
déclaration donnée a bien été effectuée par un contribuable et pas par
l'administration fiscale elle-même ?
Justement parce que le certificat du client est généré par l'applet
Java sur le poste du client, et que l'administration n'en possède pas la
clé publique. Non ?
Évidemment, on pourrait arguer que l'applet est
biaisée et que la clé privée est en fait envoyée à la méchante
administration, mais les études de l'applet ne le montre pas.
Le Tue, 05 Apr 2005 06:20:47 +0000, Fabien LE LEZ a écrit :Par contre, comment l'administration fiscale peut-elle prouver qu'une
déclaration donnée a bien été effectuée par un contribuable et pas par
l'administration fiscale elle-même ?
Justement parce que le certificat du client est généré par l'applet
Java sur le poste du client, et que l'administration n'en possède pas la
clé publique. Non ?
Évidemment, on pourrait arguer que l'applet est
biaisée et que la clé privée est en fait envoyée à la méchante
administration, mais les études de l'applet ne le montre pas.