demande d'aide pour une orientation hors droit après une licence de droit
12 réponses
fers
Bonjour,
J'ai eu mon Deug en droit cette ann=E9e et je d=E9sire m'orienter
correctement. Le soucis est que j'aime les arts (musique, danse,
chant...) et tout ce qui pourrait =EAtre li=E9 =E0 la th=E9rapie (massage,
entretien du corps, zen, antistress). J'aime =EAtre en contact avec les
gens et bouger(dynamique et d=E9termin=E9e). En droit, ma carri=E8re se
tournerait logiquement vers une =E9cole d'avocats et comme je parle d=E9j=E0=
anglais courament,allemand plut=F4t bien, vers l'international. Mais le
monde des avocats est un monde de stress constant, de pression,
d'=E9nervement, d'une non vie (sauf si l'on est passion=E9, ce qui n'est
pas mon cas ici).
Naturellement je vais finir ma licence en droit, mais que faire par la
suite? o=F9 m'orienter?
Quels seraient vos conseils?
"Fred" a écrit dans le message de news: 4844fb55$0$837$
fers a écrit :
On 2 juin, 17:36, Goulafra wrote:
fers wrote in news:e314070b-1d84-45fd-ba60- :
[snip]
Merci d'avoir été aussi clair et rapide à répondre, mais le truc est que si j'ai fait un baccalauréat scientifique, classe européenne, et non théatre, c'était pour éviter cela. C'était pour garder des portes ouvertes et développer mes capacités. D'ailleurs le théatre est quelque chose d'utile pour les avocats notemment. De plus, je sais que des carrières à base d'une licence en droit "hors droit" existent en angleterre, au canada etc (recherche sur le sujet sur des sites anglo-saxons et références : "nonlegal careers for lawyers" by Gary Munneke), mais ce que je n'arrive pas à trouver, ce sont les ouvertures en France, ou en tout cas à partir de la France, des examples de personnes ayant bifurqués, etc...
Euh, non, là, on est en France, il ne faut pas rêver, une fois engagé dans un cursus, il est difficile d'en sortir, et encore, même en droit passer du statut d'employé d'un cabinet "libéral" à celui de juriste d'entreprise relève de l'exploit.
Ah bon ? Dans ma branche (PI), je n'ai eu aucun souci à passer de l'entreprise (grande ou petite) aux cabinets (CPI ou avocats PI)...
Oui, mais cela suppose une spécialisation à bac +5, la question était une "bifurcation" après un bac +3. Et puis passer de la gestion PI d'une Entreprise (j'imagine d'une certaine importance, pour avoir un service dédié) à un cabinet PI, ce n'est pas bifurquer. Tu restes dans la même branché spécialisée.
Marie-Gwen a écrit :
"Fred" <arleach@NOSPAM.invalid> a écrit dans le message de news:
4844fb55$0$837$ba4acef3@news.orange.fr...
fers a écrit :
On 2 juin, 17:36, Goulafra <goula...@nullepart.fr> wrote:
fers <clairedou...@hotmail.fr> wrote in news:e314070b-1d84-45fd-ba60-
5ceb416c4...@l42g2000hsc.googlegroups.com:
[snip]
Merci d'avoir été aussi clair et rapide à répondre, mais le truc est
que si j'ai fait un baccalauréat scientifique, classe européenne, et
non théatre, c'était pour éviter cela. C'était pour garder des portes
ouvertes et développer mes capacités.
D'ailleurs le théatre est quelque chose d'utile pour les avocats
notemment.
De plus, je sais que des carrières à base d'une licence en droit "hors
droit" existent en angleterre, au canada etc (recherche sur le sujet
sur des sites anglo-saxons et références : "nonlegal careers for
lawyers" by Gary Munneke), mais ce que je n'arrive pas à trouver, ce
sont les ouvertures en France, ou en tout cas à partir de la France,
des examples de personnes ayant bifurqués, etc...
Euh, non, là, on est en France, il ne faut pas rêver, une fois engagé dans
un cursus, il est difficile d'en sortir, et encore, même en droit passer
du statut d'employé d'un cabinet "libéral" à celui de juriste d'entreprise
relève de l'exploit.
Ah bon ? Dans ma branche (PI), je n'ai eu aucun souci à passer de
l'entreprise (grande ou petite) aux cabinets (CPI ou avocats PI)...
Oui, mais cela suppose une spécialisation à bac +5, la question était
une "bifurcation" après un bac +3. Et puis passer de la gestion PI d'une
Entreprise (j'imagine d'une certaine importance, pour avoir un service
dédié) à un cabinet PI, ce n'est pas bifurquer. Tu restes dans la même
branché spécialisée.
"Fred" a écrit dans le message de news: 4844fb55$0$837$
fers a écrit :
On 2 juin, 17:36, Goulafra wrote:
fers wrote in news:e314070b-1d84-45fd-ba60- :
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Merci d'avoir été aussi clair et rapide à répondre, mais le truc est que si j'ai fait un baccalauréat scientifique, classe européenne, et non théatre, c'était pour éviter cela. C'était pour garder des portes ouvertes et développer mes capacités. D'ailleurs le théatre est quelque chose d'utile pour les avocats notemment. De plus, je sais que des carrières à base d'une licence en droit "hors droit" existent en angleterre, au canada etc (recherche sur le sujet sur des sites anglo-saxons et références : "nonlegal careers for lawyers" by Gary Munneke), mais ce que je n'arrive pas à trouver, ce sont les ouvertures en France, ou en tout cas à partir de la France, des examples de personnes ayant bifurqués, etc...
Euh, non, là, on est en France, il ne faut pas rêver, une fois engagé dans un cursus, il est difficile d'en sortir, et encore, même en droit passer du statut d'employé d'un cabinet "libéral" à celui de juriste d'entreprise relève de l'exploit.
Ah bon ? Dans ma branche (PI), je n'ai eu aucun souci à passer de l'entreprise (grande ou petite) aux cabinets (CPI ou avocats PI)...
Oui, mais cela suppose une spécialisation à bac +5, la question était une "bifurcation" après un bac +3. Et puis passer de la gestion PI d'une Entreprise (j'imagine d'une certaine importance, pour avoir un service dédié) à un cabinet PI, ce n'est pas bifurquer. Tu restes dans la même branché spécialisée.
Fred
fers a écrit :
On 3 juin, 10:08, Fred wrote:
fers a écrit :
On 2 juin, 17:36, Goulafra wrote:
fers wrote in news:e314070b-1d84-45fd-ba60- :
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Pas si on a un nationalité franco-britannique. De plus, les facultés proposent, par le biais du programme Erasmus Socrates, d'étudier en Angleterre et dans certaines, à Cambridge même (en master 1). à partir de là, dès que le pied est en Angleterre, les études sur place sont possibles, d'où le cursus d'une étudiante de la faculté de poitiers après un an à Cambridge en internship pour devenir avocate en Angleterre ce qu'elle a réussi. En effet, la France est dans l'Union Européenne dont l'Angleterre fait partie et elle est même membre fondateur.
Certes, mais tu n'évoquais pas l'hypothèse d'une expatriation. Il est bien évident, si tu en as la possibilité, que cela t'ouvriras des possibilité qui n'existent pas en France.
Mais là, il faut bien choisir, et réfléchir à ta carrière à moyen et long terme, savoir dans quel pays tu veux travailler, et comment ton cursus y sera perçu.
Car contrairement à une idée reçue, les cursus atypique ne sont pas très appréciés en France, et les anciens expatriés ne le sont pas d'avantage (en dehors d'une mobilité dans le cadre d'une entreprise transnationale, il est difficile de se recaser).
fers a écrit :
On 3 juin, 10:08, Fred <arle...@NOSPAM.invalid> wrote:
fers a écrit :
On 2 juin, 17:36, Goulafra <goula...@nullepart.fr> wrote:
fers <clairedou...@hotmail.fr> wrote in news:e314070b-1d84-45fd-ba60-
5ceb416c4...@l42g2000hsc.googlegroups.com:
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Pas si on a un nationalité franco-britannique. De plus, les facultés
proposent, par le biais du programme Erasmus Socrates, d'étudier en
Angleterre et dans certaines, à Cambridge même (en master 1). à partir
de là, dès que le pied est en Angleterre, les études sur place sont
possibles, d'où le cursus d'une étudiante de la faculté de poitiers
après un an à Cambridge en internship pour devenir avocate en
Angleterre ce qu'elle a réussi.
En effet, la France est dans l'Union Européenne dont l'Angleterre fait
partie et elle est même membre fondateur.
Certes, mais tu n'évoquais pas l'hypothèse d'une expatriation. Il est
bien évident, si tu en as la possibilité, que cela t'ouvriras des
possibilité qui n'existent pas en France.
Mais là, il faut bien choisir, et réfléchir à ta carrière à moyen et
long terme, savoir dans quel pays tu veux travailler, et comment ton
cursus y sera perçu.
Car contrairement à une idée reçue, les cursus atypique ne sont pas très
appréciés en France, et les anciens expatriés ne le sont pas
d'avantage (en dehors d'une mobilité dans le cadre d'une entreprise
transnationale, il est difficile de se recaser).
Pas si on a un nationalité franco-britannique. De plus, les facultés proposent, par le biais du programme Erasmus Socrates, d'étudier en Angleterre et dans certaines, à Cambridge même (en master 1). à partir de là, dès que le pied est en Angleterre, les études sur place sont possibles, d'où le cursus d'une étudiante de la faculté de poitiers après un an à Cambridge en internship pour devenir avocate en Angleterre ce qu'elle a réussi. En effet, la France est dans l'Union Européenne dont l'Angleterre fait partie et elle est même membre fondateur.
Certes, mais tu n'évoquais pas l'hypothèse d'une expatriation. Il est bien évident, si tu en as la possibilité, que cela t'ouvriras des possibilité qui n'existent pas en France.
Mais là, il faut bien choisir, et réfléchir à ta carrière à moyen et long terme, savoir dans quel pays tu veux travailler, et comment ton cursus y sera perçu.
Car contrairement à une idée reçue, les cursus atypique ne sont pas très appréciés en France, et les anciens expatriés ne le sont pas d'avantage (en dehors d'une mobilité dans le cadre d'une entreprise transnationale, il est difficile de se recaser).