Il serait utile de situer (pour évaluer ce témoignage) s'il fait
référence à la période où il suffisait de faire 507 heures sur une année
pour avoir droit aux assedics des intermittents à hauteur de la
*moyenne* des cachets pris en compte.
Cette période idyllique n'est plus. La situation actuelle est nettement
moins avantageuse, et rien, mais alors *rien* ne permet d'espérer
qu'elle puisse s'améliorer dans un avenir proche. (par contre les
probabilités qu'elle empire ne sont pas minces).
Je me fais volontairement l'avocat du diable, car la prétendante est
très jeune et est une fille. Il n'y a pas eu beaucoup de commentaires
sur la réalité très masculine de la profession et sur les raisons que
j'évoquais.
Je t'accorde qu'il y aura toujours besoin de techniciens compétents et
que quelqu'un de talentueux pourra probablement y arriver. Accorde-moi
que le donneur d'ordre reste totalement maître de ses choix et que,
d'une manière ou d'une autre, il faut se mettre en position de *plaire*.
C'est différent d'une qualification où le simple fait d'avoir le diplôme
fait la décision, le drh étant seulement à la recherche d'un nom à
mettre sur la fiche en T sur son tableau des effectifs.
Il serait utile de situer (pour évaluer ce témoignage) s'il fait
référence à la période où il suffisait de faire 507 heures sur une année
pour avoir droit aux assedics des intermittents à hauteur de la
*moyenne* des cachets pris en compte.
Cette période idyllique n'est plus. La situation actuelle est nettement
moins avantageuse, et rien, mais alors *rien* ne permet d'espérer
qu'elle puisse s'améliorer dans un avenir proche. (par contre les
probabilités qu'elle empire ne sont pas minces).
Je me fais volontairement l'avocat du diable, car la prétendante est
très jeune et est une fille. Il n'y a pas eu beaucoup de commentaires
sur la réalité très masculine de la profession et sur les raisons que
j'évoquais.
Je t'accorde qu'il y aura toujours besoin de techniciens compétents et
que quelqu'un de talentueux pourra probablement y arriver. Accorde-moi
que le donneur d'ordre reste totalement maître de ses choix et que,
d'une manière ou d'une autre, il faut se mettre en position de *plaire*.
C'est différent d'une qualification où le simple fait d'avoir le diplôme
fait la décision, le drh étant seulement à la recherche d'un nom à
mettre sur la fiche en T sur son tableau des effectifs.
Il serait utile de situer (pour évaluer ce témoignage) s'il fait
référence à la période où il suffisait de faire 507 heures sur une année
pour avoir droit aux assedics des intermittents à hauteur de la
*moyenne* des cachets pris en compte.
Cette période idyllique n'est plus. La situation actuelle est nettement
moins avantageuse, et rien, mais alors *rien* ne permet d'espérer
qu'elle puisse s'améliorer dans un avenir proche. (par contre les
probabilités qu'elle empire ne sont pas minces).
Je me fais volontairement l'avocat du diable, car la prétendante est
très jeune et est une fille. Il n'y a pas eu beaucoup de commentaires
sur la réalité très masculine de la profession et sur les raisons que
j'évoquais.
Je t'accorde qu'il y aura toujours besoin de techniciens compétents et
que quelqu'un de talentueux pourra probablement y arriver. Accorde-moi
que le donneur d'ordre reste totalement maître de ses choix et que,
d'une manière ou d'une autre, il faut se mettre en position de *plaire*.
C'est différent d'une qualification où le simple fait d'avoir le diplôme
fait la décision, le drh étant seulement à la recherche d'un nom à
mettre sur la fiche en T sur son tableau des effectifs.
Il serait utile de situer (pour évaluer ce témoignage) s'il fait
référence à la période où il suffisait de faire 507 heures sur une année
pour avoir droit aux assedics des intermittents à hauteur de la
*moyenne* des cachets pris en compte.
Cette période idyllique n'est plus. La situation actuelle est nettement
moins avantageuse, et rien, mais alors *rien* ne permet d'espérer
qu'elle puisse s'améliorer dans un avenir proche. (par contre les
probabilités qu'elle empire ne sont pas minces).
Je me fais volontairement l'avocat du diable, car la prétendante est
très jeune et est une fille. Il n'y a pas eu beaucoup de commentaires
sur la réalité très masculine de la profession et sur les raisons que
j'évoquais.
Je t'accorde qu'il y aura toujours besoin de techniciens compétents et
que quelqu'un de talentueux pourra probablement y arriver. Accorde-moi
que le donneur d'ordre reste totalement maître de ses choix et que,
d'une manière ou d'une autre, il faut se mettre en position de *plaire*.
C'est différent d'une qualification où le simple fait d'avoir le diplôme
fait la décision, le drh étant seulement à la recherche d'un nom à
mettre sur la fiche en T sur son tableau des effectifs.
Il serait utile de situer (pour évaluer ce témoignage) s'il fait
référence à la période où il suffisait de faire 507 heures sur une année
pour avoir droit aux assedics des intermittents à hauteur de la
*moyenne* des cachets pris en compte.
Cette période idyllique n'est plus. La situation actuelle est nettement
moins avantageuse, et rien, mais alors *rien* ne permet d'espérer
qu'elle puisse s'améliorer dans un avenir proche. (par contre les
probabilités qu'elle empire ne sont pas minces).
Je me fais volontairement l'avocat du diable, car la prétendante est
très jeune et est une fille. Il n'y a pas eu beaucoup de commentaires
sur la réalité très masculine de la profession et sur les raisons que
j'évoquais.
Je t'accorde qu'il y aura toujours besoin de techniciens compétents et
que quelqu'un de talentueux pourra probablement y arriver. Accorde-moi
que le donneur d'ordre reste totalement maître de ses choix et que,
d'une manière ou d'une autre, il faut se mettre en position de *plaire*.
C'est différent d'une qualification où le simple fait d'avoir le diplôme
fait la décision, le drh étant seulement à la recherche d'un nom à
mettre sur la fiche en T sur son tableau des effectifs.
Il serait utile de situer (pour évaluer ce témoignage) s'il fait
référence à la période où il suffisait de faire 507 heures sur une année
pour avoir droit aux assedics des intermittents à hauteur de la
*moyenne* des cachets pris en compte.
Cette période idyllique n'est plus. La situation actuelle est nettement
moins avantageuse, et rien, mais alors *rien* ne permet d'espérer
qu'elle puisse s'améliorer dans un avenir proche. (par contre les
probabilités qu'elle empire ne sont pas minces).
Je me fais volontairement l'avocat du diable, car la prétendante est
très jeune et est une fille. Il n'y a pas eu beaucoup de commentaires
sur la réalité très masculine de la profession et sur les raisons que
j'évoquais.
Je t'accorde qu'il y aura toujours besoin de techniciens compétents et
que quelqu'un de talentueux pourra probablement y arriver. Accorde-moi
que le donneur d'ordre reste totalement maître de ses choix et que,
d'une manière ou d'une autre, il faut se mettre en position de *plaire*.
C'est différent d'une qualification où le simple fait d'avoir le diplôme
fait la décision, le drh étant seulement à la recherche d'un nom à
mettre sur la fiche en T sur son tableau des effectifs.
Il serait utile de situer (pour évaluer ce témoignage) s'il fait
référence à la période où il suffisait de faire 507 heures sur une année
pour avoir droit aux assedics des intermittents à hauteur de la
*moyenne* des cachets pris en compte.
Cette période idyllique n'est plus. La situation actuelle est nettement
moins avantageuse, et rien, mais alors *rien* ne permet d'espérer
qu'elle puisse s'améliorer dans un avenir proche. (par contre les
probabilités qu'elle empire ne sont pas minces).
Je me fais volontairement l'avocat du diable, car la prétendante est
très jeune et est une fille. Il n'y a pas eu beaucoup de commentaires
sur la réalité très masculine de la profession et sur les raisons que
j'évoquais.
Je t'accorde qu'il y aura toujours besoin de techniciens compétents et
que quelqu'un de talentueux pourra probablement y arriver. Accorde-moi
que le donneur d'ordre reste totalement maître de ses choix et que,
d'une manière ou d'une autre, il faut se mettre en position de *plaire*.
C'est différent d'une qualification où le simple fait d'avoir le diplôme
fait la décision, le drh étant seulement à la recherche d'un nom à
mettre sur la fiche en T sur son tableau des effectifs.
Il serait utile de situer (pour évaluer ce témoignage) s'il fait
référence à la période où il suffisait de faire 507 heures sur une année
pour avoir droit aux assedics des intermittents à hauteur de la
*moyenne* des cachets pris en compte.
Cette période idyllique n'est plus. La situation actuelle est nettement
moins avantageuse, et rien, mais alors *rien* ne permet d'espérer
qu'elle puisse s'améliorer dans un avenir proche. (par contre les
probabilités qu'elle empire ne sont pas minces).
Je me fais volontairement l'avocat du diable, car la prétendante est
très jeune et est une fille. Il n'y a pas eu beaucoup de commentaires
sur la réalité très masculine de la profession et sur les raisons que
j'évoquais.
Je t'accorde qu'il y aura toujours besoin de techniciens compétents et
que quelqu'un de talentueux pourra probablement y arriver. Accorde-moi
que le donneur d'ordre reste totalement maître de ses choix et que,
d'une manière ou d'une autre, il faut se mettre en position de *plaire*.
C'est différent d'une qualification où le simple fait d'avoir le diplôme
fait la décision, le drh étant seulement à la recherche d'un nom à
mettre sur la fiche en T sur son tableau des effectifs.
Il serait utile de situer (pour évaluer ce témoignage) s'il fait
référence à la période où il suffisait de faire 507 heures sur une année
pour avoir droit aux assedics des intermittents à hauteur de la
*moyenne* des cachets pris en compte.
Cette période idyllique n'est plus. La situation actuelle est nettement
moins avantageuse, et rien, mais alors *rien* ne permet d'espérer
qu'elle puisse s'améliorer dans un avenir proche. (par contre les
probabilités qu'elle empire ne sont pas minces).
Je me fais volontairement l'avocat du diable, car la prétendante est
très jeune et est une fille. Il n'y a pas eu beaucoup de commentaires
sur la réalité très masculine de la profession et sur les raisons que
j'évoquais.
Je t'accorde qu'il y aura toujours besoin de techniciens compétents et
que quelqu'un de talentueux pourra probablement y arriver. Accorde-moi
que le donneur d'ordre reste totalement maître de ses choix et que,
d'une manière ou d'une autre, il faut se mettre en position de *plaire*.
C'est différent d'une qualification où le simple fait d'avoir le diplôme
fait la décision, le drh étant seulement à la recherche d'un nom à
mettre sur la fiche en T sur son tableau des effectifs.
Ceux qui travaillent régulièrement, les bons diront nous, n'ont
pas besoin des allocations chomage.
Au risque de faire hurler, je trouve que ce statut est une immense
injustice par rapport au régime général. Tout au moins pour la
branche technique de la profession. Même quand j'en bénéficiais je
n'étais pas contre sa suspension pure et simple pour toute la
branche technique. Parce que bon... les intermittents permanents
on connait tous ça, les arrangement après coup sur les cachets
aussi. C'était ça il y a 20 ans et ça l'est toujours.
Aller planter 4 MTD108 ou PS10 pour sonoriser un
pupitre pour qu'un unique orateur vienne prendre la parole devant
200p par exemple, c'est aussi du boulot, et un cachet.
Ceux qui travaillent régulièrement, les bons diront nous, n'ont
pas besoin des allocations chomage.
Au risque de faire hurler, je trouve que ce statut est une immense
injustice par rapport au régime général. Tout au moins pour la
branche technique de la profession. Même quand j'en bénéficiais je
n'étais pas contre sa suspension pure et simple pour toute la
branche technique. Parce que bon... les intermittents permanents
on connait tous ça, les arrangement après coup sur les cachets
aussi. C'était ça il y a 20 ans et ça l'est toujours.
Aller planter 4 MTD108 ou PS10 pour sonoriser un
pupitre pour qu'un unique orateur vienne prendre la parole devant
200p par exemple, c'est aussi du boulot, et un cachet.
Ceux qui travaillent régulièrement, les bons diront nous, n'ont
pas besoin des allocations chomage.
Au risque de faire hurler, je trouve que ce statut est une immense
injustice par rapport au régime général. Tout au moins pour la
branche technique de la profession. Même quand j'en bénéficiais je
n'étais pas contre sa suspension pure et simple pour toute la
branche technique. Parce que bon... les intermittents permanents
on connait tous ça, les arrangement après coup sur les cachets
aussi. C'était ça il y a 20 ans et ça l'est toujours.
Aller planter 4 MTD108 ou PS10 pour sonoriser un
pupitre pour qu'un unique orateur vienne prendre la parole devant
200p par exemple, c'est aussi du boulot, et un cachet.
Ça dépend de l'activité. En théâtre, quand il y a un mois de
répétitions tous les jours, surtout pour les acteurs moins pour les
techniciens, il n'y a pas de cachet, pas de paye, rien sinon les
défraiements, à part peut-être avec les compagnies riches (ou très
subventionnées).
Aller planter 4 MTD108 ou PS10 pour sonoriser un
pupitre pour qu'un unique orateur vienne prendre la parole devant
200p par exemple, c'est aussi du boulot, et un cachet.
Oui, heureusement, bien que ce ne soit pas du spectacle.
Ils commencent à y regarder de plus près, de même que pour les cours.
Le fait de bloquer sur "spectacle vivant" empêche en théorie que ces
boulots en fasse partie.
Ça dépend de l'activité. En théâtre, quand il y a un mois de
répétitions tous les jours, surtout pour les acteurs moins pour les
techniciens, il n'y a pas de cachet, pas de paye, rien sinon les
défraiements, à part peut-être avec les compagnies riches (ou très
subventionnées).
Aller planter 4 MTD108 ou PS10 pour sonoriser un
pupitre pour qu'un unique orateur vienne prendre la parole devant
200p par exemple, c'est aussi du boulot, et un cachet.
Oui, heureusement, bien que ce ne soit pas du spectacle.
Ils commencent à y regarder de plus près, de même que pour les cours.
Le fait de bloquer sur "spectacle vivant" empêche en théorie que ces
boulots en fasse partie.
Ça dépend de l'activité. En théâtre, quand il y a un mois de
répétitions tous les jours, surtout pour les acteurs moins pour les
techniciens, il n'y a pas de cachet, pas de paye, rien sinon les
défraiements, à part peut-être avec les compagnies riches (ou très
subventionnées).
Aller planter 4 MTD108 ou PS10 pour sonoriser un
pupitre pour qu'un unique orateur vienne prendre la parole devant
200p par exemple, c'est aussi du boulot, et un cachet.
Oui, heureusement, bien que ce ne soit pas du spectacle.
Ils commencent à y regarder de plus près, de même que pour les cours.
Le fait de bloquer sur "spectacle vivant" empêche en théorie que ces
boulots en fasse partie.
À propos des intermittents, j'ai entendu (rumeur ? info ? intox ?)
qu'à partir du mois d'Avril chaque spectacle vivant se verrait
attribuer un numéro. Dit numéro qui si il ne figure pas sur la
déclaration d'ASSEDIC ne permettra pas d'inclure le cachet sur le
régime spécial. Ce qui aurait pour effet de faire basculer ce
genre de prestation sur le régime général. De mon point de vue, ce
n'est pas illogique.
À propos des intermittents, j'ai entendu (rumeur ? info ? intox ?)
qu'à partir du mois d'Avril chaque spectacle vivant se verrait
attribuer un numéro. Dit numéro qui si il ne figure pas sur la
déclaration d'ASSEDIC ne permettra pas d'inclure le cachet sur le
régime spécial. Ce qui aurait pour effet de faire basculer ce
genre de prestation sur le régime général. De mon point de vue, ce
n'est pas illogique.
À propos des intermittents, j'ai entendu (rumeur ? info ? intox ?)
qu'à partir du mois d'Avril chaque spectacle vivant se verrait
attribuer un numéro. Dit numéro qui si il ne figure pas sur la
déclaration d'ASSEDIC ne permettra pas d'inclure le cachet sur le
régime spécial. Ce qui aurait pour effet de faire basculer ce
genre de prestation sur le régime général. De mon point de vue, ce
n'est pas illogique.
oragoun wrote:Je ne peux que souscire à cette analyse. J'en ai très (voire très
très) bien vécu avant de vouloir me fixer... Après c'est un choix de
vie.
Il serait utile de situer (pour évaluer ce témoignage) s'il fait
référence à la période où il suffisait de faire 507 heures sur une
année pour avoir droit aux assedics des intermittents à hauteur de la
*moyenne* des cachets pris en compte.
Cette période idyllique n'est plus. La situation actuelle est
nettement moins avantageuse, et rien, mais alors *rien* ne permet
d'espérer qu'elle puisse s'améliorer dans un avenir proche. (par
contre les probabilités qu'elle empire ne sont pas minces).
Je me fais volontairement l'avocat du diable, car la prétendante est
très jeune et est une fille. Il n'y a pas eu beaucoup de commentaires
sur la réalité très masculine de la profession et sur les raisons que
j'évoquais.
Je t'accorde qu'il y aura toujours besoin de techniciens compétents et
que quelqu'un de talentueux pourra probablement y arriver. Accorde-moi
que le donneur d'ordre reste totalement maître de ses choix et que,
d'une manière ou d'une autre, il faut se mettre en position de
> *plaire*.
C'est différent d'une qualification où le simple fait d'avoir le
diplôme fait la décision, le drh étant seulement à la recherche d'un
nom à mettre sur la fiche en T sur son tableau des effectifs.
oragoun <oragoun_b@yahoo.fr> wrote:
Je ne peux que souscire à cette analyse. J'en ai très (voire très
très) bien vécu avant de vouloir me fixer... Après c'est un choix de
vie.
Il serait utile de situer (pour évaluer ce témoignage) s'il fait
référence à la période où il suffisait de faire 507 heures sur une
année pour avoir droit aux assedics des intermittents à hauteur de la
*moyenne* des cachets pris en compte.
Cette période idyllique n'est plus. La situation actuelle est
nettement moins avantageuse, et rien, mais alors *rien* ne permet
d'espérer qu'elle puisse s'améliorer dans un avenir proche. (par
contre les probabilités qu'elle empire ne sont pas minces).
Je me fais volontairement l'avocat du diable, car la prétendante est
très jeune et est une fille. Il n'y a pas eu beaucoup de commentaires
sur la réalité très masculine de la profession et sur les raisons que
j'évoquais.
Je t'accorde qu'il y aura toujours besoin de techniciens compétents et
que quelqu'un de talentueux pourra probablement y arriver. Accorde-moi
que le donneur d'ordre reste totalement maître de ses choix et que,
d'une manière ou d'une autre, il faut se mettre en position de
> *plaire*.
C'est différent d'une qualification où le simple fait d'avoir le
diplôme fait la décision, le drh étant seulement à la recherche d'un
nom à mettre sur la fiche en T sur son tableau des effectifs.
oragoun wrote:Je ne peux que souscire à cette analyse. J'en ai très (voire très
très) bien vécu avant de vouloir me fixer... Après c'est un choix de
vie.
Il serait utile de situer (pour évaluer ce témoignage) s'il fait
référence à la période où il suffisait de faire 507 heures sur une
année pour avoir droit aux assedics des intermittents à hauteur de la
*moyenne* des cachets pris en compte.
Cette période idyllique n'est plus. La situation actuelle est
nettement moins avantageuse, et rien, mais alors *rien* ne permet
d'espérer qu'elle puisse s'améliorer dans un avenir proche. (par
contre les probabilités qu'elle empire ne sont pas minces).
Je me fais volontairement l'avocat du diable, car la prétendante est
très jeune et est une fille. Il n'y a pas eu beaucoup de commentaires
sur la réalité très masculine de la profession et sur les raisons que
j'évoquais.
Je t'accorde qu'il y aura toujours besoin de techniciens compétents et
que quelqu'un de talentueux pourra probablement y arriver. Accorde-moi
que le donneur d'ordre reste totalement maître de ses choix et que,
d'une manière ou d'une autre, il faut se mettre en position de
> *plaire*.
C'est différent d'une qualification où le simple fait d'avoir le
diplôme fait la décision, le drh étant seulement à la recherche d'un
nom à mettre sur la fiche en T sur son tableau des effectifs.
Allez, j'arrète là ma diatribe contre la destruction de ce que l'on a pu
appeler "l'exception culturelle française". Qui n'est malheureusement
plus. RIP.
Allez, j'arrète là ma diatribe contre la destruction de ce que l'on a pu
appeler "l'exception culturelle française". Qui n'est malheureusement
plus. RIP.
Allez, j'arrète là ma diatribe contre la destruction de ce que l'on a pu
appeler "l'exception culturelle française". Qui n'est malheureusement
plus. RIP.