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demarrer sous Linux (Ubuntu 10.04.3 LTS 34bits)

17 réponses
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g.bon
Hello,

Je me décide (enfin) à me mettre à Linux.
J'avoue ne jamais avoir franchis le pas (depuis Windows) ne sachant par
quel bout prendre la chose.
Maintenant, les choses ont l'air tout de même plus simples
qu'auparavant.

Je souhaite m'y mettre en particulier pour utiliser une suite logiciel
de simulation (http://www.caelinux.com/).
Accessoirement, un peu plus tard pour EMC2 (http://www.linuxcnc.org/).

Un liveDVD est proposé mais je me demandais comment faire ensuite.
On peut visiblement installer le système plutôt que rester sur le
LiveDVD.
C'est à mon avis le minimum pour pouvoir bosser.

Aussi, pourriez-vous me conseiller sur la démarche.
- rester en liveDVD, au contraire de ce que je pensais.
- installer la distrib Ubuntu en parallèle de Windows (7), mais comment
procéder pour conserver les 2 systèmes (multiboot).
- Faire en sorte d'avoir 2 disques physiques de boot (moins pratique
mais je suis sûr de ne rien effacer de mon système Windows).
- Machine virtuelle sous Windows.
- vieux PC crashtest...

Bref, j'imagine que ce sujet a été largement abordé, si vous avez un
lien ou un conseil, ce serait sympa.

Merci,
GB

7 réponses

1 2
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Philippe
Le 19/11/2011 06:30, g.bon a écrit :


Je me décide (enfin) à me mettre à Linux.


Il y a un jour ou on passe de windows a Linux... Sauf si on n'a
jamais eu windows en utilisation principale. Je suis passé d'OS/2 a Linux...

Pour commencer sous Linux, selon moi, le meilleur choix reste Xubuntu
pour rester avec un bureau simple. J'ai abandonné successivement KDE et
Gnome lors de la mise en place de choses qui font de moi a nouveau un
débutant.

Coté matériel, le meilleur choix serait d'ajouter un disque dur, le
premier écueil restant "comment partitionner le disque windows pour
installer ça". Donc le nouveau disque sera partitionné au moins en trois
partitions
1- partition racine (5Go mini pour Xubuntu... je suis a16)
2-une partition swap de taille égale a celle de la mémoire vive
3-une partition /home où seront logés tous les fichiers personnels et
qui se retrouvent inchangée lors de toute nouvelle installation en
formatant la partition racine. Ma partition /home voyage depuis 10 ans
de disque en disque avec des purges régulières de ce qui devient inutile.

Il est bon de se munir assez rapidement d'un grimoire donnant des
informations sur les bases des commandes en mode texte dans un terminal
(comme dos version 1988) pour aller au fond des choses.Ces commandes
permettent de se sortir facilement de problèmes assez difficiles a
trouver dans les applications graphique...

"sudo ..." est ton amie.

Voir de prés tout ce qui est gestion des droits des différents utilisateurs.

--
http://www.youtube.com/watch?v=1ODCf7J8L0o
Philippe Vessaire Ò¿Ó¬
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moi-meme
Le Sun, 20 Nov 2011 10:36:22 +0100, Philippe a écrit :

Il est bon de se munir assez rapidement d'un grimoire donnant des
informations sur les bases des commandes en mode texte dans un terminal
(comme dos version 1988) pour aller au fond des choses.Ces commandes
permettent de se sortir facilement de problèmes assez difficiles a
trouver dans les applications graphique...



plus que ça : un log book où on note les problèmes et comment on les a
résolus.
Ça évite de réinventer la roue ou de rechercher une deuxième fois.
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Pierre Maurette
g.bon :
Hello,

Je me décide (enfin) à me mettre à Linux.
J'avoue ne jamais avoir franchis le pas (depuis Windows) ne sachant par quel
bout prendre la chose.
Maintenant, les choses ont l'air tout de même plus simples qu'auparavant.

Je souhaite m'y mettre en particulier pour utiliser une suite logiciel de
simulation (http://www.caelinux.com/).
Accessoirement, un peu plus tard pour EMC2 (http://www.linuxcnc.org/).

Un liveDVD est proposé mais je me demandais comment faire ensuite.
On peut visiblement installer le système plutôt que rester sur le LiveDVD.
C'est à mon avis le minimum pour pouvoir bosser.

Aussi, pourriez-vous me conseiller sur la démarche.
- rester en liveDVD, au contraire de ce que je pensais.
- installer la distrib Ubuntu en parallèle de Windows (7), mais comment
procéder pour conserver les 2 systèmes (multiboot).
- Faire en sorte d'avoir 2 disques physiques de boot (moins pratique mais je
suis sûr de ne rien effacer de mon système Windows).
- Machine virtuelle sous Windows.
- vieux PC crashtest...

Bref, j'imagine que ce sujet a été largement abordé, si vous avez un lien ou
un conseil, ce serait sympa.



J'en suis arrivé aux machines virtuelles (voir directement deuxième
partie, après le saut d'une ligne), et j'en suis aujourd'hui et depuis
maintenant assez longtemps très satisfait. Donc je témoigne, sachant
que mes solutions ne sont pas nécessairement les meilleures, puisque je
ne suis pas tout le monde et je n'ai pas tout testé. Néanmoins j'ai
l'impression que nos profils d'utilisateur se ressemblent, et puis j'ai
quand même pas mal galéré sur toutes les solutions que vous évoquez et
quelques autres, depuis plus de dix ans.
Les performances: la machine hôte est motorisée par un AMD Athlon 64 X2
5200+, donc plutôt un vieux truc. J'ai installé 8Go avant que la DDR2
ne devienne introuvable à un prix raisonnable, mais ce que j'écris
était déjà valable avec 4Go. J'utilise peu d'applications très
exigentes, et aucune sur les machines virtuelles. Mes serveurs sont
relativement complexes, mais ne servent qu'en test et ne sont jamais
chargés, juste quelques connexions. Dans ces conditions, c'est
totalement opérationnel et confortable, jusqu'à l'utilisation sous
Linux de configurations assez épaisses d'Eclipse. Pour ce qui est de
votre logiciel de CAE (IAO ?), il faudra tester, déterminer les
ressources à lui affecter, mais ce serait certainement moins performant
avec une machine de récup. La perte de performances dans une machine
virtualisée ne doit pas excéder une ou deux générations, deux ou trois
ans, en machine physique équivalente. Ce seraient essentiellement les
jeux et autres bureaux blingbling qui en pâtiraient.
J'ai d'abord tout essayé, bêtises comprises, en matière de multiboot.
C'est très contraignant. Déjà, il faudra comprendre au minimum à la
fois grub et le boot de Windows 7 avant de se lancer. Bon, les
ressources documentaires sont nombreuses pour par exemple le dual boot
Windows 7 - Ubuntu. La bascule entre deux système est lourde, d'autant
que l'hibernation ne fait (faisait ?) pas toujours bon ménage avec le
multiboot. On va devoir découvrir un univers - Linux - sans avoir accès
à son système habituel. D'autant plus embêtant si Windows assure la
continuité des fonctions mail, news, Skype, réseaux sociaux divers,
documentation, etc. Et plus on va sécuriser, par exemple jusqu'à la
commutation par le BIOS, voire physique, de deux disques, moins on va
pouvoir échanger facilement entre les deux mondes. A la différence de
toutes les autres solutions, le multiboot ne présente pas l'avantage
collatéral d'un réseau local privé, qui donnerait tout son intérêt à un
apprentissage Linux. En revanche, le multiboot reprend de la pertinence
sur une machine supplémentaire qui préexisterait et d'utilisation
intermittente.
Ce fut d'ailleurs ma /seconde période/. Affecter à Linux en simple ou
multiple boot certaines machines disponibles sur mon réseau de bureau.
Il a fallu faire des choix sur le couple clavier - écran. Les serveurs
démarraient nus et étaient opérés via console SSH, par Putty (j'aime ce
nom...) pour ce qui est de Windows 7, ou administrés par Webmin. Mais
il fallait pourvoir connecter facilement un écran et un clavier en cas
de souci au boot. Une machine pas trop obsolète faisant tourner une
Ubuntu (ou OpenSuse, OpenSolaris) desktop était connectée à un
commutateur KVM. Cette bécane est devenue massivement multiboot, les
mêmes serveurs étant servis par plusieurs versions de Linux, je n'avais
plus que deux machines sous tension, et visu, clavier, souris
confortables, c'était efficace et confortable tant que j'en suis resté
à un écran 4/3 connecté en analogique. Je pouvais connecter à la
demande, occasionnellement, d'autres UC à la branche /deux/ du KVM.
Juste pas mal de temps perdu parce que le KVM perturbait le plug'n play
pour l'écran sous Linux, et la carte mère avec carte graphique intégrée
était très mal acceptée par Ubuntu, j'ai fait un [Résolu] à la Linux,
ajout d'une carte graphique.
Ensuite, étant réduit mon parc actif à deux UC, j'ai éprouvé le besoin
pressant de n'en conserver qu'une seule. Bruit, blah blah /la planète/,
tout ça. C'est là, à l'occasion d'une remise à jour de ma machine
principale, vers la fin des années /XP Pro x64/, que je me suis souvenu
que j'avais VirtualBox dans un coin. A ce moment-là j'avais à tester un
tas de distributions, des soucis avec mon petit stock de galettes RW,
et marre de graver en dur en pure perte...

VirtualBox, hôte Windows 7, invités divers, commentaires:
Je ne connais que VirtualBox (et la solution offerte par Windows 7
Intégrale), je suis prêt à admettre que ce n'est peut-être pas la
meilleure solution de virtualisation pour gérer un troupeau de serveurs
en production, mais c'est solide et simple surtout pour un utilisateur
habitué à Windows.
Ce n'est pas une solution au rabais. Certaines limitations existent,
mais indétectables pour la majorité des utilisateurs: accès direct à un
périphérique particulier, les /additions invité/ qui modifient très
légèrement le système. Mais ce que voit notre Linux, un hardware
VirtualBox, n'est ni plus ni moins spécifique que ce qu'il voit dans
une machine dédiée, une machine recyclée ou en multiboot. En fait, dans
la longue liste des distributions recensées, on est dans le cas d'un
hardware reconnu "out of the box", ce qui est bon pour les nerfs quand
on débute. La machine virtuelle va s'intégrer dans le réseau local
exactement comme une machine physique. L'illusion (mais ce n'en est pas
vraiment une) est même assez amusante, on va pouvoir faire des
simulations tordues, avec l'avantage d'avoir à sa disposition une /rue
Montgallet/ en open-bar. Déjà, on peut tester un LiveCD dans une
machine virtuelle. On peut y monter un multiboot. VirtualBox offre des
possibilités de sauvegarde brutale et de snapshots tout à fait utiles,
mais les logiciels habituels de sauvegarde fonctionnent sans problème,
vous pouvez ainsi faire une simulation complète de crash et
restauration, ou des trucs plus tordus, voire un peu crapuleux, même à
bas niveau sur les disques. On peut fabriquer très simplement une
disquette qui boote sur un embryon d'OS. etc.
N'hésitez pas à tester, hors téléchargement, vous pouvez être dans
votre liveCD en quelques minutes, et ensuite désinstaller tout le
bouzin sans laisser de traces.
Vous verrez qu'il est agréable dans un premier temps d'utiliser dans
son cadre habituel ses outils bien rodés, connexion internet,
documentation, éditeur, etc. Vous pourrez faire du copier-coller entre
l'hôte et l'invité, en plus du partage réseau normal et du /shared
folder/ de VirtualBox si vous le souhaitez.
A vous de voir...

--
Pierre Maurette
Avatar
Philippe
Le 19/11/2011 06:30, g.bon a écrit :

Je souhaite m'y mettre en particulier pour utiliser une suite logiciel
de simulation (http://www.caelinux.com/).
Accessoirement, un peu plus tard pour EMC2 (http://www.linuxcnc.org/).

Un liveDVD est proposé mais je me demandais comment faire ensuite.
On peut visiblement installer le système plutôt que rester sur le LiveDVD.
C'est à mon avis le minimum pour pouvoir bosser.



Je n'avais pas retenu ce point là. En plus je viens aussi de
découvrir CAElinux et j'ai une partition de test mais que je manque de
temps. Une installation pour mon fils est planifiée dans quelques jours,
c'est en plein dans le savoir qu'il essai d'apprendre en ce moment.

Une question: Y a-t-il un équivalent de ANSYS dans cet ensemble de
logiciels libres?

Tout me conforte dans le conseil de faire une installation sur un
disque tout neuf. Pas nécessaire d'aller chercher le plus gros du
marché, l'installation de base fait 14Go et les données ne devraient pas
être trop volumineuse non plus. Dans quelques semaines, la raison
reviendra et les prix imbéciles seront oubliés.

Pour la CNC, aucune expérience mais des envies. Si je trouve des plans
pour convertir un tour 9"x20" chinois générique je suis preneur.


--
http://www.youtube.com/watch?v=1ODCf7J8L0o
Philippe Vessaire Ò¿Ó¬
Avatar
g.bon
Pierre Maurette a formulé ce mardi :
...
A vous de voir...



Bonsoir,

Merci beaucoup pour tous ces commentaires très utiles (pour moi).
En plein dans le sujet qui me préoccupait.

Ja plu ka...

GB
Avatar
g.bon
Philippe a formulé ce mardi :
Le 19/11/2011 06:30, g.bon a écrit :

Je souhaite m'y mettre en particulier pour utiliser une suite logiciel
de simulation (http://www.caelinux.com/).
Accessoirement, un peu plus tard pour EMC2 (http://www.linuxcnc.org/).

Un liveDVD est proposé mais je me demandais comment faire ensuite.
On peut visiblement installer le système plutôt que rester sur le LiveDVD.
C'est à mon avis le minimum pour pouvoir bosser.



Je n'avais pas retenu ce point là. En plus je viens aussi de découvrir
CAElinux et j'ai une partition de test mais que je manque de temps. Une
installation pour mon fils est planifiée dans quelques jours, c'est en plein
dans le savoir qu'il essai d'apprendre en ce moment.

Une question: Y a-t-il un équivalent de ANSYS dans cet ensemble de logiciels
libres?

Tout me conforte dans le conseil de faire une installation sur un disque
tout neuf. Pas nécessaire d'aller chercher le plus gros du marché,
l'installation de base fait 14Go et les données ne devraient pas être trop
volumineuse non plus. Dans quelques semaines, la raison reviendra et les prix
imbéciles seront oubliés.

Pour la CNC, aucune expérience mais des envies. Si je trouve des plans pour
convertir un tour 9"x20" chinois générique je suis preneur.



Bonsoir,

Pour clarifier les choses, les 2 sujets n'ont pas la même portée pour
moi.
Simulations éléments finis : besoins professionnels à court terme.
CNC : long terme, plus pas gouts que par nécéssité.

CAELinux :
Ce n'est pas tout à fait la même chose qu'Ansys du point de vue de
l'interface.
En revanche, le code tient la route.
Perso, je suis client Ansys depuis de nombreuses années et j'ai
maintenant arreté la maintenance.
Ma licence ne me permet pas de calculs CFD (fluides) et j'en aurai
besoin prochainement.

La famille Code Aster (avec Code Saturn pour les calculs CFD) permet un
accès à ces solutions gratuitement :-) .
A priori un peu plus de boulot mais le premier prix CFD chez Ansys est
à près de 40000 euros.
Ca m'a motivé.

Pour les CNC, Emc2 sous linux a l'air très bien et lui aussi gratos.
Pilotage par port parallèle exclusivement.
Mon seul frein est la méconaissance de Linux mais il va bien falloir
s'y mettre...
Sinon, il y a maintenant d'autres solution gratuites (IPL5X sous
Windows, par ex).

On a visiblement les même sujet de "préoccupation", mail perso si
besoin de plus d'infos...

GB
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Philippe
Le 29/11/2011 23:38, g.bon a écrit :


Pour les CNC, Emc2 sous linux a l'air très bien et lui aussi gratos.
Pilotage par port parallèle exclusivement.
Mon seul frein est la méconnaissance de Linux mais il va bien falloir s'y
mettre...


Ça reste assez abordable quand même. LA partie OS n'y est que marginale.

Sinon, il y a maintenant d'autres solution gratuites (IPL5X sous
Windows, par ex).


turbo cnc ... mais avec drdos ou W98.
http://www.dakeng.com/turbo.html

Attention, il faut avoir des ports// donc des vieilles machines ou bien
des cartes additionnelles. Les adaptateurs USB > // ne marchent pas.

J'ai découvert ANSYS avec mon fiston qui l'utilise pour son sujet de
recherche avec licence collective (Tokyo Denki University).

--
http://www.youtube.com/watch?v=1ODCf7J8L0o
Philippe Vessaire Ò¿Ó¬
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