Je suis membre de l'Association Fran=E7aise pour la Reconnaissance du
Deni de Grossesse ( http://deni2grossesse.free.fr ) qui a pour objectif
d'informer l'opinion publique et les professionnels mais aussi de
venir en aide aux femmes qui souffrent ou ont souffert d'un deni de
grossesse ainsi qu'a leurs familles.
La realite du "deni de grossesse" est etablie sur le plan medical. Avec
600 =E0 1 800 femmes concernees chaque annee en France, il constitue
d'ailleurs un reel probleme de sante publique. L'Association
Fran=E7aise pour la Reconnaissance du D=E9ni de Grossesse se bat pour que
le deni de grossesse soit maintenant juridiquement reconnu.
Si vous avez ete victimes d'un deni de grossesse ou si vous en avez
ete temoins, vos temoignages nous interessent. Merci de nous contacter
:
deni2grossesse at free.fr
_________________
Le deni de grossesse, c'est quoi ?
http://deni2grossesse.free.fr/spip/article.php3?id_article=3D1
Mais justement, il n'y a pas de faits ou d'actes ! Tu as lu le cas exposé sur le site ? Cette personne n'a rien fait, mais le manque d'information de la police fait qu'elle a été emprisonnée.
Il n'y a pas forcément un acte : une abstention de faire peut être un délit. Et il y a forcément un fait, Patrick : un bébé est né et est parfois mort ...
Non-assistance à personne en danger, délaissement d'enfant voire tentative d'infanticide ( c'est ce qui me vient à l'esprit pour l'instant) peuvent être des accusations portées contre une mère qui accouche dans des conditions comme celles-là.
Mais bien-sûr, quand tu accouches toute seule dans ta cuisine alors que tu ne savais pas être enceinte, que tu as une "hémorragie massive" (dixit le site), tu es parfaitement fraiche, dispose et maquillée, prête à accomplir tout ce qui est nécessaire et à terminer par un peu de ménage puisque tu as 5 minutes...
Mais justement, il n'y a pas de faits ou d'actes ! Tu as lu le cas
exposé sur le site ? Cette personne n'a rien fait, mais le manque
d'information de la police fait qu'elle a été emprisonnée.
Il n'y a pas forcément un acte : une abstention de faire peut être un
délit.
Et il y a forcément un fait, Patrick : un bébé est né et est parfois
mort ...
Non-assistance à personne en danger, délaissement d'enfant voire
tentative d'infanticide ( c'est ce qui me vient à l'esprit pour
l'instant) peuvent être des accusations portées contre une mère qui
accouche dans des conditions comme celles-là.
Mais bien-sûr, quand tu accouches toute seule dans ta cuisine alors que
tu ne savais pas être enceinte, que tu as une "hémorragie massive"
(dixit le site), tu es parfaitement fraiche, dispose et maquillée, prête
à accomplir tout ce qui est nécessaire et à terminer par un peu de
ménage puisque tu as 5 minutes...
Mais justement, il n'y a pas de faits ou d'actes ! Tu as lu le cas exposé sur le site ? Cette personne n'a rien fait, mais le manque d'information de la police fait qu'elle a été emprisonnée.
Il n'y a pas forcément un acte : une abstention de faire peut être un délit. Et il y a forcément un fait, Patrick : un bébé est né et est parfois mort ...
Non-assistance à personne en danger, délaissement d'enfant voire tentative d'infanticide ( c'est ce qui me vient à l'esprit pour l'instant) peuvent être des accusations portées contre une mère qui accouche dans des conditions comme celles-là.
Mais bien-sûr, quand tu accouches toute seule dans ta cuisine alors que tu ne savais pas être enceinte, que tu as une "hémorragie massive" (dixit le site), tu es parfaitement fraiche, dispose et maquillée, prête à accomplir tout ce qui est nécessaire et à terminer par un peu de ménage puisque tu as 5 minutes...
Dans l'article , de fr.misc.droit, Patrick Vuichard a promptement déclamé ...
>>Certes, mais les faits (dont on va supposer qu'ils sont vrais) sont >>assez parlants : déni, accouchement, décès du bébé, emprisonnement pour >>infanticide, expertise rejetant une cause externe, maintien en >>détention. Ce ne sont pas des avis, qui sont sujets à cautions, mais des >>faits qui sont à priori avérés. > > Oui, mais quel rapport avec la reconnaissance d'une maladie par la > justice ????
Comme tu l'as dit plus tôt, ce qu'il faut, c'est une information des intervenants (police, justice).
> Tu as aussi le cas de la nana mise en prison pour syndrôme de Munchausen > sur son enfant,
Par procuration, donc.
> diagnostiqué par un psy n'ayant jamais rencontré ni > l'enfant ni la mère
Ouch.
Enfant diabétique commençant à controler elle-même ses injections d'insuline et donc avec quelques petits malaises hypoglycémique. L'infirmière de l'école a décrété que la mère mentait en disant que l'enfant était diabétique, a prévenu le proc, le juge pour enfant s'est saisi, a ordonné une expertise psy. Le psy a rendu un rapport sans avoir vu personne avec un diag de munchausen par procuration. La mère a vu, un matin, la police se pointer, menottées, elle a été conduite en prison, la gamine placée dans un foyer. Elle est restée 3 semaines en prison et les parents ont mis *18* mois à récupérer leur fille !
C'est un cas connu car la mère a été indemnisée pour son incarcération.
L'histoire ne dit pas si le psy a été condamné par le CO a une interdiction définitive d'exercer (ce qui m'étonnerait)
Dans l'article <3okuntF6dmonU4@individual.net>, de fr.misc.droit,
Patrick Vuichard <Patrick.Vuichard@wanadoo.fr> a promptement déclamé ...
>>Certes, mais les faits (dont on va supposer qu'ils sont vrais) sont
>>assez parlants : déni, accouchement, décès du bébé, emprisonnement pour
>>infanticide, expertise rejetant une cause externe, maintien en
>>détention. Ce ne sont pas des avis, qui sont sujets à cautions, mais des
>>faits qui sont à priori avérés.
>
> Oui, mais quel rapport avec la reconnaissance d'une maladie par la
> justice ????
Comme tu l'as dit plus tôt, ce qu'il faut, c'est une information des
intervenants (police, justice).
> Tu as aussi le cas de la nana mise en prison pour syndrôme de Munchausen
> sur son enfant,
Par procuration, donc.
> diagnostiqué par un psy n'ayant jamais rencontré ni
> l'enfant ni la mère
Ouch.
Enfant diabétique commençant à controler elle-même ses injections
d'insuline et donc avec quelques petits malaises hypoglycémique.
L'infirmière de l'école a décrété que la mère mentait en disant que
l'enfant était diabétique, a prévenu le proc, le juge pour enfant s'est
saisi, a ordonné une expertise psy. Le psy a rendu un rapport sans avoir
vu personne avec un diag de munchausen par procuration.
La mère a vu, un matin, la police se pointer, menottées, elle a été
conduite en prison, la gamine placée dans un foyer.
Elle est restée 3 semaines en prison et les parents ont mis *18* mois à
récupérer leur fille !
C'est un cas connu car la mère a été indemnisée pour son incarcération.
L'histoire ne dit pas si le psy a été condamné par le CO a une
interdiction définitive d'exercer (ce qui m'étonnerait)
Dans l'article , de fr.misc.droit, Patrick Vuichard a promptement déclamé ...
>>Certes, mais les faits (dont on va supposer qu'ils sont vrais) sont >>assez parlants : déni, accouchement, décès du bébé, emprisonnement pour >>infanticide, expertise rejetant une cause externe, maintien en >>détention. Ce ne sont pas des avis, qui sont sujets à cautions, mais des >>faits qui sont à priori avérés. > > Oui, mais quel rapport avec la reconnaissance d'une maladie par la > justice ????
Comme tu l'as dit plus tôt, ce qu'il faut, c'est une information des intervenants (police, justice).
> Tu as aussi le cas de la nana mise en prison pour syndrôme de Munchausen > sur son enfant,
Par procuration, donc.
> diagnostiqué par un psy n'ayant jamais rencontré ni > l'enfant ni la mère
Ouch.
Enfant diabétique commençant à controler elle-même ses injections d'insuline et donc avec quelques petits malaises hypoglycémique. L'infirmière de l'école a décrété que la mère mentait en disant que l'enfant était diabétique, a prévenu le proc, le juge pour enfant s'est saisi, a ordonné une expertise psy. Le psy a rendu un rapport sans avoir vu personne avec un diag de munchausen par procuration. La mère a vu, un matin, la police se pointer, menottées, elle a été conduite en prison, la gamine placée dans un foyer. Elle est restée 3 semaines en prison et les parents ont mis *18* mois à récupérer leur fille !
C'est un cas connu car la mère a été indemnisée pour son incarcération.
L'histoire ne dit pas si le psy a été condamné par le CO a une interdiction définitive d'exercer (ce qui m'étonnerait)
LaMite
Patrick Vuichard a daigné nous faire part de son opinion dans news::
LaMite a écrit, le 09/09/2005 22:41 :
Mais justement, il n'y a pas de faits ou d'actes ! Tu as lu le cas exposé sur le site ? Cette personne n'a rien fait, mais le manque d'information de la police fait qu'elle a été emprisonnée.
Il n'y a pas forcément un acte : une abstention de faire peut être un délit. Et il y a forcément un fait, Patrick : un bébé est né et est parfois mort ...
Non-assistance à personne en danger, délaissement d'enfant voire tentative d'infanticide ( c'est ce qui me vient à l'esprit pour l'instant) peuvent être des accusations portées contre une mère qui accouche dans des conditions comme celles-là.
Mais bien-sûr, quand tu accouches toute seule dans ta cuisine alors que tu ne savais pas être enceinte, que tu as une "hémorragie massive" (dixit le site), tu es parfaitement fraiche, dispose et maquillée, prête à accomplir tout ce qui est nécessaire et à terminer par un peu de ménage puisque tu as 5 minutes...
Je n'ai jamais dit ça et je ne pige pas ton ironie vacharde.
J'ai juste rappelé qu'en droit une abstention de faire équivaut dans certains cas à un acte. Et que cet acte peut faire l'objet d'une qualification légale dont j'ai cité quelques exemples.
Et qu'il y a au moins un fait qui a donné ouverture à cette qualification : la naissance dans des conditions *particulières* d'un bébé.
Je ne condamne pas la mère ni ne l'exonère a priori, je cherche à comprendre ce qui a pu se passer sur un plan strictement juridique.
Tu te situes sur un plan affectif si tu veux mais diapublie alors sur le groupe concerné, fr.sci.psychologie par exemple.
On ira discuter de nos accouchements là-bas :-)
Cordialement
-- Sa Béatitude La Mite Primat Pure Jeune Fille de la NEUF
Patrick Vuichard a daigné nous faire part de son opinion dans
news:3okuteF6e1viU1@individual.net:
LaMite a écrit, le 09/09/2005 22:41 :
Mais justement, il n'y a pas de faits ou d'actes ! Tu as lu le
cas exposé sur le site ? Cette personne n'a rien fait, mais le
manque d'information de la police fait qu'elle a été emprisonnée.
Il n'y a pas forcément un acte : une abstention de faire peut
être un délit.
Et il y a forcément un fait, Patrick : un bébé est né et est
parfois mort ...
Non-assistance à personne en danger, délaissement d'enfant voire
tentative d'infanticide ( c'est ce qui me vient à l'esprit pour
l'instant) peuvent être des accusations portées contre une mère
qui accouche dans des conditions comme celles-là.
Mais bien-sûr, quand tu accouches toute seule dans ta cuisine
alors que tu ne savais pas être enceinte, que tu as une
"hémorragie massive" (dixit le site), tu es parfaitement fraiche,
dispose et maquillée, prête à accomplir tout ce qui est nécessaire
et à terminer par un peu de ménage puisque tu as 5 minutes...
Je n'ai jamais dit ça et je ne pige pas ton ironie vacharde.
J'ai juste rappelé qu'en droit une abstention de faire équivaut dans
certains cas à un acte.
Et que cet acte peut faire l'objet d'une qualification légale dont
j'ai cité quelques exemples.
Et qu'il y a au moins un fait qui a donné ouverture à cette
qualification : la naissance dans des conditions *particulières*
d'un bébé.
Je ne condamne pas la mère ni ne l'exonère a priori, je cherche à
comprendre ce qui a pu se passer sur un plan strictement juridique.
Tu te situes sur un plan affectif si tu veux mais diapublie alors
sur le groupe concerné, fr.sci.psychologie par exemple.
On ira discuter de nos accouchements là-bas :-)
Cordialement
--
Sa Béatitude La Mite
Primat
Pure Jeune Fille de la NEUF
Patrick Vuichard a daigné nous faire part de son opinion dans news::
LaMite a écrit, le 09/09/2005 22:41 :
Mais justement, il n'y a pas de faits ou d'actes ! Tu as lu le cas exposé sur le site ? Cette personne n'a rien fait, mais le manque d'information de la police fait qu'elle a été emprisonnée.
Il n'y a pas forcément un acte : une abstention de faire peut être un délit. Et il y a forcément un fait, Patrick : un bébé est né et est parfois mort ...
Non-assistance à personne en danger, délaissement d'enfant voire tentative d'infanticide ( c'est ce qui me vient à l'esprit pour l'instant) peuvent être des accusations portées contre une mère qui accouche dans des conditions comme celles-là.
Mais bien-sûr, quand tu accouches toute seule dans ta cuisine alors que tu ne savais pas être enceinte, que tu as une "hémorragie massive" (dixit le site), tu es parfaitement fraiche, dispose et maquillée, prête à accomplir tout ce qui est nécessaire et à terminer par un peu de ménage puisque tu as 5 minutes...
Je n'ai jamais dit ça et je ne pige pas ton ironie vacharde.
J'ai juste rappelé qu'en droit une abstention de faire équivaut dans certains cas à un acte. Et que cet acte peut faire l'objet d'une qualification légale dont j'ai cité quelques exemples.
Et qu'il y a au moins un fait qui a donné ouverture à cette qualification : la naissance dans des conditions *particulières* d'un bébé.
Je ne condamne pas la mère ni ne l'exonère a priori, je cherche à comprendre ce qui a pu se passer sur un plan strictement juridique.
Tu te situes sur un plan affectif si tu veux mais diapublie alors sur le groupe concerné, fr.sci.psychologie par exemple.
On ira discuter de nos accouchements là-bas :-)
Cordialement
-- Sa Béatitude La Mite Primat Pure Jeune Fille de la NEUF
Jimmy Limousin
lun. 12 sept. 2005 19:01:24 LaMite a écrit dans le message de news <news: :
Tu te situes sur un plan affectif si tu veux mais diapublie
alors
sur le groupe concerné, fr.sci.psychologie par exemple.
A une époque où tout traumatisme médiatisé fait l'objet d'une création de cellule de soutien psychologique je m'étonne en effet que la justice mette autant de temps à considérer cet aspect.
Quand je parlais de mobilisation, et là, Brina a raison, la mobilisation populaire ne doit pas faire pression sur la justice, je pensais juste aux expertises que cette mobilisation a mis en exergue.
De là à soutenir que le soutien psychologique est la panacée, non. C'est juste un ressenti au niveau de ce qui semble être la norme.
Là, par exemple, c'est tout juste si j'allais pas me prendre une semaine de congé maladie parce qu'une tour à l'Haÿ à pris feu.
lun. 12 sept. 2005 19:01:24 LaMite a écrit dans le message de
news <news:XnF96CFC18338F33LaMitefreefr@212.27.42.74> :
Tu te situes sur un plan affectif si tu veux mais diapublie
alors
sur le groupe concerné, fr.sci.psychologie par exemple.
A une époque où tout traumatisme médiatisé fait l'objet d'une
création de cellule de soutien psychologique je m'étonne en
effet que la justice mette autant de temps à considérer cet
aspect.
Quand je parlais de mobilisation, et là, Brina a raison, la
mobilisation populaire ne doit pas faire pression sur la
justice, je pensais juste aux expertises que cette
mobilisation a mis en exergue.
De là à soutenir que le soutien psychologique est la panacée,
non. C'est juste un ressenti au niveau de ce qui semble être
la norme.
Là, par exemple, c'est tout juste si j'allais pas me prendre
une semaine de congé maladie parce qu'une tour à l'Haÿ à pris
feu.
lun. 12 sept. 2005 19:01:24 LaMite a écrit dans le message de news <news: :
Tu te situes sur un plan affectif si tu veux mais diapublie
alors
sur le groupe concerné, fr.sci.psychologie par exemple.
A une époque où tout traumatisme médiatisé fait l'objet d'une création de cellule de soutien psychologique je m'étonne en effet que la justice mette autant de temps à considérer cet aspect.
Quand je parlais de mobilisation, et là, Brina a raison, la mobilisation populaire ne doit pas faire pression sur la justice, je pensais juste aux expertises que cette mobilisation a mis en exergue.
De là à soutenir que le soutien psychologique est la panacée, non. C'est juste un ressenti au niveau de ce qui semble être la norme.
Là, par exemple, c'est tout juste si j'allais pas me prendre une semaine de congé maladie parce qu'une tour à l'Haÿ à pris feu.
Pélagie
Jimmy Limousin a daigné nous faire part de son opinion dans news::
lun. 12 sept. 2005 19:01:24 LaMite a écrit dans le message de news <news: :
Tu te situes sur un plan affectif si tu veux mais diapublie
alors
sur le groupe concerné, fr.sci.psychologie par exemple.
A une époque où tout traumatisme médiatisé fait l'objet d'une création de cellule de soutien psychologique je m'étonne en effet que la justice mette autant de temps à considérer cet aspect.
Médiatisé. Tout est dans le mot ... Mais que fait Sarkozy ?
Quand je parlais de mobilisation, et là, Brina a raison, la mobilisation populaire ne doit pas faire pression sur la justice, je pensais juste aux expertises que cette mobilisation a mis en exergue.
Les experts aussi, et surtout en psy-quelque-chose, aiment bien la publicité. Les médias aiment bien les experts abscons mais bavards. Ils se rencontrent, le déclic médiatique se fait...
Ça donne des machins comme le procès d'Outreau.
De là à soutenir que le soutien psychologique est la panacée, non. C'est juste un ressenti au niveau de ce qui semble être la norme.
Vous faites du truisme à la Brina, là.
Là, par exemple, c'est tout juste si j'allais pas me prendre une semaine de congé maladie parce qu'une tour à l'Haÿ à pris feu.
Ça risquait pas d'arriver à Nîmes.
-- Pélagie Septimanie
Jimmy Limousin a daigné nous faire part de son opinion dans
news:Xns96CFE7A84D175TotoLeHaricot@217.24.82.4:
lun. 12 sept. 2005 19:01:24 LaMite a écrit dans le message de
news <news:XnF96CFC18338F33LaMitefreefr@212.27.42.74> :
Tu te situes sur un plan affectif si tu veux mais diapublie
alors
sur le groupe concerné, fr.sci.psychologie par exemple.
A une époque où tout traumatisme médiatisé fait l'objet d'une
création de cellule de soutien psychologique je m'étonne en
effet que la justice mette autant de temps à considérer cet
aspect.
Médiatisé.
Tout est dans le mot ...
Mais que fait Sarkozy ?
Quand je parlais de mobilisation, et là, Brina a raison, la
mobilisation populaire ne doit pas faire pression sur la
justice, je pensais juste aux expertises que cette
mobilisation a mis en exergue.
Les experts aussi, et surtout en psy-quelque-chose, aiment bien la
publicité.
Les médias aiment bien les experts abscons mais bavards.
Ils se rencontrent, le déclic médiatique se fait...
Ça donne des machins comme le procès d'Outreau.
De là à soutenir que le soutien psychologique est la panacée,
non. C'est juste un ressenti au niveau de ce qui semble être
la norme.
Vous faites du truisme à la Brina, là.
Là, par exemple, c'est tout juste si j'allais pas me prendre
une semaine de congé maladie parce qu'une tour à l'Haÿ à pris
feu.
Jimmy Limousin a daigné nous faire part de son opinion dans news::
lun. 12 sept. 2005 19:01:24 LaMite a écrit dans le message de news <news: :
Tu te situes sur un plan affectif si tu veux mais diapublie
alors
sur le groupe concerné, fr.sci.psychologie par exemple.
A une époque où tout traumatisme médiatisé fait l'objet d'une création de cellule de soutien psychologique je m'étonne en effet que la justice mette autant de temps à considérer cet aspect.
Médiatisé. Tout est dans le mot ... Mais que fait Sarkozy ?
Quand je parlais de mobilisation, et là, Brina a raison, la mobilisation populaire ne doit pas faire pression sur la justice, je pensais juste aux expertises que cette mobilisation a mis en exergue.
Les experts aussi, et surtout en psy-quelque-chose, aiment bien la publicité. Les médias aiment bien les experts abscons mais bavards. Ils se rencontrent, le déclic médiatique se fait...
Ça donne des machins comme le procès d'Outreau.
De là à soutenir que le soutien psychologique est la panacée, non. C'est juste un ressenti au niveau de ce qui semble être la norme.
Vous faites du truisme à la Brina, là.
Là, par exemple, c'est tout juste si j'allais pas me prendre une semaine de congé maladie parce qu'une tour à l'Haÿ à pris feu.
Ça risquait pas d'arriver à Nîmes.
-- Pélagie Septimanie
Patrick Vuichard
LaMite a écrit, le 12/09/2005 19:01 :
Tu te situes sur un plan affectif
Non. Je pensais que tu parlais du cas évoqué alors que tu parlais en général.