Hier soir, j'ai eu le bonheur de regarder TF1, et plus particulièrement
la page de publicité entourée de deux tranches de rugby.
Je n'ai pas été particulièrement emballé par le match, mais grace aux
commentateurs et à l'oeil avisé des réalisateurs, j'ai pu admirer de
courageuses supportrices très lourdement déshabillées qui donnaient
l'impression de faire tout leur possible pour encourager l'équipe de
France.
J'aurais aimé savoir si ce sont d'authentiques amatrices de rugby ou si
ce sont des intermitentes du spectacle (recalées de l'Ile de la
Tentation) placées sous l'oeil des caméras afin d'apporter un peu de
réconfort aux annonceurs.
Par avance, merci pour vos participations de qualité.
--
Gestion collaborative des FAQ et CU : http://gnouf.info/mediawiki
Défense d'une radio "élitaire, pour tous" : http://chiwalou.org/bab
"Christophe Raverdy" a écrit dans le message de news: fd2mor$1lbc$
Y0 l3s n4in[3]s
Hier soir, j'ai eu le bonheur de regarder TF1, et plus particulièrement la page de publicité entourée de deux tranches de rugby.
Je n'ai pas été particulièrement emballé par le match, mais grace aux commentateurs et à l'oeil avisé des réalisateurs, j'ai pu admirer de courageuses supportrices très lourdement déshabillées qui donnaient l'impression de faire tout leur possible pour encourager l'équipe de France.
J'aurais aimé savoir si ce sont d'authentiques amatrices de rugby ou si ce sont des intermitentes du spectacle (recalées de l'Ile de la Tentation) placées sous l'oeil des caméras afin d'apporter un peu de réconfort aux annonceurs.
Par avance, merci pour vos participations de qualité.
pas vu, il n'y a pas de photos ???
:-)))
"Christophe Raverdy" <adresse@fai.tld.invalid> a écrit dans le message de
news: fd2mor$1lbc$1@cabale.usenet-fr.net...
Y0 l3s n4in[3]s
Hier soir, j'ai eu le bonheur de regarder TF1, et plus particulièrement
la page de publicité entourée de deux tranches de rugby.
Je n'ai pas été particulièrement emballé par le match, mais grace aux
commentateurs et à l'oeil avisé des réalisateurs, j'ai pu admirer de
courageuses supportrices très lourdement déshabillées qui donnaient
l'impression de faire tout leur possible pour encourager l'équipe de
France.
J'aurais aimé savoir si ce sont d'authentiques amatrices de rugby ou si
ce sont des intermitentes du spectacle (recalées de l'Ile de la
Tentation) placées sous l'oeil des caméras afin d'apporter un peu de
réconfort aux annonceurs.
Par avance, merci pour vos participations de qualité.
"Christophe Raverdy" a écrit dans le message de news: fd2mor$1lbc$
Y0 l3s n4in[3]s
Hier soir, j'ai eu le bonheur de regarder TF1, et plus particulièrement la page de publicité entourée de deux tranches de rugby.
Je n'ai pas été particulièrement emballé par le match, mais grace aux commentateurs et à l'oeil avisé des réalisateurs, j'ai pu admirer de courageuses supportrices très lourdement déshabillées qui donnaient l'impression de faire tout leur possible pour encourager l'équipe de France.
J'aurais aimé savoir si ce sont d'authentiques amatrices de rugby ou si ce sont des intermitentes du spectacle (recalées de l'Ile de la Tentation) placées sous l'oeil des caméras afin d'apporter un peu de réconfort aux annonceurs.
Par avance, merci pour vos participations de qualité.
http://www.youtube.com/watch?v=3SUY9GuLkdI&eurl Et là, surprise: six jeunes filles s’exhibent en sous vêtements. En bon soldat, le réalisateur ne rate pas l’occasion de montrer au 14,5 millions de téléspectateurs (record absolu pour un match de rugby) un peu de féminité dans ce sport de brutes.
Bon, les filles n’étaient pas là non plus par hasard. En fait, il s’agissait d’une opération publicitaire pour la marque de sous-vêtements DIM, qui avait diligenté une sorte de commando sur zone. Derrière cette opération, selon le site Influencia, on retrouve l’agence FFL. Joint par le quotidien l’Equipe mardi soir, les représentants légaux de l’IRB, l'International Rugby Board, qui détient les droits commerciaux de la compétition, se pencheront sur l’affaire dans quelques jours. L’amende risque d’être salée pour DIM puisque l’IRB ne plaisante pas avec ses contrats publicitaires, rudement négociés, pendant la Coupe du monde.
En attendant, les basses températures n’effraient pas les autoproclamées «DIM DIM Girls», le nom choisie par la marque pour qualifier ses employées: d’autres shows sont prévus pour les demi-finale (samedi 13 et dimanche 14 octobre) et la finale (samedi 20 octobre). Si ça n'est pas de la pub ouvertement clandestine… Le mode opératoire sera le suivant: trois «strip» de trois minutes chacun, histoire de réchauffer l’ambiance… et plus sûrement de passer à la télé. Si l’IRB le veut bien. Et ça nous étonnerait.
Et là, surprise: six jeunes filles s’exhibent en sous vêtements. En bon soldat, le réalisateur ne rate pas l’occasion de montrer au 14,5 millions de téléspectateurs (record absolu pour un match de rugby) un peu de féminité dans ce sport de brutes.
Bon, les filles n’étaient pas là non plus par hasard. En fait, il s’agissait d’une opération publicitaire pour la marque de sous-vêtements DIM, qui avait diligenté une sorte de commando sur zone. Derrière cette opération, selon le site Influencia, on retrouve l’agence FFL. Joint par le quotidien l’Equipe mardi soir, les représentants légaux de l’IRB, l'International Rugby Board, qui détient les droits commerciaux de la compétition, se pencheront sur l’affaire dans quelques jours. L’amende risque d’être salée pour DIM puisque l’IRB ne plaisante pas avec ses contrats publicitaires, rudement négociés, pendant la Coupe du monde.
En attendant, les basses températures n’effraient pas les autoproclamées «DIM DIM Girls», le nom choisie par la marque pour qualifier ses employées: d’autres shows sont prévus pour les demi-finale (samedi 13 et dimanche 14 octobre) et la finale (samedi 20 octobre). Si ça n'est pas de la pub ouvertement clandestine… Le mode opératoire sera le suivant: trois «strip» de trois minutes chacun, histoire de réchauffer l’ambiance… et plus sûrement de passer à la télé. Si l’IRB le veut bien. Et ça nous étonnerait.
Les «Dim Dim Girls» piratent la Coupe du Monde de rugby
La célèbre marque de sous-vêtements a lancé une campagne de charme dans les tribunes des stades de la Coupe du monde. L'IRB, l'organisme qui gère les droits commerciaux, n'était pas prévenu. Et n'apprécie pas du tout.
La magie du rugby: ses placages virils, ses tampons monumentaux et… ses supportrices dénudées. France-Irlande, Stade de France de Saint-Denis, vendredi dernier. Vincent Clerc marque le deuxième essai des Bleus, les supporters manifestent leur félicité et TF1 montre les tribunes surchauffées.
Et là, surprise: six jeunes filles s’exhibent en sous vêtements. En bon soldat, le réalisateur ne rate pas l’occasion de montrer au 14,5 millions de téléspectateurs (record absolu pour un match de rugby) un peu de féminité dans ce sport de brutes.
Bon, les filles n’étaient pas là non plus par hasard. En fait, il s’agissait d’une opération publicitaire pour la marque de sous-vêtements DIM, qui avait diligenté une sorte de commando sur zone. Derrière cette opération, selon le site Influencia, on retrouve l’agence FFL. Joint par le quotidien l’Equipe mardi soir, les représentants légaux de l’IRB, l'International Rugby Board, qui détient les droits commerciaux de la compétition, se pencheront sur l’affaire dans quelques jours. L’amende risque d’être salée pour DIM puisque l’IRB ne plaisante pas avec ses contrats publicitaires, rudement négociés, pendant la Coupe du monde.
En attendant, les basses températures n’effraient pas les autoproclamées «DIM DIM Girls», le nom choisie par la marque pour qualifier ses employées: d’autres shows sont prévus pour les demi-finale (samedi 13 et dimanche 14 octobre) et la finale (samedi 20 octobre). Si ça n'est pas de la pub ouvertement clandestine… Le mode opératoire sera le suivant: trois «strip» de trois minutes chacun, histoire de réchauffer l’ambiance… et plus sûrement de passer à la télé. Si l’IRB le veut bien. Et ça nous étonnerait.
http://www.youtube.com/watch?v=3SUY9GuLkdI&eurl
Et là, surprise: six jeunes filles s’exhibent en sous vêtements. En bon
soldat, le réalisateur ne rate pas l’occasion de montrer au 14,5 millions
de téléspectateurs (record absolu pour un match de rugby) un peu de
féminité dans ce sport de brutes.
Bon, les filles n’étaient pas là non plus par hasard. En fait, il
s’agissait d’une opération publicitaire pour la marque de sous-vêtements
DIM, qui avait diligenté une sorte de commando sur zone. Derrière cette
opération, selon le site Influencia, on retrouve l’agence FFL. Joint par
le quotidien l’Equipe mardi soir, les représentants légaux de l’IRB,
l'International Rugby Board, qui détient les droits commerciaux de la
compétition, se pencheront sur l’affaire dans quelques jours. L’amende
risque d’être salée pour DIM puisque l’IRB ne plaisante pas avec ses
contrats publicitaires, rudement négociés, pendant la Coupe du monde.
En attendant, les basses températures n’effraient pas les autoproclamées
«DIM DIM Girls», le nom choisie par la marque pour qualifier ses
employées: d’autres shows sont prévus pour les demi-finale (samedi 13 et
dimanche 14 octobre) et la finale (samedi 20 octobre). Si ça n'est pas de
la pub ouvertement clandestine… Le mode opératoire sera le suivant: trois
«strip» de trois minutes chacun, histoire de réchauffer l’ambiance… et
plus sûrement de passer à la télé. Si l’IRB le veut bien. Et ça nous
étonnerait.
Et là, surprise: six jeunes filles s’exhibent en sous vêtements. En bon
soldat, le réalisateur ne rate pas l’occasion de montrer au 14,5 millions
de téléspectateurs (record absolu pour un match de rugby) un peu de
féminité dans ce sport de brutes.
Bon, les filles n’étaient pas là non plus par hasard. En fait, il
s’agissait d’une opération publicitaire pour la marque de sous-vêtements
DIM, qui avait diligenté une sorte de commando sur zone. Derrière cette
opération, selon le site Influencia, on retrouve l’agence FFL. Joint par
le quotidien l’Equipe mardi soir, les représentants légaux de l’IRB,
l'International Rugby Board, qui détient les droits commerciaux de la
compétition, se pencheront sur l’affaire dans quelques jours. L’amende
risque d’être salée pour DIM puisque l’IRB ne plaisante pas avec ses
contrats publicitaires, rudement négociés, pendant la Coupe du monde.
En attendant, les basses températures n’effraient pas les autoproclamées
«DIM DIM Girls», le nom choisie par la marque pour qualifier ses
employées: d’autres shows sont prévus pour les demi-finale (samedi 13 et
dimanche 14 octobre) et la finale (samedi 20 octobre). Si ça n'est pas de
la pub ouvertement clandestine… Le mode opératoire sera le suivant: trois
«strip» de trois minutes chacun, histoire de réchauffer l’ambiance… et
plus sûrement de passer à la télé. Si l’IRB le veut bien. Et ça nous
étonnerait.
Les «Dim Dim Girls» piratent la Coupe du Monde de rugby
La célèbre marque de sous-vêtements a lancé une campagne de charme dans
les tribunes des stades de la Coupe du monde. L'IRB, l'organisme qui gère
les droits commerciaux, n'était pas prévenu. Et n'apprécie pas du tout.
La magie du rugby: ses placages virils, ses tampons monumentaux et… ses
supportrices dénudées. France-Irlande, Stade de France de Saint-Denis,
vendredi dernier. Vincent Clerc marque le deuxième essai des Bleus, les
supporters manifestent leur félicité et TF1 montre les tribunes
surchauffées.
Et là, surprise: six jeunes filles s’exhibent en sous vêtements. En bon
soldat, le réalisateur ne rate pas l’occasion de montrer au 14,5 millions
de téléspectateurs (record absolu pour un match de rugby) un peu de
féminité dans ce sport de brutes.
Bon, les filles n’étaient pas là non plus par hasard. En fait, il
s’agissait d’une opération publicitaire pour la marque de sous-vêtements
DIM, qui avait diligenté une sorte de commando sur zone. Derrière cette
opération, selon le site Influencia, on retrouve l’agence FFL. Joint par
le quotidien l’Equipe mardi soir, les représentants légaux de l’IRB,
l'International Rugby Board, qui détient les droits commerciaux de la
compétition, se pencheront sur l’affaire dans quelques jours. L’amende
risque d’être salée pour DIM puisque l’IRB ne plaisante pas avec ses
contrats publicitaires, rudement négociés, pendant la Coupe du monde.
En attendant, les basses températures n’effraient pas les autoproclamées
«DIM DIM Girls», le nom choisie par la marque pour qualifier ses
employées: d’autres shows sont prévus pour les demi-finale (samedi 13 et
dimanche 14 octobre) et la finale (samedi 20 octobre). Si ça n'est pas de
la pub ouvertement clandestine… Le mode opératoire sera le suivant: trois
«strip» de trois minutes chacun, histoire de réchauffer l’ambiance… et
plus sûrement de passer à la télé. Si l’IRB le veut bien. Et ça nous
étonnerait.
http://www.youtube.com/watch?v=3SUY9GuLkdI&eurl Et là, surprise: six jeunes filles s’exhibent en sous vêtements. En bon soldat, le réalisateur ne rate pas l’occasion de montrer au 14,5 millions de téléspectateurs (record absolu pour un match de rugby) un peu de féminité dans ce sport de brutes.
Bon, les filles n’étaient pas là non plus par hasard. En fait, il s’agissait d’une opération publicitaire pour la marque de sous-vêtements DIM, qui avait diligenté une sorte de commando sur zone. Derrière cette opération, selon le site Influencia, on retrouve l’agence FFL. Joint par le quotidien l’Equipe mardi soir, les représentants légaux de l’IRB, l'International Rugby Board, qui détient les droits commerciaux de la compétition, se pencheront sur l’affaire dans quelques jours. L’amende risque d’être salée pour DIM puisque l’IRB ne plaisante pas avec ses contrats publicitaires, rudement négociés, pendant la Coupe du monde.
En attendant, les basses températures n’effraient pas les autoproclamées «DIM DIM Girls», le nom choisie par la marque pour qualifier ses employées: d’autres shows sont prévus pour les demi-finale (samedi 13 et dimanche 14 octobre) et la finale (samedi 20 octobre). Si ça n'est pas de la pub ouvertement clandestine… Le mode opératoire sera le suivant: trois «strip» de trois minutes chacun, histoire de réchauffer l’ambiance… et plus sûrement de passer à la télé. Si l’IRB le veut bien. Et ça nous étonnerait.
Et là, surprise: six jeunes filles s’exhibent en sous vêtements. En bon soldat, le réalisateur ne rate pas l’occasion de montrer au 14,5 millions de téléspectateurs (record absolu pour un match de rugby) un peu de féminité dans ce sport de brutes.
Bon, les filles n’étaient pas là non plus par hasard. En fait, il s’agissait d’une opération publicitaire pour la marque de sous-vêtements DIM, qui avait diligenté une sorte de commando sur zone. Derrière cette opération, selon le site Influencia, on retrouve l’agence FFL. Joint par le quotidien l’Equipe mardi soir, les représentants légaux de l’IRB, l'International Rugby Board, qui détient les droits commerciaux de la compétition, se pencheront sur l’affaire dans quelques jours. L’amende risque d’être salée pour DIM puisque l’IRB ne plaisante pas avec ses contrats publicitaires, rudement négociés, pendant la Coupe du monde.
En attendant, les basses températures n’effraient pas les autoproclamées «DIM DIM Girls», le nom choisie par la marque pour qualifier ses employées: d’autres shows sont prévus pour les demi-finale (samedi 13 et dimanche 14 octobre) et la finale (samedi 20 octobre). Si ça n'est pas de la pub ouvertement clandestine… Le mode opératoire sera le suivant: trois «strip» de trois minutes chacun, histoire de réchauffer l’ambiance… et plus sûrement de passer à la télé. Si l’IRB le veut bien. Et ça nous étonnerait.
Les «Dim Dim Girls» piratent la Coupe du Monde de rugby
La célèbre marque de sous-vêtements a lancé une campagne de charme dans les tribunes des stades de la Coupe du monde. L'IRB, l'organisme qui gère les droits commerciaux, n'était pas prévenu. Et n'apprécie pas du tout.
La magie du rugby: ses placages virils, ses tampons monumentaux et… ses supportrices dénudées. France-Irlande, Stade de France de Saint-Denis, vendredi dernier. Vincent Clerc marque le deuxième essai des Bleus, les supporters manifestent leur félicité et TF1 montre les tribunes surchauffées.
Et là, surprise: six jeunes filles s’exhibent en sous vêtements. En bon soldat, le réalisateur ne rate pas l’occasion de montrer au 14,5 millions de téléspectateurs (record absolu pour un match de rugby) un peu de féminité dans ce sport de brutes.
Bon, les filles n’étaient pas là non plus par hasard. En fait, il s’agissait d’une opération publicitaire pour la marque de sous-vêtements DIM, qui avait diligenté une sorte de commando sur zone. Derrière cette opération, selon le site Influencia, on retrouve l’agence FFL. Joint par le quotidien l’Equipe mardi soir, les représentants légaux de l’IRB, l'International Rugby Board, qui détient les droits commerciaux de la compétition, se pencheront sur l’affaire dans quelques jours. L’amende risque d’être salée pour DIM puisque l’IRB ne plaisante pas avec ses contrats publicitaires, rudement négociés, pendant la Coupe du monde.
En attendant, les basses températures n’effraient pas les autoproclamées «DIM DIM Girls», le nom choisie par la marque pour qualifier ses employées: d’autres shows sont prévus pour les demi-finale (samedi 13 et dimanche 14 octobre) et la finale (samedi 20 octobre). Si ça n'est pas de la pub ouvertement clandestine… Le mode opératoire sera le suivant: trois «strip» de trois minutes chacun, histoire de réchauffer l’ambiance… et plus sûrement de passer à la télé. Si l’IRB le veut bien. Et ça nous étonnerait.
Christophe Raverdy
>> Hier soir, j'ai eu le bonheur de regarder TF1, et plus particulièrement la page de publicité entourée de deux tranches de rugby.
Je n'ai pas été particulièrement emballé par le match, mais grace aux commentateurs et à l'oeil avisé des réalisateurs, j'ai pu admirer de courageuses supportrices très lourdement déshabillées qui donnaient l'impression de faire tout leur possible pour encourager l'équipe de France.
J'aurais aimé savoir si ce sont d'authentiques amatrices de rugby ou si ce sont des intermitentes du spectacle (recalées de l'Ile de la Tentation) placées sous l'oeil des caméras afin d'apporter un peu de réconfort aux annonceurs.
-- Gestion collaborative des FAQ et CU : http://gnouf.info/mediawiki
Défense d'une radio "élitaire, pour tous" : http://chiwalou.org/bab
>> Hier soir, j'ai eu le bonheur de regarder TF1, et plus
particulièrement la page de publicité entourée de deux tranches de
rugby.
Je n'ai pas été particulièrement emballé par le match, mais grace aux
commentateurs et à l'oeil avisé des réalisateurs, j'ai pu admirer de
courageuses supportrices très lourdement déshabillées qui donnaient
l'impression de faire tout leur possible pour encourager l'équipe de
France.
J'aurais aimé savoir si ce sont d'authentiques amatrices de rugby ou
si ce sont des intermitentes du spectacle (recalées de l'Ile de la
Tentation) placées sous l'oeil des caméras afin d'apporter un peu de
réconfort aux annonceurs.
>> Hier soir, j'ai eu le bonheur de regarder TF1, et plus particulièrement la page de publicité entourée de deux tranches de rugby.
Je n'ai pas été particulièrement emballé par le match, mais grace aux commentateurs et à l'oeil avisé des réalisateurs, j'ai pu admirer de courageuses supportrices très lourdement déshabillées qui donnaient l'impression de faire tout leur possible pour encourager l'équipe de France.
J'aurais aimé savoir si ce sont d'authentiques amatrices de rugby ou si ce sont des intermitentes du spectacle (recalées de l'Ile de la Tentation) placées sous l'oeil des caméras afin d'apporter un peu de réconfort aux annonceurs.
-- Gestion collaborative des FAQ et CU : http://gnouf.info/mediawiki
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Christophe Raverdy
> Et là, surprise: six jeunes filles s?exhibent en sous vêtements. En bon soldat, le réalisateur ne rate pas l?occasion de montrer au 14,5 millions de téléspectateurs (record absolu pour un match de rugby) un peu de féminité dans ce sport de brutes.
Questions :
- Comment ont-elles fait pour avoir des places ?
- Comment le réalisateur a-t-il fait pour les "choper" au bon moment ?
- Ont-elles retrouvé leurs vêtements après "coup" ?
-- Gestion collaborative des FAQ et CU : http://gnouf.info/mediawiki
Défense d'une radio "élitaire, pour tous" : http://chiwalou.org/bab
> Et là, surprise: six jeunes filles s?exhibent en sous vêtements. En
bon soldat, le réalisateur ne rate pas l?occasion de montrer au 14,5
millions de téléspectateurs (record absolu pour un match de rugby) un
peu de féminité dans ce sport de brutes.
Questions :
- Comment ont-elles fait pour avoir des places ?
- Comment le réalisateur a-t-il fait pour les "choper" au bon moment ?
- Ont-elles retrouvé leurs vêtements après "coup" ?
--
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> Et là, surprise: six jeunes filles s?exhibent en sous vêtements. En bon soldat, le réalisateur ne rate pas l?occasion de montrer au 14,5 millions de téléspectateurs (record absolu pour un match de rugby) un peu de féminité dans ce sport de brutes.
Questions :
- Comment ont-elles fait pour avoir des places ?
- Comment le réalisateur a-t-il fait pour les "choper" au bon moment ?
- Ont-elles retrouvé leurs vêtements après "coup" ?
-- Gestion collaborative des FAQ et CU : http://gnouf.info/mediawiki
Défense d'une radio "élitaire, pour tous" : http://chiwalou.org/bab
Excusez ,j'ai du faire une erreur de manip dans mon copier/coller, il fallait lire : http://www.liberation.fr/actualite/sports/coupe_du_monde_de_rugby_ 2007/281128.FR.php
http://www.youtube.com/watch?v=3SUY9GuLkdI&eurl Les «Dim Dim Girls» piratent la Coupe du Monde de rugby
La célèbre marque de sous-vêtements a lancé une campagne de charme dans les tribunes des stades de la Coupe du monde. L'IRB, l'organisme qui gère les droits commerciaux, n'était pas prévenu. Et n'apprécie pas du tout.
La magie du rugby: ses placages virils, ses tampons monumentaux et. ses supportrices dénudées. France-Irlande, Stade de France de Saint-Denis, vendredi dernier. Vincent Clerc marque le deuxième essai des Bleus, les supporters manifestent leur félicité et TF1 montre les tribunes surchauffées.
Et là, surprise: six jeunes filles s'exhibent en sous vêtements. En bon soldat, le réalisateur ne rate pas l'occasion de montrer au 14,5 millions de téléspectateurs (record absolu pour un match de rugby) un peu de féminité dans ce sport de brutes.
Bon, les filles n'étaient pas là non plus par hasard. En fait, il s'agissait d'une opération publicitaire pour la marque de sous-vêtements DIM, qui avait diligenté une sorte de commando sur zone. Derrière cette opération, selon le site Influencia, on retrouve l'agence FFL. Joint par le quotidien l'Equipe mardi soir, les représentants légaux de l'IRB, l'International Rugby Board, qui détient les droits commerciaux de la compétition, se pencheront sur l'affaire dans quelques jours. L'amende risque d'être salée pour DIM puisque l'IRB ne plaisante pas avec ses contrats publicitaires, rudement négociés, pendant la Coupe du monde.
En attendant, les basses températures n'effraient pas les autoproclamées «DIM DIM Girls», le nom choisie par la marque pour qualifier ses employées: d'autres shows sont prévus pour les demi-finale (samedi 13 et dimanche 14 octobre) et la finale (samedi 20 octobre). Si ça n'est pas de la pub ouvertement clandestine. Le mode opératoire sera le suivant: trois «strip» de trois minutes chacun, histoire de réchauffer l'ambiance. et plus sûrement de passer à la télé. Si l'IRB le veut bien. Et ça nous étonnerait.
Excusez ,j'ai du faire une erreur de manip dans mon copier/coller, il
fallait lire :
http://www.liberation.fr/actualite/sports/coupe_du_monde_de_rugby_
2007/281128.FR.php
http://www.youtube.com/watch?v=3SUY9GuLkdI&eurl
Les «Dim Dim Girls» piratent la Coupe du Monde de rugby
La célèbre marque de sous-vêtements a lancé une campagne de charme dans
les tribunes des stades de la Coupe du monde. L'IRB, l'organisme qui gère
les droits commerciaux, n'était pas prévenu. Et n'apprécie pas du tout.
La magie du rugby: ses placages virils, ses tampons monumentaux et. ses
supportrices dénudées. France-Irlande, Stade de France de Saint-Denis,
vendredi dernier. Vincent Clerc marque le deuxième essai des Bleus, les
supporters manifestent leur félicité et TF1 montre les tribunes
surchauffées.
Et là, surprise: six jeunes filles s'exhibent en sous vêtements. En bon
soldat, le réalisateur ne rate pas l'occasion de montrer au 14,5 millions
de téléspectateurs (record absolu pour un match de rugby) un peu de
féminité dans ce sport de brutes.
Bon, les filles n'étaient pas là non plus par hasard. En fait, il
s'agissait d'une opération publicitaire pour la marque de sous-vêtements
DIM, qui avait diligenté une sorte de commando sur zone. Derrière cette
opération, selon le site Influencia, on retrouve l'agence FFL. Joint par
le quotidien l'Equipe mardi soir, les représentants légaux de l'IRB,
l'International Rugby Board, qui détient les droits commerciaux de la
compétition, se pencheront sur l'affaire dans quelques jours. L'amende
risque d'être salée pour DIM puisque l'IRB ne plaisante pas avec ses
contrats publicitaires, rudement négociés, pendant la Coupe du monde.
En attendant, les basses températures n'effraient pas les autoproclamées
«DIM DIM Girls», le nom choisie par la marque pour qualifier ses
employées: d'autres shows sont prévus pour les demi-finale (samedi 13 et
dimanche 14 octobre) et la finale (samedi 20 octobre). Si ça n'est pas de
la pub ouvertement clandestine. Le mode opératoire sera le suivant: trois
«strip» de trois minutes chacun, histoire de réchauffer l'ambiance. et
plus sûrement de passer à la télé. Si l'IRB le veut bien. Et ça nous
étonnerait.
Excusez ,j'ai du faire une erreur de manip dans mon copier/coller, il fallait lire : http://www.liberation.fr/actualite/sports/coupe_du_monde_de_rugby_ 2007/281128.FR.php
http://www.youtube.com/watch?v=3SUY9GuLkdI&eurl Les «Dim Dim Girls» piratent la Coupe du Monde de rugby
La célèbre marque de sous-vêtements a lancé une campagne de charme dans les tribunes des stades de la Coupe du monde. L'IRB, l'organisme qui gère les droits commerciaux, n'était pas prévenu. Et n'apprécie pas du tout.
La magie du rugby: ses placages virils, ses tampons monumentaux et. ses supportrices dénudées. France-Irlande, Stade de France de Saint-Denis, vendredi dernier. Vincent Clerc marque le deuxième essai des Bleus, les supporters manifestent leur félicité et TF1 montre les tribunes surchauffées.
Et là, surprise: six jeunes filles s'exhibent en sous vêtements. En bon soldat, le réalisateur ne rate pas l'occasion de montrer au 14,5 millions de téléspectateurs (record absolu pour un match de rugby) un peu de féminité dans ce sport de brutes.
Bon, les filles n'étaient pas là non plus par hasard. En fait, il s'agissait d'une opération publicitaire pour la marque de sous-vêtements DIM, qui avait diligenté une sorte de commando sur zone. Derrière cette opération, selon le site Influencia, on retrouve l'agence FFL. Joint par le quotidien l'Equipe mardi soir, les représentants légaux de l'IRB, l'International Rugby Board, qui détient les droits commerciaux de la compétition, se pencheront sur l'affaire dans quelques jours. L'amende risque d'être salée pour DIM puisque l'IRB ne plaisante pas avec ses contrats publicitaires, rudement négociés, pendant la Coupe du monde.
En attendant, les basses températures n'effraient pas les autoproclamées «DIM DIM Girls», le nom choisie par la marque pour qualifier ses employées: d'autres shows sont prévus pour les demi-finale (samedi 13 et dimanche 14 octobre) et la finale (samedi 20 octobre). Si ça n'est pas de la pub ouvertement clandestine. Le mode opératoire sera le suivant: trois «strip» de trois minutes chacun, histoire de réchauffer l'ambiance. et plus sûrement de passer à la télé. Si l'IRB le veut bien. Et ça nous étonnerait.