Je viens d'installer la nouvelle version de Skype.
Une fois cela fait, impossible de me connecter.
A toute tentative, et même après avoir créé un nouveau compte Skype, je
reçois le message d'erreur :"Another Skype instance may exist"
Qu'est-ce que cela peut bien impliquer ?
Que faire ?
Du logiciel propriétaire et juste un peu plus... un gros risque pour les entreprises qui tiennent à leurs secrets.
Par contre je ne vois rien concernant la Mafia dans tout ça, et c'était ma *seule* question.
Jacques qui n'utilise pas Skype.
quelle Mafia d'ailleurs ? THE Mafia ? Russe, Sicilienne, Soprano ou Capone ?
Justement la mafia n'a pas apprécié la comparaison avec Skype et est à mes trousses (j'écris d'une cache sous haute protection.) Cf. « Les disparus d'Apostrophe » de Pétillon.
On 2008-03-16, Thierry B. <tth@prout.stex.invalid> wrote:
--{ Jacques «Grand-Cagnotte» Lavignotte a plopé ceci: }--
[...] Utiliser skype c'est comme
demander à la mafia de poser sa ligne téléphonique.
Tu peux expliquer ?
Cherche un document de Phillipe Biondi présenté
à la BlackHat 2006, par exemple... Une copie ici:
http://la.buvette.org/vrac/skype_BHEU06.handout.pdf
Du logiciel propriétaire et juste un peu plus... un gros risque
pour les entreprises qui tiennent à leurs secrets.
Par contre je ne vois rien concernant la Mafia dans tout ça,
et c'était ma *seule* question.
Jacques qui n'utilise pas Skype.
quelle Mafia d'ailleurs ? THE Mafia ? Russe, Sicilienne, Soprano
ou Capone ?
Justement la mafia n'a pas apprécié la comparaison avec Skype
et est à mes trousses (j'écris d'une cache sous haute protection.)
Cf. « Les disparus d'Apostrophe » de Pétillon.
Du logiciel propriétaire et juste un peu plus... un gros risque pour les entreprises qui tiennent à leurs secrets.
Par contre je ne vois rien concernant la Mafia dans tout ça, et c'était ma *seule* question.
Jacques qui n'utilise pas Skype.
quelle Mafia d'ailleurs ? THE Mafia ? Russe, Sicilienne, Soprano ou Capone ?
Justement la mafia n'a pas apprécié la comparaison avec Skype et est à mes trousses (j'écris d'une cache sous haute protection.) Cf. « Les disparus d'Apostrophe » de Pétillon.