Bon, je reposte à tête reposée :)
Mon frangin dispose d'une delta44 qui ne propose que des sorties symétriques
(comme la plupart des interfaces de ce type d'ailleurs, mais
malheureusement sans prise casque). Comme il n'a pas (encore) le budget
pour acheter les enceintes de monitoring qui l'intéresse (faut dire que ça
chiffre vite ces trucs là), il souhaiterait brancher son système d'écoute
actuel qui ne dispose que d'entrées asymétriques.
Je me doute qu'un branchement "sauvage" en asymétrique risque de ne pas être
idéal (perte de gain, inconvénients d'une liaison asymétrique vis-à-vis des
parasites, etc.). Mais est-ce que le son serait vraiment mauvais ?
J'ai trouvé différents montages de désymétriseurs (par ex sur
http://www.sonelec-musique.com/electronique_realisations.html ),
permettent-ils d'obtenir un gain de qualité du signal intéressant ?
J'ai vu que certains adeptes du fer à souder semblent traîner dans le coin,
y aurait-il d'autres schémas/montages possibles ? (passifs par exemple)
Voilà, si vous avez des conseils, des liens, ou des retours d'expérience, je
suis preneur...
J'ai testé un CD sur le S.Convert et comparé à différentes DI, c'est le (...) mon test, est en dessous d'un symétriseur pour cet usage.
Là pourquoi pas, si pas besoin d'une adaptation d'impédance ou de niveau, ni d'une isolation de masse, un pur symétriseur est surement plus transparent qu'une DI.
Ça augmente aussi le niveau, il y a d'ailleurs des potentiomètres de gains. Sans corriger il passe de -10 à +4 et inversement.
Je n'ai jamais essayé en désymétriseur.
A part "bruiter" le signal, je vois pas à quoi ça pourrait servir.
Je ne sais pas. Peut-être qu'une fois qu'on a le symétriseur il est plus facile de l'utiliser à l'envers que de bidouiller un câble.
-- siger
oragoun a écrit :
J'ai testé un CD sur le S.Convert et comparé à différentes DI,
c'est le (...)
mon test, est en dessous d'un symétriseur pour cet usage.
Là pourquoi pas, si pas besoin d'une adaptation d'impédance ou de
niveau, ni d'une isolation de masse, un pur symétriseur est
surement plus transparent qu'une DI.
Ça augmente aussi le niveau, il y a d'ailleurs des potentiomètres de
gains. Sans corriger il passe de -10 à +4 et inversement.
Je n'ai jamais essayé en désymétriseur.
A part "bruiter" le signal, je vois pas à quoi ça pourrait servir.
Je ne sais pas. Peut-être qu'une fois qu'on a le symétriseur il est
plus facile de l'utiliser à l'envers que de bidouiller un câble.
J'ai testé un CD sur le S.Convert et comparé à différentes DI, c'est le (...) mon test, est en dessous d'un symétriseur pour cet usage.
Là pourquoi pas, si pas besoin d'une adaptation d'impédance ou de niveau, ni d'une isolation de masse, un pur symétriseur est surement plus transparent qu'une DI.
Ça augmente aussi le niveau, il y a d'ailleurs des potentiomètres de gains. Sans corriger il passe de -10 à +4 et inversement.
Je n'ai jamais essayé en désymétriseur.
A part "bruiter" le signal, je vois pas à quoi ça pourrait servir.
Je ne sais pas. Peut-être qu'une fois qu'on a le symétriseur il est plus facile de l'utiliser à l'envers que de bidouiller un câble.
Là pourquoi pas, si pas besoin d'une adaptation d'impédance ou de niveau, ni d'une isolation de masse, un pur symétriseur est surement plus transparent qu'une DI.
Ça augmente aussi le niveau, il y a d'ailleurs des potentiomètres de gains. Sans corriger il passe de -10 à +4 et inversement.
Donc c'est une DI, voire plus qu'une DI. Je classerais plutôt ça comme un préampli.
Je ne sais pas. Peut-être qu'une fois qu'on a le symétriseur il est plus facile de l'utiliser à l'envers que de bidouiller un câble.
Mouais, je suis sceptique. Le signal traverse de l'électronique, donc on rajoute inévitablement du bruit. Un câble est ce que l'on peut faire de plus transparent pour désymetriser.
Là pourquoi pas, si pas besoin d'une adaptation d'impédance ou de
niveau, ni d'une isolation de masse, un pur symétriseur est surement
plus transparent qu'une DI.
Ça augmente aussi le niveau, il y a d'ailleurs des potentiomètres de
gains. Sans corriger il passe de -10 à +4 et inversement.
Donc c'est une DI, voire plus qu'une DI. Je classerais plutôt ça comme un
préampli.
Je ne sais pas. Peut-être qu'une fois qu'on a le symétriseur il est
plus facile de l'utiliser à l'envers que de bidouiller un câble.
Mouais, je suis sceptique. Le signal traverse de l'électronique, donc on
rajoute inévitablement du bruit. Un câble est ce que l'on peut faire de
plus transparent pour désymetriser.
Là pourquoi pas, si pas besoin d'une adaptation d'impédance ou de niveau, ni d'une isolation de masse, un pur symétriseur est surement plus transparent qu'une DI.
Ça augmente aussi le niveau, il y a d'ailleurs des potentiomètres de gains. Sans corriger il passe de -10 à +4 et inversement.
Donc c'est une DI, voire plus qu'une DI. Je classerais plutôt ça comme un préampli.
Je ne sais pas. Peut-être qu'une fois qu'on a le symétriseur il est plus facile de l'utiliser à l'envers que de bidouiller un câble.
Mouais, je suis sceptique. Le signal traverse de l'électronique, donc on rajoute inévitablement du bruit. Un câble est ce que l'on peut faire de plus transparent pour désymetriser.
cordialement
oragoun
siger
oragoun a écrit :
Là pourquoi pas, si pas besoin d'une adaptation d'impédance ou de niveau, ni d'une isolation de masse, un pur symétriseur est surement plus transparent qu'une DI.
Ça augmente aussi le niveau, il y a d'ailleurs des potentiomètres de gains. Sans corriger il passe de -10 à +4 et inversement.
Donc c'est une DI, voire plus qu'une DI. Je classerais plutôt ça comme un préampli.
Il y a des DI qui ont aussi des gains réglables.
Mais là, il ne s'agit pas de DI, pas au sens courant, en tous cas, puisque le niveau d'entrée typique est un lecteur de CD en asymétrique alors que pour une DI c'est plutôt une guitare.
Je sais qu'un CD sur scène est souvent branché sur une DI, mais c'est une erreur, ou plus probablement faute de mieux.
Je ne sais pas. Peut-être qu'une fois qu'on a le symétriseur il est plus facile de l'utiliser à l'envers que de bidouiller un câble.
Mouais, je suis sceptique. Le signal traverse de l'électronique, donc on rajoute inévitablement du bruit. Un câble est ce que l'on peut faire de plus transparent pour désymetriser.
Je ne sais pas.
-- siger
oragoun a écrit :
Là pourquoi pas, si pas besoin d'une adaptation d'impédance ou
de niveau, ni d'une isolation de masse, un pur symétriseur est
surement plus transparent qu'une DI.
Ça augmente aussi le niveau, il y a d'ailleurs des potentiomètres
de gains. Sans corriger il passe de -10 à +4 et inversement.
Donc c'est une DI, voire plus qu'une DI. Je classerais plutôt ça
comme un préampli.
Il y a des DI qui ont aussi des gains réglables.
Mais là, il ne s'agit pas de DI, pas au sens courant, en tous cas,
puisque le niveau d'entrée typique est un lecteur de CD en asymétrique
alors que pour une DI c'est plutôt une guitare.
Je sais qu'un CD sur scène est souvent branché sur une DI, mais c'est
une erreur, ou plus probablement faute de mieux.
Je ne sais pas. Peut-être qu'une fois qu'on a le symétriseur il
est plus facile de l'utiliser à l'envers que de bidouiller un
câble.
Mouais, je suis sceptique. Le signal traverse de l'électronique,
donc on rajoute inévitablement du bruit. Un câble est ce que l'on
peut faire de plus transparent pour désymetriser.
Là pourquoi pas, si pas besoin d'une adaptation d'impédance ou de niveau, ni d'une isolation de masse, un pur symétriseur est surement plus transparent qu'une DI.
Ça augmente aussi le niveau, il y a d'ailleurs des potentiomètres de gains. Sans corriger il passe de -10 à +4 et inversement.
Donc c'est une DI, voire plus qu'une DI. Je classerais plutôt ça comme un préampli.
Il y a des DI qui ont aussi des gains réglables.
Mais là, il ne s'agit pas de DI, pas au sens courant, en tous cas, puisque le niveau d'entrée typique est un lecteur de CD en asymétrique alors que pour une DI c'est plutôt une guitare.
Je sais qu'un CD sur scène est souvent branché sur une DI, mais c'est une erreur, ou plus probablement faute de mieux.
Je ne sais pas. Peut-être qu'une fois qu'on a le symétriseur il est plus facile de l'utiliser à l'envers que de bidouiller un câble.
Mouais, je suis sceptique. Le signal traverse de l'électronique, donc on rajoute inévitablement du bruit. Un câble est ce que l'on peut faire de plus transparent pour désymetriser.
Là pourquoi pas, si pas besoin d'une adaptation d'impédance ou de niveau, ni d'une isolation de masse, un pur symétriseur est surement plus transparent qu'une DI.
Ça augmente aussi le niveau, il y a d'ailleurs des potentiomètres de gains. Sans corriger il passe de -10 à +4 et inversement.
Donc c'est une DI, voire plus qu'une DI. Je classerais plutôt ça comme un préampli.
Il y a des DI qui ont aussi des gains réglables.
Mais là, il ne s'agit pas de DI, pas au sens courant, en tous cas, puisque le niveau d'entrée typique est un lecteur de CD en asymétrique alors que pour une DI c'est plutôt une guitare.
Je sais qu'un CD sur scène est souvent branché sur une DI, mais c'est une erreur, ou plus probablement faute de mieux.
Une erreur ? Ah ben non !! C'est obligatoire !! C'est une sortie ligne asymétrique (RCA la plupart du temps) +10dB impédance plus qu'indéfinie (ça dépend du constructeur, ça peut monter à 2-300 Ohms si ce n'est plus). Rien à voir avec l'entrée micro symétrique XLR +4dB imp max 10kOhm sur laquelle est branché l'autre bout du multipaire. En plus la plupart du temps l'alim est en 2 points phase/neutre sans terre, bonjour les buzz. C'est pas faute de mieux, c'est impératif.
Mouais, je suis sceptique. Le signal traverse de l'électronique, donc on rajoute inévitablement du bruit. Un câble est ce que l'on peut faire de plus transparent pour désymetriser.
Je ne sais pas.
Je voudrais pas me la jouer "Mr-je-sais-tout" mais je peux t'assurer que si.
Allez, un peu d'ASCII-Art :
PC = point chaud (signal) PF = point froid (signal id mais en opposition de phase avec le PC) M = masse
**Désymétrisation câble :
PC________________________________________________________ signal
Rq : le signal, pris sur le point chaud, n'a pas été touché de quelque façon que ce soit. La seule perte est due à la longueur du câble (effet Joule). Cas extreme : désymetriser un signal après une grande longueur. Là on insert une DI juste avant de désymétriser, histoire de garder la plus grande longueur symétrique.
Rq : tous ces composants, lorsqu'ils sont traversés par un courant électrique (notre signal) chauffent, c'est l'effet Joule, lequel est une perte d'énergie, cad une perte de signal. Donc pour avoir le même niveau qu'à l'entréé, il faudra ré-amplifier, cad remonter le signal ainsi que le bruit. Et X composants, quels que soient leur qualité, auront _toujours_ un effet Joule supérieur à celui d'un simple câble bien dimensionné.
Là pourquoi pas, si pas besoin d'une adaptation d'impédance ou
de niveau, ni d'une isolation de masse, un pur symétriseur est
surement plus transparent qu'une DI.
Ça augmente aussi le niveau, il y a d'ailleurs des potentiomètres
de gains. Sans corriger il passe de -10 à +4 et inversement.
Donc c'est une DI, voire plus qu'une DI. Je classerais plutôt ça
comme un préampli.
Il y a des DI qui ont aussi des gains réglables.
Mais là, il ne s'agit pas de DI, pas au sens courant, en tous cas,
puisque le niveau d'entrée typique est un lecteur de CD en asymétrique
alors que pour une DI c'est plutôt une guitare.
Je sais qu'un CD sur scène est souvent branché sur une DI, mais c'est
une erreur, ou plus probablement faute de mieux.
Une erreur ? Ah ben non !! C'est obligatoire !! C'est une sortie ligne
asymétrique (RCA la plupart du temps) +10dB impédance plus qu'indéfinie
(ça dépend du constructeur, ça peut monter à 2-300 Ohms si ce n'est
plus). Rien à voir avec l'entrée micro symétrique XLR +4dB imp max 10kOhm
sur laquelle est branché l'autre bout du multipaire. En plus la plupart
du temps l'alim est en 2 points phase/neutre sans terre, bonjour les
buzz. C'est pas faute de mieux, c'est impératif.
Mouais, je suis sceptique. Le signal traverse de l'électronique,
donc on rajoute inévitablement du bruit. Un câble est ce que l'on
peut faire de plus transparent pour désymetriser.
Je ne sais pas.
Je voudrais pas me la jouer "Mr-je-sais-tout" mais je peux t'assurer que
si.
Allez, un peu d'ASCII-Art :
PC = point chaud (signal)
PF = point froid (signal id mais en opposition de phase avec le PC)
M = masse
**Désymétrisation câble :
PC________________________________________________________ signal
Rq : le signal, pris sur le point chaud, n'a pas été touché de quelque
façon que ce soit. La seule perte est due à la longueur du câble (effet
Joule). Cas extreme : désymetriser un signal après une grande longueur.
Là on insert une DI juste avant de désymétriser, histoire de garder la
plus grande longueur symétrique.
Rq : tous ces composants, lorsqu'ils sont traversés par un courant
électrique (notre signal) chauffent, c'est l'effet Joule, lequel est une
perte d'énergie, cad une perte de signal. Donc pour avoir le même niveau
qu'à l'entréé, il faudra ré-amplifier, cad remonter le signal ainsi que
le bruit. Et X composants, quels que soient leur qualité, auront
_toujours_ un effet Joule supérieur à celui d'un simple câble bien
dimensionné.
Là pourquoi pas, si pas besoin d'une adaptation d'impédance ou de niveau, ni d'une isolation de masse, un pur symétriseur est surement plus transparent qu'une DI.
Ça augmente aussi le niveau, il y a d'ailleurs des potentiomètres de gains. Sans corriger il passe de -10 à +4 et inversement.
Donc c'est une DI, voire plus qu'une DI. Je classerais plutôt ça comme un préampli.
Il y a des DI qui ont aussi des gains réglables.
Mais là, il ne s'agit pas de DI, pas au sens courant, en tous cas, puisque le niveau d'entrée typique est un lecteur de CD en asymétrique alors que pour une DI c'est plutôt une guitare.
Je sais qu'un CD sur scène est souvent branché sur une DI, mais c'est une erreur, ou plus probablement faute de mieux.
Une erreur ? Ah ben non !! C'est obligatoire !! C'est une sortie ligne asymétrique (RCA la plupart du temps) +10dB impédance plus qu'indéfinie (ça dépend du constructeur, ça peut monter à 2-300 Ohms si ce n'est plus). Rien à voir avec l'entrée micro symétrique XLR +4dB imp max 10kOhm sur laquelle est branché l'autre bout du multipaire. En plus la plupart du temps l'alim est en 2 points phase/neutre sans terre, bonjour les buzz. C'est pas faute de mieux, c'est impératif.
Mouais, je suis sceptique. Le signal traverse de l'électronique, donc on rajoute inévitablement du bruit. Un câble est ce que l'on peut faire de plus transparent pour désymetriser.
Je ne sais pas.
Je voudrais pas me la jouer "Mr-je-sais-tout" mais je peux t'assurer que si.
Allez, un peu d'ASCII-Art :
PC = point chaud (signal) PF = point froid (signal id mais en opposition de phase avec le PC) M = masse
**Désymétrisation câble :
PC________________________________________________________ signal
Rq : le signal, pris sur le point chaud, n'a pas été touché de quelque façon que ce soit. La seule perte est due à la longueur du câble (effet Joule). Cas extreme : désymetriser un signal après une grande longueur. Là on insert une DI juste avant de désymétriser, histoire de garder la plus grande longueur symétrique.
Rq : tous ces composants, lorsqu'ils sont traversés par un courant électrique (notre signal) chauffent, c'est l'effet Joule, lequel est une perte d'énergie, cad une perte de signal. Donc pour avoir le même niveau qu'à l'entréé, il faudra ré-amplifier, cad remonter le signal ainsi que le bruit. Et X composants, quels que soient leur qualité, auront _toujours_ un effet Joule supérieur à celui d'un simple câble bien dimensionné.
Et en plus le câble est beaucoup moins cher ;o)
Cordialement
oragoun
siger
oragoun a écrit :
Je sais qu'un CD sur scène est souvent branché sur une DI, mais c'est une erreur, ou plus probablement faute de mieux.
Une erreur ? Ah ben non !! C'est obligatoire !! C'est une sortie ligne asymétrique (RCA la plupart du temps) +10dB impédance plus qu'indéfinie (ça dépend du constructeur, ça peut monter à 2-300 Ohms si ce n'est plus). Rien à voir avec l'entrée micro symétrique XLR +4dB imp max 10kOhm sur laquelle est branché l'autre bout du multipaire. En plus la plupart du temps l'alim est en 2 points phase/neutre sans terre, bonjour les buzz. C'est pas faute de mieux, c'est impératif.
Non, c'est une erreur, il faut mettre un symétriseur. La meilleure preuve est que le symétriseur bas de gamme Samson restitue mieux les CD qu'une DI haut de gamme Avalon, d'après mes oreilles. J'ai essayé aussi avec un piano numérique et là une DI est préférable sauf si c'est une bas de gamme.
Il me semble que les symétriseurs plus réputés sont utilisés dans les radios, par exemple.
Allez, un peu d'ASCII-Art :
Merci pour ces explications, je ne savais pas que la désymétrisation n'était qu'une affaire de câblage.
-- siger
oragoun a écrit :
Je sais qu'un CD sur scène est souvent branché sur une DI, mais
c'est une erreur, ou plus probablement faute de mieux.
Une erreur ? Ah ben non !! C'est obligatoire !! C'est une sortie
ligne asymétrique (RCA la plupart du temps) +10dB impédance plus
qu'indéfinie (ça dépend du constructeur, ça peut monter à 2-300
Ohms si ce n'est plus). Rien à voir avec l'entrée micro symétrique
XLR +4dB imp max 10kOhm sur laquelle est branché l'autre bout du
multipaire. En plus la plupart du temps l'alim est en 2 points
phase/neutre sans terre, bonjour les buzz. C'est pas faute de
mieux, c'est impératif.
Non, c'est une erreur, il faut mettre un symétriseur. La meilleure
preuve est que le symétriseur bas de gamme Samson restitue mieux les CD
qu'une DI haut de gamme Avalon, d'après mes oreilles. J'ai essayé aussi
avec un piano numérique et là une DI est préférable sauf si c'est une
bas de gamme.
Il me semble que les symétriseurs plus réputés sont utilisés dans les
radios, par exemple.
Allez, un peu d'ASCII-Art :
Merci pour ces explications, je ne savais pas que la désymétrisation
n'était qu'une affaire de câblage.
Je sais qu'un CD sur scène est souvent branché sur une DI, mais c'est une erreur, ou plus probablement faute de mieux.
Une erreur ? Ah ben non !! C'est obligatoire !! C'est une sortie ligne asymétrique (RCA la plupart du temps) +10dB impédance plus qu'indéfinie (ça dépend du constructeur, ça peut monter à 2-300 Ohms si ce n'est plus). Rien à voir avec l'entrée micro symétrique XLR +4dB imp max 10kOhm sur laquelle est branché l'autre bout du multipaire. En plus la plupart du temps l'alim est en 2 points phase/neutre sans terre, bonjour les buzz. C'est pas faute de mieux, c'est impératif.
Non, c'est une erreur, il faut mettre un symétriseur. La meilleure preuve est que le symétriseur bas de gamme Samson restitue mieux les CD qu'une DI haut de gamme Avalon, d'après mes oreilles. J'ai essayé aussi avec un piano numérique et là une DI est préférable sauf si c'est une bas de gamme.
Il me semble que les symétriseurs plus réputés sont utilisés dans les radios, par exemple.
Allez, un peu d'ASCII-Art :
Merci pour ces explications, je ne savais pas que la désymétrisation n'était qu'une affaire de câblage.
-- siger
Trinine
oragoun a écrit:
Allez, un peu d'ASCII-Art :
[snip les schémas]
Hum... je vais peut être dire une bêtise, mais il me semble qu'il manque quelque chose d'important dans ces explications : Dans le 1er cas le signal n'est porté *que* par le point chaud, alors que dans le second cas, point chaud *et* point froid le transmettent avec addition à l'arrivée... du coup c'est la 1ère solution (même si elle est plus "rentable") qui engendre le plus de perte de gain, non ? Ici par exemple : http://www.ziggysono.com/htm_effets/index.php?art=sym_asym2&titre=Sym_asym2&rep=tech ils disent : "ceci dit, dans une ligne symétrique, le gain du signal arrivant est généralement quand même un peu plus fort que le signal partant"
T.
oragoun a écrit:
Allez, un peu d'ASCII-Art :
[snip les schémas]
Hum... je vais peut être dire une bêtise, mais il me semble qu'il manque
quelque chose d'important dans ces explications :
Dans le 1er cas le signal n'est porté *que* par le point chaud, alors que
dans le second cas, point chaud *et* point froid le transmettent avec
addition à l'arrivée... du coup c'est la 1ère solution (même si elle est
plus "rentable") qui engendre le plus de perte de gain, non ?
Ici par exemple :
http://www.ziggysono.com/htm_effets/index.php?art=sym_asym2&titre=Sym_asym2&rep=tech
ils disent :
"ceci dit, dans une ligne symétrique, le gain du signal arrivant est
généralement quand même un peu plus fort que le signal partant"
Hum... je vais peut être dire une bêtise, mais il me semble qu'il manque quelque chose d'important dans ces explications : Dans le 1er cas le signal n'est porté *que* par le point chaud, alors que dans le second cas, point chaud *et* point froid le transmettent avec addition à l'arrivée... du coup c'est la 1ère solution (même si elle est plus "rentable") qui engendre le plus de perte de gain, non ? Ici par exemple : http://www.ziggysono.com/htm_effets/index.php?art=sym_asym2&titre=Sym_asym2&rep=tech ils disent : "ceci dit, dans une ligne symétrique, le gain du signal arrivant est généralement quand même un peu plus fort que le signal partant"
T.
siger
Trinine a écrit :
http://www.ziggysono.com/htm_effets/index.php?art=sym_asym2&titre=S ym_asym2&rep=tech ils disent : "ceci dit, dans une ligne symétrique, le gain du signal arrivant est généralement quand même un peu plus fort que le signal partant"
Il est dit aussi :
"Et ici, un simple désymétrisateur. En fait, c'est un étage d'entrée (console ou ampli); ça n'est pas la même chose que de tout simplement relier le conducteur b (froid ou -) à la masse. Je vous expliquerai plus tard pourquoi..."
Je comprend de ce qu'il dit un intérêt évident à un désymétriseur (bon sang mais c'est bien sûr) : le désymétriseur est placé juste à l'entrée asymétrique, c'est à dire que tout le reste de la connexion (appareil symétrique vers désymétriseur) est symétrique, ce qui est indispensable dans pas mal de cas.
-- siger
Trinine a écrit :
http://www.ziggysono.com/htm_effets/index.php?art=sym_asym2&titre=S
ym_asym2&rep=tech ils disent :
"ceci dit, dans une ligne symétrique, le gain du signal arrivant
est généralement quand même un peu plus fort que le signal
partant"
Il est dit aussi :
"Et ici, un simple désymétrisateur. En fait, c'est un étage d'entrée
(console ou ampli); ça n'est pas la même chose que de tout simplement
relier le conducteur b (froid ou -) à la masse. Je vous expliquerai
plus tard pourquoi..."
Je comprend de ce qu'il dit un intérêt évident à un désymétriseur (bon
sang mais c'est bien sûr) : le désymétriseur est placé juste à l'entrée
asymétrique, c'est à dire que tout le reste de la connexion (appareil
symétrique vers désymétriseur) est symétrique, ce qui est indispensable
dans pas mal de cas.
http://www.ziggysono.com/htm_effets/index.php?art=sym_asym2&titre=S ym_asym2&rep=tech ils disent : "ceci dit, dans une ligne symétrique, le gain du signal arrivant est généralement quand même un peu plus fort que le signal partant"
Il est dit aussi :
"Et ici, un simple désymétrisateur. En fait, c'est un étage d'entrée (console ou ampli); ça n'est pas la même chose que de tout simplement relier le conducteur b (froid ou -) à la masse. Je vous expliquerai plus tard pourquoi..."
Je comprend de ce qu'il dit un intérêt évident à un désymétriseur (bon sang mais c'est bien sûr) : le désymétriseur est placé juste à l'entrée asymétrique, c'est à dire que tout le reste de la connexion (appareil symétrique vers désymétriseur) est symétrique, ce qui est indispensable dans pas mal de cas.
-- siger
Gerald
siger wrote:
Je comprend de ce qu'il dit un intérêt évident à un désymétriseur (bon sang mais c'est bien sûr) : le désymétriseur est placé juste à l'entrée asymétrique, c'est à dire que tout le reste de la connexion (appareil symétrique vers désymétriseur) est symétrique, ce qui est indispensable dans pas mal de cas.
Voi-là ! ça me chatouillait depuis un moment mais j'osais pas le dire : si on relie A et B à un bout "physiquement", c'est toute la liaison qui devient non symétrique et c'est pour éviter ça qu'existent les boites de direct, sinon pourquoi ? Un raccord suffirait !
C'est par contre pour une raison *inverse* que le blindage de masse est assuré dès qu'UNE des extrémités est reliée à la masse. Relier les deux risque seulement de créer une "boucle" (et une ronflette si c'est de l'audio). C'est pourquoi, en principe, la norme MIDI prévoyait une liaison (donc en fait des câbles) qui n'étaient reliés à la masse que d'un côté. La grosse parano, au moment de l'établissement de cette norme inter-marques, c'était qu'un appareil d'une marque "bas de gamme" viennent apporter des surcharges au circuit électrique des marques "d'excellence" :-) et c'est aussi la raison d'être de la rupture physique de la laison par le coupleur optique obligatoire sur les prises MIDI IN. -- Gérald
siger <guinness@hic.invalid> wrote:
Je comprend de ce qu'il dit un intérêt évident à un désymétriseur (bon
sang mais c'est bien sûr) : le désymétriseur est placé juste à l'entrée
asymétrique, c'est à dire que tout le reste de la connexion (appareil
symétrique vers désymétriseur) est symétrique, ce qui est indispensable
dans pas mal de cas.
Voi-là ! ça me chatouillait depuis un moment mais j'osais pas le dire :
si on relie A et B à un bout "physiquement", c'est toute la liaison qui
devient non symétrique et c'est pour éviter ça qu'existent les boites de
direct, sinon pourquoi ? Un raccord suffirait !
C'est par contre pour une raison *inverse* que le blindage de masse est
assuré dès qu'UNE des extrémités est reliée à la masse. Relier les deux
risque seulement de créer une "boucle" (et une ronflette si c'est de
l'audio). C'est pourquoi, en principe, la norme MIDI prévoyait une
liaison (donc en fait des câbles) qui n'étaient reliés à la masse que
d'un côté. La grosse parano, au moment de l'établissement de cette norme
inter-marques, c'était qu'un appareil d'une marque "bas de gamme"
viennent apporter des surcharges au circuit électrique des marques
"d'excellence" :-) et c'est aussi la raison d'être de la rupture
physique de la laison par le coupleur optique obligatoire sur les prises
MIDI IN.
--
Gérald
Je comprend de ce qu'il dit un intérêt évident à un désymétriseur (bon sang mais c'est bien sûr) : le désymétriseur est placé juste à l'entrée asymétrique, c'est à dire que tout le reste de la connexion (appareil symétrique vers désymétriseur) est symétrique, ce qui est indispensable dans pas mal de cas.
Voi-là ! ça me chatouillait depuis un moment mais j'osais pas le dire : si on relie A et B à un bout "physiquement", c'est toute la liaison qui devient non symétrique et c'est pour éviter ça qu'existent les boites de direct, sinon pourquoi ? Un raccord suffirait !
C'est par contre pour une raison *inverse* que le blindage de masse est assuré dès qu'UNE des extrémités est reliée à la masse. Relier les deux risque seulement de créer une "boucle" (et une ronflette si c'est de l'audio). C'est pourquoi, en principe, la norme MIDI prévoyait une liaison (donc en fait des câbles) qui n'étaient reliés à la masse que d'un côté. La grosse parano, au moment de l'établissement de cette norme inter-marques, c'était qu'un appareil d'une marque "bas de gamme" viennent apporter des surcharges au circuit électrique des marques "d'excellence" :-) et c'est aussi la raison d'être de la rupture physique de la laison par le coupleur optique obligatoire sur les prises MIDI IN. -- Gérald
oragoun
(Gerald) écrivait news:1i5ju06.9zdly6x0pkzkN%:
Voi-là ! ça me chatouillait depuis un moment mais j'osais pas le dire : si on relie A et B à un bout "physiquement", c'est toute la liaison qui devient non symétrique et c'est pour éviter ça qu'existent les boites de direct, sinon pourquoi ? Un raccord suffirait !
Je ne dit pas le contraire :
Cas extreme : désymetriser un signal après une grande longueur. Là on insert une DI juste avant de désymétriser, histoire de garder la plus grande longueur symétrique.
Ce que l'on peut rencontrer de temps en temps sur scène, et encore... Les seules fois où cela m'est arrivé c'était pour attaquer un insert téléphonique RNIS à entrées asymétriques situé près d'une prise tél, donc loin de la console (matrice out sym), pour une retransmission radio, ou alors pour attaquer un PC Shuttle qui faisait du stream "en direct" et qui était dans la régie vidéo.
En home studio ça vaut pas trop le coup de s'en soucier.
C'est par contre pour une raison *inverse* que le blindage de masse est assuré dès qu'UNE des extrémités est reliée à la masse. Relier les deux
[snip]
physique de la laison par le coupleur optique obligatoire sur les prises MIDI IN.
Ce qui explique pourquoi sur une DI de bon aloi on peut faire sauter la masse.
Voi-là ! ça me chatouillait depuis un moment mais j'osais pas le dire
: si on relie A et B à un bout "physiquement", c'est toute la liaison
qui devient non symétrique et c'est pour éviter ça qu'existent les
boites de direct, sinon pourquoi ? Un raccord suffirait !
Je ne dit pas le contraire :
Cas extreme : désymetriser un signal après une grande longueur.
Là on insert une DI juste avant de désymétriser, histoire de garder
la plus grande longueur symétrique.
Ce que l'on peut rencontrer de temps en temps sur scène, et encore...
Les seules fois où cela m'est arrivé c'était pour attaquer un insert
téléphonique RNIS à entrées asymétriques situé près d'une prise tél,
donc loin de la console (matrice out sym), pour une retransmission
radio, ou alors pour attaquer un PC Shuttle qui faisait du stream "en
direct" et qui était dans la régie vidéo.
En home studio ça vaut pas trop le coup de s'en soucier.
C'est par contre pour une raison *inverse* que le blindage de masse
est assuré dès qu'UNE des extrémités est reliée à la masse. Relier les
deux
[snip]
physique de la laison par le coupleur optique obligatoire sur les
prises MIDI IN.
Ce qui explique pourquoi sur une DI de bon aloi on peut faire sauter la
masse.
Voi-là ! ça me chatouillait depuis un moment mais j'osais pas le dire : si on relie A et B à un bout "physiquement", c'est toute la liaison qui devient non symétrique et c'est pour éviter ça qu'existent les boites de direct, sinon pourquoi ? Un raccord suffirait !
Je ne dit pas le contraire :
Cas extreme : désymetriser un signal après une grande longueur. Là on insert une DI juste avant de désymétriser, histoire de garder la plus grande longueur symétrique.
Ce que l'on peut rencontrer de temps en temps sur scène, et encore... Les seules fois où cela m'est arrivé c'était pour attaquer un insert téléphonique RNIS à entrées asymétriques situé près d'une prise tél, donc loin de la console (matrice out sym), pour une retransmission radio, ou alors pour attaquer un PC Shuttle qui faisait du stream "en direct" et qui était dans la régie vidéo.
En home studio ça vaut pas trop le coup de s'en soucier.
C'est par contre pour une raison *inverse* que le blindage de masse est assuré dès qu'UNE des extrémités est reliée à la masse. Relier les deux
[snip]
physique de la laison par le coupleur optique obligatoire sur les prises MIDI IN.
Ce qui explique pourquoi sur une DI de bon aloi on peut faire sauter la masse.
cordialement
oragoun
oragoun
Trinine écrivait news:4706755c$0$15808$:
oragoun a écrit:
Allez, un peu d'ASCII-Art :
[snip les schémas]
Hum... je vais peut être dire une bêtise, mais il me semble qu'il manque quelque chose d'important dans ces explications : Dans le 1er cas le signal n'est porté *que* par le point chaud, alors que dans le second cas, point chaud *et* point froid le transmettent avec addition à l'arrivée... du coup c'est la 1ère solution (même si elle est plus "rentable") qui engendre le plus de perte de gain, non ? Ici par exemple : http://www.ziggysono.com/htm_effets/index.php?art=sym_asym2&titre=Sym_a sym2&rep=tech ils disent : "ceci dit, dans une ligne symétrique, le gain du signal arrivant est généralement quand même un peu plus fort que le signal partant"
T.
En effet, +3dB. Mais quid de la transformation du signal due à l'électronique traversée ? On a pas tous la chance de bosser avec des préamps Neve, et des fois (souvent...) mieux vaut perdre 3dB que de trasher son signal à cause d'une électronique pourrie. Et les problématiques sont assez différentes selon que l'on parle de sono ou de studio (coût économique, poids, longueur de câble, exigence de qualité,etc...).
Un exemple : que ce soit en sono ou en studio, quand la console n'offre des inserts I/O sur un seul jack 6.35 (ce qui est fréquent), je ne connais personne qui va s'amuser à resymetriser en entrée de compresseur puis à désymétriser électroniquement en retour console, même si le traitement est en IN/OUT XLR.
Ce qui en revient à ce que je répète souvent : en son il y a d'abord les règles de base, puis le bon sens, et ensuite il y a les oreilles.
Hum... je vais peut être dire une bêtise, mais il me semble qu'il
manque quelque chose d'important dans ces explications :
Dans le 1er cas le signal n'est porté *que* par le point chaud, alors
que dans le second cas, point chaud *et* point froid le transmettent
avec addition à l'arrivée... du coup c'est la 1ère solution (même si
elle est plus "rentable") qui engendre le plus de perte de gain, non ?
Ici par exemple :
http://www.ziggysono.com/htm_effets/index.php?art=sym_asym2&titre=Sym_a
sym2&rep=tech ils disent :
"ceci dit, dans une ligne symétrique, le gain du signal arrivant est
généralement quand même un peu plus fort que le signal partant"
T.
En effet, +3dB. Mais quid de la transformation du signal due à
l'électronique traversée ? On a pas tous la chance de bosser avec des
préamps Neve, et des fois (souvent...) mieux vaut perdre 3dB que de
trasher son signal à cause d'une électronique pourrie. Et les
problématiques sont assez différentes selon que l'on parle de sono ou de
studio (coût économique, poids, longueur de câble, exigence de
qualité,etc...).
Un exemple : que ce soit en sono ou en studio, quand la console n'offre
des inserts I/O sur un seul jack 6.35 (ce qui est fréquent), je ne
connais personne qui va s'amuser à resymetriser en entrée de compresseur
puis à désymétriser électroniquement en retour console, même si le
traitement est en IN/OUT XLR.
Ce qui en revient à ce que je répète souvent : en son il y a d'abord les
règles de base, puis le bon sens, et ensuite il y a les oreilles.
Hum... je vais peut être dire une bêtise, mais il me semble qu'il manque quelque chose d'important dans ces explications : Dans le 1er cas le signal n'est porté *que* par le point chaud, alors que dans le second cas, point chaud *et* point froid le transmettent avec addition à l'arrivée... du coup c'est la 1ère solution (même si elle est plus "rentable") qui engendre le plus de perte de gain, non ? Ici par exemple : http://www.ziggysono.com/htm_effets/index.php?art=sym_asym2&titre=Sym_a sym2&rep=tech ils disent : "ceci dit, dans une ligne symétrique, le gain du signal arrivant est généralement quand même un peu plus fort que le signal partant"
T.
En effet, +3dB. Mais quid de la transformation du signal due à l'électronique traversée ? On a pas tous la chance de bosser avec des préamps Neve, et des fois (souvent...) mieux vaut perdre 3dB que de trasher son signal à cause d'une électronique pourrie. Et les problématiques sont assez différentes selon que l'on parle de sono ou de studio (coût économique, poids, longueur de câble, exigence de qualité,etc...).
Un exemple : que ce soit en sono ou en studio, quand la console n'offre des inserts I/O sur un seul jack 6.35 (ce qui est fréquent), je ne connais personne qui va s'amuser à resymetriser en entrée de compresseur puis à désymétriser électroniquement en retour console, même si le traitement est en IN/OUT XLR.
Ce qui en revient à ce que je répète souvent : en son il y a d'abord les règles de base, puis le bon sens, et ensuite il y a les oreilles.