j'utilise du Neutol dilu=E9 =E0 1+15 pour le tirage N&B. Il me semble
avoir compris sur la doc d'Agfa (je sais, c'est un vilain d=E9faut) que
la solution dilu=E9 =E0 ce niveau (ce qu'ils appellent =E9conomique) n'est
cens=E9 se conserver qu'une journ=E9e (en dilution normale, 1+7, une
semaine). Mais voila, =E7a fait dix jours que j'en ai pr=E9par=E9 un
litre, et il semblait toujours bon hier : des noirs bien noirs et des
photos qui, selon mon avis de d=E9butant dans le domaine, semblaient
plut=F4t correctes...Je pr=E9cise qu'=E0 la fin de chaque sc=E9ance, je
remet mes produit en bouteille, qui sont presque pleines, bien
bouch=E9es et =E0 l'abri de la lumi=E8re. Par contre, le r=E9v=E9lo devient
de plus en plus jaune.
Est-ce qu'un seul test de noicissement d'une bande de papier expos=E9e
en plein jour suffit =E0 d=E9terminer si le r=E9v=E9lateur est encore bon
??
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cgyed wrote:
Bonjour,
j'utilise du Neutol dilué à 1+15 pour le tirage N&B. Il me semble avoir compris sur la doc d'Agfa (je sais, c'est un vilain défaut) que la solution dilué à ce niveau (ce qu'ils appellent économique) n' est censé se conserver qu'une journée (en dilution normale, 1+7, une semaine). Mais voila, ça fait dix jours que j'en ai préparé un litre, et il semblait toujours bon hier : des noirs bien noirs et des photos qui, selon mon avis de débutant dans le domaine, semblaient plutôt correctes...Je précise qu'à la fin de chaque scéance, je remet mes produit en bouteille, qui sont presque pleines, bien bouchées et à l'abri de la lumière. Par contre, le révélo dev ient de plus en plus jaune.
Est-ce qu'un seul test de noicissement d'une bande de papier exposée en plein jour suffit à déterminer si le révélateur est encore b on ??
Etienne B.
si noir totale est encore là, il n'est pas totalement epuissé.
en fait, l'epuissement est souvent partiel. on voit plutot la fatique du revelateur où le noir devient moins fort, et une chute de contrast. Ce dernier est plus derangeant. normalement, un revelateur n'est jamais utilisé à l'epuissement (donc le test du bout de papier n'est que indicatif de niveau de fatique).
Lorsque l'effort de tirage meme (maquillage, masquage, etc.) augmente, l'economie sur le revelateur devient moins important car on ne reproduire jamais la meme chose sur un beau tirage (cf. imprimante...). Pour le debut, l'economie vaut le coup, et un revelo fatigue peut parfois servir juste pour faire des test en tenant compte du perd de "l'efficacité". Pour un tirage definitif, je ne joue plus au hasard de revelateur fatigue. Mais à vous de trouver vous meme la limite. La doc n'est qu'une indication du départ.
sinon, que ce soit 1+7 ou 1+15, il conserve plutot bien plus que la durée de la doc. je suis arrivé à plusieurs semaine avec 1+7.
cgyed wrote:
Bonjour,
j'utilise du Neutol dilué à 1+15 pour le tirage N&B. Il me semble
avoir compris sur la doc d'Agfa (je sais, c'est un vilain défaut) que
la solution dilué à ce niveau (ce qu'ils appellent économique) n' est
censé se conserver qu'une journée (en dilution normale, 1+7, une
semaine). Mais voila, ça fait dix jours que j'en ai préparé un
litre, et il semblait toujours bon hier : des noirs bien noirs et des
photos qui, selon mon avis de débutant dans le domaine, semblaient
plutôt correctes...Je précise qu'à la fin de chaque scéance, je
remet mes produit en bouteille, qui sont presque pleines, bien
bouchées et à l'abri de la lumière. Par contre, le révélo dev ient
de plus en plus jaune.
Est-ce qu'un seul test de noicissement d'une bande de papier exposée
en plein jour suffit à déterminer si le révélateur est encore b on
??
Etienne B.
si noir totale est encore là, il n'est pas totalement epuissé.
en fait, l'epuissement est souvent partiel. on voit plutot la fatique du
revelateur où le noir devient moins fort, et une chute de contrast. Ce
dernier est plus derangeant. normalement, un revelateur n'est jamais
utilisé à l'epuissement (donc le test du bout de papier n'est que
indicatif de niveau de fatique).
Lorsque l'effort de tirage meme (maquillage, masquage, etc.) augmente,
l'economie sur le revelateur devient moins important car on ne
reproduire jamais la meme chose sur un beau tirage (cf. imprimante...).
Pour le debut, l'economie vaut le coup, et un revelo fatigue peut
parfois servir juste pour faire des test en tenant compte du perd de
"l'efficacité". Pour un tirage definitif, je ne joue plus au hasard de
revelateur fatigue. Mais à vous de trouver vous meme la limite. La doc
n'est qu'une indication du départ.
sinon, que ce soit 1+7 ou 1+15, il conserve plutot bien plus que la
durée de la doc. je suis arrivé à plusieurs semaine avec 1+7.
j'utilise du Neutol dilué à 1+15 pour le tirage N&B. Il me semble avoir compris sur la doc d'Agfa (je sais, c'est un vilain défaut) que la solution dilué à ce niveau (ce qu'ils appellent économique) n' est censé se conserver qu'une journée (en dilution normale, 1+7, une semaine). Mais voila, ça fait dix jours que j'en ai préparé un litre, et il semblait toujours bon hier : des noirs bien noirs et des photos qui, selon mon avis de débutant dans le domaine, semblaient plutôt correctes...Je précise qu'à la fin de chaque scéance, je remet mes produit en bouteille, qui sont presque pleines, bien bouchées et à l'abri de la lumière. Par contre, le révélo dev ient de plus en plus jaune.
Est-ce qu'un seul test de noicissement d'une bande de papier exposée en plein jour suffit à déterminer si le révélateur est encore b on ??
Etienne B.
si noir totale est encore là, il n'est pas totalement epuissé.
en fait, l'epuissement est souvent partiel. on voit plutot la fatique du revelateur où le noir devient moins fort, et une chute de contrast. Ce dernier est plus derangeant. normalement, un revelateur n'est jamais utilisé à l'epuissement (donc le test du bout de papier n'est que indicatif de niveau de fatique).
Lorsque l'effort de tirage meme (maquillage, masquage, etc.) augmente, l'economie sur le revelateur devient moins important car on ne reproduire jamais la meme chose sur un beau tirage (cf. imprimante...). Pour le debut, l'economie vaut le coup, et un revelo fatigue peut parfois servir juste pour faire des test en tenant compte du perd de "l'efficacité". Pour un tirage definitif, je ne joue plus au hasard de revelateur fatigue. Mais à vous de trouver vous meme la limite. La doc n'est qu'une indication du départ.
sinon, que ce soit 1+7 ou 1+15, il conserve plutot bien plus que la durée de la doc. je suis arrivé à plusieurs semaine avec 1+7.
Claudio Bonavolta
Bonjour,
j'utilise du Neutol dilué à 1+15 pour le tirage N&B. Il me semble avoir compris sur la doc d'Agfa (je sais, c'est un vilain défaut) que la solution dilué à ce niveau (ce qu'ils appellent économique) n'est censé se conserver qu'une journée (en dilution normale, 1+7, une semaine). Mais voila, ça fait dix jours que j'en ai préparé un litre, et il semblait toujours bon hier : des noirs bien noirs et des photos qui, selon mon avis de débutant dans le domaine, semblaient plutôt correctes...Je précise qu'à la fin de chaque scéance, je remet mes produit en bouteille, qui sont presque pleines, bien bouchées et à l'abri de la lumière. Par contre, le révélo devient de plus en plus jaune.
Est-ce qu'un seul test de noicissement d'une bande de papier exposée en plein jour suffit à déterminer si le révélateur est encore bon ??
Etienne B.
C'est surtout quand il reste dans une cuvette qu'un révélo papier s'oxyde rapidement, simplement dû à la grande surface en contact avec l'air.
Perso, j'utilise aussi le Neutol en 1+15 mais vu son prix et cette dilution, en général il passe par la trappe en fin de journée. Si je ne l'ai laissé en cuvette que quelques heures, je le réutilise le lendemain mais pas plus.
Il a l'avantage d'indiquer simplement son oxydation par sa couleur qui jaunit puis brunit. Perso, je ne dépasse pas la couleur "pipi-après-soirée-chargée", pas la peine de gâcher du papier bien plus coûteux que le révélo lui-même ni de perdre du temps et se retrouver avec des tirages grisouilles qu'on a pas tout de suite remarqué dans la pénombre du labo.
Ca vaut la peine de conserver à proximité un tirage donnant la gamme complète des tonalités, y compris le noir le plus dense dont le papier est capable, pour comparer avec le même éclairage et vérifier que tout est ok.
Un autre indice de l'épuisement du révélo est le temps d'apparition de l'image. Mesure le temps révélo neuf et s'il faut plus du double de ce temps pour que l'image apparaisse, c'est qu'il est déjà bien usé.
Pour l'anecdote, c'est le principe du développement factoriel, soit développer pendant un temps calculé comme un multiple du temps d'apparition de l'image.
A+ -- Claudio Bonavolta http://www.bonavolta.ch
Bonjour,
j'utilise du Neutol dilué à 1+15 pour le tirage N&B. Il me semble
avoir compris sur la doc d'Agfa (je sais, c'est un vilain défaut) que
la solution dilué à ce niveau (ce qu'ils appellent économique) n'est
censé se conserver qu'une journée (en dilution normale, 1+7, une
semaine). Mais voila, ça fait dix jours que j'en ai préparé un
litre, et il semblait toujours bon hier : des noirs bien noirs et des
photos qui, selon mon avis de débutant dans le domaine, semblaient
plutôt correctes...Je précise qu'à la fin de chaque scéance, je
remet mes produit en bouteille, qui sont presque pleines, bien
bouchées et à l'abri de la lumière. Par contre, le révélo devient
de plus en plus jaune.
Est-ce qu'un seul test de noicissement d'une bande de papier exposée
en plein jour suffit à déterminer si le révélateur est encore bon
??
Etienne B.
C'est surtout quand il reste dans une cuvette qu'un révélo papier
s'oxyde rapidement, simplement dû à la grande surface en contact avec l'air.
Perso, j'utilise aussi le Neutol en 1+15 mais vu son prix et cette
dilution, en général il passe par la trappe en fin de journée.
Si je ne l'ai laissé en cuvette que quelques heures, je le réutilise le
lendemain mais pas plus.
Il a l'avantage d'indiquer simplement son oxydation par sa couleur qui
jaunit puis brunit. Perso, je ne dépasse pas la couleur
"pipi-après-soirée-chargée", pas la peine de gâcher du papier bien plus
coûteux que le révélo lui-même ni de perdre du temps et se retrouver
avec des tirages grisouilles qu'on a pas tout de suite remarqué dans la
pénombre du labo.
Ca vaut la peine de conserver à proximité un tirage donnant la gamme
complète des tonalités, y compris le noir le plus dense dont le papier
est capable, pour comparer avec le même éclairage et vérifier que tout
est ok.
Un autre indice de l'épuisement du révélo est le temps d'apparition de
l'image. Mesure le temps révélo neuf et s'il faut plus du double de ce
temps pour que l'image apparaisse, c'est qu'il est déjà bien usé.
Pour l'anecdote, c'est le principe du développement factoriel, soit
développer pendant un temps calculé comme un multiple du temps
d'apparition de l'image.
j'utilise du Neutol dilué à 1+15 pour le tirage N&B. Il me semble avoir compris sur la doc d'Agfa (je sais, c'est un vilain défaut) que la solution dilué à ce niveau (ce qu'ils appellent économique) n'est censé se conserver qu'une journée (en dilution normale, 1+7, une semaine). Mais voila, ça fait dix jours que j'en ai préparé un litre, et il semblait toujours bon hier : des noirs bien noirs et des photos qui, selon mon avis de débutant dans le domaine, semblaient plutôt correctes...Je précise qu'à la fin de chaque scéance, je remet mes produit en bouteille, qui sont presque pleines, bien bouchées et à l'abri de la lumière. Par contre, le révélo devient de plus en plus jaune.
Est-ce qu'un seul test de noicissement d'une bande de papier exposée en plein jour suffit à déterminer si le révélateur est encore bon ??
Etienne B.
C'est surtout quand il reste dans une cuvette qu'un révélo papier s'oxyde rapidement, simplement dû à la grande surface en contact avec l'air.
Perso, j'utilise aussi le Neutol en 1+15 mais vu son prix et cette dilution, en général il passe par la trappe en fin de journée. Si je ne l'ai laissé en cuvette que quelques heures, je le réutilise le lendemain mais pas plus.
Il a l'avantage d'indiquer simplement son oxydation par sa couleur qui jaunit puis brunit. Perso, je ne dépasse pas la couleur "pipi-après-soirée-chargée", pas la peine de gâcher du papier bien plus coûteux que le révélo lui-même ni de perdre du temps et se retrouver avec des tirages grisouilles qu'on a pas tout de suite remarqué dans la pénombre du labo.
Ca vaut la peine de conserver à proximité un tirage donnant la gamme complète des tonalités, y compris le noir le plus dense dont le papier est capable, pour comparer avec le même éclairage et vérifier que tout est ok.
Un autre indice de l'épuisement du révélo est le temps d'apparition de l'image. Mesure le temps révélo neuf et s'il faut plus du double de ce temps pour que l'image apparaisse, c'est qu'il est déjà bien usé.
Pour l'anecdote, c'est le principe du développement factoriel, soit développer pendant un temps calculé comme un multiple du temps d'apparition de l'image.
