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Dictionnaire

22 réponses
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Tr
Bonjour à tous,

j'ai une petite question simple que je ne vois pas comment poser à
google, donc je la soumets ici:

est-ce que n'importe qui a le droit de produire un dictionnaire de la
langue française et ensuite de le vendre?

ou est-ce qu'il y a une sorte de droit d'auteur ou je ne sais quoi qui
empêcherait ça?

merci de vos réponses.

--
Fait de ta vie ce que tu estimes le mieux. (Conclusion)
tranquille.xav@free.fr

10 réponses

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Tr
*Ecrit* *par* **:
Bonjour à tous,



j'ai une petite question simple que je ne vois pas comment poser à
google, donc je la soumets ici:



est-ce que n'importe qui a le droit de produire un dictionnaire de la
langue française et ensuite de le vendre?



ou est-ce qu'il y a une sorte de droit d'auteur ou je ne sais quoi
qui empêcherait ça?



merci de vos réponses.



Pour élargir un peu:
ma question avait un rapport avec le scrabble.
ils ont leur propre dico, et je retrouve sur le web des sites
l'utilisant, gratuitement...
je trouve même des jeux scrabble avec le dico intégré, gratuits.
je me demandais si je pouvais faire un cd (ou autre support d'ailleurs)
et le vendre, en gros :-)
(question théorique uniquement hein, vu qu'il existe des trucs gratuits
sur le web)

--
L'histoire est une perpétuelle quête au bouc-émissaire. (Réflexion)

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perfo
Serge wrote:


Sauf que c'est l'Académie qui "valide" l'entrée dans la langue française
d'un mot et pas d'un autre...

Un peu de lecture ?
http://www.academie-francaise.fr/dictionnaire/


hé bé non et heureusement que non, vu où elle en est dans son dico :D
je vous conseille la lecture des decrets 86-439 et 89-403
et vous y decouvrirez quelle est la place de l'academie dans le "neologisme"
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Tr
*Ecrit* *par* **:
*Ecrit* *par* **:
Bonjour à tous,





j'ai une petite question simple que je ne vois pas comment poser à
google, donc je la soumets ici:





est-ce que n'importe qui a le droit de produire un dictionnaire de
la langue française et ensuite de le vendre?





ou est-ce qu'il y a une sorte de droit d'auteur ou je ne sais quoi
qui empêcherait ça?





merci de vos réponses.





Pour élargir un peu:
ma question avait un rapport avec le scrabble.
ils ont leur propre dico, et je retrouve sur le web des sites
l'utilisant, gratuitement...
je trouve même des jeux scrabble avec le dico intégré, gratuits.
je me demandais si je pouvais faire un cd (ou autre support
d'ailleurs) et le vendre, en gros :-)
(question théorique uniquement hein, vu qu'il existe des trucs
gratuits sur le web)



et pour finir, j'ai même trouvé ça:
http://www.nongnu.org/eliot/
ce qui semble indiquer que tout doit être libre de droit je pense...

--
L'histoire est une perpétuelle quête au bouc-émissaire. (Réflexion)

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François
Eric a pianoté laborieusement :

Bien d'accord, mais ils édietent un dico ?



En papier : http://www.academie-francaise.fr/dictionnaire/
En ligne : http://atilf.atilf.fr/academie9.htm

--
François
Quand un emmerdeur quitte la pièce, c'est comme si un ami venait d'y
rentrer.
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Peire-Pau Hay-Napoleone
Deltaplan a écrit :

Oui mais ce que je veux dire, c'est que faire un dictionnaire c'est par
principe choisir quels mots on y inclut et quels mots n'y seront pas.
C'est ce choix-là dont je me demande s'il n'est pas couvert lui aussi
par le droit d'auteur.



Personne n'est propriétaire d'une langue. Et heureusement, car nous
serions en train de payer en ce moment des droits d'auteur en rédigeant
nos messages.


PPHN
A Hay, A Hay, A Hay
Avatar
Peire-Pau Hay-Napoleone
Serge a écrit :

L'Académie Française choisit les nouveaux mots de SON dictionnaire.
Robert choisit les nouveaux mots de SON dictionnaire.
Larousse choisit les nouveaux mots de SON dictionnaire.
Etc.




Sauf que c'est l'Académie qui "valide" l'entrée dans la langue française
d'un mot et pas d'un autre...



Amusante cette réflexion. Selon vous, nous devrions suivre les
recommandations de l'Académie française ? Et si nous décidons de ne pas
les suivre, que nous arriverait-t-il ? Et d'ailleurs, que devrait-il
arriver aux autres francophones du monde entier qui utilisent des mots
inconnus en France et qui se foutent royalement d'une institution qui
n'appartient même pas à leur pays ?


Un peu de lecture ?
http://www.academie-francaise.fr/dictionnaire/



Si vous aviez attentivement lu cette page, vous vous seriez aperçu que
la dernière édition du dictionnaire de l'Académie est loin d'être
achevée. S'il fallait vraiment attendre la validation de tel mot par
cette institution pour l'utiliser, nous risquerions d'attendre jusqu'à
notre mort.


PPHN
A Hay, A Hay, A Hay


Publication sur fr.misc.droit et fr.lettres.langue.francaise
Suivi libre
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Gump
| >
| > Sauf que c'est l'Académie qui "valide" l'entrée dans la langue française
| > d'un mot et pas d'un autre...
|
| Amusante cette réflexion. Selon vous, nous devrions suivre les
| recommandations de l'Académie française ? Et si nous décidons de ne pas
| les suivre, que nous arriverait-t-il ?

Ce serait très grave : condamnation à mort et exécution immédiate.
C'est que ça ne rigole pas, l'Académie Française.

Gump
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Laetitia
Bon matin [AM], heures d'été en région france,

Peire-Pau Hay-Napoleone affirma, le vendredi 15 aout 2008 :

Personne n'est propriétaire d'une langue.



Qui serait propriétaire de Windows [an trade mark copyright] ?

Et heureusement, car nous serions en train de payer,
en ce moment, des droits d'auteur en rédigeant nos messages



Il s'agit présentemment d'un groupe de discussion et, sans vocation
commerciale, que je sache ?

1) http://www.editions-larousse.fr/qui/fondateur.asp ?

[MODE 1 - COPY ON]

Qui sommes-nous ?

Pierre Larousse : l'esprit du fondateur

Né le 23 octobre 1817, à Toucy, dans l'Yonne, d'un père
charron-forgeron et d'une mère aubergiste, Pierre Athanase Larousse
passe une enfance heureuse, partagée entre l'école publique, la
campagne et les livres.
À 17 ans, il se présente au concours de l'école normale de Versailles.
Brillamment reçu, il bénéficie d'une bourse et y fait ses études
jusqu'à l'obtention du brevet supérieur.

L'instituteur

Pierre Larousse a à peine 21 ans. Il rejoint son Toucy natal pour y
être instituteur. Il se heurte d'emblée à des méthodes et à des manuels
archaïques, un règlement qu'il trouve abusif. Il enrage de ne pouvoir
enseigner à sa guise. Deux ans plus tard, en 1840, il quitte l'école
pour se consacrer à ce qui allait être sa vocation.

L'autodidacte

Avec de maigres économies en poche, Pierre Larousse part pour Paris et
suit tous les cours gratuits qu'il peut trouver. Ses études ne sont pas
sanctionnées par des diplômes, ce qui lui vaudra sa réputation
d'autodidacte.

Le répétiteur

De 1848 à 1851, Pierre Larousse est répétiteur à l'institut Jauffret,
un internat privé. Il rencontre à cette époque celle qui deviendra sa
compagne : Suzanne Caubel, qu'il n'épousera, jugeant le mariage trop
conformiste, qu'en 1872, trois ans avant sa mort. Ils n'auront pas
d'enfant. Suzanne relit, corrige et complète le premier ouvrage de
Pierre Larousse : la Lexicologie des études primaires, cours complet de
langue française, destiné non seulement à apprendre l'orthographe aux
enfants, mais aussi l'art de parler et d'écrire correctement. Ce livre
paraît à compte d'auteur, en 1849.

La fondation de la librairie Larousse et Boyer :

C'est en 1851 que Pierre Larousse rencontre un compatriote, Augustin
Boyer, instituteur ayant quitté l'enseignement et cherchant sa voie
dans le commerce. Les deux hommes se lient d'amitié, s'associent et
fondent, en 1852, la Librairie Larousse et Boyer.

Dès lors, Pierre Larousse publiera de très nombreux ouvrages, qui
connaîtront un succès prodigieux. S'appuyant sur des principes
pédagogiques modernes, il renouvelle de fond en comble l'enseignement
du français, s'efforçant d'éduquer de façon active l'intelligence et le
jugement des enfants. Dans le journal destiné aux instituteurs et aux
professeurs, l'École normale, qu'il crée, il se révèle un vigoureux
polémiste, défendant notamment les principes de la gratuité et de
l'obligation de l'enseignement primaire.

La folle aventure du dictionnaire

C'est en 1856 que paraît le Nouveau Dictionnaire de la langue
française, l'ancêtre du Petit Larousse ; il rencontre un succès
immédiat. Mais Pierre Larousse a depuis longtemps en tête un autre
projet, celui d'une encyclopédie qu'il voudrait semblable à celle de
Diderot et de d'Alembert, un livre, dit-il, « où l'on trouvera, chacune
à son ordre alphabétique, toutes les connaissances qui enrichissent
aujourd'hui l'esprit humain », qui s'adressera non pas à une élite,
mais à tous, de façon à « instruire tout le monde sur toutes choses ».

Ce projet se concrétise le 27 décembre 1863 avec la parution du premier
fascicule du Grand Dictionnaire universel.

L'homme

Pierre Larousse est tout entier présent dans cette œuvre savoureuse et
gigantesque qu'est le Grand Dictionnaire universel, monument à la
gloire des idées républicaines, libérales, laïques et progressistes.

Original et non conformiste, polémique, partial et partisan, homme de
progrès, épris de justice et de liberté, il empoigne son lecteur dans
les articles du dictionnaire, conte des anecdotes, s'amuse, s'indigne,
cite, répète, explique et toujours... enseigne.

Les années difficiles et la mort

En 1869, Auguste Boyer se sépare de Pierre Larousse. Les ouvrages
scolaires et le dictionnaire vont être diffusés par la maison Boyer,
laquelle fait imprimer par Larousse ses propres ouvrages.

Pierre Larousse est victime d'une attaque cérébrale, révélant un
épuisement dû à l'énormité de la tâche. En 1871, il est atteint de
paralysie et s'éteint le 3 janvier 1875, à l'âge de 57 ans, sans avoir
pu voir la fin de son œuvre. C'est son neveu, Jules Hollier, qui
achèvera ce monumental dictionnaire encyclopédique, la pierre sur
laquelle l'édifice Larousse s'est élevé, à l'origine d'un savoir-faire
unique au monde en matière de dictionnaire.

2) http://www.editions-larousse.fr/qui/faire_dico.asp

[MODE 2 - COPY ON]

Comment faire un dictionnaire ?

1. Un dictionnaire se caractérise par sa nomenclature, c'est-à-dire la
liste des mots (ou « entrées ») qu'il traite et par la quantité
d'informations contenues dans chaque article, mesurée en nombre de
caractères (ou « signes »).

2. Pour fixer les «entrées » d'un dictionnaire et les mettre
régulièrement à jour, les « lexicographes »enregistrent quotidiennement
(dans les médias, la publicité, etc.), les mots et les sens nouveaux
qui apparaissent.

3. Les lexicographes font appel à des spécialistes de chaque discipline
pour rédiger les définitions des mots. Ils les adaptent ensuite au
public visé.

4. Parallèlement, les «iconographes » procèdent, pour les dictionnaires
encyclopédiques, à la recherche des illustrations (photographies,
dessins, graphiques, cartes, etc.).

5. Toutes les informations sont structurées et codées pour préparer les
traitements informatiques qui permettent la mise à jour et les
exploitations multimédia.

6. Le multimédia offre de nouvelles possibilités : recherche hypertexte
ou thématique, prononciation, animations, 3D, vidéo, etc. En outre, le
CD-Rom et plus encore le DVD permettent de stocker sous un volume
réduit une grande quantité d'informations. Certains permettent
d'accéder à Internet pour prolonger les recherches.

Dictionnaires Larousse - Tous droits réservés.


3) http://www.lerobert.com/qui-sommes-nous-3.html

[MODE 3 - COPY ON]

Qui sommes-nous ?

A l'origine du Robert...

Paul Robert est né en 1910 en Algérie. Juriste, il se prépare à une
carrière d’avocat et rédige une thèse de doctorat en économie
politique. Extrêmement consciencieux dans la recherche du mot juste,
Paul Robert trouve difficilement un dictionnaire qui lui convient. Il
décide alors de créer lui-même son propre dictionnaire dans lequel, par
le système d’analogie, le premier mot renvoie au second, le mot connu
au mot inconnu. Dès 1945, il se met au travail, seul.

En 1951, il réussit à créer la société du Nouveau Littré Dictionnaires
Le Robert, dont le siège social est à Casablanca. L’année suivante,
lorsque peu à peu se précise l’ampleur de la tâche, Paul Robert
s’entoure de collaborateurs dont les premiers sont Alain Rey et Josette
Debove. Alain Rey commence à rédiger à la lettre B le Dictionnaire
alphabétique et analogique de la langue française. Ce premier
dictionnaire est publié sous forme de fascicules comprenant la moitié
ou le quart d’une lettre de l’alphabet. Il faut parfois attendre
l’argent des souscripteurs pour payer les rédacteurs ! Dès la parution
du premier fascicule (1952), l’ouvrage est couronné par l’Académie
française : belle marque d’encouragement !

En 1954, la société s’installe à Paris. Quelques années plus tard,
Alain Rey devient Secrétaire général de la rédaction et continue de
travailler sur le Grand Robert, publié en 6 volumes en 1964. Il a fallu
dix-huit ans pour ce travail de titan, qui donne un renouveau à la
description de la langue. Cet ouvrage répond à un véritable besoin et
son succès est immédiat auprès de tous ceux qui aiment et célèbrent la
langue française.

Alain Rey, spécialiste de lexicologie, de linguistique, de philosophie
du langage, de sémiotique et de littérature, participe avec Josette
Rey-Debove et Henri Cottez à l’élaboration du Petit Robert 1 – Petit
Robert de la langue française – (1967, première édition), puis du Micro
(1971) et du Petit Robert 2 – Petit Robert des noms propres – (1974).

En 1976, Le Robert s’associe avec Collins, maison d’édition de renom
fondée en 1874 en Grande-Bretagne, pour créer une nouvelle génération
de dictionnaires bilingues. Une collaboration unique et originale s’est
installée, les équipes de rédaction travaillant exclusivement dans leur
langue maternelle des deux côtés de la Manche. Ainsi paraît en 1978 le
Robert & Collins.

Le Robert aujourd'hui

Aujourd’hui, le nom des Dictionnaires Le Robert est devenu le symbole
d’une conception exigeante et contemporaine de la culture en français.

En 2001, la nouvelle édition du Grand Robert de la langue française,
avec plus de 80 000 mots, offre la plus grande nomenclature de tous les
dictionnaires actuels de la langue française. Mais pour retrouver
l’origine et la filiation complète d’un mot, c’est le Dictionnaire
historique de la langue française en deux volumes qu’il faut consulter.
Publiée sous la direction d’Alain Rey en 1992, cette œuvre connaît un
succès immédiat en France et dans toute la francophonie.

En 2004, est publié le Robert Brio, premier dictionnaire de langue
française qui propose une analyse comparative des mots. Paraît
également à la rentrée 2004 le Robert Junior des noms propres (premier
dictionnaire des noms propres pour les 8-12 ans). Cet ouvrage vient
élargir la gamme scolaire, créée en 1992 avec la première édition du
Robert Junior, puis enrichie en 1997 avec l’apparition du Robert
Collège et du Robert Benjamin. À la rentrée 2005/2006, est publiée une
grammaire innovante, Le Robert & Collins Easy Grammar.

Le 15 octobre 2005, Alain Rey crée une véritable révolution dans
l’histoire mondiale des dictionnaires avec le Dictionnaire culturel en
langue française. En dévoilant la dimension culturelle qui se cache
derrière chaque mot à travers les époques et les civilisations, il
apporte ainsi un tout nouveau regard sur les cultures du monde.

À la rentrée 2006/2007 est publié le millésime 2007 du Petit Robert.
L’ouvrage fête alors ses 40 ans ! Fond, forme, format, la refonte est
complète. La 40e édition propose un contenu entièrement revu et
enrichi, une présentation encore plus claire et accessible et un
nouveau format pour un plus grand confort de lecture. Cette rentrée est
aussi celle de la refonte du Robert de poche, qui affiche désormais 40
000 mots et 9 000 noms propres.

En mars 2007, le Dictionnaire des Combinaisons de mots entre au
catalogue Le Robert et vient enrichir la gamme des Usuels, une
collection thématique qui couvre certains aspects spécifiques de la
langue comme les synonymes, l’étymologie et l’orthographe. Le
Dictionnaire des Combinaisons de mots, dictionnaire de synonymes en
contexte, offre une approche pratique et ludique pour faciliter la
rédaction et l’expression au quotidien.

En juin 2007, Le Petit Robert des noms propres devient Le Robert
encyclopédique des noms propres. Couvrant tous les domaines du savoir
de la préhistoire à nos jours, il propose une vision du monde à la fois
actuelle et pérenne, complète et synthétique.

Aujourd’hui comme hier, les Dictionnaires Le Robert témoignent de la
richesse de notre langue, vivante, reflet de la culture, ouverture sur
soi et sur le monde.

Dictionnaires Le Robert - Tous droits réservés.

[MODE 1, 2 AND 3 - COPY OFF] ???

Cordialement (and, or best new french regards, in this right usenet fr
hierarchy group).
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Laetitia
Il s'agirait présentement ...
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Luc Bentz
> Serge a écrit :

Sauf que c'est l'Académie qui "valide" l'entrée dans la langue
française d'un mot et pas d'un autre...





Négatif !

Voir cette page :
http://www.langue-fr.net/d/usages/bon-usage.htm

Les dictionnaires entérinent l'/usage/.

L'Académie revendique d'entériner ce qu'/elle/ considère comme /le bon
usage/... mais Grevisse lui-même, dans /le Bon Usage/, se plaît assez
souvent à relever les contradictions entre les académiciens en tant que
corps... et la pratique individuelle de chaque académicien pris isolément.


(Suivi vers fllf)

--

Luc Bentz
« Langue française » : http://www.langue-fr.net/

* FAQ de news:fr.lettres.langue.francaise :
<http://www.langue-fr.net/faq/faq.htm>
* Conseils d'utilisation et charte :
<http://www.langue-fr.net/faq/charte.htm>
* Conseils sur Usenet et les forums :
<http://www.langue-fr.net/faq/fllf.htm>
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