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La loi, dans un grand souci d'égalité, interdit aux riches comme aux
pauvres de coucher sous les ponts, de mendier dans les rues et de
voler du pain.
Anatole France.
Suis épaté par l'IBM toujours en service dans une entreprise et qu'on alimente en cartes perforées...!!!
Pour la petite histoire, j'ai vu une telle machine en production en Inde, en 1980. Il ne s'agissait pas vraiment d'un ordinateur, mais d'une machine mécanographique IBM... à lampes.
La « programmation » se faisait par des connexion d'entrées deux par deux dans des trous sur une plaque en Isorel, à l'aide de câbles terminés par des fiches « bananes ».
à côté, l'assembleur ressemblait à un L4G :)
Je ne parle même pas de la frustration des informaticiens. L'Inde ayant un excellent système éducatif, ils savaient tous programmer dans les langages modernes de l'époque (C, COBOL, FORTRAN, BASIC...), mais n'avaient jamais approché de machine capable de les utiliser, et en étaient réduits à faire « tourner » leurs programmes sur papier à la main, en attendant l'hypothétique remplacement de leur ordinausore par un système plus récent.
La chose ne permettait de « stocker » que deux nombres, et on procédait par itérations successives par tri/lecture de cartes perforées.
J'ai rarement vu un appareil mécanique aussi complexe, rapide et impressionnant que la trieuse de cartes.
Malgré la rusticité de l'ensemble, l'entreprise réalisait mensuellement les fiches de paye de 1.500 employés.
à l'époque, je débutais en informatique (l'objet de ma mission était de proposer un nouveau système informatique à l'entreprise), et si j'avais été impressionné par l'observation du fonctionnement de cette antiquité, je n'ai pas pensé à prendre de photos, ce que je regrette toujours amèrement, plus de 30 ans après.
Suis épaté par l'IBM toujours en service dans une entreprise et qu'on
alimente en cartes perforées...!!!
Pour la petite histoire, j'ai vu une telle machine en production en
Inde, en 1980. Il ne s'agissait pas vraiment d'un ordinateur, mais d'une
machine mécanographique IBM... à lampes.
La « programmation » se faisait par des connexion d'entrées deux par
deux dans des trous sur une plaque en Isorel, à l'aide de câbles
terminés par des fiches « bananes ».
à côté, l'assembleur ressemblait à un L4G :)
Je ne parle même pas de la frustration des informaticiens. L'Inde ayant
un excellent système éducatif, ils savaient tous programmer dans les
langages modernes de l'époque (C, COBOL, FORTRAN, BASIC...), mais
n'avaient jamais approché de machine capable de les utiliser, et en
étaient réduits à faire « tourner » leurs programmes sur papier à la
main, en attendant l'hypothétique remplacement de leur ordinausore par
un système plus récent.
La chose ne permettait de « stocker » que deux nombres, et on procédait
par itérations successives par tri/lecture de cartes perforées.
J'ai rarement vu un appareil mécanique aussi complexe, rapide et
impressionnant que la trieuse de cartes.
Malgré la rusticité de l'ensemble, l'entreprise réalisait mensuellement
les fiches de paye de 1.500 employés.
à l'époque, je débutais en informatique (l'objet de ma mission était de
proposer un nouveau système informatique à l'entreprise), et si j'avais
été impressionné par l'observation du fonctionnement de cette antiquité,
je n'ai pas pensé à prendre de photos, ce que je regrette toujours
amèrement, plus de 30 ans après.
Suis épaté par l'IBM toujours en service dans une entreprise et qu'on alimente en cartes perforées...!!!
Pour la petite histoire, j'ai vu une telle machine en production en Inde, en 1980. Il ne s'agissait pas vraiment d'un ordinateur, mais d'une machine mécanographique IBM... à lampes.
La « programmation » se faisait par des connexion d'entrées deux par deux dans des trous sur une plaque en Isorel, à l'aide de câbles terminés par des fiches « bananes ».
à côté, l'assembleur ressemblait à un L4G :)
Je ne parle même pas de la frustration des informaticiens. L'Inde ayant un excellent système éducatif, ils savaient tous programmer dans les langages modernes de l'époque (C, COBOL, FORTRAN, BASIC...), mais n'avaient jamais approché de machine capable de les utiliser, et en étaient réduits à faire « tourner » leurs programmes sur papier à la main, en attendant l'hypothétique remplacement de leur ordinausore par un système plus récent.
La chose ne permettait de « stocker » que deux nombres, et on procédait par itérations successives par tri/lecture de cartes perforées.
J'ai rarement vu un appareil mécanique aussi complexe, rapide et impressionnant que la trieuse de cartes.
Malgré la rusticité de l'ensemble, l'entreprise réalisait mensuellement les fiches de paye de 1.500 employés.
à l'époque, je débutais en informatique (l'objet de ma mission était de proposer un nouveau système informatique à l'entreprise), et si j'avais été impressionné par l'observation du fonctionnement de cette antiquité, je n'ai pas pensé à prendre de photos, ce que je regrette toujours amèrement, plus de 30 ans après.