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Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui
accroît sa science accroît sa douleur.
[Ecclésiaste, 1-18]
MELMOTH - souffrant
« L’année dernière, j’ai pu montrer mon book à l’ANI (Association nationale des Iconographes). Ça m’a *coûté* 60 euros. » Pour lui, aucune retombée économique et finalement, aucun débouché.
Voilà, tout est pratiquement dit.
Le classement des formations "pour être sûr d'être au chômage après le Bac" :
« L’année dernière, j’ai pu montrer mon book à l’ANI (Association
nationale des Iconographes). Ça m’a *coûté* 60 euros. » Pour lui,
aucune retombée économique et finalement, aucun débouché.
Voilà, tout est pratiquement dit.
Le classement des formations "pour être sûr d'être au chômage après le
Bac" :
« L’année dernière, j’ai pu montrer mon book à l’ANI (Association nationale des Iconographes). Ça m’a *coûté* 60 euros. » Pour lui, aucune retombée économique et finalement, aucun débouché.
Voilà, tout est pratiquement dit.
Le classement des formations "pour être sûr d'être au chômage après le Bac" :
1. Journalisme/Edition/Imprimerie
2. Commerce de gros et Import/export
3. Chimie
4. Industrie textile, cuir et confection
5. Agro-alimentaire
6. Droit
7. Social
8. Télécommunications
9. Beauté/Cosmétiques
10. Marketing/Communication/Publicité/RP
jean-daniel dodin
Le 07/09/2012 19:05, Elohan a écrit :
Le classement des formations "pour être sûr d'être au chômage après le Bac" :
ca dépends beaucoup du diplôme (sans doute pas pour le photo journalisme, et encore?)
jdd
Le 07/09/2012 19:05, Elohan a écrit :
Le classement des formations "pour être sûr d'être au chômage après le
Bac" :
ca dépends beaucoup du diplôme (sans doute pas pour le photo
journalisme, et encore?)
Le classement des formations "pour être sûr d'être au chômage après le
Bac" :
ca dépends beaucoup du diplôme (sans doute pas pour le photo journalisme, et
encore?)
"Selon nos chiffres, il est préférable de faire un IUT, BEP, BTS ou un
CAP qu'une formation à bac+5. Le bac+3/+5 ne correspond pas aux besoins
du marché et ne forme pas aux bons métiers. Par exemple, nous avons des
gros besoins en commerciaux et les ESC forment plutôt à la gestion."
http://www.challenges.fr/emploi/20120625.CHA7886/etude-quelle-formation-faire-apres-le-bac-pour-etre-sur-d-etre-au-chomage.html
tout à fait d'accord, et BTS/IUT industriels de préférence
mais ce sont bien des diplomes, non?
jdd
Le 07/09/2012 20:48, Elohan a écrit :
jean-daniel dodin a écrit :
Le 07/09/2012 19:05, Elohan a écrit :
Le classement des formations "pour être sûr d'être au chômage après le
Bac" :
ca dépends beaucoup du diplôme (sans doute pas pour le photo
journalisme, et encore?)
"Selon nos chiffres, il est préférable de faire un IUT, BEP, BTS ou un
CAP qu'une formation à bac+5. Le bac+3/+5 ne correspond pas aux
besoins du marché et ne forme pas aux bons métiers. Par exemple, nous
avons des gros besoins en commerciaux et les ESC forment plutôt à la
gestion."
http://www.challenges.fr/emploi/20120625.CHA7886/etude-quelle-formation-faire-apres-le-bac-pour-etre-sur-d-etre-au-chomage.html
tout à fait d'accord, et BTS/IUT industriels de préférence
tout à fait d'accord, et BTS/IUT industriels de préférence
Oui, absolument. Par les temps qui courent, c'est sans doute l'une des meilleures solutions. En tous cas si l'on sait choisir les filières où il y aura moins d'offres que de demandes. Les services d'orientation dans les lycées sont complètement nuls - à se demander si ça n'est pas volontaire, enfin passons.
Les jeunes qui témoignent dans le blog de Rue89 sont issus d'une formation centrée sur les métiers de l'image, et pourtant ils galèrent...C'est qu'ils subissent en plus la concurrence de ceux qui se mettent à la photo professionnelle en freelance: des ex-étudiants de filières sans grands débouchés (socio, psycho, archi...), des néo-chômeurs en mal de reconversion ou encore des actifs qui créent leur entreprise individuelle. J'en connais un par ma famille, un jeune et modeste acteur qui essaie de gérer le moins mal possible son statut d'intermittent du spectacle.
De loin, se mettre à la photo pro paraît facile. Aussi facile que chauffeur de taxi quand on a eu le permis B, mais sans les contraintes juridiques et administratives très fastidieuses de ce genre de métier. Et avec un capital en bien plus léger également, même si le matériel paraît toujours très cher à beaucoup d'amateurs.
Du coup les places sont chères, et c'est plutôt du pousse-toi de là que je m'y mette. Quand on lit sur le blog:
« le plus dur, c’est de me vendre. Ça fait trois ans que je viens à Visa, mais il ne suffit pas d’aller boire des bières au café de la Poste avec des photographes pour qu’ils t’aident »
...C'est quand même assez touchant de naïveté.
jean-daniel dodin a écrit :
Le 07/09/2012 20:48, Elohan a écrit :
jean-daniel dodin a écrit :
Le 07/09/2012 19:05, Elohan a écrit :
Le classement des formations "pour être sûr d'être au chômage après le
Bac" :
ca dépends beaucoup du diplôme (sans doute pas pour le photo
journalisme, et encore?)
"Selon nos chiffres, il est préférable de faire un IUT, BEP, BTS ou un
CAP qu'une formation à bac+5. Le bac+3/+5 ne correspond pas aux
besoins du marché et ne forme pas aux bons métiers. Par exemple, nous
avons des gros besoins en commerciaux et les ESC forment plutôt à la
gestion."
http://www.challenges.fr/emploi/20120625.CHA7886/etude-quelle-formation-faire-apres-le-bac-pour-etre-sur-d-etre-au-chomage.html
tout à fait d'accord, et BTS/IUT industriels de préférence
Oui, absolument. Par les temps qui courent, c'est sans doute l'une des
meilleures solutions. En tous cas si l'on sait choisir les filières où
il y aura moins d'offres que de demandes. Les services d'orientation
dans les lycées sont complètement nuls - à se demander si ça n'est pas
volontaire, enfin passons.
Les jeunes qui témoignent dans le blog de Rue89 sont issus d'une
formation centrée sur les métiers de l'image, et pourtant ils
galèrent...C'est qu'ils subissent en plus la concurrence de ceux qui se
mettent à la photo professionnelle en freelance: des ex-étudiants de
filières sans grands débouchés (socio, psycho, archi...), des
néo-chômeurs en mal de reconversion ou encore des actifs qui créent
leur entreprise individuelle. J'en connais un par ma famille, un jeune
et modeste acteur qui essaie de gérer le moins mal possible son statut
d'intermittent du spectacle.
De loin, se mettre à la photo pro paraît facile. Aussi facile que
chauffeur de taxi quand on a eu le permis B, mais sans les contraintes
juridiques et administratives très fastidieuses de ce genre de métier.
Et avec un capital en bien plus léger également, même si le matériel
paraît toujours très cher à beaucoup d'amateurs.
Du coup les places sont chères, et c'est plutôt du pousse-toi de là que
je m'y mette. Quand on lit sur le blog:
« le plus dur, c’est de me vendre. Ça fait trois ans que je viens à
Visa, mais il ne suffit pas d’aller boire des bières au café de la
Poste avec des photographes pour qu’ils t’aident »
tout à fait d'accord, et BTS/IUT industriels de préférence
Oui, absolument. Par les temps qui courent, c'est sans doute l'une des meilleures solutions. En tous cas si l'on sait choisir les filières où il y aura moins d'offres que de demandes. Les services d'orientation dans les lycées sont complètement nuls - à se demander si ça n'est pas volontaire, enfin passons.
Les jeunes qui témoignent dans le blog de Rue89 sont issus d'une formation centrée sur les métiers de l'image, et pourtant ils galèrent...C'est qu'ils subissent en plus la concurrence de ceux qui se mettent à la photo professionnelle en freelance: des ex-étudiants de filières sans grands débouchés (socio, psycho, archi...), des néo-chômeurs en mal de reconversion ou encore des actifs qui créent leur entreprise individuelle. J'en connais un par ma famille, un jeune et modeste acteur qui essaie de gérer le moins mal possible son statut d'intermittent du spectacle.
De loin, se mettre à la photo pro paraît facile. Aussi facile que chauffeur de taxi quand on a eu le permis B, mais sans les contraintes juridiques et administratives très fastidieuses de ce genre de métier. Et avec un capital en bien plus léger également, même si le matériel paraît toujours très cher à beaucoup d'amateurs.
Du coup les places sont chères, et c'est plutôt du pousse-toi de là que je m'y mette. Quand on lit sur le blog:
« le plus dur, c’est de me vendre. Ça fait trois ans que je viens à Visa, mais il ne suffit pas d’aller boire des bières au café de la Poste avec des photographes pour qu’ils t’aident »
...C'est quand même assez touchant de naïveté.
Stephane Legras-Decussy
Le 07/09/2012 19:00, Elohan a écrit :
*Mercedes* (appelée « Nuna » par ses parents ) sort de sa *BMW*
Drôle de BMW...C'est une petite 3 portes qui ne ressemble pas à la Série 1. Le photo-journalisme est l'art de caricaturer.
l'image est assez ratée en ce sens que sans son texte explicatif elle est morte.
pour moi c'est une juste fille qui va faire pipi entre 2 voitures sur un parking.
Le 07/09/2012 19:00, Elohan a écrit :
*Mercedes* (appelée « Nuna » par ses parents ) sort de sa *BMW*
Drôle de BMW...C'est une petite 3 portes qui ne ressemble pas à la Série 1.
Le photo-journalisme est l'art de caricaturer.
l'image est assez ratée en ce sens que sans son texte explicatif
elle est morte.
pour moi c'est une juste fille qui va faire pipi entre 2 voitures sur
un parking.