Petit coup de gueule sur TF1 principalement qui nous abreuve de ce que
l'on appelle maintenant les docu fictions.
POur faire simple, on prend une histoire r=E9el (historique) ou
d'anticipation (fiction) et on en fait un documentaire.
Avce cette soupe on se retrouve avec un m=E9lange somptueux d'images
d'archives et d'images comtemporaines.
Ce qui nous donne des "choses" du genre "l'attentat du petit clamar" ou
plus r=E9cement "HIROSHIMA".
Ce qui me g=E8ne: ce sont les m=E9langes d'images d'archives et les
images comptemporaines compl=E9tement articielles (images couleur/noir
et blanc)
Ce qui me g=E8ne =E9galement, c'est que le citoyen lambda va croire
r=E9apprendre un peu de l'Histoire en regardant ce type de programme sur
TF1.
Bref que l'on face un programme purement documentaire (moins
f=E9d=E9rateur, certes, donc moins de dimat, donc moins de pognon) ou que
l'on face un t=E9l=E9film, mais pas un m=E9lange des deux.
Donc on peut dire que plus ils sont vieux, plus véridiques ils sont
Pas sûr. Comme quelqu'un d'autre l'a dit, le contexte est primordial. Dans le cas de la guerre d'Algérie, l'article de l'exécrable Aussaresses à délié les langues sur un tabou tel que la torture. Dans le cas de Vichy, le bouquin de l'historien américain Robert Paxton a permis de regarder notre passé en face, libérant la parole des témoins et acteurs de l'époque. L'écoulement du temps amoindrit les souvenirs d'un côté, mais élève le niveau de tolérance de la société de l'autre : l'un dans l'autre on s'y retrouve.
Cela dit tous les témoignages sont des reconstructions, avec des zones délibéremment ou inconsciemment laissées dans l'ombre, des zones idéalisées ou enjolivées, que ces témoignages soient livrés à chaud ou des années après l'événement. Le véritable intérêt, c'est d'entendre des témoins n'ayant jamais témoigné, en évitant les spécialistes du témoignage au discours rôdé depuis 50 ans... En cela les témoins des docs de Rotman, par exemple, sont bien plus captivants que ceux des docu-fiction de la BBC ou de TF1.
Au sommet de son art, Brina a pondu :
Donc on peut dire que plus ils sont vieux, plus véridiques ils sont
Pas sûr. Comme quelqu'un d'autre l'a dit, le contexte est primordial. Dans le
cas de la guerre d'Algérie, l'article de l'exécrable Aussaresses à délié les
langues sur un tabou tel que la torture. Dans le cas de Vichy, le bouquin de
l'historien américain Robert Paxton a permis de regarder notre passé en face,
libérant la parole des témoins et acteurs de l'époque. L'écoulement du temps
amoindrit les souvenirs d'un côté, mais élève le niveau de tolérance de la
société de l'autre : l'un dans l'autre on s'y retrouve.
Cela dit tous les témoignages sont des reconstructions, avec des zones
délibéremment ou inconsciemment laissées dans l'ombre, des zones idéalisées ou
enjolivées, que ces témoignages soient livrés à chaud ou des années après
l'événement. Le véritable intérêt, c'est d'entendre des témoins n'ayant jamais
témoigné, en évitant les spécialistes du témoignage au discours rôdé depuis 50
ans... En cela les témoins des docs de Rotman, par exemple, sont bien plus
captivants que ceux des docu-fiction de la BBC ou de TF1.
Donc on peut dire que plus ils sont vieux, plus véridiques ils sont
Pas sûr. Comme quelqu'un d'autre l'a dit, le contexte est primordial. Dans le cas de la guerre d'Algérie, l'article de l'exécrable Aussaresses à délié les langues sur un tabou tel que la torture. Dans le cas de Vichy, le bouquin de l'historien américain Robert Paxton a permis de regarder notre passé en face, libérant la parole des témoins et acteurs de l'époque. L'écoulement du temps amoindrit les souvenirs d'un côté, mais élève le niveau de tolérance de la société de l'autre : l'un dans l'autre on s'y retrouve.
Cela dit tous les témoignages sont des reconstructions, avec des zones délibéremment ou inconsciemment laissées dans l'ombre, des zones idéalisées ou enjolivées, que ces témoignages soient livrés à chaud ou des années après l'événement. Le véritable intérêt, c'est d'entendre des témoins n'ayant jamais témoigné, en évitant les spécialistes du témoignage au discours rôdé depuis 50 ans... En cela les témoins des docs de Rotman, par exemple, sont bien plus captivants que ceux des docu-fiction de la BBC ou de TF1.