bonsoir,
quelqu'un connaît-il bien la jurisprudence la plus récente sur la question.
Pas envie de passer ma soirée sur une recherche juridique concernant le
sujet...
Question : Dans un espace clos, une compétition sportive privée est en
cours avec des enfants et adolescents en grand nombre.
Je fais partie des organisateurs et essaye de prendre des photos, mais
l'association qui participe au concours, m'interdit de photographier les
enfants alléguant du droit à l'image. La jurisprudence me semble avoir
traité de ce problème de façon plus raisonnable et moins contraignante que
la signature d'une fiche d'autorisation parentale enfant par enfant...
votre avis ?
On se demande bien quel dispositif électronique pourrait empêcher maintenant de petits malins (au bac ou ailleurs) de ses servir de leurs smartphones de plus en plus performants en photo comme en vidéo. puis d'en faire n'importe quoi.
Certes mais les téléphones sont encore loin de la qualité pro... D'autant que cette dernière a fait un joli bond vers le haut coté technique. Donc photos pourries permises, matériel pro interdit, c'est pas vraiment nouveau.
Encore que.. J'ai dans ma collection des objets miniaturisés qui valent bien les smartphones et les magnétophones encombrants. Je peux les utiliser à ma guise en cas de besoin non professionnel pour avoir des souvenirs de concerts ou autres événementiels à presse interdite... Le souci n'est pas d'avoir une trés grande qualité, mais de disposer de documents images et sons théoriquement interdits en termes de droit à l'image ou de droit d'auteur et de les disséminer n'importe comment, n'importe où, et au pire de les détourner de la réalité (bidonnage). On pourrait bien faire aussi un fil sur les dérives qui ont progressivement permis de dégrader les images et le son par des sytèmes de compression " grand public" qui sont ce qu'ils sont avec des limites d'exploitation pour des usages personnels, et qu'en contrepartie les matériels dits "experts" ou professionnels sont hors de prix. Dans le temps un Rollei, ou un reflex japonais genre Pentax ou Nikon ne coûtait pas une fortune comparé à un Blad ou à un Leica, et pour la génération d'avant une chambre de reportage Graflex, MPP ou équivalent en 4x5 non plus (hormis le très haut de gamme comme Linhof )...
Jean-Pierre Roche wrote:
Le 27/07/2012 13:56, palmerclaude a écrit :
On se demande bien quel dispositif électronique pourrait empêcher
maintenant de petits malins (au bac ou ailleurs) de ses servir de
leurs smartphones de plus en plus performants en photo comme en
vidéo. puis d'en faire n'importe quoi.
Certes mais les téléphones sont encore loin de la qualité
pro... D'autant que cette dernière a fait un joli bond vers
le haut coté technique. Donc photos pourries permises,
matériel pro interdit, c'est pas vraiment nouveau.
Encore que.. J'ai dans ma collection des objets miniaturisés qui valent
bien les smartphones et les magnétophones encombrants. Je peux les utiliser
à ma guise en cas de besoin non professionnel pour avoir des souvenirs de
concerts ou autres événementiels à presse interdite...
Le souci n'est pas d'avoir une trés grande qualité, mais de disposer de
documents images et sons théoriquement interdits en termes de droit à
l'image ou de droit d'auteur et de les disséminer n'importe comment,
n'importe où, et au pire de les détourner de la réalité (bidonnage).
On pourrait bien faire aussi un fil sur les dérives qui ont progressivement
permis de dégrader les images et le son par des sytèmes de compression "
grand public" qui sont ce qu'ils sont avec des limites d'exploitation pour
des usages personnels, et qu'en contrepartie les matériels dits "experts" ou
professionnels sont hors de prix. Dans le temps un Rollei, ou un reflex
japonais genre Pentax ou Nikon ne coûtait pas une fortune comparé à un Blad
ou à un Leica, et pour la génération d'avant une chambre de reportage
Graflex, MPP ou équivalent en 4x5 non plus (hormis le très haut de gamme
comme Linhof )...
On se demande bien quel dispositif électronique pourrait empêcher maintenant de petits malins (au bac ou ailleurs) de ses servir de leurs smartphones de plus en plus performants en photo comme en vidéo. puis d'en faire n'importe quoi.
Certes mais les téléphones sont encore loin de la qualité pro... D'autant que cette dernière a fait un joli bond vers le haut coté technique. Donc photos pourries permises, matériel pro interdit, c'est pas vraiment nouveau.
Encore que.. J'ai dans ma collection des objets miniaturisés qui valent bien les smartphones et les magnétophones encombrants. Je peux les utiliser à ma guise en cas de besoin non professionnel pour avoir des souvenirs de concerts ou autres événementiels à presse interdite... Le souci n'est pas d'avoir une trés grande qualité, mais de disposer de documents images et sons théoriquement interdits en termes de droit à l'image ou de droit d'auteur et de les disséminer n'importe comment, n'importe où, et au pire de les détourner de la réalité (bidonnage). On pourrait bien faire aussi un fil sur les dérives qui ont progressivement permis de dégrader les images et le son par des sytèmes de compression " grand public" qui sont ce qu'ils sont avec des limites d'exploitation pour des usages personnels, et qu'en contrepartie les matériels dits "experts" ou professionnels sont hors de prix. Dans le temps un Rollei, ou un reflex japonais genre Pentax ou Nikon ne coûtait pas une fortune comparé à un Blad ou à un Leica, et pour la génération d'avant une chambre de reportage Graflex, MPP ou équivalent en 4x5 non plus (hormis le très haut de gamme comme Linhof )...
Ofnuts
On 07/27/2012 04:50 PM, Bindarret wrote:
Le 27/07/12 15:24, Jean-Pierre Roche a écrit :
Certes mais les téléphones sont encore loin de la qualité pro... D'autant que cette dernière a fait un joli bond vers le haut coté technique. Donc photos pourries permises, matériel pro interdit, c'est pas vraiment nouveau.
ha bin oui, au Stade de France, c'est comme ça qu'ils ont résolu le problème.
Certes mais les téléphones sont encore loin de la qualité pro...
D'autant que cette dernière a fait un joli bond vers le haut coté
technique. Donc photos pourries permises, matériel pro interdit, c'est
pas vraiment nouveau.
ha bin oui, au Stade de France, c'est comme ça qu'ils ont résolu le
problème.
Certes mais les téléphones sont encore loin de la qualité pro... D'autant que cette dernière a fait un joli bond vers le haut coté technique. Donc photos pourries permises, matériel pro interdit, c'est pas vraiment nouveau.
ha bin oui, au Stade de France, c'est comme ça qu'ils ont résolu le problème.