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droit d'un père

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Anémone
Bonjour,

que peut prétendre le père d'un enfant lorsque celui ci disparait totalement
sans laisser de nouvelles de lui, ni adresse, ni numéro de téléphone, mais
réapparait tous les ans le jour de l'anniversaire de l'enfant et le jour de
Noël.
Peut il prétendre devant un éventuel juge, plus que si il avait disparu
totalement.

Merci

7 réponses

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Klebarbortch
Le 13/12/2010 10:22, Anémone a écrit :


à méditer .... jeune homme (ça c'est aussi un apriori)





A-priori, hélas !!!
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Cl.Massé
"Anémone" a écrit dans le message de
news:4d05e5dc$0$32436$

c'est vous qui parlez de propriété et en cela vous me faites justement
penser à ce type.
Quand je lui dis "on demande l'avis de l'enfant", son père me rétorque,
"je suis son père il fera ce que je lui dirai" (2 fois par an, je le
rappelle) quand on sait ce que sont les enfants de 9 ans de nos jours.

à méditer .... jeune homme (ça c'est aussi un apriori)



Ce n'est pas de la propriété, c'est de l'autorité parentale.

--
~~~~ clmasse chez libre Hexagone
Liberté, Egalité, Sale assisté.
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Séb.
Le 13/12/2010 17:33, Cl.Massé a écrit :
"Anémone" a écrit dans le message de
news:4d05e5dc$0$32436$

c'est vous qui parlez de propriété et en cela vous me faites justement
penser à ce type.
Quand je lui dis "on demande l'avis de l'enfant", son père me rà ©torque,
"je suis son père il fera ce que je lui dirai" (2 fois par an, je le
rappelle) quand on sait ce que sont les enfants de 9 ans de nos jours.

à méditer .... jeune homme (ça c'est aussi un apriori)



Ce n'est pas de la propriété, c'est de l'autorité parent ale.




je n'avais pas répondu encore à ce message

pour moi, rien de juridique, à part soit on demande un mesure d'é loignement,
la déchéance de l'autorité parentale, sinon on s'accomode.

pour ma part, j'élève depuis 6 ans la fille de ma compagne (div orcée), en
assumant un rôle de "père" (référence masculine en gr os).
nous avons des contacts réguliers (enfin moi) avec le père, afi n d'organiser
le vacances.
il paie la pension normalement, rien à réclamer ou à dire.
mais depuis quelques mois il ne prend plus sa fille, car celle ci ne veut
pas y aller en vacances chez son père, et donc quand elle doit y all er, elle
met un telle "bonne volonté" que même lui m'a dit : ça ser t à rien, si elle
veut pas venir, je vais pas la forcer, c'est idiot.

bref, à part la perte du lien, rien à dire.

bon faut savoir que j'ai "hérité" de l'chantillon qui avait jus te 16 mois,
n'ayant pas vu son père depuis l'âge de 6 mois, donc pour elle s'était un
étranger.

Mais le gosse maintenant elle veut aller voir le juge pour lui faire marq uer
noir sur blanc qu'elle va plus en vacances chez lui, mais elle n'a que 7 ans
1/2, on lui dit d'attendre un peu quand même

question : à partir de quel âge c'est possible ? ça lui fe rait du bien, mêe
si aucune décision en découle, mais on veut pas non plus emm... . un JAF avec ça.
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Klebarbortch
Le 13/12/2010 17:33, Cl.Massé a écrit :
"Anémone" a écrit dans le message de
news:4d05e5dc$0$32436$

c'est vous qui parlez de propriété et en cela vous me faites justement
penser à ce type.
Quand je lui dis "on demande l'avis de l'enfant", son père me rétorque,
"je suis son père il fera ce que je lui dirai" (2 fois par an, je le
rappelle) quand on sait ce que sont les enfants de 9 ans de nos jours.

à méditer .... jeune homme (ça c'est aussi un apriori)



Ce n'est pas de la propriété, c'est de l'autorité parentale.




C'est vous qui le dites... dans les faits, souvent, trop souvent, un des
parents (pour de multiples raisons trop longues à développer ici, c'est
généralement la mère) a le sentiment d'*propriétaire* de son enfant et
fait tout pour dissuader l'autre parent de réellement partager
l'autorité parentale. Bien entendu,l'enfant en fait les frais à un
moment ou à un autre.
Je me méfie ici des versions données par l'un ou l'autre parent sur un
forum; celui qui s'exprime est toujours tout blanc et l'autre tout noir.
Mais une femme qui appelle "ce type" le père de son enfant (et peut-être
ex-mari) n'est visiblement pas sorti de son état conflictuel.
Elle devrait peut-être songer à faire la paix en elle-même avant de
juger le père de son enfant. D'où ma remarque semble-t-il mal comprise
par Massé.
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Cl.Massé
"Klebarbortch" a écrit dans le message de
news:ie5uv5$fgt$

Ce n'est pas de la propriété, c'est de l'autorité parentale.




C'est vous qui le dites...



Non, c'est la définition de l'autorité parentale. Mais c'est vrai qu'il
manque la version du père, donc on ne peut rien dire de plus sur l'exercice
de cette autorité.

dans les faits, souvent, trop souvent, un des parents (pour de multiples
raisons trop longues à développer ici, c'est généralement la mère) a le
sentiment d'*propriétaire* de son enfant et fait tout pour dissuader
l'autre parent de réellement partager l'autorité parentale. Bien
entendu,l'enfant en fait les frais à un moment ou à un autre.
Je me méfie ici des versions données par l'un ou l'autre parent sur un
forum; celui qui s'exprime est toujours tout blanc et l'autre tout noir.



Ok.

--
~~~~ clmasse chez libre Hexagone
Liberté, Egalité, Sale assisté.
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AlainD
"Klebarbortch" a écrit dans le message de news:
ie5uv5$fgt$
Le 13/12/2010 17:33, Cl.Massé a écrit :
"Anémone" a écrit dans le message de
news:4d05e5dc$0$32436$

c'est vous qui parlez de propriété et en cela vous me faites justement
penser à ce type.
Quand je lui dis "on demande l'avis de l'enfant", son père me rétorque,
"je suis son père il fera ce que je lui dirai" (2 fois par an, je le
rappelle) quand on sait ce que sont les enfants de 9 ans de nos jours.

à méditer .... jeune homme (ça c'est aussi un apriori)



Ce n'est pas de la propriété, c'est de l'autorité parentale.




C'est vous qui le dites... dans les faits, souvent, trop souvent, un des
parents (pour de multiples raisons trop longues à développer ici, c'est
généralement la mère) a le sentiment d'*propriétaire* de son enfant et
fait tout pour dissuader l'autre parent de réellement partager l'autorité
parentale. Bien entendu,l'enfant en fait les frais à un moment ou à un
autre.



On est d'accord, trop souvent c'est l'enfant qui subit la guerre que se
livrent les parents.

Je me méfie ici des versions données par l'un ou l'autre parent sur un
forum; celui qui s'exprime est toujours tout blanc et l'autre tout noir.



C'est le cas de toutes les questions posées ici. On a rarement l'ensemble
des protagonistes. On est sur un forum de droit, si la question est mal
posée la réponse sera forcément mal adaptée. Il est dans l'intérêt du
contributeur d'exposer la version la plus fidèle possible. On n'est pas la
pour juger, mais pour renseigner les personnes.

Mais une femme qui appelle "ce type" le père de son enfant (et peut-être
ex-mari) n'est visiblement pas sorti de son état conflictuel.
Elle devrait peut-être songer à faire la paix en elle-même avant de juger
le père de son enfant.



D'une certaine manière vous jugez la mère avec cette remarque.
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Klebarbortch
Le 14/12/2010 16:07, AlainD a écrit :
"Klebarbortch" a écrit dans le message de news:
ie5uv5$fgt$
Le 13/12/2010 17:33, Cl.Massé a écrit :
"Anémone" a écrit dans le message de
news:4d05e5dc$0$32436$

c'est vous qui parlez de propriété et en cela vous me faites justement
penser à ce type.
Quand je lui dis "on demande l'avis de l'enfant", son père me rétorque,
"je suis son père il fera ce que je lui dirai" (2 fois par an, je le
rappelle) quand on sait ce que sont les enfants de 9 ans de nos jours.

à méditer .... jeune homme (ça c'est aussi un apriori)



Ce n'est pas de la propriété, c'est de l'autorité parentale.




C'est vous qui le dites... dans les faits, souvent, trop souvent, un des
parents (pour de multiples raisons trop longues à développer ici, c'est
généralement la mère) a le sentiment d'*propriétaire* de son enfant et
fait tout pour dissuader l'autre parent de réellement partager l'autorité
parentale. Bien entendu,l'enfant en fait les frais à un moment ou à un
autre.



On est d'accord, trop souvent c'est l'enfant qui subit la guerre que se
livrent les parents.

Je me méfie ici des versions données par l'un ou l'autre parent sur un
forum; celui qui s'exprime est toujours tout blanc et l'autre tout noir.



C'est le cas de toutes les questions posées ici. On a rarement l'ensemble
des protagonistes. On est sur un forum de droit, si la question est mal
posée la réponse sera forcément mal adaptée. Il est dans l'intérêt du
contributeur d'exposer la version la plus fidèle possible. On n'est pas la
pour juger, mais pour renseigner les personnes.

Mais une femme qui appelle "ce type" le père de son enfant (et peut-être
ex-mari) n'est visiblement pas sorti de son état conflictuel.
Elle devrait peut-être songer à faire la paix en elle-même avant de juger
le père de son enfant.



D'une certaine manière vous jugez la mère avec cette remarque.






Non je ne pense pas juger (je n'ai ni les éléments ni la vocation); je
constate et suggère un conseil, c'est tout..
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