Affirmer ne veut pas dire démontrer ...
Je ne vous le fais pas dire :-)
Pourtant bcp d'inspecteur des impôts le font pour justifier leur
redressement ...
Affirmer ne veut pas dire démontrer ...
Je ne vous le fais pas dire :-)
Pourtant bcp d'inspecteur des impôts le font pour justifier leur
redressement ...
Affirmer ne veut pas dire démontrer ...
Je ne vous le fais pas dire :-)
Pourtant bcp d'inspecteur des impôts le font pour justifier leur
redressement ...
"Fabienne" a écrit dans le message de news:
fq1dm3$c9n$
3°) En revanche, il n'existe pas en droit fiscal de "présomption de
remploi". Aussi, à cet égard, c'est à l'inspectrice des impôts de prouver
ce qu'elle avance quand elle prétend que l'argent propre de votre père a
été investi dans l'acquisition d'un bien de communauté.
Si j'étais vous, je retournerais voir le notaire qui a traité la
succession et lui demanderais de bien vouloir faire appel au CRIDON pour
avoir une consultation écrite et argumentée (tant en doctrine qu'en
jurisprudence) sur la légitimité ou non des prétentions de votre
inspectrice.
Question subsidiaire : Etes-vous sûr qu'elle ne postule pas pour tourner
un remake de "Signes extérieurs de richesse" ? Car elle a l'air
particulièrement affamée, cette inspectrice.
Bonjour Fabienne,
Je viens de prendre connaissance de votre réponse.
Tout d'abord un très grand merci pour le soin que vous avez pris à me lire
et à me répondre.
Vous êtes la seule et vous me fournissez quelques fils rouges qui me
permettront peut-être de faire douter la vérificatrice.
J'ai rendez-vous demain avec le notaire ayant traité la succession de mon
père. Je lui ai déjà demandé par téléphone d'investiguer du côté du
CRIDON.
Il est évidemment très gêné de ce qui nous arrive mais se contente de
hocher
la tête en disant "c'est une affaire embêtante...".
C'est évidemment un peu court et on va le pousser dans ses retranchements
pour se mouiller un peu plus.
Pour la polémique sur le CRIDON cela ne m'a pas paru faire avancer mon
problème. De toute façon chaque fois que quelqu'un propose quelque chose,
ce
que vous avez aimablement fait (et me semble-t-il avec compétence) il y a
toujours quelqu'un d'autre pour essayer de torpiller...
Pas bien compris votre question subsidiaire. C'est peut-être une private
joke de juristes ?
En tout cas je ne sais si l'inspectrice est une affamée
mais c'est une dure à cuire, c'est certain. Je ne vois pas pourquoi elle
s'acharne sur nous alors que le patrimoine de mes parents n'entraînait
même
pas l'ISF. Vous vous rendez compte que sa proposition de notification fait
27 pages !!!!
Je ne suis pas tout-à-fait d'accord avec vous quand vous dites que mon
père
ne pouvait remettre les chèques de son héritage que sur un compte de la
communauté vu son contrat de mariage.
Il me semble qu'il n'est pas interdit
d'ouvrir un compte personnel pour y loger de l'argent hors communauté
justement (cas des sommes reçues en héritage). Il me semble qu'elle
affirme
et nous transmet la charge de prouver le contraire. En a-t-elle le droit ?
That is the question...
"Fabienne" <fabienne@noway.fr> a écrit dans le message de news:
fq1dm3$c9n$1@s1.news.oleane.net...
3°) En revanche, il n'existe pas en droit fiscal de "présomption de
remploi". Aussi, à cet égard, c'est à l'inspectrice des impôts de prouver
ce qu'elle avance quand elle prétend que l'argent propre de votre père a
été investi dans l'acquisition d'un bien de communauté.
Si j'étais vous, je retournerais voir le notaire qui a traité la
succession et lui demanderais de bien vouloir faire appel au CRIDON pour
avoir une consultation écrite et argumentée (tant en doctrine qu'en
jurisprudence) sur la légitimité ou non des prétentions de votre
inspectrice.
Question subsidiaire : Etes-vous sûr qu'elle ne postule pas pour tourner
un remake de "Signes extérieurs de richesse" ? Car elle a l'air
particulièrement affamée, cette inspectrice.
Bonjour Fabienne,
Je viens de prendre connaissance de votre réponse.
Tout d'abord un très grand merci pour le soin que vous avez pris à me lire
et à me répondre.
Vous êtes la seule et vous me fournissez quelques fils rouges qui me
permettront peut-être de faire douter la vérificatrice.
J'ai rendez-vous demain avec le notaire ayant traité la succession de mon
père. Je lui ai déjà demandé par téléphone d'investiguer du côté du
CRIDON.
Il est évidemment très gêné de ce qui nous arrive mais se contente de
hocher
la tête en disant "c'est une affaire embêtante...".
C'est évidemment un peu court et on va le pousser dans ses retranchements
pour se mouiller un peu plus.
Pour la polémique sur le CRIDON cela ne m'a pas paru faire avancer mon
problème. De toute façon chaque fois que quelqu'un propose quelque chose,
ce
que vous avez aimablement fait (et me semble-t-il avec compétence) il y a
toujours quelqu'un d'autre pour essayer de torpiller...
Pas bien compris votre question subsidiaire. C'est peut-être une private
joke de juristes ?
En tout cas je ne sais si l'inspectrice est une affamée
mais c'est une dure à cuire, c'est certain. Je ne vois pas pourquoi elle
s'acharne sur nous alors que le patrimoine de mes parents n'entraînait
même
pas l'ISF. Vous vous rendez compte que sa proposition de notification fait
27 pages !!!!
Je ne suis pas tout-à-fait d'accord avec vous quand vous dites que mon
père
ne pouvait remettre les chèques de son héritage que sur un compte de la
communauté vu son contrat de mariage.
Il me semble qu'il n'est pas interdit
d'ouvrir un compte personnel pour y loger de l'argent hors communauté
justement (cas des sommes reçues en héritage). Il me semble qu'elle
affirme
et nous transmet la charge de prouver le contraire. En a-t-elle le droit ?
That is the question...
"Fabienne" a écrit dans le message de news:
fq1dm3$c9n$
3°) En revanche, il n'existe pas en droit fiscal de "présomption de
remploi". Aussi, à cet égard, c'est à l'inspectrice des impôts de prouver
ce qu'elle avance quand elle prétend que l'argent propre de votre père a
été investi dans l'acquisition d'un bien de communauté.
Si j'étais vous, je retournerais voir le notaire qui a traité la
succession et lui demanderais de bien vouloir faire appel au CRIDON pour
avoir une consultation écrite et argumentée (tant en doctrine qu'en
jurisprudence) sur la légitimité ou non des prétentions de votre
inspectrice.
Question subsidiaire : Etes-vous sûr qu'elle ne postule pas pour tourner
un remake de "Signes extérieurs de richesse" ? Car elle a l'air
particulièrement affamée, cette inspectrice.
Bonjour Fabienne,
Je viens de prendre connaissance de votre réponse.
Tout d'abord un très grand merci pour le soin que vous avez pris à me lire
et à me répondre.
Vous êtes la seule et vous me fournissez quelques fils rouges qui me
permettront peut-être de faire douter la vérificatrice.
J'ai rendez-vous demain avec le notaire ayant traité la succession de mon
père. Je lui ai déjà demandé par téléphone d'investiguer du côté du
CRIDON.
Il est évidemment très gêné de ce qui nous arrive mais se contente de
hocher
la tête en disant "c'est une affaire embêtante...".
C'est évidemment un peu court et on va le pousser dans ses retranchements
pour se mouiller un peu plus.
Pour la polémique sur le CRIDON cela ne m'a pas paru faire avancer mon
problème. De toute façon chaque fois que quelqu'un propose quelque chose,
ce
que vous avez aimablement fait (et me semble-t-il avec compétence) il y a
toujours quelqu'un d'autre pour essayer de torpiller...
Pas bien compris votre question subsidiaire. C'est peut-être une private
joke de juristes ?
En tout cas je ne sais si l'inspectrice est une affamée
mais c'est une dure à cuire, c'est certain. Je ne vois pas pourquoi elle
s'acharne sur nous alors que le patrimoine de mes parents n'entraînait
même
pas l'ISF. Vous vous rendez compte que sa proposition de notification fait
27 pages !!!!
Je ne suis pas tout-à-fait d'accord avec vous quand vous dites que mon
père
ne pouvait remettre les chèques de son héritage que sur un compte de la
communauté vu son contrat de mariage.
Il me semble qu'il n'est pas interdit
d'ouvrir un compte personnel pour y loger de l'argent hors communauté
justement (cas des sommes reçues en héritage). Il me semble qu'elle
affirme
et nous transmet la charge de prouver le contraire. En a-t-elle le droit ?
That is the question...
Bonjour,Pour la polémique sur le CRIDON cela ne m'a pas paru faire avancer mon
problème. De toute façon chaque fois que quelqu'un propose quelque chose,
ce
que vous avez aimablement fait (et me semble-t-il avec compétence) il y a
toujours quelqu'un d'autre pour essayer de torpiller...
Lisez les dernières réponses sur le CRIDON, c'est un centre de
documentation et un notaire ne peut pas s'appuyer à postériori sur leur
"avis" pour justifier son erreur !
En cas de doute, le notaire aurait du, avant d'engager sa responsabilité
puisqu'il vous doit conseil et assistance, interroger le dit CRIDON en cas
de doute ...
Cette nuance de taille ne torpille en rien la bonne utilisation des
"institutions".
Encore faut il les utiliser a bon escient !
Bonjour,
Pour la polémique sur le CRIDON cela ne m'a pas paru faire avancer mon
problème. De toute façon chaque fois que quelqu'un propose quelque chose,
ce
que vous avez aimablement fait (et me semble-t-il avec compétence) il y a
toujours quelqu'un d'autre pour essayer de torpiller...
Lisez les dernières réponses sur le CRIDON, c'est un centre de
documentation et un notaire ne peut pas s'appuyer à postériori sur leur
"avis" pour justifier son erreur !
En cas de doute, le notaire aurait du, avant d'engager sa responsabilité
puisqu'il vous doit conseil et assistance, interroger le dit CRIDON en cas
de doute ...
Cette nuance de taille ne torpille en rien la bonne utilisation des
"institutions".
Encore faut il les utiliser a bon escient !
Bonjour,Pour la polémique sur le CRIDON cela ne m'a pas paru faire avancer mon
problème. De toute façon chaque fois que quelqu'un propose quelque chose,
ce
que vous avez aimablement fait (et me semble-t-il avec compétence) il y a
toujours quelqu'un d'autre pour essayer de torpiller...
Lisez les dernières réponses sur le CRIDON, c'est un centre de
documentation et un notaire ne peut pas s'appuyer à postériori sur leur
"avis" pour justifier son erreur !
En cas de doute, le notaire aurait du, avant d'engager sa responsabilité
puisqu'il vous doit conseil et assistance, interroger le dit CRIDON en cas
de doute ...
Cette nuance de taille ne torpille en rien la bonne utilisation des
"institutions".
Encore faut il les utiliser a bon escient !
>>>> Affirmer ne veut pas dire démontrer ...
Je ne vous le fais pas dire :-)
Pourtant bcp d'inspecteur des impôts le font pour justifier leur
redressement ...
HORS SUJET
>>>> Affirmer ne veut pas dire démontrer ...
Je ne vous le fais pas dire :-)
Pourtant bcp d'inspecteur des impôts le font pour justifier leur
redressement ...
HORS SUJET
>>>> Affirmer ne veut pas dire démontrer ...
Je ne vous le fais pas dire :-)
Pourtant bcp d'inspecteur des impôts le font pour justifier leur
redressement ...
HORS SUJET
> Pour l'heure, il n'est pas question d'une erreur du notaire, me semble
t'il ?
Le notaire n'est pas devin : si les héritiers ne disent pas que le défunt
a hérité pendant le mariage, ou (plus fréquent encore) s'ils lui disent
que non alors qu'il pose la question précisément, il ne peut pas en tenir
compte.
Par ailleurs, à supposer que les héritiers lui aient bien dit que le père
avait hérité pendant le mariage et que le notaire ait oublié d'en tenir
compte pour la liquidation de la communauté et de la succession, le
dommage n'est que des intérêts, majorations de retard et pénalités sur le
supplément d'impôt. Car le principa de l'impôt, lui, est bien dû par les
héritiers du père.
Quand je parle dans ce fil de consulter le CRIDON, c'est pour fournir à
l'interlocuteur (via le notaire) des arguments à opposer à l'inspectrice.
Ce n'est pas pour couvrir une prétendue faute du notaire, que je n'ai même
pas envisagée.
> Pour l'heure, il n'est pas question d'une erreur du notaire, me semble
t'il ?
Le notaire n'est pas devin : si les héritiers ne disent pas que le défunt
a hérité pendant le mariage, ou (plus fréquent encore) s'ils lui disent
que non alors qu'il pose la question précisément, il ne peut pas en tenir
compte.
Par ailleurs, à supposer que les héritiers lui aient bien dit que le père
avait hérité pendant le mariage et que le notaire ait oublié d'en tenir
compte pour la liquidation de la communauté et de la succession, le
dommage n'est que des intérêts, majorations de retard et pénalités sur le
supplément d'impôt. Car le principa de l'impôt, lui, est bien dû par les
héritiers du père.
Quand je parle dans ce fil de consulter le CRIDON, c'est pour fournir à
l'interlocuteur (via le notaire) des arguments à opposer à l'inspectrice.
Ce n'est pas pour couvrir une prétendue faute du notaire, que je n'ai même
pas envisagée.
> Pour l'heure, il n'est pas question d'une erreur du notaire, me semble
t'il ?
Le notaire n'est pas devin : si les héritiers ne disent pas que le défunt
a hérité pendant le mariage, ou (plus fréquent encore) s'ils lui disent
que non alors qu'il pose la question précisément, il ne peut pas en tenir
compte.
Par ailleurs, à supposer que les héritiers lui aient bien dit que le père
avait hérité pendant le mariage et que le notaire ait oublié d'en tenir
compte pour la liquidation de la communauté et de la succession, le
dommage n'est que des intérêts, majorations de retard et pénalités sur le
supplément d'impôt. Car le principa de l'impôt, lui, est bien dû par les
héritiers du père.
Quand je parle dans ce fil de consulter le CRIDON, c'est pour fournir à
l'interlocuteur (via le notaire) des arguments à opposer à l'inspectrice.
Ce n'est pas pour couvrir une prétendue faute du notaire, que je n'ai même
pas envisagée.
> Si elle connaissait son sujet, elle irait droit au but et énoncerait en
trois lignes la règle fiscale que vous êtes supposé avoir enfreint.
> Si elle connaissait son sujet, elle irait droit au but et énoncerait en
trois lignes la règle fiscale que vous êtes supposé avoir enfreint.
> Si elle connaissait son sujet, elle irait droit au but et énoncerait en
trois lignes la règle fiscale que vous êtes supposé avoir enfreint.
Pour l'heure, il n'est pas question d'une erreur du notaire, me semble
t'il ?
Le notaire n'est pas devin : si les héritiers ne disent pas que le défunt
a hérité pendant le mariage, ou (plus fréquent encore) s'ils lui disent
que non alors qu'il pose la question précisément, il ne peut pas en tenir
compte.
Par ailleurs, à supposer que les héritiers lui aient bien dit que le père
avait hérité pendant le mariage et que le notaire ait oublié d'en tenir
compte pour la liquidation de la communauté et de la succession, le
dommage n'est que des intérêts, majorations de retard et pénalités sur le
supplément d'impôt. Car le principa de l'impôt, lui, est bien dû par les
héritiers du père.
A quel titre intervient alors le notaire si ce n'est pas pour liquider la
sucession à l'époque ?
S'il était partié à l'acte, il sedevait de vérifier les tenants et les
oboutissants pour réaliser l'acte ad hoc et non pas approximativement ...
Quand je parle dans ce fil de consulter le CRIDON, c'est pour fournir à
l'interlocuteur (via le notaire) des arguments à opposer à l'inspectrice.
Ce n'est pas pour couvrir une prétendue faute du notaire, que je n'ai
même pas envisagée.
C'est vrai, un notaire, c'est comme un éléphant, il ne se trompe jaamis !
Point commun : Brasseur fils
Pour l'heure, il n'est pas question d'une erreur du notaire, me semble
t'il ?
Le notaire n'est pas devin : si les héritiers ne disent pas que le défunt
a hérité pendant le mariage, ou (plus fréquent encore) s'ils lui disent
que non alors qu'il pose la question précisément, il ne peut pas en tenir
compte.
Par ailleurs, à supposer que les héritiers lui aient bien dit que le père
avait hérité pendant le mariage et que le notaire ait oublié d'en tenir
compte pour la liquidation de la communauté et de la succession, le
dommage n'est que des intérêts, majorations de retard et pénalités sur le
supplément d'impôt. Car le principa de l'impôt, lui, est bien dû par les
héritiers du père.
A quel titre intervient alors le notaire si ce n'est pas pour liquider la
sucession à l'époque ?
S'il était partié à l'acte, il sedevait de vérifier les tenants et les
oboutissants pour réaliser l'acte ad hoc et non pas approximativement ...
Quand je parle dans ce fil de consulter le CRIDON, c'est pour fournir à
l'interlocuteur (via le notaire) des arguments à opposer à l'inspectrice.
Ce n'est pas pour couvrir une prétendue faute du notaire, que je n'ai
même pas envisagée.
C'est vrai, un notaire, c'est comme un éléphant, il ne se trompe jaamis !
Point commun : Brasseur fils
Pour l'heure, il n'est pas question d'une erreur du notaire, me semble
t'il ?
Le notaire n'est pas devin : si les héritiers ne disent pas que le défunt
a hérité pendant le mariage, ou (plus fréquent encore) s'ils lui disent
que non alors qu'il pose la question précisément, il ne peut pas en tenir
compte.
Par ailleurs, à supposer que les héritiers lui aient bien dit que le père
avait hérité pendant le mariage et que le notaire ait oublié d'en tenir
compte pour la liquidation de la communauté et de la succession, le
dommage n'est que des intérêts, majorations de retard et pénalités sur le
supplément d'impôt. Car le principa de l'impôt, lui, est bien dû par les
héritiers du père.
A quel titre intervient alors le notaire si ce n'est pas pour liquider la
sucession à l'époque ?
S'il était partié à l'acte, il sedevait de vérifier les tenants et les
oboutissants pour réaliser l'acte ad hoc et non pas approximativement ...
Quand je parle dans ce fil de consulter le CRIDON, c'est pour fournir à
l'interlocuteur (via le notaire) des arguments à opposer à l'inspectrice.
Ce n'est pas pour couvrir une prétendue faute du notaire, que je n'ai
même pas envisagée.
C'est vrai, un notaire, c'est comme un éléphant, il ne se trompe jaamis !
Point commun : Brasseur fils
Bonjour à tous.
C'est la première fois que je poste sur ce groupe bien que je le lise de
temps en temps car il est actif et souvent intéressant.
Mon problème est le suivant :
Mon père est mort en 2003, ma mère (97 ans) toujours vivante.
Nous subissons un contrôle fiscal de la succession de mon père, par une
brigade spécialisée.
Mes parents étaient mariés (1932) sous le régime de la communauté réduite
aux acquêts.
Mon père avait hérité de ses parents en 1973 de quelques centaines de
milliers de francs de l'époque.
A la mort de mon père nous avons considéré que le patrimoine du couple
était moitié à mon père, moitié à ma mère. Nous avons réglé les droits
(faibles car 5 enfants) sur la part de mon père.
Les choses se gâtent car l'inspectrice considère, sans la moindre preuve,
que :
1-Mon père a encaissé son héritage sur un compte bancaire de la
communauté. Elle "présume" selon ses propres termes (ce qui veut dire
"prouvez-moi le contraire"...). Cela se passait il y a 35 ans. Nous
n'avons plus aucun document bancaire.
2-Elle postule donc le point 1 et s'appuie ensuite sur un arrêt récent
de la Cour de Cassation (8 novembre 2005 en Chambre Commerciale), dit
arrêt Bordes, pour dire que la communauté doit récompense équivalente à
mon père. Ce point 2 semble malheureusement, en l'état actuel de la
jurisprudence, assez imparable. De mon point de vue c'est le 1- qui me
paraît contestable.
3- Elle affirme aussi, toujours sans la moindre preuve, que mon père a
utilisé cet argent pour l'achat d'un appartement un peu plus tard (350.000
F 1973), alors qu'à l'évidence mes parents (mon père avait 63 ans)
avaient l'argent pour cet achat et qu'ils avaient bien précisé dans l'acte
notarié que l'achat était effectué avec l'argent de la communauté. Cela
lui permet ainsi de réévaluer la somme de mon père entre 1973 et 2003 au
cours de la variation de l'immobilier, ce qui mutiplie par 9 !!!
En définitive elle arrive à "démontrer" à l'issue de son raisonnement que
99% du patrimoine commun à la mort de mon père était en fait à lui et non
au couple et elle liquide les droits là dessus, ce qui fait du coup un
rappel assez conséquent car toute la fratrie dépasse alors les seuils
d'exonération.
Quand on lui dit : Comment pouvez-vous affirmer que l'argent de mon père a
été remis sur les comptes de la communauté et comment pouvez-vous affirmer
que c'est "cet argent" qui a permis l'achat d'un appartement, elle répond
:"Je n'affirme rien, je présume. Si vous n'êtes pas contents prouvez-moi
le contraire ou allez au contentieux."
Voilà ma triste histoire.
Aujourd'hui, compte tenu des nouvelles franchises, ce problème ne se
poserait pas, mais on est dans la législation 2003...
Avec mes excuses pour ce récit un peu long (mais si on fait trop court, on
ne comprend plus).
En espérant qu'un spécialiste pourra m'apporter quelques idées de parade.
Nous avons RV avec elle le 29 février et ensuite elle notifie...
Bien cordialement à tous et merci par avance de toute aide qui sera
bienvenue,
Alain S.
Bonjour à tous.
C'est la première fois que je poste sur ce groupe bien que je le lise de
temps en temps car il est actif et souvent intéressant.
Mon problème est le suivant :
Mon père est mort en 2003, ma mère (97 ans) toujours vivante.
Nous subissons un contrôle fiscal de la succession de mon père, par une
brigade spécialisée.
Mes parents étaient mariés (1932) sous le régime de la communauté réduite
aux acquêts.
Mon père avait hérité de ses parents en 1973 de quelques centaines de
milliers de francs de l'époque.
A la mort de mon père nous avons considéré que le patrimoine du couple
était moitié à mon père, moitié à ma mère. Nous avons réglé les droits
(faibles car 5 enfants) sur la part de mon père.
Les choses se gâtent car l'inspectrice considère, sans la moindre preuve,
que :
1-Mon père a encaissé son héritage sur un compte bancaire de la
communauté. Elle "présume" selon ses propres termes (ce qui veut dire
"prouvez-moi le contraire"...). Cela se passait il y a 35 ans. Nous
n'avons plus aucun document bancaire.
2-Elle postule donc le point 1 et s'appuie ensuite sur un arrêt récent
de la Cour de Cassation (8 novembre 2005 en Chambre Commerciale), dit
arrêt Bordes, pour dire que la communauté doit récompense équivalente à
mon père. Ce point 2 semble malheureusement, en l'état actuel de la
jurisprudence, assez imparable. De mon point de vue c'est le 1- qui me
paraît contestable.
3- Elle affirme aussi, toujours sans la moindre preuve, que mon père a
utilisé cet argent pour l'achat d'un appartement un peu plus tard (350.000
F 1973), alors qu'à l'évidence mes parents (mon père avait 63 ans)
avaient l'argent pour cet achat et qu'ils avaient bien précisé dans l'acte
notarié que l'achat était effectué avec l'argent de la communauté. Cela
lui permet ainsi de réévaluer la somme de mon père entre 1973 et 2003 au
cours de la variation de l'immobilier, ce qui mutiplie par 9 !!!
En définitive elle arrive à "démontrer" à l'issue de son raisonnement que
99% du patrimoine commun à la mort de mon père était en fait à lui et non
au couple et elle liquide les droits là dessus, ce qui fait du coup un
rappel assez conséquent car toute la fratrie dépasse alors les seuils
d'exonération.
Quand on lui dit : Comment pouvez-vous affirmer que l'argent de mon père a
été remis sur les comptes de la communauté et comment pouvez-vous affirmer
que c'est "cet argent" qui a permis l'achat d'un appartement, elle répond
:"Je n'affirme rien, je présume. Si vous n'êtes pas contents prouvez-moi
le contraire ou allez au contentieux."
Voilà ma triste histoire.
Aujourd'hui, compte tenu des nouvelles franchises, ce problème ne se
poserait pas, mais on est dans la législation 2003...
Avec mes excuses pour ce récit un peu long (mais si on fait trop court, on
ne comprend plus).
En espérant qu'un spécialiste pourra m'apporter quelques idées de parade.
Nous avons RV avec elle le 29 février et ensuite elle notifie...
Bien cordialement à tous et merci par avance de toute aide qui sera
bienvenue,
Alain S.
Bonjour à tous.
C'est la première fois que je poste sur ce groupe bien que je le lise de
temps en temps car il est actif et souvent intéressant.
Mon problème est le suivant :
Mon père est mort en 2003, ma mère (97 ans) toujours vivante.
Nous subissons un contrôle fiscal de la succession de mon père, par une
brigade spécialisée.
Mes parents étaient mariés (1932) sous le régime de la communauté réduite
aux acquêts.
Mon père avait hérité de ses parents en 1973 de quelques centaines de
milliers de francs de l'époque.
A la mort de mon père nous avons considéré que le patrimoine du couple
était moitié à mon père, moitié à ma mère. Nous avons réglé les droits
(faibles car 5 enfants) sur la part de mon père.
Les choses se gâtent car l'inspectrice considère, sans la moindre preuve,
que :
1-Mon père a encaissé son héritage sur un compte bancaire de la
communauté. Elle "présume" selon ses propres termes (ce qui veut dire
"prouvez-moi le contraire"...). Cela se passait il y a 35 ans. Nous
n'avons plus aucun document bancaire.
2-Elle postule donc le point 1 et s'appuie ensuite sur un arrêt récent
de la Cour de Cassation (8 novembre 2005 en Chambre Commerciale), dit
arrêt Bordes, pour dire que la communauté doit récompense équivalente à
mon père. Ce point 2 semble malheureusement, en l'état actuel de la
jurisprudence, assez imparable. De mon point de vue c'est le 1- qui me
paraît contestable.
3- Elle affirme aussi, toujours sans la moindre preuve, que mon père a
utilisé cet argent pour l'achat d'un appartement un peu plus tard (350.000
F 1973), alors qu'à l'évidence mes parents (mon père avait 63 ans)
avaient l'argent pour cet achat et qu'ils avaient bien précisé dans l'acte
notarié que l'achat était effectué avec l'argent de la communauté. Cela
lui permet ainsi de réévaluer la somme de mon père entre 1973 et 2003 au
cours de la variation de l'immobilier, ce qui mutiplie par 9 !!!
En définitive elle arrive à "démontrer" à l'issue de son raisonnement que
99% du patrimoine commun à la mort de mon père était en fait à lui et non
au couple et elle liquide les droits là dessus, ce qui fait du coup un
rappel assez conséquent car toute la fratrie dépasse alors les seuils
d'exonération.
Quand on lui dit : Comment pouvez-vous affirmer que l'argent de mon père a
été remis sur les comptes de la communauté et comment pouvez-vous affirmer
que c'est "cet argent" qui a permis l'achat d'un appartement, elle répond
:"Je n'affirme rien, je présume. Si vous n'êtes pas contents prouvez-moi
le contraire ou allez au contentieux."
Voilà ma triste histoire.
Aujourd'hui, compte tenu des nouvelles franchises, ce problème ne se
poserait pas, mais on est dans la législation 2003...
Avec mes excuses pour ce récit un peu long (mais si on fait trop court, on
ne comprend plus).
En espérant qu'un spécialiste pourra m'apporter quelques idées de parade.
Nous avons RV avec elle le 29 février et ensuite elle notifie...
Bien cordialement à tous et merci par avance de toute aide qui sera
bienvenue,
Alain S.