Dusquesne: reprendre le 13h est un "acte de civisme".
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Helmut Prod
Le journaliste Beno=EEt Dusquesne, qui succ=E8de =E0 Christophe Hondelatte
=E0 la pr=E9sentation du 13h00 de France 2 depuis vendredi, a indiqu=E9
mardi 1er f=E9vrier sur RTL qu'il s'agissait d'un "acte de civisme".
"Remplacer quelqu'un de d=E9savou=E9 est un acte de civisme. J'allais
faire les plateaux de "Compl=E9ment (d'enqu=EAte)" quand on m'a demand=E9
effectivement d'aller remplacer Christophe (Hondelatte) au pied lev=E9
(=2E..) et par la suite on m'a annonc=E9 que =E7a allait continuer", a-t-il
indiqu=E9.
"J'ai un petit peu l'impression de remplacer quelqu'un =E0 qui tout le
monde a lanc=E9 des pierres", a-t-il expliqu=E9. "Je crois qu'il n'=E9tait
pas du tout fait pour ce poste, sinon on le lui aurait fait
comprendre".
"Je compte sur l'=E9quipe"
Interrog=E9 sur le d=E9part de Christophe Hondelatte, il a indiqu=E9 :
"J'ai entendu qu'il pouvait se passer des choses un peu heurt=E9es avec
la r=E9daction. Je pensais qu'il partirait plus t=F4t, j'ai =E9t=E9
=E9tonn=E9 par la patience de la direction".
"Je compte beaucoup sur l'=E9quipe qui =E9tait avec lui pour me soutenir,
je compte beaucoup sur la r=E9daction pour m'aider", a-t-il poursuivi.
A la question de savoir s'il =E9tait en place jusqu'en juin, il a
r=E9torqu=E9 : "il n'y a pas de date. Effectivement en juin on remet tout
sur la table en t=E9l=E9vision, mais non, c'est une prise de fonction",
a-t-il dit, conc=E9dant que "dans ce m=E9tier rien n'est jamais certain".
Arlette Chabot, directrice de l'information de France 2, avait indiqu=E9
samedi que Christophe Hondelatte n'=E9tait pas psychologiquement en
=E9tat de pr=E9senter le 13h00, apr=E8s la lecture d'un portrait que lui
avait consacr=E9 Lib=E9ration.
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emmanuel
> Je pensais qu'il partirait plus tôt, j'ai été étonné par la patience de la direction".
depuis qu'il a joué le motard présidentiel en 95, étonnant qu'il "soit" encore journaliste.
"Helmut Prod" a écrit dans le message de news:
Le journaliste Benoît Dusquesne, qui succède à Christophe Hondelatte à la présentation du 13h00 de France 2 depuis vendredi, a indiqué mardi 1er février sur RTL qu'il s'agissait d'un "acte de civisme".
"Remplacer quelqu'un de désavoué est un acte de civisme. J'allais faire les plateaux de "Complément (d'enquête)" quand on m'a demandé effectivement d'aller remplacer Christophe (Hondelatte) au pied levé (...) et par la suite on m'a annoncé que ça allait continuer", a-t-il indiqué.
"J'ai un petit peu l'impression de remplacer quelqu'un à qui tout le monde a lancé des pierres", a-t-il expliqué. "Je crois qu'il n'était pas du tout fait pour ce poste, sinon on le lui aurait fait comprendre".
"Je compte sur l'équipe"
Interrogé sur le départ de Christophe Hondelatte, il a indiqué : "J'ai entendu qu'il pouvait se passer des choses un peu heurtées avec la rédaction. Je pensais qu'il partirait plus tôt, j'ai été étonné par la patience de la direction".
"Je compte beaucoup sur l'équipe qui était avec lui pour me soutenir, je compte beaucoup sur la rédaction pour m'aider", a-t-il poursuivi. A la question de savoir s'il était en place jusqu'en juin, il a rétorqué : "il n'y a pas de date. Effectivement en juin on remet tout sur la table en télévision, mais non, c'est une prise de fonction", a-t-il dit, concédant que "dans ce métier rien n'est jamais certain".
Arlette Chabot, directrice de l'information de France 2, avait indiqué samedi que Christophe Hondelatte n'était pas psychologiquement en état de présenter le 13h00, après la lecture d'un portrait que lui avait consacré Libération.
> Je pensais qu'il partirait plus tôt, j'ai été
étonné par la patience de la direction".
depuis qu'il a joué le motard présidentiel en 95, étonnant qu'il "soit"
encore journaliste.
"Helmut Prod" <president_helmut@yahoo.fr> a écrit dans le message de news:
1107449217.140411.159940@l41g2000cwc.googlegroups.com...
Le journaliste Benoît Dusquesne, qui succède à Christophe Hondelatte
à la présentation du 13h00 de France 2 depuis vendredi, a indiqué
mardi 1er février sur RTL qu'il s'agissait d'un "acte de civisme".
"Remplacer quelqu'un de désavoué est un acte de civisme. J'allais
faire les plateaux de "Complément (d'enquête)" quand on m'a demandé
effectivement d'aller remplacer Christophe (Hondelatte) au pied levé
(...) et par la suite on m'a annoncé que ça allait continuer", a-t-il
indiqué.
"J'ai un petit peu l'impression de remplacer quelqu'un à qui tout le
monde a lancé des pierres", a-t-il expliqué. "Je crois qu'il n'était
pas du tout fait pour ce poste, sinon on le lui aurait fait
comprendre".
"Je compte sur l'équipe"
Interrogé sur le départ de Christophe Hondelatte, il a indiqué :
"J'ai entendu qu'il pouvait se passer des choses un peu heurtées avec
la rédaction. Je pensais qu'il partirait plus tôt, j'ai été
étonné par la patience de la direction".
"Je compte beaucoup sur l'équipe qui était avec lui pour me soutenir,
je compte beaucoup sur la rédaction pour m'aider", a-t-il poursuivi.
A la question de savoir s'il était en place jusqu'en juin, il a
rétorqué : "il n'y a pas de date. Effectivement en juin on remet tout
sur la table en télévision, mais non, c'est une prise de fonction",
a-t-il dit, concédant que "dans ce métier rien n'est jamais certain".
Arlette Chabot, directrice de l'information de France 2, avait indiqué
samedi que Christophe Hondelatte n'était pas psychologiquement en
état de présenter le 13h00, après la lecture d'un portrait que lui
avait consacré Libération.
> Je pensais qu'il partirait plus tôt, j'ai été étonné par la patience de la direction".
depuis qu'il a joué le motard présidentiel en 95, étonnant qu'il "soit" encore journaliste.
"Helmut Prod" a écrit dans le message de news:
Le journaliste Benoît Dusquesne, qui succède à Christophe Hondelatte à la présentation du 13h00 de France 2 depuis vendredi, a indiqué mardi 1er février sur RTL qu'il s'agissait d'un "acte de civisme".
"Remplacer quelqu'un de désavoué est un acte de civisme. J'allais faire les plateaux de "Complément (d'enquête)" quand on m'a demandé effectivement d'aller remplacer Christophe (Hondelatte) au pied levé (...) et par la suite on m'a annoncé que ça allait continuer", a-t-il indiqué.
"J'ai un petit peu l'impression de remplacer quelqu'un à qui tout le monde a lancé des pierres", a-t-il expliqué. "Je crois qu'il n'était pas du tout fait pour ce poste, sinon on le lui aurait fait comprendre".
"Je compte sur l'équipe"
Interrogé sur le départ de Christophe Hondelatte, il a indiqué : "J'ai entendu qu'il pouvait se passer des choses un peu heurtées avec la rédaction. Je pensais qu'il partirait plus tôt, j'ai été étonné par la patience de la direction".
"Je compte beaucoup sur l'équipe qui était avec lui pour me soutenir, je compte beaucoup sur la rédaction pour m'aider", a-t-il poursuivi. A la question de savoir s'il était en place jusqu'en juin, il a rétorqué : "il n'y a pas de date. Effectivement en juin on remet tout sur la table en télévision, mais non, c'est une prise de fonction", a-t-il dit, concédant que "dans ce métier rien n'est jamais certain".
Arlette Chabot, directrice de l'information de France 2, avait indiqué samedi que Christophe Hondelatte n'était pas psychologiquement en état de présenter le 13h00, après la lecture d'un portrait que lui avait consacré Libération.