dynamique raw soft panasonic et hdr + considération hdr
10 réponses
Olivier B.
salut,
je commence a tater un peux du raw avec mon fz50, j'y ai immédiatement
vu 2 avantages:
- la dynamique du capteur est conservée, certaines zones cramées par
le jpeg sont récupérables sur le raw
- l'absence de compression est bien visible sur les scenes détaillées
ou le jpeg "brosse" le detail
ceci me pose un probleme, j'aimerais exploiter rapidement la dynamique
du capteur hors pour le moment je n'ai trouvé que la possibilité de
"developper" avec plusieurs corrections d'expositions, reconsituer une
image hdr puis faire un tone mapping, y-a-t-il plus court avec le soft
de panasonic ?
ensuite sur l'aspec "considération", certainement tres personnel et
sans désir de polémique: je trouve que le HDR revient à compenser le
manque de dynamique des capteurs en représentant ce que le cerveau
aurait vu avec la dynamique de l'oeil, et pour moi le but de cette
techniqueest d'obtenir une image naturelle bien qu'en poussant la
technique on obtienne des effets plus ou moins agréables.
--
http://olivier.2a.free.fr/
pas de turlututu. apres l'@robase
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Bour-Brown
Olivier B. a écrit ( )
- la dynamique du capteur est conservée, certaines zones cramées par le jpeg sont récupérables sur le raw
C'est vrai.
- l'absence de compression est bien visible sur les scenes détaillées ou le jpeg "brosse" le detail
Sur le Minolta ça le fait moins, mais avec Panasonic c'est vraiment visible...
ceci me pose un probleme, j'aimerais exploiter rapidement la dynamique du capteur hors pour le moment je n'ai trouvé que la possibilité de "developper" avec plusieurs corrections d'expositions, reconsituer une image hdr puis faire un tone mapping, y-a-t-il plus court avec le soft de panasonic ?
Pour exploiter la dynamique du capteur en raw, il suffit de se caler un poil en dessous des maxima et d'ouvrir en 16 bits, normalement tout y est. Pour obtenir des nuances fines dans certaines zones, on peut superposer avec des réglages différents, mais je commence même à douter de l'intérêt puisque normalement, toutes les infos codées de 10 à 14 bits tiennent sans bricolage dans du 16 bits.
Olivier B. a écrit
( 54g943dnv5d5k3of435b87seki742c8s86@4ax.com )
- la dynamique du capteur est conservée, certaines zones cramées par
le jpeg sont récupérables sur le raw
C'est vrai.
- l'absence de compression est bien visible sur les scenes détaillées
ou le jpeg "brosse" le detail
Sur le Minolta ça le fait moins, mais avec Panasonic c'est vraiment
visible...
ceci me pose un probleme, j'aimerais exploiter rapidement la dynamique
du capteur hors pour le moment je n'ai trouvé que la possibilité de
"developper" avec plusieurs corrections d'expositions, reconsituer une
image hdr puis faire un tone mapping, y-a-t-il plus court avec le soft
de panasonic ?
Pour exploiter la dynamique du capteur en raw, il suffit de se caler un poil
en dessous des maxima et d'ouvrir en 16 bits, normalement tout y est. Pour
obtenir des nuances fines dans certaines zones, on peut superposer avec des
réglages différents, mais je commence même à douter de l'intérêt puisque
normalement, toutes les infos codées de 10 à 14 bits tiennent sans bricolage
dans du 16 bits.
- la dynamique du capteur est conservée, certaines zones cramées par le jpeg sont récupérables sur le raw
C'est vrai.
- l'absence de compression est bien visible sur les scenes détaillées ou le jpeg "brosse" le detail
Sur le Minolta ça le fait moins, mais avec Panasonic c'est vraiment visible...
ceci me pose un probleme, j'aimerais exploiter rapidement la dynamique du capteur hors pour le moment je n'ai trouvé que la possibilité de "developper" avec plusieurs corrections d'expositions, reconsituer une image hdr puis faire un tone mapping, y-a-t-il plus court avec le soft de panasonic ?
Pour exploiter la dynamique du capteur en raw, il suffit de se caler un poil en dessous des maxima et d'ouvrir en 16 bits, normalement tout y est. Pour obtenir des nuances fines dans certaines zones, on peut superposer avec des réglages différents, mais je commence même à douter de l'intérêt puisque normalement, toutes les infos codées de 10 à 14 bits tiennent sans bricolage dans du 16 bits.
Charles VASSALLO
Bour-Brown wrote pour Olivier B.
j'aimerais exploiter rapidement la dynamique du capteur hors pour le moment je n'ai trouvé que la possibilité de "developper" avec plusieurs corrections d'expositions, reconsituer une image hdr puis faire un tone mapping, y-a-t-il plus court avec le soft de panasonic ?
Pour exploiter la dynamique du capteur en raw, il suffit de se caler un poil en dessous des maxima et d'ouvrir en 16 bits, normalement tout y est. Pour obtenir des nuances fines dans certaines zones, on peut superposer avec des réglages différents, mais je commence même à douter de l'intérêt puisque normalement, toutes les infos codées de 10 à 14 bits tiennent sans bricolage dans du 16 bits.
C'est bien mon avis. Sortir du raw sans surexposer peut conduire à des ombres très sombres, mais on rattrape celles-ci avec le réglage clairs/foncés. En fait, ce réglage fait bel et bien du "tone-mapping" en ramenant les tons sombres à des valeurs plus claires -- contraste local compris pour séparer les tons remontés de ceux qui étaient déjà là, avec risque colatéral des fameux halos... Tout le matériau utilisable est dans les 16 bits du raw en sortie, on ne peut rien inventer d'autre. Si on veut vraiment améliorer la dynamique de l'image, ne serait-ce que pour diminuer le bruit dans les zones sombres, il faut faire physiquement plusieurs poses
Charles
Bour-Brown wrote pour Olivier B.
j'aimerais exploiter rapidement la dynamique
du capteur hors pour le moment je n'ai trouvé que la possibilité de
"developper" avec plusieurs corrections d'expositions, reconsituer une
image hdr puis faire un tone mapping, y-a-t-il plus court avec le soft
de panasonic ?
Pour exploiter la dynamique du capteur en raw, il suffit de se caler un poil
en dessous des maxima et d'ouvrir en 16 bits, normalement tout y est. Pour
obtenir des nuances fines dans certaines zones, on peut superposer avec des
réglages différents, mais je commence même à douter de l'intérêt puisque
normalement, toutes les infos codées de 10 à 14 bits tiennent sans bricolage
dans du 16 bits.
C'est bien mon avis. Sortir du raw sans surexposer peut conduire à des
ombres très sombres, mais on rattrape celles-ci avec le réglage
clairs/foncés. En fait, ce réglage fait bel et bien du "tone-mapping" en
ramenant les tons sombres à des valeurs plus claires -- contraste local
compris pour séparer les tons remontés de ceux qui étaient déjà là, avec
risque colatéral des fameux halos... Tout le matériau utilisable est
dans les 16 bits du raw en sortie, on ne peut rien inventer d'autre. Si
on veut vraiment améliorer la dynamique de l'image, ne serait-ce que
pour diminuer le bruit dans les zones sombres, il faut faire
physiquement plusieurs poses
j'aimerais exploiter rapidement la dynamique du capteur hors pour le moment je n'ai trouvé que la possibilité de "developper" avec plusieurs corrections d'expositions, reconsituer une image hdr puis faire un tone mapping, y-a-t-il plus court avec le soft de panasonic ?
Pour exploiter la dynamique du capteur en raw, il suffit de se caler un poil en dessous des maxima et d'ouvrir en 16 bits, normalement tout y est. Pour obtenir des nuances fines dans certaines zones, on peut superposer avec des réglages différents, mais je commence même à douter de l'intérêt puisque normalement, toutes les infos codées de 10 à 14 bits tiennent sans bricolage dans du 16 bits.
C'est bien mon avis. Sortir du raw sans surexposer peut conduire à des ombres très sombres, mais on rattrape celles-ci avec le réglage clairs/foncés. En fait, ce réglage fait bel et bien du "tone-mapping" en ramenant les tons sombres à des valeurs plus claires -- contraste local compris pour séparer les tons remontés de ceux qui étaient déjà là, avec risque colatéral des fameux halos... Tout le matériau utilisable est dans les 16 bits du raw en sortie, on ne peut rien inventer d'autre. Si on veut vraiment améliorer la dynamique de l'image, ne serait-ce que pour diminuer le bruit dans les zones sombres, il faut faire physiquement plusieurs poses
Charles
Bour-Brown
Charles VASSALLO a écrit ( 464557e7$0$27409$ )
C'est bien mon avis. Sortir du raw sans surexposer peut conduire à des ombres très sombres, mais on rattrape celles-ci avec le réglage clairs/foncés. En fait, ce réglage fait bel et bien du "tone-mapping" en ramenant les tons sombres à des valeurs plus claires -- contraste local compris pour séparer les tons remontés de ceux qui étaient déjà là, avec risque colatéral des fameux halos...
Je suis d'ailleurs surpris que Camera Raw 4 intègre en natif un dispositif de ce genre - fill light et recovery - parce que le distinguo entre image naturelle et modifiée va devenir difficile. Avant, on ouvrait en 16 bits avec toutes les infos et on bidouillait ensuite par programme. Actuellement on bidouille directement à l'ouverture, couleurs, courbes, mais aussi modifs lumière et ombres en luminosité et en couleur, retouche pétouilles, correction objectif, réduction de bruit, etc. Parler ensuite d'image brute ne va plus avoir grand sens, sauf peut-être à mettre tous les curseurs à zéro.
Tout le matériau utilisable est dans les 16 bits du raw en sortie, on ne peut rien inventer d'autre.
C'est vrai, mais je me demande si ce n'est pas en train de se déplacer. J'ai l'impression que pour les grands programmes de raw (Adobe, Capture, DXo, Bibble ou autre Silkypix), l'enjeu consiste aujourd'hui à offrir de plus en plus de facilité pour sortir l'image 16 bits la meilleure possible, et donc proposer avant même l'ouverture les opérations qu'on fait en général après.
Pour dire, c'est quand j'ai utilisé d'autres programmes d'extraction raw que je me suis rendu compte que mon capteur était constellé de photosites plus ou moins nazes, et qu'Adobe corrigeait tout sans rien dire avant même la prévisualisation.
(et il le fait vraiment bien en plus)
Charles VASSALLO a écrit
( 464557e7$0$27409$ba4acef3@news.orange.fr )
C'est bien mon avis. Sortir du raw sans surexposer peut conduire à des
ombres très sombres, mais on rattrape celles-ci avec le réglage
clairs/foncés. En fait, ce réglage fait bel et bien du "tone-mapping" en
ramenant les tons sombres à des valeurs plus claires -- contraste local
compris pour séparer les tons remontés de ceux qui étaient déjà là, avec
risque colatéral des fameux halos...
Je suis d'ailleurs surpris que Camera Raw 4 intègre en natif un dispositif
de ce genre - fill light et recovery - parce que le distinguo entre image
naturelle et modifiée va devenir difficile. Avant, on ouvrait en 16 bits
avec toutes les infos et on bidouillait ensuite par programme. Actuellement
on bidouille directement à l'ouverture, couleurs, courbes, mais aussi modifs
lumière et ombres en luminosité et en couleur, retouche pétouilles,
correction objectif, réduction de bruit, etc. Parler ensuite d'image brute
ne va plus avoir grand sens, sauf peut-être à mettre tous les curseurs à
zéro.
Tout le matériau utilisable est dans les 16 bits du raw en sortie, on ne
peut rien inventer d'autre.
C'est vrai, mais je me demande si ce n'est pas en train de se déplacer. J'ai
l'impression que pour les grands programmes de raw (Adobe, Capture, DXo,
Bibble ou autre Silkypix), l'enjeu consiste aujourd'hui à offrir de plus en
plus de facilité pour sortir l'image 16 bits la meilleure possible, et donc
proposer avant même l'ouverture les opérations qu'on fait en général après.
Pour dire, c'est quand j'ai utilisé d'autres programmes d'extraction raw que
je me suis rendu compte que mon capteur était constellé de photosites plus
ou moins nazes, et qu'Adobe corrigeait tout sans rien dire avant même la
prévisualisation.
C'est bien mon avis. Sortir du raw sans surexposer peut conduire à des ombres très sombres, mais on rattrape celles-ci avec le réglage clairs/foncés. En fait, ce réglage fait bel et bien du "tone-mapping" en ramenant les tons sombres à des valeurs plus claires -- contraste local compris pour séparer les tons remontés de ceux qui étaient déjà là, avec risque colatéral des fameux halos...
Je suis d'ailleurs surpris que Camera Raw 4 intègre en natif un dispositif de ce genre - fill light et recovery - parce que le distinguo entre image naturelle et modifiée va devenir difficile. Avant, on ouvrait en 16 bits avec toutes les infos et on bidouillait ensuite par programme. Actuellement on bidouille directement à l'ouverture, couleurs, courbes, mais aussi modifs lumière et ombres en luminosité et en couleur, retouche pétouilles, correction objectif, réduction de bruit, etc. Parler ensuite d'image brute ne va plus avoir grand sens, sauf peut-être à mettre tous les curseurs à zéro.
Tout le matériau utilisable est dans les 16 bits du raw en sortie, on ne peut rien inventer d'autre.
C'est vrai, mais je me demande si ce n'est pas en train de se déplacer. J'ai l'impression que pour les grands programmes de raw (Adobe, Capture, DXo, Bibble ou autre Silkypix), l'enjeu consiste aujourd'hui à offrir de plus en plus de facilité pour sortir l'image 16 bits la meilleure possible, et donc proposer avant même l'ouverture les opérations qu'on fait en général après.
Pour dire, c'est quand j'ai utilisé d'autres programmes d'extraction raw que je me suis rendu compte que mon capteur était constellé de photosites plus ou moins nazes, et qu'Adobe corrigeait tout sans rien dire avant même la prévisualisation.
(et il le fait vraiment bien en plus)
Charles VASSALLO
Bour-Brown wrote:
Tout le matériau utilisable est dans les 16 bits du raw en sortie, on ne peut rien inventer d'autre.
C'est vrai, mais je me demande si ce n'est pas en train de se déplacer. J'ai l'impression que pour les grands programmes de raw (Adobe, Capture, DXo, Bibble ou autre Silkypix), l'enjeu consiste aujourd'hui à offrir de plus en plus de facilité pour sortir l'image 16 bits la meilleure possible, et donc proposer avant même l'ouverture les opérations qu'on fait en général après.
C'est de bonne guerre dans le boulot-flot que de tout faire d'un coup plutôt que de bosser d'abord en raw, puis dans le logiciel graphique. Si on peut y arriver et si les clients sont contents ainsi... Pour ma part, j'en suis toujours à CS2 et donc camera raw 3, et ce qui sort de ce dernier est toujours un simple point de départ pour moi. Mais je suis un paisible retraité pas trop pressé :-)
Charles
Bour-Brown wrote:
Tout le matériau utilisable est dans les 16 bits du raw en sortie, on ne
peut rien inventer d'autre.
C'est vrai, mais je me demande si ce n'est pas en train de se déplacer. J'ai
l'impression que pour les grands programmes de raw (Adobe, Capture, DXo,
Bibble ou autre Silkypix), l'enjeu consiste aujourd'hui à offrir de plus en
plus de facilité pour sortir l'image 16 bits la meilleure possible, et donc
proposer avant même l'ouverture les opérations qu'on fait en général après.
C'est de bonne guerre dans le boulot-flot que de tout faire d'un coup
plutôt que de bosser d'abord en raw, puis dans le logiciel graphique. Si
on peut y arriver et si les clients sont contents ainsi... Pour ma
part, j'en suis toujours à CS2 et donc camera raw 3, et ce qui sort de
ce dernier est toujours un simple point de départ pour moi. Mais je suis
un paisible retraité pas trop pressé :-)
Tout le matériau utilisable est dans les 16 bits du raw en sortie, on ne peut rien inventer d'autre.
C'est vrai, mais je me demande si ce n'est pas en train de se déplacer. J'ai l'impression que pour les grands programmes de raw (Adobe, Capture, DXo, Bibble ou autre Silkypix), l'enjeu consiste aujourd'hui à offrir de plus en plus de facilité pour sortir l'image 16 bits la meilleure possible, et donc proposer avant même l'ouverture les opérations qu'on fait en général après.
C'est de bonne guerre dans le boulot-flot que de tout faire d'un coup plutôt que de bosser d'abord en raw, puis dans le logiciel graphique. Si on peut y arriver et si les clients sont contents ainsi... Pour ma part, j'en suis toujours à CS2 et donc camera raw 3, et ce qui sort de ce dernier est toujours un simple point de départ pour moi. Mais je suis un paisible retraité pas trop pressé :-)
Charles
Daniel Metz
On Fri, 11 May 2007 21:37:51 +0200, Olivier B. wrote (in article ):
- l'absence de compression est bien visible sur les scenes détaillées ou le jpeg "brosse" le detail
La compression JPEG ( la plus faible bien sur) est pratiquement invisible pour un utilisateur lambda. Seule une recherche très détaillée par un oeil expert permettra de voir les artefacts du JPEG.
Ce que tu décrit, est une des retouches que se permet l'APN sur les exportations en JPEG . C'est le lissage pour lutter contre le bruit apparent. Ce lissage a un effet destructeur sur le détail de l'image. Le fichier RAW échappe à cette correction.
On Fri, 11 May 2007 21:37:51 +0200, Olivier B. wrote
(in article <54g943dnv5d5k3of435b87seki742c8s86@4ax.com>):
- l'absence de compression est bien visible sur les scenes détaillées
ou le jpeg "brosse" le detail
La compression JPEG ( la plus faible bien sur) est pratiquement invisible
pour un utilisateur lambda. Seule une recherche très détaillée par un oeil
expert permettra de voir les artefacts du JPEG.
Ce que tu décrit, est une des retouches que se permet l'APN sur les
exportations en JPEG . C'est le lissage pour lutter contre le bruit apparent.
Ce lissage a un effet destructeur sur le détail de l'image. Le fichier RAW
échappe à cette correction.
On Fri, 11 May 2007 21:37:51 +0200, Olivier B. wrote (in article ):
- l'absence de compression est bien visible sur les scenes détaillées ou le jpeg "brosse" le detail
La compression JPEG ( la plus faible bien sur) est pratiquement invisible pour un utilisateur lambda. Seule une recherche très détaillée par un oeil expert permettra de voir les artefacts du JPEG.
Ce que tu décrit, est une des retouches que se permet l'APN sur les exportations en JPEG . C'est le lissage pour lutter contre le bruit apparent. Ce lissage a un effet destructeur sur le détail de l'image. Le fichier RAW échappe à cette correction.
Bour-Brown
Daniel Metz a écrit ( )
La compression JPEG ( la plus faible bien sur) est pratiquement invisible pour un utilisateur lambda. Seule une recherche très détaillée par un oeil expert permettra de voir les artefacts du JPEG.
Exact, d'ailleurs la différence entre les jpg et les raw Panasonic ne semble pas due à une compression trop grande par exemple, c'est vraiment comme un effet de brossage...
Ce que tu décrit, est une des retouches que se permet l'APN sur les exportations en JPEG . C'est le lissage pour lutter contre le bruit apparent.
En plus à posteriori ça paraît maintenant évident, sur le LX1 par exemple la différence entre les deux modes est particulièrement grande dans des feuillages, et ne montre pas d'artefacts jpg particulier.
Ce lissage a un effet destructeur sur le détail de l'image. Le fichier RAW échappe à cette correction.
Eh bien j'ai appris quelque chose, merci.
Daniel Metz a écrit
( 0001HW.C26B5562000124D3F0284530@news.nerim.net )
La compression JPEG ( la plus faible bien sur) est pratiquement invisible
pour un utilisateur lambda. Seule une recherche très détaillée par un oeil
expert permettra de voir les artefacts du JPEG.
Exact, d'ailleurs la différence entre les jpg et les raw Panasonic ne semble
pas due à une compression trop grande par exemple, c'est vraiment comme un
effet de brossage...
Ce que tu décrit, est une des retouches que se permet l'APN sur les
exportations en JPEG . C'est le lissage pour lutter contre le bruit
apparent.
En plus à posteriori ça paraît maintenant évident, sur le LX1 par exemple la
différence entre les deux modes est particulièrement grande dans des
feuillages, et ne montre pas d'artefacts jpg particulier.
Ce lissage a un effet destructeur sur le détail de l'image. Le fichier RAW
échappe à cette correction.
La compression JPEG ( la plus faible bien sur) est pratiquement invisible pour un utilisateur lambda. Seule une recherche très détaillée par un oeil expert permettra de voir les artefacts du JPEG.
Exact, d'ailleurs la différence entre les jpg et les raw Panasonic ne semble pas due à une compression trop grande par exemple, c'est vraiment comme un effet de brossage...
Ce que tu décrit, est une des retouches que se permet l'APN sur les exportations en JPEG . C'est le lissage pour lutter contre le bruit apparent.
En plus à posteriori ça paraît maintenant évident, sur le LX1 par exemple la différence entre les deux modes est particulièrement grande dans des feuillages, et ne montre pas d'artefacts jpg particulier.
Ce lissage a un effet destructeur sur le détail de l'image. Le fichier RAW échappe à cette correction.
Eh bien j'ai appris quelque chose, merci.
nikojorj_jaimepaslapub
On May 12, 11:09 am, "Bour-Brown" wrote:
parce que le distinguo entre image naturelle et modifiée va devenir difficile.
Pff, est-ce que la seule image naturelle n'est pas celle que tu vois devant tes yeux? A partir du moment où elle est prise dans un appareil photo, elle est fondamentalement modifiée ;o).
On May 12, 11:09 am, "Bour-Brown" <bour-br...@wnd.fr> wrote:
parce que le distinguo entre image
naturelle et modifiée va devenir difficile.
Pff, est-ce que la seule image naturelle n'est pas celle que tu vois
devant tes yeux?
A partir du moment où elle est prise dans un appareil photo, elle est
fondamentalement modifiée ;o).
parce que le distinguo entre image naturelle et modifiée va devenir difficile.
Pff, est-ce que la seule image naturelle n'est pas celle que tu vois devant tes yeux? A partir du moment où elle est prise dans un appareil photo, elle est fondamentalement modifiée ;o).
nikojorj_jaimepaslapub
On May 12, 11:28 am, Daniel Metz wrote:
La compression JPEG ( la plus faible bien sur) est pratiquement invisible pour un utilisateur lambda. Seule une recherche très détaillée par un oeil expert permettra de voir les artefacts du JPEG.
... Ou une forte remontée des niveaux sombres comme décrit ci-dessus (fonction shadow/highlight ou equivalent), qui rend visible la réduction du nombre de niveaux inhérente à la compression Jpeg quand on y va vraiment fort. Cela dit, d'accord sur le fond : un effet de lissage, c'est de l'anti bruit plus probablement que de la compression Jpeg.
On May 12, 11:28 am, Daniel Metz <dan...@NOSPAMg38.com> wrote:
La compression JPEG ( la plus faible bien sur) est pratiquement invisible
pour un utilisateur lambda. Seule une recherche très détaillée par un oeil
expert permettra de voir les artefacts du JPEG.
... Ou une forte remontée des niveaux sombres comme décrit ci-dessus
(fonction shadow/highlight ou equivalent), qui rend visible la
réduction du nombre de niveaux inhérente à la compression Jpeg quand
on y va vraiment fort.
Cela dit, d'accord sur le fond : un effet de lissage, c'est de l'anti
bruit plus probablement que de la compression Jpeg.
La compression JPEG ( la plus faible bien sur) est pratiquement invisible pour un utilisateur lambda. Seule une recherche très détaillée par un oeil expert permettra de voir les artefacts du JPEG.
... Ou une forte remontée des niveaux sombres comme décrit ci-dessus (fonction shadow/highlight ou equivalent), qui rend visible la réduction du nombre de niveaux inhérente à la compression Jpeg quand on y va vraiment fort. Cela dit, d'accord sur le fond : un effet de lissage, c'est de l'anti bruit plus probablement que de la compression Jpeg.
Olivier B.
On 13 May 2007 02:59:05 -0700, wrote:
On May 12, 11:09 am, "Bour-Brown" wrote:
parce que le distinguo entre image naturelle et modifiée va devenir difficile.
Pff, est-ce que la seule image naturelle n'est pas celle que tu vois devant tes yeux? A partir du moment où elle est prise dans un appareil photo, elle est fondamentalement modifiée ;o).
aie ! je sens qu'on tient le bout d'une longue et interminable enfilade ;-)
-- http://olivier.2a.free.fr/ pas de turlututu. apres l'@robase
On 13 May 2007 02:59:05 -0700, nikojorj_jaimepaslapub@yahoo.Fr wrote:
On May 12, 11:09 am, "Bour-Brown" <bour-br...@wnd.fr> wrote:
parce que le distinguo entre image
naturelle et modifiée va devenir difficile.
Pff, est-ce que la seule image naturelle n'est pas celle que tu vois
devant tes yeux?
A partir du moment où elle est prise dans un appareil photo, elle est
fondamentalement modifiée ;o).
aie !
je sens qu'on tient le bout d'une longue et interminable enfilade ;-)
--
http://olivier.2a.free.fr/
pas de turlututu. apres l'@robase
parce que le distinguo entre image naturelle et modifiée va devenir difficile.
Pff, est-ce que la seule image naturelle n'est pas celle que tu vois devant tes yeux? A partir du moment où elle est prise dans un appareil photo, elle est fondamentalement modifiée ;o).
aie ! je sens qu'on tient le bout d'une longue et interminable enfilade ;-)
-- http://olivier.2a.free.fr/ pas de turlututu. apres l'@robase
Bour-Brown
Olivier B. a écrit ( )
je sens qu'on tient le bout d'une longue et interminable enfilade ;-)
Allez, ça roule.
A partir du moment où elle est prise dans un appareil photo, elle est fondamentalement modifiée ;o).
Dans l'absolu c'est vrai, mais en pratique si mon Lomo me sort un machin sans vignetage, distorsions et bavures en bord de champ, moi je râle, y a quand même un minimum de rawlité (ou de brutalité si tu préfères) qu'un photographe honnête attend de son appareil, non mais !
Olivier B. a écrit
( 0mge4314vheh8eb7rmo1t6vp34q5tthikh@4ax.com )
je sens qu'on tient le bout d'une longue et interminable enfilade ;-)
Allez, ça roule.
A partir du moment où elle est prise dans un appareil photo, elle est
fondamentalement modifiée ;o).
Dans l'absolu c'est vrai, mais en pratique si mon Lomo me sort un machin
sans vignetage, distorsions et bavures en bord de champ, moi je râle, y a
quand même un minimum de rawlité (ou de brutalité si tu préfères) qu'un
photographe honnête attend de son appareil, non mais !
je sens qu'on tient le bout d'une longue et interminable enfilade ;-)
Allez, ça roule.
A partir du moment où elle est prise dans un appareil photo, elle est fondamentalement modifiée ;o).
Dans l'absolu c'est vrai, mais en pratique si mon Lomo me sort un machin sans vignetage, distorsions et bavures en bord de champ, moi je râle, y a quand même un minimum de rawlité (ou de brutalité si tu préfères) qu'un photographe honnête attend de son appareil, non mais !