(defvar jp-menu nil
"menu pour jp-mode")(setq jp-menu
'("jp"
["jp1" end-of-line t]))
J'ai effectivement un peu de mal avec les définitions du genre:
"declarer telle variable <<nil>>" et "si elle est <<nil>> faire celà
Il y a qq chose de tautologique là dedans
(defvar jp-menu nil
"menu pour jp-mode")
(setq jp-menu
'("jp"
["jp1" end-of-line t]))
J'ai effectivement un peu de mal avec les définitions du genre:
"declarer telle variable <<nil>>" et "si elle est <<nil>> faire celà
Il y a qq chose de tautologique là dedans
(defvar jp-menu nil
"menu pour jp-mode")(setq jp-menu
'("jp"
["jp1" end-of-line t]))
J'ai effectivement un peu de mal avec les définitions du genre:
"declarer telle variable <<nil>>" et "si elle est <<nil>> faire celà
Il y a qq chose de tautologique là dedans
Bonjour,
Pour les licences, c'est facile : a priori chaque
programme. Pour faire des choses claires et generaliser
la pratique, la FSF (free software foundation) propose
que les programmes passent sous licence soit GPL
(General Public Licence : droit d'utiliser, de modifier,
d'etendre tant que l'auteur reste connu, les modifications
claires, que la license est reconduite
et que l'utilisation est non commerciale.
Aussi interdiction de vendre ce produit ou tout *derive*.
Mais on a droit de vendre un cd qui contient un installateur de ces
logiciels), soit LGPL (Light GPL
qui autorise les produits commerciaux a utiliser ce logiciel :
typiquement un developpeur veut pouvoir vendre une jolie interface
graphique pour un logiciel libre. Inutile pour les modes qui aident
a utiliser des logiciels commerciaux, comme le tien). La tendance
actuelle veut que l'on passe les gros trucs en LGPL et les petits
utilitaires en GPL.
Il s'agit de limiter les activites commerciales
(1) a la distribution ou elles sont bienvenues
(2) aux logiciels terminaux dont l'aspect proprietaire ne bloquera
pas l'evolution globale
(3) aux activites industrielles [informatique proprietaire interne a
une grosse structure : si ils veulent gerer leur evolution, c'est
leur probleme].
Un Google sur FSF et GPL devrait suffir.
Bonjour,
Pour les licences, c'est facile : a priori chaque
programme. Pour faire des choses claires et generaliser
la pratique, la FSF (free software foundation) propose
que les programmes passent sous licence soit GPL
(General Public Licence : droit d'utiliser, de modifier,
d'etendre tant que l'auteur reste connu, les modifications
claires, que la license est reconduite
et que l'utilisation est non commerciale.
Aussi interdiction de vendre ce produit ou tout *derive*.
Mais on a droit de vendre un cd qui contient un installateur de ces
logiciels), soit LGPL (Light GPL
qui autorise les produits commerciaux a utiliser ce logiciel :
typiquement un developpeur veut pouvoir vendre une jolie interface
graphique pour un logiciel libre. Inutile pour les modes qui aident
a utiliser des logiciels commerciaux, comme le tien). La tendance
actuelle veut que l'on passe les gros trucs en LGPL et les petits
utilitaires en GPL.
Il s'agit de limiter les activites commerciales
(1) a la distribution ou elles sont bienvenues
(2) aux logiciels terminaux dont l'aspect proprietaire ne bloquera
pas l'evolution globale
(3) aux activites industrielles [informatique proprietaire interne a
une grosse structure : si ils veulent gerer leur evolution, c'est
leur probleme].
Un Google sur FSF et GPL devrait suffir.
Bonjour,
Pour les licences, c'est facile : a priori chaque
programme. Pour faire des choses claires et generaliser
la pratique, la FSF (free software foundation) propose
que les programmes passent sous licence soit GPL
(General Public Licence : droit d'utiliser, de modifier,
d'etendre tant que l'auteur reste connu, les modifications
claires, que la license est reconduite
et que l'utilisation est non commerciale.
Aussi interdiction de vendre ce produit ou tout *derive*.
Mais on a droit de vendre un cd qui contient un installateur de ces
logiciels), soit LGPL (Light GPL
qui autorise les produits commerciaux a utiliser ce logiciel :
typiquement un developpeur veut pouvoir vendre une jolie interface
graphique pour un logiciel libre. Inutile pour les modes qui aident
a utiliser des logiciels commerciaux, comme le tien). La tendance
actuelle veut que l'on passe les gros trucs en LGPL et les petits
utilitaires en GPL.
Il s'agit de limiter les activites commerciales
(1) a la distribution ou elles sont bienvenues
(2) aux logiciels terminaux dont l'aspect proprietaire ne bloquera
pas l'evolution globale
(3) aux activites industrielles [informatique proprietaire interne a
une grosse structure : si ils veulent gerer leur evolution, c'est
leur probleme].
Un Google sur FSF et GPL devrait suffir.
Bonjour,
Pour les licences, c'est facile : a priori chaque
programme. Pour faire des choses claires et generaliser
la pratique, la FSF (free software foundation) propose
que les programmes passent sous licence soit GPL
(General Public Licence : droit d'utiliser, de modifier,
d'etendre tant que l'auteur reste connu, les modifications
claires, que la license est reconduite et que l'utilisation
est non commerciale.
Aussi interdiction de vendre ce produit ou tout *derive*.
Mais on a droit de vendre un cd qui contient
un installateur de ces logiciels), soit LGPL (Light GPL qui
autorise les produits commerciaux a utiliser ce logiciel :
typiquement un developpeur veut pouvoir vendre une jolie
interface graphique pour un logiciel libre. Inutile pour les
modes qui aident a utiliser des logiciels commerciaux, comme
le tien).
La tendance actuelle veut que l'on passe les gros trucs
en LGPL et les petits utilitaires en GPL. Il s'agit de
limiter les activites commerciales (1) a la distribution
ou elles sont bienvenues (2) aux logiciels terminaux dont
l'aspect proprietaire ne bloquera pas l'evolution globale
(3) aux activites industrielles [informatique proprietaire
interne a une grosse structure : si ils veulent gerer leur
evolution, c'est leur probleme].
Bonjour,
Pour les licences, c'est facile : a priori chaque
programme. Pour faire des choses claires et generaliser
la pratique, la FSF (free software foundation) propose
que les programmes passent sous licence soit GPL
(General Public Licence : droit d'utiliser, de modifier,
d'etendre tant que l'auteur reste connu, les modifications
claires, que la license est reconduite et que l'utilisation
est non commerciale.
Aussi interdiction de vendre ce produit ou tout *derive*.
Mais on a droit de vendre un cd qui contient
un installateur de ces logiciels), soit LGPL (Light GPL qui
autorise les produits commerciaux a utiliser ce logiciel :
typiquement un developpeur veut pouvoir vendre une jolie
interface graphique pour un logiciel libre. Inutile pour les
modes qui aident a utiliser des logiciels commerciaux, comme
le tien).
La tendance actuelle veut que l'on passe les gros trucs
en LGPL et les petits utilitaires en GPL. Il s'agit de
limiter les activites commerciales (1) a la distribution
ou elles sont bienvenues (2) aux logiciels terminaux dont
l'aspect proprietaire ne bloquera pas l'evolution globale
(3) aux activites industrielles [informatique proprietaire
interne a une grosse structure : si ils veulent gerer leur
evolution, c'est leur probleme].
Bonjour,
Pour les licences, c'est facile : a priori chaque
programme. Pour faire des choses claires et generaliser
la pratique, la FSF (free software foundation) propose
que les programmes passent sous licence soit GPL
(General Public Licence : droit d'utiliser, de modifier,
d'etendre tant que l'auteur reste connu, les modifications
claires, que la license est reconduite et que l'utilisation
est non commerciale.
Aussi interdiction de vendre ce produit ou tout *derive*.
Mais on a droit de vendre un cd qui contient
un installateur de ces logiciels), soit LGPL (Light GPL qui
autorise les produits commerciaux a utiliser ce logiciel :
typiquement un developpeur veut pouvoir vendre une jolie
interface graphique pour un logiciel libre. Inutile pour les
modes qui aident a utiliser des logiciels commerciaux, comme
le tien).
La tendance actuelle veut que l'on passe les gros trucs
en LGPL et les petits utilitaires en GPL. Il s'agit de
limiter les activites commerciales (1) a la distribution
ou elles sont bienvenues (2) aux logiciels terminaux dont
l'aspect proprietaire ne bloquera pas l'evolution globale
(3) aux activites industrielles [informatique proprietaire
interne a une grosse structure : si ils veulent gerer leur
evolution, c'est leur probleme].
Quand je lis les réponses à la question que j'ai posée, et bien, je ne
comprends plus ma question!
Quand je lis les réponses à la question que j'ai posée, et bien, je ne
comprends plus ma question!
Quand je lis les réponses à la question que j'ai posée, et bien, je ne
comprends plus ma question!
Il n'y a aucune contrainte sur l'utilisation. On peux utiliser un
produit sous GPL pour ce que l'on veux, y compris pour des
utilisations commerciales.
La tendance actuelle veut que l'on passe les gros trucs
en LGPL et les petits utilitaires en GPL. Il s'agit de
limiter les activites commerciales (1) a la distribution
ou elles sont bienvenues (2) aux logiciels terminaux dont
l'aspect proprietaire ne bloquera pas l'evolution globale
(3) aux activites industrielles [informatique proprietaire
interne a une grosse structure : si ils veulent gerer leur
evolution, c'est leur probleme].
Vous mélangez propriétaire et commerciales.
la FSF ne s'oppose en aucun
cas au application commerciales. Ce que la FSF n'aime pas se sont les
codes propriétaire ie fermé.
Par contre, s'il s'agit d'un mode Emacs (c'est ça ? j'ai pas lu le
début du thread, mais vu où je suis...) je me demande si le fait que
Emacs soit sous GPL n'oblige pas toute personne faisant un mode pour
Emacs de le distribuer sous GPL. En effet d'une certaine façons le
mode Emacs est une modification de Emacs, et donc couvert par la GPL.
Il n'y a aucune contrainte sur l'utilisation. On peux utiliser un
produit sous GPL pour ce que l'on veux, y compris pour des
utilisations commerciales.
La tendance actuelle veut que l'on passe les gros trucs
en LGPL et les petits utilitaires en GPL. Il s'agit de
limiter les activites commerciales (1) a la distribution
ou elles sont bienvenues (2) aux logiciels terminaux dont
l'aspect proprietaire ne bloquera pas l'evolution globale
(3) aux activites industrielles [informatique proprietaire
interne a une grosse structure : si ils veulent gerer leur
evolution, c'est leur probleme].
Vous mélangez propriétaire et commerciales.
la FSF ne s'oppose en aucun
cas au application commerciales. Ce que la FSF n'aime pas se sont les
codes propriétaire ie fermé.
Par contre, s'il s'agit d'un mode Emacs (c'est ça ? j'ai pas lu le
début du thread, mais vu où je suis...) je me demande si le fait que
Emacs soit sous GPL n'oblige pas toute personne faisant un mode pour
Emacs de le distribuer sous GPL. En effet d'une certaine façons le
mode Emacs est une modification de Emacs, et donc couvert par la GPL.
Il n'y a aucune contrainte sur l'utilisation. On peux utiliser un
produit sous GPL pour ce que l'on veux, y compris pour des
utilisations commerciales.
La tendance actuelle veut que l'on passe les gros trucs
en LGPL et les petits utilitaires en GPL. Il s'agit de
limiter les activites commerciales (1) a la distribution
ou elles sont bienvenues (2) aux logiciels terminaux dont
l'aspect proprietaire ne bloquera pas l'evolution globale
(3) aux activites industrielles [informatique proprietaire
interne a une grosse structure : si ils veulent gerer leur
evolution, c'est leur probleme].
Vous mélangez propriétaire et commerciales.
la FSF ne s'oppose en aucun
cas au application commerciales. Ce que la FSF n'aime pas se sont les
codes propriétaire ie fermé.
Par contre, s'il s'agit d'un mode Emacs (c'est ça ? j'ai pas lu le
début du thread, mais vu où je suis...) je me demande si le fait que
Emacs soit sous GPL n'oblige pas toute personne faisant un mode pour
Emacs de le distribuer sous GPL. En effet d'une certaine façons le
mode Emacs est une modification de Emacs, et donc couvert par la GPL.