J'ai une bécane un peu ancienne mais qui fonctionne bien.
Elle est équipée d'une carte vidéo NVidia Geforce FX 5200 et un écran Panasonic 1200x1600. Sous LinuxMint 17.3 (et précédente) tout
baignait avec le pilote propriétaire Nvidia-173
Je viens d'installer LinuxMint 18 (basée sur Ubuntu Xenial), et là paf !
- Plus de pilote propriétaire (on s'en fout, y'a "Nouveau")
- Mais affichage maxi en 1280x1024
Je viens de booter sur le LiveUSB avec LM 17.3, le pilote par défaut (Nouveau) effectivement affiche en 1280x1024
1) Les développeurs de Nouveau participent-il au principe d'« obsolescence programmée » ?
2) Pas moyen de bricoler pour avoir l'affichage en 1600x1200 quand même ? Sur ma bécane principale plus récente (GeForce GT 610 sur
écran 1920x1080) les pilotes propriétaire comme Nouveau affichent avec la résolution max.
--
Serge http://leserged.online.fr/
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Pascal Hambourg , dans le message <nmvcir$2khu$, a écrit :
DVI utilise la même liaison DDC et le même format EDID que VGA, non ?
En DVI-A certainement. Mais là on parle du DVI-D.
La liaison DDC existe et est utilisée aussi en DVI-D.
En numérique, le contrôleur vidéo n'a pas besoin de connaître tous les détails du timing ;
Pourquoi ? EDID ne contient pas que les timings, mais aussi les résolutions supportées que le contrôleur vidéo a besoin de connaître.
il n'est même pas sûr que ça ait un sens puisqu'il n'y a pas de balayage.
Bien sûr que si. Même s'il n'y a plus de canon à électron les pixels sont toujours transmis séquentiellement, ligne par ligne et trame par trame, et l'écran a toujours des limites d'horloges pixel, ligne et trame. Le passage en numérique ne fait que remplacer les signaux analogiques par des signaux numériques équivalents.
Le 23/07/2016 à 11:42, Nicolas George a écrit :
Pascal Hambourg , dans le message <nmvcir$2khu$1@saria.nerim.net>, a
écrit :
DVI utilise la même liaison DDC et le même format EDID que VGA, non ?
En DVI-A certainement. Mais là on parle du DVI-D.
La liaison DDC existe et est utilisée aussi en DVI-D.
En numérique, le
contrôleur vidéo n'a pas besoin de connaître tous les détails du timing ;
Pourquoi ?
EDID ne contient pas que les timings, mais aussi les résolutions
supportées que le contrôleur vidéo a besoin de connaître.
il n'est même pas sûr que ça ait un sens puisqu'il n'y a pas de balayage.
Bien sûr que si. Même s'il n'y a plus de canon à électron les pixels
sont toujours transmis séquentiellement, ligne par ligne et trame par
trame, et l'écran a toujours des limites d'horloges pixel, ligne et
trame. Le passage en numérique ne fait que remplacer les signaux
analogiques par des signaux numériques équivalents.
Pascal Hambourg , dans le message <nmvcir$2khu$, a écrit :
DVI utilise la même liaison DDC et le même format EDID que VGA, non ?
En DVI-A certainement. Mais là on parle du DVI-D.
La liaison DDC existe et est utilisée aussi en DVI-D.
En numérique, le contrôleur vidéo n'a pas besoin de connaître tous les détails du timing ;
Pourquoi ? EDID ne contient pas que les timings, mais aussi les résolutions supportées que le contrôleur vidéo a besoin de connaître.
il n'est même pas sûr que ça ait un sens puisqu'il n'y a pas de balayage.
Bien sûr que si. Même s'il n'y a plus de canon à électron les pixels sont toujours transmis séquentiellement, ligne par ligne et trame par trame, et l'écran a toujours des limites d'horloges pixel, ligne et trame. Le passage en numérique ne fait que remplacer les signaux analogiques par des signaux numériques équivalents.
Nicolas George
Pascal Hambourg , dans le message <nmveld$2l3i$, a écrit :
Bien sûr que si. Même s'il n'y a plus de canon à électron les pixels sont toujours transmis séquentiellement, ligne par ligne et trame par trame, et l'écran a toujours des limites d'horloges pixel, ligne et trame. Le passage en numérique ne fait que remplacer les signaux analogiques par des signaux numériques équivalents.
Euh, non, clairement non. Les écrans LCD sont depuis plus de quinze ans capables de faire de l'interpolation entre les pixels pour afficher une image qui n'est pas à la résolution native. J'en ai vus qui permettaient de choisir entre un affichage en vignette et un affichage interpolé. Pour parvenir à ce résultat, ils ne peuvent pas envoyer directement les signaux d'entrée aux pixels, ils doivent reconstituer l'image en mémoire pour la traiter. C'est d'ailleurs valable aussi quand la transmission entre l'ordinateur et le moniteur est analogique. Les moniteurs modernes découplent assez complètement le signal d'entrée du signal envoyé aux pixels. En analogique, il faut bien rester compatible avec les moniteurs qui ne découplent pas. Mais en numérique, il n'y a aucune raison de ne pas concevoir un vrai protocole qui transmet l'image elle même, sans s'encombrer des faux pixels de remplissage pour les retours du pinceau. Manifestement, l'industrie a encore choisi la solution à courte vue.
Pascal Hambourg , dans le message <nmveld$2l3i$1@saria.nerim.net>, a
écrit :
Bien sûr que si. Même s'il n'y a plus de canon à électron les pixels
sont toujours transmis séquentiellement, ligne par ligne et trame par
trame, et l'écran a toujours des limites d'horloges pixel, ligne et
trame. Le passage en numérique ne fait que remplacer les signaux
analogiques par des signaux numériques équivalents.
Euh, non, clairement non.
Les écrans LCD sont depuis plus de quinze ans capables de faire de
l'interpolation entre les pixels pour afficher une image qui n'est pas à la
résolution native. J'en ai vus qui permettaient de choisir entre un
affichage en vignette et un affichage interpolé. Pour parvenir à ce
résultat, ils ne peuvent pas envoyer directement les signaux d'entrée aux
pixels, ils doivent reconstituer l'image en mémoire pour la traiter.
C'est d'ailleurs valable aussi quand la transmission entre l'ordinateur et
le moniteur est analogique. Les moniteurs modernes découplent assez
complètement le signal d'entrée du signal envoyé aux pixels.
En analogique, il faut bien rester compatible avec les moniteurs qui ne
découplent pas. Mais en numérique, il n'y a aucune raison de ne pas
concevoir un vrai protocole qui transmet l'image elle même, sans s'encombrer
des faux pixels de remplissage pour les retours du pinceau.
Manifestement, l'industrie a encore choisi la solution à courte vue.
Pascal Hambourg , dans le message <nmveld$2l3i$, a écrit :
Bien sûr que si. Même s'il n'y a plus de canon à électron les pixels sont toujours transmis séquentiellement, ligne par ligne et trame par trame, et l'écran a toujours des limites d'horloges pixel, ligne et trame. Le passage en numérique ne fait que remplacer les signaux analogiques par des signaux numériques équivalents.
Euh, non, clairement non. Les écrans LCD sont depuis plus de quinze ans capables de faire de l'interpolation entre les pixels pour afficher une image qui n'est pas à la résolution native. J'en ai vus qui permettaient de choisir entre un affichage en vignette et un affichage interpolé. Pour parvenir à ce résultat, ils ne peuvent pas envoyer directement les signaux d'entrée aux pixels, ils doivent reconstituer l'image en mémoire pour la traiter. C'est d'ailleurs valable aussi quand la transmission entre l'ordinateur et le moniteur est analogique. Les moniteurs modernes découplent assez complètement le signal d'entrée du signal envoyé aux pixels. En analogique, il faut bien rester compatible avec les moniteurs qui ne découplent pas. Mais en numérique, il n'y a aucune raison de ne pas concevoir un vrai protocole qui transmet l'image elle même, sans s'encombrer des faux pixels de remplissage pour les retours du pinceau. Manifestement, l'industrie a encore choisi la solution à courte vue.
Pascal Hambourg
Le 23/07/2016 à 12:10, Nicolas George a écrit :
Pascal Hambourg , dans le message <nmveld$2l3i$, a écrit :
Bien sûr que si. Même s'il n'y a plus de canon à électron les pixels sont toujours transmis séquentiellement, ligne par ligne et trame par trame, et l'écran a toujours des limites d'horloges pixel, ligne et trame. Le passage en numérique ne fait que remplacer les signaux analogiques par des signaux numériques équivalents.
Euh, non, clairement non.
Clairement, si. L'examen des liaisons vidéo numériques actuelles le montre.
Les écrans LCD sont depuis plus de quinze ans capables de faire de l'interpolation entre les pixels pour afficher une image qui n'est pas à la résolution native. J'en ai vus qui permettaient de choisir entre un affichage en vignette et un affichage interpolé. Pour parvenir à ce résultat, ils ne peuvent pas envoyer directement les signaux d'entrée aux pixels, ils doivent reconstituer l'image en mémoire pour la traiter.
Je ne parlais pas de traitements effectués en interne par l'écran, qui ne concernent pas le contrôleur vidéo, mais uniquement de la transmission du signal vidéo.
En analogique, il faut bien rester compatible avec les moniteurs qui ne découplent pas. Mais en numérique, il n'y a aucune raison de ne pas concevoir un vrai protocole qui transmet l'image elle même, sans s'encombrer des faux pixels de remplissage pour les retours du pinceau.
Note que les lignes non affichées de "retour du pinceau" ont ultérieurement permis d'y loger le flux audio de la liaison HDMI, comme elles avaient permis de transmettre les informations de teletexte ou l'audio numérique dans le signal TV analogique.
Le 23/07/2016 à 12:10, Nicolas George a écrit :
Pascal Hambourg , dans le message <nmveld$2l3i$1@saria.nerim.net>, a
écrit :
Bien sûr que si. Même s'il n'y a plus de canon à électron les pixels
sont toujours transmis séquentiellement, ligne par ligne et trame par
trame, et l'écran a toujours des limites d'horloges pixel, ligne et
trame. Le passage en numérique ne fait que remplacer les signaux
analogiques par des signaux numériques équivalents.
Euh, non, clairement non.
Clairement, si. L'examen des liaisons vidéo numériques actuelles le montre.
Les écrans LCD sont depuis plus de quinze ans capables de faire de
l'interpolation entre les pixels pour afficher une image qui n'est pas à la
résolution native. J'en ai vus qui permettaient de choisir entre un
affichage en vignette et un affichage interpolé. Pour parvenir à ce
résultat, ils ne peuvent pas envoyer directement les signaux d'entrée aux
pixels, ils doivent reconstituer l'image en mémoire pour la traiter.
Je ne parlais pas de traitements effectués en interne par l'écran, qui
ne concernent pas le contrôleur vidéo, mais uniquement de la
transmission du signal vidéo.
En analogique, il faut bien rester compatible avec les moniteurs qui ne
découplent pas. Mais en numérique, il n'y a aucune raison de ne pas
concevoir un vrai protocole qui transmet l'image elle même, sans s'encombrer
des faux pixels de remplissage pour les retours du pinceau.
Note que les lignes non affichées de "retour du pinceau" ont
ultérieurement permis d'y loger le flux audio de la liaison HDMI, comme
elles avaient permis de transmettre les informations de teletexte ou
l'audio numérique dans le signal TV analogique.
Pascal Hambourg , dans le message <nmveld$2l3i$, a écrit :
Bien sûr que si. Même s'il n'y a plus de canon à électron les pixels sont toujours transmis séquentiellement, ligne par ligne et trame par trame, et l'écran a toujours des limites d'horloges pixel, ligne et trame. Le passage en numérique ne fait que remplacer les signaux analogiques par des signaux numériques équivalents.
Euh, non, clairement non.
Clairement, si. L'examen des liaisons vidéo numériques actuelles le montre.
Les écrans LCD sont depuis plus de quinze ans capables de faire de l'interpolation entre les pixels pour afficher une image qui n'est pas à la résolution native. J'en ai vus qui permettaient de choisir entre un affichage en vignette et un affichage interpolé. Pour parvenir à ce résultat, ils ne peuvent pas envoyer directement les signaux d'entrée aux pixels, ils doivent reconstituer l'image en mémoire pour la traiter.
Je ne parlais pas de traitements effectués en interne par l'écran, qui ne concernent pas le contrôleur vidéo, mais uniquement de la transmission du signal vidéo.
En analogique, il faut bien rester compatible avec les moniteurs qui ne découplent pas. Mais en numérique, il n'y a aucune raison de ne pas concevoir un vrai protocole qui transmet l'image elle même, sans s'encombrer des faux pixels de remplissage pour les retours du pinceau.
Note que les lignes non affichées de "retour du pinceau" ont ultérieurement permis d'y loger le flux audio de la liaison HDMI, comme elles avaient permis de transmettre les informations de teletexte ou l'audio numérique dans le signal TV analogique.