On peut surtout ajouter l'utilisation de radios VHF, celle qui équipe
tous les navires du monde, tout à fait librement si la puissance est
inférieure à 6 watt.
De ce fait il devient impensable qu'un bateau navigant en cotier (la
plupart des bateaux à moteur de plaisance) ne soit pas équipé d'un tel
appareil...
le seul qui puisse émettre et recevoir un SOS en mer.
On peut surtout ajouter l'utilisation de radios VHF, celle qui équipe
tous les navires du monde, tout à fait librement si la puissance est
inférieure à 6 watt.
De ce fait il devient impensable qu'un bateau navigant en cotier (la
plupart des bateaux à moteur de plaisance) ne soit pas équipé d'un tel
appareil...
le seul qui puisse émettre et recevoir un SOS en mer.
On peut surtout ajouter l'utilisation de radios VHF, celle qui équipe
tous les navires du monde, tout à fait librement si la puissance est
inférieure à 6 watt.
De ce fait il devient impensable qu'un bateau navigant en cotier (la
plupart des bateaux à moteur de plaisance) ne soit pas équipé d'un tel
appareil...
le seul qui puisse émettre et recevoir un SOS en mer.
moisse a écrit :On peut surtout ajouter l'utilisation de radios VHF, celle qui équipe tous
les navires du monde, tout à fait librement si la puissance est inférieure
à 6 watt.
Tel qu'indiqué, sûrement pas.
Seuls les postes *portatifs* (donc qui n'équipent pas les navires), non ASN
(pas équipés d'un appel sélectif numérique), dont la puissance n'excède pas 6
Watt et utilisés dans les eaux territoriales maritimes et les eaux
intérieures françaises sont autorisés (ceci exclut un usage à terre).
http://www.anfr.fr/fileadmin/mediatheque/documents/radiomaritime/VHF_plaquette_DGITM_%20ANFR_201103.pdf
Toute autre installation marine nécessite une licence d'utilisation.
http://www.anfr.fr/fr/autorisations-certificats/radiomaritime/questions-reponses.html
Question :
« Pourquoi faut-il une licence ?
R :
Un navire peut avoir vocation à circuler sur toutes les mers et océans : pour
cela, ses installations radioélectriques et les documents administratifs qui
s'y rapportent doivent être conformes au droit international.
Le Règlement des radiocommunications (RR) de l'Union internationale des
télécommunications (UIT) dont la France est membre stipule dans son article
18.1 : « Aucune station d'émission ne peut être établie ou exploitée par un
particulier, ou par une entreprise quelconque, sans une licence délivrée sous
une forme appropriée et en conformité avec les dispositions du présent
règlement par le gouvernement ou au nom du gouvernement du pays dont relève
la station en question ». Cet article est traduit en droit français par
l'article L 41-1 du code des postes et des communications électroniques.
La licence mentionne de façon précise l'état signalétique de la station, y
compris son nom, son indicatif d'appel et les caractéristiques générales de
l'installation (art 18.6 du RR).
La licence attribue l'indicatif d'appel suivant une codification imposée par
l'UIT (art 19 du RR). L'indicatif est unique pour un navire et tous les
équipements embarqués sur celui-ci ont le même indicatif. Il en est de même
pour le MMSI attribué pour Inmarsat, l'ASN, l'AIS et les balises
COSPAS-SARSAT. L'indicatif d'appel et le MMSI sont toujours liés au navire,
même en cas de changement de propriétaire. »
Question :
« J'ai acheté une VHF pour mon bateau. Comme c'est un moyen de communication
pratique, je voudrais m'en servir lorsque je voyage en 4x4.
R :
Il est interdit d'utiliser une VHF marine dans les terres car cela peut
perturber le fonctionnement des réseaux de radio professionnelle tels ceux
des ambulances. Une utilisation de fréquences non-conformes et sans
autorisation est une infraction pénale sanctionnée par l'article L 39-1 du
code des postes et des communications électroniques. »De ce fait il devient impensable qu'un bateau navigant en cotier (la
plupart des bateaux à moteur de plaisance) ne soit pas équipé d'un tel
appareil...
Disons qu'il est raisonnable que le plaisancier en soit équipé.
Du point de vue technique et juridique, un poste portatif ("talkie-walkie")
n'équipe pas le navire.le seul qui puisse émettre et recevoir un SOS en mer.
- le seul qui puisse émettre sur des canaux marine sans que son utilisateur
soit tenu de posséder une licence.
- mais évidemment pas le seul modèle qui puisse recevoir un SOS, et
heureusement ! ;)
moisse a écrit :
On peut surtout ajouter l'utilisation de radios VHF, celle qui équipe tous
les navires du monde, tout à fait librement si la puissance est inférieure
à 6 watt.
Tel qu'indiqué, sûrement pas.
Seuls les postes *portatifs* (donc qui n'équipent pas les navires), non ASN
(pas équipés d'un appel sélectif numérique), dont la puissance n'excède pas 6
Watt et utilisés dans les eaux territoriales maritimes et les eaux
intérieures françaises sont autorisés (ceci exclut un usage à terre).
http://www.anfr.fr/fileadmin/mediatheque/documents/radiomaritime/VHF_plaquette_DGITM_%20ANFR_201103.pdf
Toute autre installation marine nécessite une licence d'utilisation.
http://www.anfr.fr/fr/autorisations-certificats/radiomaritime/questions-reponses.html
Question :
« Pourquoi faut-il une licence ?
R :
Un navire peut avoir vocation à circuler sur toutes les mers et océans : pour
cela, ses installations radioélectriques et les documents administratifs qui
s'y rapportent doivent être conformes au droit international.
Le Règlement des radiocommunications (RR) de l'Union internationale des
télécommunications (UIT) dont la France est membre stipule dans son article
18.1 : « Aucune station d'émission ne peut être établie ou exploitée par un
particulier, ou par une entreprise quelconque, sans une licence délivrée sous
une forme appropriée et en conformité avec les dispositions du présent
règlement par le gouvernement ou au nom du gouvernement du pays dont relève
la station en question ». Cet article est traduit en droit français par
l'article L 41-1 du code des postes et des communications électroniques.
La licence mentionne de façon précise l'état signalétique de la station, y
compris son nom, son indicatif d'appel et les caractéristiques générales de
l'installation (art 18.6 du RR).
La licence attribue l'indicatif d'appel suivant une codification imposée par
l'UIT (art 19 du RR). L'indicatif est unique pour un navire et tous les
équipements embarqués sur celui-ci ont le même indicatif. Il en est de même
pour le MMSI attribué pour Inmarsat, l'ASN, l'AIS et les balises
COSPAS-SARSAT. L'indicatif d'appel et le MMSI sont toujours liés au navire,
même en cas de changement de propriétaire. »
Question :
« J'ai acheté une VHF pour mon bateau. Comme c'est un moyen de communication
pratique, je voudrais m'en servir lorsque je voyage en 4x4.
R :
Il est interdit d'utiliser une VHF marine dans les terres car cela peut
perturber le fonctionnement des réseaux de radio professionnelle tels ceux
des ambulances. Une utilisation de fréquences non-conformes et sans
autorisation est une infraction pénale sanctionnée par l'article L 39-1 du
code des postes et des communications électroniques. »
De ce fait il devient impensable qu'un bateau navigant en cotier (la
plupart des bateaux à moteur de plaisance) ne soit pas équipé d'un tel
appareil...
Disons qu'il est raisonnable que le plaisancier en soit équipé.
Du point de vue technique et juridique, un poste portatif ("talkie-walkie")
n'équipe pas le navire.
le seul qui puisse émettre et recevoir un SOS en mer.
- le seul qui puisse émettre sur des canaux marine sans que son utilisateur
soit tenu de posséder une licence.
- mais évidemment pas le seul modèle qui puisse recevoir un SOS, et
heureusement ! ;)
moisse a écrit :On peut surtout ajouter l'utilisation de radios VHF, celle qui équipe tous
les navires du monde, tout à fait librement si la puissance est inférieure
à 6 watt.
Tel qu'indiqué, sûrement pas.
Seuls les postes *portatifs* (donc qui n'équipent pas les navires), non ASN
(pas équipés d'un appel sélectif numérique), dont la puissance n'excède pas 6
Watt et utilisés dans les eaux territoriales maritimes et les eaux
intérieures françaises sont autorisés (ceci exclut un usage à terre).
http://www.anfr.fr/fileadmin/mediatheque/documents/radiomaritime/VHF_plaquette_DGITM_%20ANFR_201103.pdf
Toute autre installation marine nécessite une licence d'utilisation.
http://www.anfr.fr/fr/autorisations-certificats/radiomaritime/questions-reponses.html
Question :
« Pourquoi faut-il une licence ?
R :
Un navire peut avoir vocation à circuler sur toutes les mers et océans : pour
cela, ses installations radioélectriques et les documents administratifs qui
s'y rapportent doivent être conformes au droit international.
Le Règlement des radiocommunications (RR) de l'Union internationale des
télécommunications (UIT) dont la France est membre stipule dans son article
18.1 : « Aucune station d'émission ne peut être établie ou exploitée par un
particulier, ou par une entreprise quelconque, sans une licence délivrée sous
une forme appropriée et en conformité avec les dispositions du présent
règlement par le gouvernement ou au nom du gouvernement du pays dont relève
la station en question ». Cet article est traduit en droit français par
l'article L 41-1 du code des postes et des communications électroniques.
La licence mentionne de façon précise l'état signalétique de la station, y
compris son nom, son indicatif d'appel et les caractéristiques générales de
l'installation (art 18.6 du RR).
La licence attribue l'indicatif d'appel suivant une codification imposée par
l'UIT (art 19 du RR). L'indicatif est unique pour un navire et tous les
équipements embarqués sur celui-ci ont le même indicatif. Il en est de même
pour le MMSI attribué pour Inmarsat, l'ASN, l'AIS et les balises
COSPAS-SARSAT. L'indicatif d'appel et le MMSI sont toujours liés au navire,
même en cas de changement de propriétaire. »
Question :
« J'ai acheté une VHF pour mon bateau. Comme c'est un moyen de communication
pratique, je voudrais m'en servir lorsque je voyage en 4x4.
R :
Il est interdit d'utiliser une VHF marine dans les terres car cela peut
perturber le fonctionnement des réseaux de radio professionnelle tels ceux
des ambulances. Une utilisation de fréquences non-conformes et sans
autorisation est une infraction pénale sanctionnée par l'article L 39-1 du
code des postes et des communications électroniques. »De ce fait il devient impensable qu'un bateau navigant en cotier (la
plupart des bateaux à moteur de plaisance) ne soit pas équipé d'un tel
appareil...
Disons qu'il est raisonnable que le plaisancier en soit équipé.
Du point de vue technique et juridique, un poste portatif ("talkie-walkie")
n'équipe pas le navire.le seul qui puisse émettre et recevoir un SOS en mer.
- le seul qui puisse émettre sur des canaux marine sans que son utilisateur
soit tenu de posséder une licence.
- mais évidemment pas le seul modèle qui puisse recevoir un SOS, et
heureusement ! ;)
Pierre-Paul :
Toute autre installation marine nécessite une licence d'utilisation.
http://www.anfr.fr/fr/autorisations-certificats/radiomaritime/questions-reponses.html
Là encore il y a confusion entre l'appareil et son opérateur.
Même pour une petite VHF inférieure à 6 watt, il faut une licence qui
est automatiquement renouvellée chaque année, et qui identifie aussi
bien la station que le nom du bateau (sic).
Même si son utilisation n'oblige plus l'opérateur à justfier d'un
certificat d'aptitude, sa possession nécessite une déclaration à l'ANFR.
Pierre-Paul :
Toute autre installation marine nécessite une licence d'utilisation.
http://www.anfr.fr/fr/autorisations-certificats/radiomaritime/questions-reponses.html
Là encore il y a confusion entre l'appareil et son opérateur.
Même pour une petite VHF inférieure à 6 watt, il faut une licence qui
est automatiquement renouvellée chaque année, et qui identifie aussi
bien la station que le nom du bateau (sic).
Même si son utilisation n'oblige plus l'opérateur à justfier d'un
certificat d'aptitude, sa possession nécessite une déclaration à l'ANFR.
Pierre-Paul :
Toute autre installation marine nécessite une licence d'utilisation.
http://www.anfr.fr/fr/autorisations-certificats/radiomaritime/questions-reponses.html
Là encore il y a confusion entre l'appareil et son opérateur.
Même pour une petite VHF inférieure à 6 watt, il faut une licence qui
est automatiquement renouvellée chaque année, et qui identifie aussi
bien la station que le nom du bateau (sic).
Même si son utilisation n'oblige plus l'opérateur à justfier d'un
certificat d'aptitude, sa possession nécessite une déclaration à l'ANFR.
moisse a écrit :
>> Pierre-Paul :Toute autre installation marine nécessite une licence d'utilisation.
http://www.anfr.fr/fr/autorisations-certificats/radiomaritime/questions-reponses.htmlLà encore il y a confusion entre l'appareil et son opérateur.
Même pour une petite VHF inférieure à 6 watt, il faut une licence qui est
automatiquement renouvellée chaque année, et qui identifie aussi bien la
station que le nom du bateau (sic).
Même si son utilisation n'oblige plus l'opérateur à justfier d'un
certificat d'aptitude, sa possession nécessite une déclaration à l'ANFR.
Puis-je vous suggérer de réactualiser vos connaissances en la matière ?
Les informations que j'ai indiquées proviennent justement de l'Anfr... :)
(Regardez l'url du site indiqué ci-dessus).
moisse a écrit :
>> Pierre-Paul :
Toute autre installation marine nécessite une licence d'utilisation.
http://www.anfr.fr/fr/autorisations-certificats/radiomaritime/questions-reponses.html
Là encore il y a confusion entre l'appareil et son opérateur.
Même pour une petite VHF inférieure à 6 watt, il faut une licence qui est
automatiquement renouvellée chaque année, et qui identifie aussi bien la
station que le nom du bateau (sic).
Même si son utilisation n'oblige plus l'opérateur à justfier d'un
certificat d'aptitude, sa possession nécessite une déclaration à l'ANFR.
Puis-je vous suggérer de réactualiser vos connaissances en la matière ?
Les informations que j'ai indiquées proviennent justement de l'Anfr... :)
(Regardez l'url du site indiqué ci-dessus).
moisse a écrit :
>> Pierre-Paul :Toute autre installation marine nécessite une licence d'utilisation.
http://www.anfr.fr/fr/autorisations-certificats/radiomaritime/questions-reponses.htmlLà encore il y a confusion entre l'appareil et son opérateur.
Même pour une petite VHF inférieure à 6 watt, il faut une licence qui est
automatiquement renouvellée chaque année, et qui identifie aussi bien la
station que le nom du bateau (sic).
Même si son utilisation n'oblige plus l'opérateur à justfier d'un
certificat d'aptitude, sa possession nécessite une déclaration à l'ANFR.
Puis-je vous suggérer de réactualiser vos connaissances en la matière ?
Les informations que j'ai indiquées proviennent justement de l'Anfr... :)
(Regardez l'url du site indiqué ci-dessus).
Bonjour,
Je ne vois pas ce qu'il y a de contradictoire avec les informations données
précédemment. Le seul changement date de mars 2011 et autorise l'utilisation
*sans licence* de certains postes VHF *portatifs*. Pour des postes portatifs
de catégorie supérieure ET pour le matériel équipant le *navire*, la licence
reste obligatoire.
Bonjour,
Je ne vois pas ce qu'il y a de contradictoire avec les informations données
précédemment. Le seul changement date de mars 2011 et autorise l'utilisation
*sans licence* de certains postes VHF *portatifs*. Pour des postes portatifs
de catégorie supérieure ET pour le matériel équipant le *navire*, la licence
reste obligatoire.
Bonjour,
Je ne vois pas ce qu'il y a de contradictoire avec les informations données
précédemment. Le seul changement date de mars 2011 et autorise l'utilisation
*sans licence* de certains postes VHF *portatifs*. Pour des postes portatifs
de catégorie supérieure ET pour le matériel équipant le *navire*, la licence
reste obligatoire.
Bis repetita : la licence est obligatoire pour la détention d'une
station VHF quelqu'en soit la puissance.
Il s'agit d'une autorisation administrative attachée à la possession
d'un dispositif.
Par contre lorsque la puissance est inférieure à 6 watt, l'utilisateur
n'est plus contraint de posseder le certificat restreint de
radiotéléphoniste (CRR) sur l'étendue du domaine maritime français pour
utiliser la station.
La possession du CRR reste obligatoire pour la navigation à l'étranger.
Bis repetita : la licence est obligatoire pour la détention d'une
station VHF quelqu'en soit la puissance.
Il s'agit d'une autorisation administrative attachée à la possession
d'un dispositif.
Par contre lorsque la puissance est inférieure à 6 watt, l'utilisateur
n'est plus contraint de posseder le certificat restreint de
radiotéléphoniste (CRR) sur l'étendue du domaine maritime français pour
utiliser la station.
La possession du CRR reste obligatoire pour la navigation à l'étranger.
Bis repetita : la licence est obligatoire pour la détention d'une
station VHF quelqu'en soit la puissance.
Il s'agit d'une autorisation administrative attachée à la possession
d'un dispositif.
Par contre lorsque la puissance est inférieure à 6 watt, l'utilisateur
n'est plus contraint de posseder le certificat restreint de
radiotéléphoniste (CRR) sur l'étendue du domaine maritime français pour
utiliser la station.
La possession du CRR reste obligatoire pour la navigation à l'étranger.