nan pasque j'ai pris cette photo en fermant les yeux
pendant que le gars me changeait les fenêtres ce midi...
j'affirme que c'est Octavien avec un très beau bleu.
nan pasque j'ai pris cette photo en fermant les yeux
pendant que le gars me changeait les fenêtres ce midi...
j'affirme que c'est Octavien avec un très beau bleu.
nan pasque j'ai pris cette photo en fermant les yeux
pendant que le gars me changeait les fenêtres ce midi...
j'affirme que c'est Octavien avec un très beau bleu.
"franeric" :[ snip bouillie d'italien]
c'est du rot combien ?
nan pasque j'ai pris cette photo en fermant les yeux
pendant que le gars me changeait les fenêtres ce midi...
j'affirme que c'est Octavien avec un très beau bleu.
"franeric" :
[ snip bouillie d'italien]
c'est du rot combien ?
nan pasque j'ai pris cette photo en fermant les yeux
pendant que le gars me changeait les fenêtres ce midi...
j'affirme que c'est Octavien avec un très beau bleu.
"franeric" :[ snip bouillie d'italien]
c'est du rot combien ?
nan pasque j'ai pris cette photo en fermant les yeux
pendant que le gars me changeait les fenêtres ce midi...
j'affirme que c'est Octavien avec un très beau bleu.
Alors vas-y, du concret, du tangible, puisque tu en parles, sur le plan
formel de quelle poésie s'agit-il ?
(on pourra pas dire que je ne te prends pas au sérieux, hein)
Je ne te demande pas de me prendre au sérieux, je n'ai aucune envie
d'expliquer la poésie d'Octave, car si tu n'y es pas sensible, c'est
dommage mais c'est comme ça. J'ai déjà écrit là-dessus, ici même. Disons
pour faire simple qu'un jour tu pourras peut-être découvrir qu'une
rivière dans un champ ça peut être poétique. C'est poétique, et ça n'a
ni code, ni corpus ni je ne sais quoi.
C'est ainsi.
Alors vas-y, du concret, du tangible, puisque tu en parles, sur le plan
formel de quelle poésie s'agit-il ?
(on pourra pas dire que je ne te prends pas au sérieux, hein)
Je ne te demande pas de me prendre au sérieux, je n'ai aucune envie
d'expliquer la poésie d'Octave, car si tu n'y es pas sensible, c'est
dommage mais c'est comme ça. J'ai déjà écrit là-dessus, ici même. Disons
pour faire simple qu'un jour tu pourras peut-être découvrir qu'une
rivière dans un champ ça peut être poétique. C'est poétique, et ça n'a
ni code, ni corpus ni je ne sais quoi.
C'est ainsi.
Alors vas-y, du concret, du tangible, puisque tu en parles, sur le plan
formel de quelle poésie s'agit-il ?
(on pourra pas dire que je ne te prends pas au sérieux, hein)
Je ne te demande pas de me prendre au sérieux, je n'ai aucune envie
d'expliquer la poésie d'Octave, car si tu n'y es pas sensible, c'est
dommage mais c'est comme ça. J'ai déjà écrit là-dessus, ici même. Disons
pour faire simple qu'un jour tu pourras peut-être découvrir qu'une
rivière dans un champ ça peut être poétique. C'est poétique, et ça n'a
ni code, ni corpus ni je ne sais quoi.
C'est ainsi.
"Jerome jj" wrote in message
news:4589790f$0$25936$laissons la poésie d'Octave ici, en attendant en effet qu'il trouve un
public qui saura apprécier à sa juste valeur son travail. Internet,
surtout les forums, c'est quand même très vain comme tribune ...
Balancer ça juste après avoir appelé à ignorer les attaques stériles, je
trouve ça croustillant
"Jerome jj" <photothera_boum@wanadoo.fr> wrote in message
news:4589790f$0$25936$ba4acef3@news.orange.fr...
laissons la poésie d'Octave ici, en attendant en effet qu'il trouve un
public qui saura apprécier à sa juste valeur son travail. Internet,
surtout les forums, c'est quand même très vain comme tribune ...
Balancer ça juste après avoir appelé à ignorer les attaques stériles, je
trouve ça croustillant
"Jerome jj" wrote in message
news:4589790f$0$25936$laissons la poésie d'Octave ici, en attendant en effet qu'il trouve un
public qui saura apprécier à sa juste valeur son travail. Internet,
surtout les forums, c'est quand même très vain comme tribune ...
Balancer ça juste après avoir appelé à ignorer les attaques stériles, je
trouve ça croustillant
"Jerome jj" in
news:4589c3c5$0$5107$:Alors vas-y, du concret, du tangible, puisque tu en parles, sur le plan
formel de quelle poésie s'agit-il ?
(on pourra pas dire que je ne te prends pas au sérieux, hein)
Je ne te demande pas de me prendre au sérieux, je n'ai aucune envie
d'expliquer la poésie d'Octave, car si tu n'y es pas sensible, c'est
dommage mais c'est comme ça. J'ai déjà écrit là-dessus, ici même. Disons
pour faire simple qu'un jour tu pourras peut-être découvrir qu'une
rivière dans un champ ça peut être poétique. C'est poétique, et ça n'a
ni code, ni corpus ni je ne sais quoi.
C'est ainsi.
Sauf que c'est tout simplement faux.
Car la vision artistique, poétique, etc. que l'on peut avoir d'une
rivière est sous-tendue par la réalité même de cette rivière.
Une rivière n'apparait pas dans un champ par pur hasard. Ni là plutôt
que là. Mais en fonction de la topologie des lieux, de la composition
des sous-sols, de la pluviosité générale, etc... Il y a donc bien des
codes (des lois) qui sous-tendent la formation des rivières. Et même
un corpus (oro-hydrographique) qui analyse et qui réunit ces codes.
Et vous aurez beau vous bercer d'illusions en jouant à l'humain autonome
et indépendant qui déchire sa race, vous n'échapperrez pas au fait que
votre perception de la poésie, par exemple, s'organise en codes et en
corpus, puisque le sous-jacent, ce que vous trouvez poétique, peut
lui-même se décrire en codes et en corpus.
Reste à comprendre pourquoi nous trouvons (généralement) plus belles
et plus poétiques les rivières en plein champ que, au hasard, la
décharge des égouts municipaux au même endroit, par exemple.
(autrement dit : comprendre le lien entre les codes artistiques et
les codes naturels qui les sous-tendent (que ces codes artistiques
cherchent à traduire, ou à contester, d'ailleurs. Peu importe.))
Et bien, ..on peut supposer que les codes, le corpus etc. qui se sont
constitués autour de la poésie des rivières en plein champ, etc. ont
été longtemps et durablement influencé par les codes de formation des
rivières en plein champ.
Et que, si nous avions toujours vécu au milieu des décharges d'égouts,
notre perception de la poésie aurait été sensiblement différente.
D'ailleurs, les grands centres urbains ont généré une culture artistique
et une poésie «underground», voire «trash», etc. qui se sont à leur tour
codifiées. Même les réactions à une codification jugée trop académique
(la peinture flamande traditionnelle, p.e.) ont donné lieu, une fois que
le tamis du temps à fait son oeuvre (càd: le tri entre ce qui était du
nimportkwa, et de ce qui méritait d'être retenu), à de nouveaux codes:
surréalisme, dadaïsme, cubisme, pointillisme, ...
L'art anarchique (je sens que ça ne va pas plaire à FiLH) n'existe tout
simplement pas: soit il s'organise, il se crée ses codes (et il cesse donc
d'être anarchique), soit il disparait de lui-même.
Comme l'explique Reiner ROCHLITZ (dans "Subversion et subvention :
art contemporain et argumentation esthétique") :
« c'est un aspect de notre exigence de rationalité de penser qu'une
oeuvre d'art est reconnue en fonction de critères publiquement
analysables et justifiables ».
Je vous parle de poésie, de douceur, de souvenirs, de gentillesse ... bref
"Jerome jj" <photothera_boum@wanadoo.fr> in
news:4589c3c5$0$5107$ba4acef3@news.orange.fr:
Alors vas-y, du concret, du tangible, puisque tu en parles, sur le plan
formel de quelle poésie s'agit-il ?
(on pourra pas dire que je ne te prends pas au sérieux, hein)
Je ne te demande pas de me prendre au sérieux, je n'ai aucune envie
d'expliquer la poésie d'Octave, car si tu n'y es pas sensible, c'est
dommage mais c'est comme ça. J'ai déjà écrit là-dessus, ici même. Disons
pour faire simple qu'un jour tu pourras peut-être découvrir qu'une
rivière dans un champ ça peut être poétique. C'est poétique, et ça n'a
ni code, ni corpus ni je ne sais quoi.
C'est ainsi.
Sauf que c'est tout simplement faux.
Car la vision artistique, poétique, etc. que l'on peut avoir d'une
rivière est sous-tendue par la réalité même de cette rivière.
Une rivière n'apparait pas dans un champ par pur hasard. Ni là plutôt
que là. Mais en fonction de la topologie des lieux, de la composition
des sous-sols, de la pluviosité générale, etc... Il y a donc bien des
codes (des lois) qui sous-tendent la formation des rivières. Et même
un corpus (oro-hydrographique) qui analyse et qui réunit ces codes.
Et vous aurez beau vous bercer d'illusions en jouant à l'humain autonome
et indépendant qui déchire sa race, vous n'échapperrez pas au fait que
votre perception de la poésie, par exemple, s'organise en codes et en
corpus, puisque le sous-jacent, ce que vous trouvez poétique, peut
lui-même se décrire en codes et en corpus.
Reste à comprendre pourquoi nous trouvons (généralement) plus belles
et plus poétiques les rivières en plein champ que, au hasard, la
décharge des égouts municipaux au même endroit, par exemple.
(autrement dit : comprendre le lien entre les codes artistiques et
les codes naturels qui les sous-tendent (que ces codes artistiques
cherchent à traduire, ou à contester, d'ailleurs. Peu importe.))
Et bien, ..on peut supposer que les codes, le corpus etc. qui se sont
constitués autour de la poésie des rivières en plein champ, etc. ont
été longtemps et durablement influencé par les codes de formation des
rivières en plein champ.
Et que, si nous avions toujours vécu au milieu des décharges d'égouts,
notre perception de la poésie aurait été sensiblement différente.
D'ailleurs, les grands centres urbains ont généré une culture artistique
et une poésie «underground», voire «trash», etc. qui se sont à leur tour
codifiées. Même les réactions à une codification jugée trop académique
(la peinture flamande traditionnelle, p.e.) ont donné lieu, une fois que
le tamis du temps à fait son oeuvre (càd: le tri entre ce qui était du
nimportkwa, et de ce qui méritait d'être retenu), à de nouveaux codes:
surréalisme, dadaïsme, cubisme, pointillisme, ...
L'art anarchique (je sens que ça ne va pas plaire à FiLH) n'existe tout
simplement pas: soit il s'organise, il se crée ses codes (et il cesse donc
d'être anarchique), soit il disparait de lui-même.
Comme l'explique Reiner ROCHLITZ (dans "Subversion et subvention :
art contemporain et argumentation esthétique") :
« c'est un aspect de notre exigence de rationalité de penser qu'une
oeuvre d'art est reconnue en fonction de critères publiquement
analysables et justifiables ».
Je vous parle de poésie, de douceur, de souvenirs, de gentillesse ... bref
"Jerome jj" in
news:4589c3c5$0$5107$:Alors vas-y, du concret, du tangible, puisque tu en parles, sur le plan
formel de quelle poésie s'agit-il ?
(on pourra pas dire que je ne te prends pas au sérieux, hein)
Je ne te demande pas de me prendre au sérieux, je n'ai aucune envie
d'expliquer la poésie d'Octave, car si tu n'y es pas sensible, c'est
dommage mais c'est comme ça. J'ai déjà écrit là-dessus, ici même. Disons
pour faire simple qu'un jour tu pourras peut-être découvrir qu'une
rivière dans un champ ça peut être poétique. C'est poétique, et ça n'a
ni code, ni corpus ni je ne sais quoi.
C'est ainsi.
Sauf que c'est tout simplement faux.
Car la vision artistique, poétique, etc. que l'on peut avoir d'une
rivière est sous-tendue par la réalité même de cette rivière.
Une rivière n'apparait pas dans un champ par pur hasard. Ni là plutôt
que là. Mais en fonction de la topologie des lieux, de la composition
des sous-sols, de la pluviosité générale, etc... Il y a donc bien des
codes (des lois) qui sous-tendent la formation des rivières. Et même
un corpus (oro-hydrographique) qui analyse et qui réunit ces codes.
Et vous aurez beau vous bercer d'illusions en jouant à l'humain autonome
et indépendant qui déchire sa race, vous n'échapperrez pas au fait que
votre perception de la poésie, par exemple, s'organise en codes et en
corpus, puisque le sous-jacent, ce que vous trouvez poétique, peut
lui-même se décrire en codes et en corpus.
Reste à comprendre pourquoi nous trouvons (généralement) plus belles
et plus poétiques les rivières en plein champ que, au hasard, la
décharge des égouts municipaux au même endroit, par exemple.
(autrement dit : comprendre le lien entre les codes artistiques et
les codes naturels qui les sous-tendent (que ces codes artistiques
cherchent à traduire, ou à contester, d'ailleurs. Peu importe.))
Et bien, ..on peut supposer que les codes, le corpus etc. qui se sont
constitués autour de la poésie des rivières en plein champ, etc. ont
été longtemps et durablement influencé par les codes de formation des
rivières en plein champ.
Et que, si nous avions toujours vécu au milieu des décharges d'égouts,
notre perception de la poésie aurait été sensiblement différente.
D'ailleurs, les grands centres urbains ont généré une culture artistique
et une poésie «underground», voire «trash», etc. qui se sont à leur tour
codifiées. Même les réactions à une codification jugée trop académique
(la peinture flamande traditionnelle, p.e.) ont donné lieu, une fois que
le tamis du temps à fait son oeuvre (càd: le tri entre ce qui était du
nimportkwa, et de ce qui méritait d'être retenu), à de nouveaux codes:
surréalisme, dadaïsme, cubisme, pointillisme, ...
L'art anarchique (je sens que ça ne va pas plaire à FiLH) n'existe tout
simplement pas: soit il s'organise, il se crée ses codes (et il cesse donc
d'être anarchique), soit il disparait de lui-même.
Comme l'explique Reiner ROCHLITZ (dans "Subversion et subvention :
art contemporain et argumentation esthétique") :
« c'est un aspect de notre exigence de rationalité de penser qu'une
oeuvre d'art est reconnue en fonction de critères publiquement
analysables et justifiables ».
Je vous parle de poésie, de douceur, de souvenirs, de gentillesse ... bref
reBonjour Octave,Avant de répondre, peux-tu me dire si tu as reçu le message en retour de
ton mail sur "restons ensemble", Albert ?
J'ai un doute.
Et bien je pense que oui. J'en ai reçu un où tu parles de faire avec le
medium internet, et je retiens surtout ceci :
"C'est simple, le fond et la forme sont
liés, et cela jusqu'au bout."
reBonjour Octave,
Avant de répondre, peux-tu me dire si tu as reçu le message en retour de
ton mail sur "restons ensemble", Albert ?
J'ai un doute.
Et bien je pense que oui. J'en ai reçu un où tu parles de faire avec le
medium internet, et je retiens surtout ceci :
"C'est simple, le fond et la forme sont
liés, et cela jusqu'au bout."
reBonjour Octave,Avant de répondre, peux-tu me dire si tu as reçu le message en retour de
ton mail sur "restons ensemble", Albert ?
J'ai un doute.
Et bien je pense que oui. J'en ai reçu un où tu parles de faire avec le
medium internet, et je retiens surtout ceci :
"C'est simple, le fond et la forme sont
liés, et cela jusqu'au bout."
C'est vain, parce que virtuel. Quand les gens aiment, ils font un effort,
ils achètent. Sur Internet, c'est copinage, "WOW" gratuit et sans
engagement, succès à base de "fav" sans aucune valeur. Sur Internet les
gens regardent et jugent en deux secondes, n'acceptent pas ce qui est
intimiste parce que ça n'en jette pas assez.
C'est vain, parce que virtuel. Quand les gens aiment, ils font un effort,
ils achètent. Sur Internet, c'est copinage, "WOW" gratuit et sans
engagement, succès à base de "fav" sans aucune valeur. Sur Internet les
gens regardent et jugent en deux secondes, n'acceptent pas ce qui est
intimiste parce que ça n'en jette pas assez.
C'est vain, parce que virtuel. Quand les gens aiment, ils font un effort,
ils achètent. Sur Internet, c'est copinage, "WOW" gratuit et sans
engagement, succès à base de "fav" sans aucune valeur. Sur Internet les
gens regardent et jugent en deux secondes, n'acceptent pas ce qui est
intimiste parce que ça n'en jette pas assez.
Je vous parle de poésie, de douceur, de souvenirs, de gentillesse ... bref
de choses légères et fragiles.
Vos bulldozers de la pensée ne m'émeuvent
guère en fait :)
Je vous parle de poésie, de douceur, de souvenirs, de gentillesse ... bref
de choses légères et fragiles.
Vos bulldozers de la pensée ne m'émeuvent
guère en fait :)
Je vous parle de poésie, de douceur, de souvenirs, de gentillesse ... bref
de choses légères et fragiles.
Vos bulldozers de la pensée ne m'émeuvent
guère en fait :)
A ton tour d'être dérouté... Et pourtant, avec un minimum d'effort tu
pourrais parfaitement m'interpréter. Quand je dis que tu es chez eux, comme
chez moi aussi d'ailleurs, tu es dans notre sphère de compréhension, pas dans
mon salon. C'est comme si tu parlais en polonais à des anglais, tu comprends
ce que tu dis mais eux ils vont peut-être penser que tu les traites d'idiot,
ou que c'est toi l'idiot, tu vois une autre alternative ?
Cela me fait de la peine de voir un travail en cours et qui n'avance plus
car le public se lasse de son incompréhension et répond en pointillé. Il
faudrait peut-être commencer par chercher un autre public, plus concerné et
donc plus exigeant. Accepter une vraie critique. Ici la critique vient après
avoir montré, c'est trop facile, il faudrait qu'elle vienne avant afin de
faire le tri et qu'elle te permette de construire sur des bases valables,
quitte à recommencer beaucoup de choses.
A ton tour d'être dérouté... Et pourtant, avec un minimum d'effort tu
pourrais parfaitement m'interpréter. Quand je dis que tu es chez eux, comme
chez moi aussi d'ailleurs, tu es dans notre sphère de compréhension, pas dans
mon salon. C'est comme si tu parlais en polonais à des anglais, tu comprends
ce que tu dis mais eux ils vont peut-être penser que tu les traites d'idiot,
ou que c'est toi l'idiot, tu vois une autre alternative ?
Cela me fait de la peine de voir un travail en cours et qui n'avance plus
car le public se lasse de son incompréhension et répond en pointillé. Il
faudrait peut-être commencer par chercher un autre public, plus concerné et
donc plus exigeant. Accepter une vraie critique. Ici la critique vient après
avoir montré, c'est trop facile, il faudrait qu'elle vienne avant afin de
faire le tri et qu'elle te permette de construire sur des bases valables,
quitte à recommencer beaucoup de choses.
A ton tour d'être dérouté... Et pourtant, avec un minimum d'effort tu
pourrais parfaitement m'interpréter. Quand je dis que tu es chez eux, comme
chez moi aussi d'ailleurs, tu es dans notre sphère de compréhension, pas dans
mon salon. C'est comme si tu parlais en polonais à des anglais, tu comprends
ce que tu dis mais eux ils vont peut-être penser que tu les traites d'idiot,
ou que c'est toi l'idiot, tu vois une autre alternative ?
Cela me fait de la peine de voir un travail en cours et qui n'avance plus
car le public se lasse de son incompréhension et répond en pointillé. Il
faudrait peut-être commencer par chercher un autre public, plus concerné et
donc plus exigeant. Accepter une vraie critique. Ici la critique vient après
avoir montré, c'est trop facile, il faudrait qu'elle vienne avant afin de
faire le tri et qu'elle te permette de construire sur des bases valables,
quitte à recommencer beaucoup de choses.
Si j'ai bien compris, on discute sur différents plans en même temps
puisqu'ils sont liés et sans trop savoir où on en est, cela devient
compliqué.
Il y a le plan de l'esthétique photographique, je suis très critique, je
trouve le travail superficiel, jamais approfondi. Il y a des réussites, des
choses vraiment superbes, on sent le talent du photographe, mais tout est
noyé dans une accumulation d'images sans discernement.
Il y a le plan des règles que tu t'imposes et qui vont vers les limites
où l'esthétique doit être contredite. C'est une démarche intéressante mais
elle est en contradiction avec le premier plan, d'ou la confusion que cela
entraine. On ne voit pas vraiment où tu veux en venir.
Il y a ce troisième plan que je commence à discerner, et que je te
dévoile, un peu comme si je bossais pour toi et que tu attendais justement
ce moment là où les autres définissent ton action :
Ce plan englobe les deux premiers. Il est l'ensemble : Les images, le
medium qui sert à les montrer, la situation de ce medium sur internet et
plus particulièrement la comunication qui s'en suit sur FRP.
A ce niveau de compréhension de l'oeuvre, s'il en est (désolé Franeric
mais que tu le veuilles ou non tu fais partie de l'oeuvre), j'adhère
totalement. Et je réclame un copyright pour y participer et surtout pour son
dévoilement. J'ai toujours été partisant du meta-langage qui englobe les
actions particulières en un ensemble plus vaste. Le Copyleft est trop
linéaire. Ici on participe tous en même temps. Octave nous invite dans son
oeuvre. N'ais-je pas raison ?
Tu vois, mon cher artiste qui fait des photos sur le chemin, je commence
à trouver ton oeuvre très intéressante. Le seul problème, pas encore résolu,
c'est la façon de grimper sur l'échelle avec un gros projecteur pour la
montrer à ce niveau là. Google est une sorte de projecteur, mais ce n'est
pas du tout adapté. Google est un monstre qui répertorie tout sans
discernement. Google, c'est le fascisme à l'état pur. Si on veut faire une
recherche sur l'oeuvre de Octave et en avoir la vision, le seul moyen est de
participer. Même en tapant avec discernement, on ne trouvera rien sur
Google. Ou alors, il faudrait taper "artiste maudit" mais Google n'a pas
encore répertorié ceux d'aujourd'hui.
Si j'ai bien compris, on discute sur différents plans en même temps
puisqu'ils sont liés et sans trop savoir où on en est, cela devient
compliqué.
Il y a le plan de l'esthétique photographique, je suis très critique, je
trouve le travail superficiel, jamais approfondi. Il y a des réussites, des
choses vraiment superbes, on sent le talent du photographe, mais tout est
noyé dans une accumulation d'images sans discernement.
Il y a le plan des règles que tu t'imposes et qui vont vers les limites
où l'esthétique doit être contredite. C'est une démarche intéressante mais
elle est en contradiction avec le premier plan, d'ou la confusion que cela
entraine. On ne voit pas vraiment où tu veux en venir.
Il y a ce troisième plan que je commence à discerner, et que je te
dévoile, un peu comme si je bossais pour toi et que tu attendais justement
ce moment là où les autres définissent ton action :
Ce plan englobe les deux premiers. Il est l'ensemble : Les images, le
medium qui sert à les montrer, la situation de ce medium sur internet et
plus particulièrement la comunication qui s'en suit sur FRP.
A ce niveau de compréhension de l'oeuvre, s'il en est (désolé Franeric
mais que tu le veuilles ou non tu fais partie de l'oeuvre), j'adhère
totalement. Et je réclame un copyright pour y participer et surtout pour son
dévoilement. J'ai toujours été partisant du meta-langage qui englobe les
actions particulières en un ensemble plus vaste. Le Copyleft est trop
linéaire. Ici on participe tous en même temps. Octave nous invite dans son
oeuvre. N'ais-je pas raison ?
Tu vois, mon cher artiste qui fait des photos sur le chemin, je commence
à trouver ton oeuvre très intéressante. Le seul problème, pas encore résolu,
c'est la façon de grimper sur l'échelle avec un gros projecteur pour la
montrer à ce niveau là. Google est une sorte de projecteur, mais ce n'est
pas du tout adapté. Google est un monstre qui répertorie tout sans
discernement. Google, c'est le fascisme à l'état pur. Si on veut faire une
recherche sur l'oeuvre de Octave et en avoir la vision, le seul moyen est de
participer. Même en tapant avec discernement, on ne trouvera rien sur
Google. Ou alors, il faudrait taper "artiste maudit" mais Google n'a pas
encore répertorié ceux d'aujourd'hui.
Si j'ai bien compris, on discute sur différents plans en même temps
puisqu'ils sont liés et sans trop savoir où on en est, cela devient
compliqué.
Il y a le plan de l'esthétique photographique, je suis très critique, je
trouve le travail superficiel, jamais approfondi. Il y a des réussites, des
choses vraiment superbes, on sent le talent du photographe, mais tout est
noyé dans une accumulation d'images sans discernement.
Il y a le plan des règles que tu t'imposes et qui vont vers les limites
où l'esthétique doit être contredite. C'est une démarche intéressante mais
elle est en contradiction avec le premier plan, d'ou la confusion que cela
entraine. On ne voit pas vraiment où tu veux en venir.
Il y a ce troisième plan que je commence à discerner, et que je te
dévoile, un peu comme si je bossais pour toi et que tu attendais justement
ce moment là où les autres définissent ton action :
Ce plan englobe les deux premiers. Il est l'ensemble : Les images, le
medium qui sert à les montrer, la situation de ce medium sur internet et
plus particulièrement la comunication qui s'en suit sur FRP.
A ce niveau de compréhension de l'oeuvre, s'il en est (désolé Franeric
mais que tu le veuilles ou non tu fais partie de l'oeuvre), j'adhère
totalement. Et je réclame un copyright pour y participer et surtout pour son
dévoilement. J'ai toujours été partisant du meta-langage qui englobe les
actions particulières en un ensemble plus vaste. Le Copyleft est trop
linéaire. Ici on participe tous en même temps. Octave nous invite dans son
oeuvre. N'ais-je pas raison ?
Tu vois, mon cher artiste qui fait des photos sur le chemin, je commence
à trouver ton oeuvre très intéressante. Le seul problème, pas encore résolu,
c'est la façon de grimper sur l'échelle avec un gros projecteur pour la
montrer à ce niveau là. Google est une sorte de projecteur, mais ce n'est
pas du tout adapté. Google est un monstre qui répertorie tout sans
discernement. Google, c'est le fascisme à l'état pur. Si on veut faire une
recherche sur l'oeuvre de Octave et en avoir la vision, le seul moyen est de
participer. Même en tapant avec discernement, on ne trouvera rien sur
Google. Ou alors, il faudrait taper "artiste maudit" mais Google n'a pas
encore répertorié ceux d'aujourd'hui.