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encore un jour

93 réponses
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Octave
Je sais, c'est trop.
Mais puisque c'est fait..., et c'est assez différent.

http://www.octav.fr/quotidien/06-12-09/09dec06.htm

Tous avis m'intéressent!

Octave

10 réponses

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jpw
"Stephane Legras-Decussy" a écrit

nan pasque j'ai pris cette photo en fermant les yeux
pendant que le gars me changeait les fenêtres ce midi...

j'affirme que c'est Octavien avec un très beau bleu.


non, tu as déjà une certaine culture photographique dont
octave est dépourvu et que même les yeux fermés tu as
imaginé la scène et cadré l'image culturellement !!!

Octave est encore le puceau intégral du click photographique
seul un papou de nouvelle guinée serait plus vierge
de culture photographique
et encore, s'il n'a pas été en contact avec pierre dominique gaisseau
lors de son expédition de 1960,
pour combien de temps encore ??

déjà il me semble commencer à évoluer

mais d'un autre coté on dirait d'il découvre le cinéma
à pas de géant, sautant d'un seul coup toute la période du cinéma muet .

passionant tout ça...

jpw

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Naibed
"Stephane Legras-Decussy" in
news:4589dfd6$0$19736$:


"franeric" :
[ snip bouillie d'italien]


c'est du rot combien ?


:)


[È pericoloso sporgersi]

nan pasque j'ai pris cette photo en fermant les yeux
pendant que le gars me changeait les fenêtres ce midi...


C'est à titre de précaution au cas où il serait tombé,
histoire de prouver que vous ne l'avez pas poussé ?

j'affirme que c'est Octavien avec un très beau bleu.


C'est bô.

N
--
-+---------------+-----------------+-----------------+-
Rien n'est plus beau ...(refrain connu)


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Naibed
"Jerome jj" in
news:4589c3c5$0$5107$:


Alors vas-y, du concret, du tangible, puisque tu en parles, sur le plan
formel de quelle poésie s'agit-il ?

(on pourra pas dire que je ne te prends pas au sérieux, hein)


Je ne te demande pas de me prendre au sérieux, je n'ai aucune envie
d'expliquer la poésie d'Octave, car si tu n'y es pas sensible, c'est
dommage mais c'est comme ça. J'ai déjà écrit là-dessus, ici même. Disons
pour faire simple qu'un jour tu pourras peut-être découvrir qu'une
rivière dans un champ ça peut être poétique. C'est poétique, et ça n'a
ni code, ni corpus ni je ne sais quoi.

C'est ainsi.


Sauf que c'est tout simplement faux.

Car la vision artistique, poétique, etc. que l'on peut avoir d'une
rivière est sous-tendue par la réalité même de cette rivière.

Une rivière n'apparait pas dans un champ par pur hasard. Ni là plutôt
que là. Mais en fonction de la topologie des lieux, de la composition
des sous-sols, de la pluviosité générale, etc... Il y a donc bien des
codes (des lois) qui sous-tendent la formation des rivières. Et même
un corpus (oro-hydrographique) qui analyse et qui réunit ces codes.

Et vous aurez beau vous bercer d'illusions en jouant à l'humain autonome
et indépendant qui déchire sa race, vous n'échapperrez pas au fait que
votre perception de la poésie, par exemple, s'organise en codes et en
corpus, puisque le sous-jacent, ce que vous trouvez poétique, peut
lui-même se décrire en codes et en corpus.

Reste à comprendre pourquoi nous trouvons (généralement) plus belles
et plus poétiques les rivières en plein champ que, au hasard, la
décharge des égouts municipaux au même endroit, par exemple.

(autrement dit : comprendre le lien entre les codes artistiques et
les codes naturels qui les sous-tendent (que ces codes artistiques
cherchent à traduire, ou à contester, d'ailleurs. Peu importe.))

Et bien, ..on peut supposer que les codes, le corpus etc. qui se sont
constitués autour de la poésie des rivières en plein champ, etc. ont
été longtemps et durablement influencé par les codes de formation des
rivières en plein champ.

Et que, si nous avions toujours vécu au milieu des décharges d'égouts,
notre perception de la poésie aurait été sensiblement différente.

D'ailleurs, les grands centres urbains ont généré une culture artistique
et une poésie «underground», voire «trash», etc. qui se sont à leur tour
codifiées. Même les réactions à une codification jugée trop académique
(la peinture flamande traditionnelle, p.e.) ont donné lieu, une fois que
le tamis du temps à fait son oeuvre (càd: le tri entre ce qui était du
nimportkwa, et de ce qui méritait d'être retenu), à de nouveaux codes:
surréalisme, dadaïsme, cubisme, pointillisme, ...

L'art anarchique (je sens que ça ne va pas plaire à FiLH) n'existe tout
simplement pas: soit il s'organise, il se crée ses codes (et il cesse donc
d'être anarchique), soit il disparait de lui-même.

Comme l'explique Reiner ROCHLITZ (dans "Subversion et subvention :
art contemporain et argumentation esthétique") :

« c’est un aspect de notre exigence de rationalité de penser qu’une
oeuvre d’art est reconnue en fonction de critères publiquement
analysables et justifiables ».

N
--
-+---------------+-----------------+-----------------+-
Rien n'est plus beau ...(refrain connu)


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Jerome jj
"Haroun" a écrit dans le message de news:
458a4852$
"Jerome jj" wrote in message
news:4589790f$0$25936$

laissons la poésie d'Octave ici, en attendant en effet qu'il trouve un
public qui saura apprécier à sa juste valeur son travail. Internet,
surtout les forums, c'est quand même très vain comme tribune ...


Balancer ça juste après avoir appelé à ignorer les attaques stériles, je
trouve ça croustillant


C'est vain, parce que virtuel. Quand les gens aiment, ils font un effort,
ils achètent. Sur Internet, c'est copinage, "WOW" gratuit et sans
engagement, succès à base de "fav" sans aucune valeur. Sur Internet les gens
regardent et jugent en deux secondes, n'acceptent pas ce qui est intimiste
parce que ça n'en jette pas assez.

Je ne pense pas qu'on puisse baser et faire une carrière artistique à partir
de frp. Faut être un minimum réaliste quand même. C'est un lieu d'échange et
de partage, c'est déjà pas mal, mais ne nous trompons pas de cible.
--
Jérôme


Avatar
Jerome jj
"Naibed" a écrit dans le message de news:

"Jerome jj" in
news:4589c3c5$0$5107$:


Alors vas-y, du concret, du tangible, puisque tu en parles, sur le plan
formel de quelle poésie s'agit-il ?

(on pourra pas dire que je ne te prends pas au sérieux, hein)


Je ne te demande pas de me prendre au sérieux, je n'ai aucune envie
d'expliquer la poésie d'Octave, car si tu n'y es pas sensible, c'est
dommage mais c'est comme ça. J'ai déjà écrit là-dessus, ici même. Disons
pour faire simple qu'un jour tu pourras peut-être découvrir qu'une
rivière dans un champ ça peut être poétique. C'est poétique, et ça n'a
ni code, ni corpus ni je ne sais quoi.

C'est ainsi.


Sauf que c'est tout simplement faux.

Car la vision artistique, poétique, etc. que l'on peut avoir d'une
rivière est sous-tendue par la réalité même de cette rivière.

Une rivière n'apparait pas dans un champ par pur hasard. Ni là plutôt
que là. Mais en fonction de la topologie des lieux, de la composition
des sous-sols, de la pluviosité générale, etc... Il y a donc bien des
codes (des lois) qui sous-tendent la formation des rivières. Et même
un corpus (oro-hydrographique) qui analyse et qui réunit ces codes.

Et vous aurez beau vous bercer d'illusions en jouant à l'humain autonome
et indépendant qui déchire sa race, vous n'échapperrez pas au fait que
votre perception de la poésie, par exemple, s'organise en codes et en
corpus, puisque le sous-jacent, ce que vous trouvez poétique, peut
lui-même se décrire en codes et en corpus.

Reste à comprendre pourquoi nous trouvons (généralement) plus belles
et plus poétiques les rivières en plein champ que, au hasard, la
décharge des égouts municipaux au même endroit, par exemple.

(autrement dit : comprendre le lien entre les codes artistiques et
les codes naturels qui les sous-tendent (que ces codes artistiques
cherchent à traduire, ou à contester, d'ailleurs. Peu importe.))

Et bien, ..on peut supposer que les codes, le corpus etc. qui se sont
constitués autour de la poésie des rivières en plein champ, etc. ont
été longtemps et durablement influencé par les codes de formation des
rivières en plein champ.

Et que, si nous avions toujours vécu au milieu des décharges d'égouts,
notre perception de la poésie aurait été sensiblement différente.

D'ailleurs, les grands centres urbains ont généré une culture artistique
et une poésie «underground», voire «trash», etc. qui se sont à leur tour
codifiées. Même les réactions à une codification jugée trop académique
(la peinture flamande traditionnelle, p.e.) ont donné lieu, une fois que
le tamis du temps à fait son oeuvre (càd: le tri entre ce qui était du
nimportkwa, et de ce qui méritait d'être retenu), à de nouveaux codes:
surréalisme, dadaïsme, cubisme, pointillisme, ...

L'art anarchique (je sens que ça ne va pas plaire à FiLH) n'existe tout
simplement pas: soit il s'organise, il se crée ses codes (et il cesse donc
d'être anarchique), soit il disparait de lui-même.

Comme l'explique Reiner ROCHLITZ (dans "Subversion et subvention :
art contemporain et argumentation esthétique") :

« c'est un aspect de notre exigence de rationalité de penser qu'une
oeuvre d'art est reconnue en fonction de critères publiquement
analysables et justifiables ».

Je vous parle de poésie, de douceur, de souvenirs, de gentillesse ... bref

de choses légères et fragiles. Vos bulldozers de la pensée ne m'émeuvent
guère en fait :)
--
Jérôme



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Octave
albert a présenté l'énoncé suivant :
reBonjour Octave,

Avant de répondre, peux-tu me dire si tu as reçu le message en retour de
ton mail sur "restons ensemble", Albert ?
J'ai un doute.


Et bien je pense que oui. J'en ai reçu un où tu parles de faire avec le
medium internet, et je retiens surtout ceci :

"C'est simple, le fond et la forme sont
liés, et cela jusqu'au bout."


Tu m'envoies un courrier personnel pour parler de ça, tu ne réagis pas
à ma réponse et tu me reparles du sujet sur frp ?!


Je fais un résumé de ce que je t'ai écrit, et ferai un commentaire sur
ton intervention après :

Je pense qu'il faut attaquer le medium sur lequel on est (site web,
dans
ce cas), et faire avec.
J'ai l'ambition de faire en fonction de ce medium et de faire au mieux,
sans jamais penser à une concrétisation dans une salle d'expo. La
concrétisation est bien sur le site "octav.fr".
C'est une chose trop rare encore sur le net. C'est un medium neuf,
mais on devrait être prévenu. C'est simple, le fond et la forme sont
liés, et cela jusqu'au bout.
Bon, je n'y connais pas grand chose en internet, je fais avec mes
connaissances, ça suffit pour l'instant mais j'aurais besoin de
découvrir des sites qui travaillent sur le medium (je ne surfe
pratiquement jamais, je veux dire sur ce sujet pourtant capital).


Je donne tout pour le moyen qui me permet de montrer ce que je fais.
Petit à petit, j'acquiers la maîtrise et essaye de varier tout en
restant très primaire.
Quand je fais ça, je ne pense pas à autre chose, je ne pense pas à une
autre situation, comme un mur ou un tirage.
Mais bien sûr, j'ai des idées d'utilisation de ce que je fais dans des
lieux réels, surtout quand je suis dans ces lieux et quand j'y vois des
installations.
Je peux aussi envisager aussi le livre, ce serait à travailler
spécifiquement puisqu'il ne resterait plus que l'image fixe et le
texte,
exclusivement.
Même, pour un lieu d'expo, comment présenter un "jour" qui contiendrait
du texte, des photos, des images animées et du son ? Là, sur internet,
je le fais, jusqu'à un état que je considère comme abouti. Ce ne serait
pas mieux dans une salle d'expo, peut-être plus spectaculaire, mais
est-ce que ça aurait un intérêt ?!

Octave


Avatar
albert
Bonjour,

"Jerome jj" >
C'est vain, parce que virtuel. Quand les gens aiment, ils font un effort,
ils achètent. Sur Internet, c'est copinage, "WOW" gratuit et sans
engagement, succès à base de "fav" sans aucune valeur. Sur Internet les
gens regardent et jugent en deux secondes, n'acceptent pas ce qui est
intimiste parce que ça n'en jette pas assez.


Exactly ! Sir. Et on fait un effort pour acheter, quand c'est achetable.
Comment se montent les collections de photographie ? Avec des vues d'écran ?
Peut-être qu'un jour on en arrivera là. Pourquoi pas ? Comme avec les MP3.
L'avenir de l'art est dans la consommation. Comme avec la bouffe. Mais JP
Coffe dit : Ca ne se bouffe pas ca se mange. Avec l'art, y a comme un os.

Amitiés,
albert
----------------------------------------------------------
Photographies imaginaires
http://perso.orange.fr/albert.lemoine
----------------------------------------------------------

Avatar
filh
Jerome jj wrote:
Je vous parle de poésie, de douceur, de souvenirs, de gentillesse ... bref
de choses légères et fragiles.


Ah ben avec notre cheristérik...

Vos bulldozers de la pensée ne m'émeuvent
guère en fait :)


Elle a un plus gros 4x4 que toi d'abord !

FiLH


--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org

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Octave
Il se trouve que albert a formulé :

A ton tour d'être dérouté... Et pourtant, avec un minimum d'effort tu
pourrais parfaitement m'interpréter. Quand je dis que tu es chez eux, comme
chez moi aussi d'ailleurs, tu es dans notre sphère de compréhension, pas dans
mon salon. C'est comme si tu parlais en polonais à des anglais, tu comprends
ce que tu dis mais eux ils vont peut-être penser que tu les traites d'idiot,
ou que c'est toi l'idiot, tu vois une autre alternative ?




C'est compliqué avec toi!

J'essaye de faire quelque chose de différent, je le sais. Je m'adresse
à
des personnes qui ont une certaine vision (idée) de la photo. J'essaye
de dire qu'elle est ma vision. Je sais où je suis. Je serais mieux
dans un monde plasticien, là où on ne penserait aucun mal du fait que
je
triture l'image photographique.
Mais je veux poursuivre l'expérience dans la durée. Il ne s'agit pas
d'une question de relation entre ce que je fais et un public, mais de
l'expérience de l'image photographique telle que je la mène
actuellement. Dans cette expérience j'ai besoin de border les lignes
limites de certaines esthétiques classiques, d'aller en dehors, de
garder une certaine visibilité, et ne pas être seul face à un délire
montant. Ce forum m'apporte ça et je lui en suis reconnaissant et
espère
être honnête avec tous, à ce niveau.




Cela me fait de la peine de voir un travail en cours et qui n'avance plus
car le public se lasse de son incompréhension et répond en pointillé. Il
faudrait peut-être commencer par chercher un autre public, plus concerné et
donc plus exigeant. Accepter une vraie critique. Ici la critique vient après
avoir montré, c'est trop facile, il faudrait qu'elle vienne avant afin de
faire le tri et qu'elle te permette de construire sur des bases valables,
quitte à recommencer beaucoup de choses.



Je ne sais pas si j'avance ou pas, je vais me poser sérieusement la
question.

"Accepter une vraie critique", là, je suis d'accord. (Tu pourrais peut
être essayer au lieu de me parler de vision idyllique de l'art. Je n'y
crois pas, à cette vision.)
Mais je sais que ça viendra le moment venu. Et là, j'hésite, je me dis
que rien n'est plus important que de faire, que ce n'est pas urgent.
J'hésite à casser un rythme. Je crois aussi que je peux encore avancer
grâce aux sons et surtout aux textes, mettre mieux au point ces
rapports. Et puis, je ne sais pas si j'ai envie de me prendre au
sérieux. Je rigole bien, là!

Octave

Avatar
Octave
albert avait prétendu :


Si j'ai bien compris, on discute sur différents plans en même temps
puisqu'ils sont liés et sans trop savoir où on en est, cela devient
compliqué.




Ou plus simplement, quand on construit une photo, il faudrait déjà
penser au format, à la matière du tirage, à ce qu'il y aura autour de
la
photo (cadre ou pas), au mur autour, à l'espace autour, à l'éclairage,
au public concerné, au rapport du sujet avec tous ces éléments, aux
différents contenus (politique, social, philosophique, esthétique,
etc...) et leurs rapports aux différents éléments. Pour dire que tout
est lié, qu'il faut tenter de penser le maximum possible tout en
restant
libre de choisir de laisser des hasards (je dis bien choisir) et de
laisser sa place à l'inconscient.



Il y a le plan de l'esthétique photographique, je suis très critique, je
trouve le travail superficiel, jamais approfondi. Il y a des réussites, des
choses vraiment superbes, on sent le talent du photographe, mais tout est
noyé dans une accumulation d'images sans discernement.



Ca me convient. Des choses en entrainent d'autres, je montre
l'ensemble.
Je montre comment ça se construit, comme un carnet de notes. Certaines
choses te plaisent, tu fais le tri, à toi de ne pas être parasité par
le
reste. Pourquoi pas! c'est une idée.




Il y a le plan des règles que tu t'imposes et qui vont vers les limites
où l'esthétique doit être contredite. C'est une démarche intéressante mais
elle est en contradiction avec le premier plan, d'ou la confusion que cela
entraine. On ne voit pas vraiment où tu veux en venir.



J'assume les contradictions, les hésitations, les erreurs, les marches
en arrière. Je veux montrer ça aussi, pour l'instant. Moi non plus, je
ne vois pas où je veux en venir et c'est ce vide devant moi qui
m'intéresse. Ne me le supprime pas!
Toute cette démarche titubante fait partie du truc. C'est pourquoi une
suite peut avoir une photo, une animation, un texte et un son et encore
autre chose ensuite. Pour moi, c'est à l'image de la vie, ou de la
pensée, qui vaque à ses occupations, de choses importantes à choses
insignifiantes.





Il y a ce troisième plan que je commence à discerner, et que je te
dévoile, un peu comme si je bossais pour toi et que tu attendais justement
ce moment là où les autres définissent ton action :

Ce plan englobe les deux premiers. Il est l'ensemble : Les images, le
medium qui sert à les montrer, la situation de ce medium sur internet et
plus particulièrement la comunication qui s'en suit sur FRP.

A ce niveau de compréhension de l'oeuvre, s'il en est (désolé Franeric
mais que tu le veuilles ou non tu fais partie de l'oeuvre), j'adhère
totalement. Et je réclame un copyright pour y participer et surtout pour son
dévoilement. J'ai toujours été partisant du meta-langage qui englobe les
actions particulières en un ensemble plus vaste. Le Copyleft est trop
linéaire. Ici on participe tous en même temps. Octave nous invite dans son
oeuvre. N'ais-je pas raison ?

Tu vois, mon cher artiste qui fait des photos sur le chemin, je commence
à trouver ton oeuvre très intéressante. Le seul problème, pas encore résolu,
c'est la façon de grimper sur l'échelle avec un gros projecteur pour la
montrer à ce niveau là. Google est une sorte de projecteur, mais ce n'est
pas du tout adapté. Google est un monstre qui répertorie tout sans
discernement. Google, c'est le fascisme à l'état pur. Si on veut faire une
recherche sur l'oeuvre de Octave et en avoir la vision, le seul moyen est de
participer. Même en tapant avec discernement, on ne trouvera rien sur
Google. Ou alors, il faudrait taper "artiste maudit" mais Google n'a pas
encore répertorié ceux d'aujourd'hui.




Tu vois, pas vraiment!

La communication sur ce forum est la partie analyse, elle ne fais pas
partie du site.
Je prends les meilleures discussions que je mets dans les
"commentaires"
pour mémoriser différentes pensées sur ce que je fais comme un carnet
de
notes.
Désolé pour Franeric, il ne fait pas partie de mon oeuvre!!!
Et arrête de parler d'artiste, c'est un peu ridicule. J'y reviendrai.

Octave