Je suis totalement newbie en enregistrement numérique, j'ai des sources
analogiques diverses ayant la particularité d'être enregistrées assez
fort (+2 à 3 bB au VU) avec des pics pour certaines.
Ma question, concernant la numérisation serait de savoir si cela pose un
problème d'enregistrer les bandes à un niveau faible (-20db à -12db pour
le pics) et ensuite d'augmenter numériquement le niveau pour garder les
pics en dessous de 0dB.
De cette manière, je règle le magnéto analogique à sa plus faible sortie
et je peux passer les bandes sans me soucier des pics de modulation.
Est-ce que cette méthode apporte du bruit ou pas ?
Serait-il préférable de faire les niveaux pour chaque source
analogiques en prenant le risque de saturer ?
J'avoue être bien plus à l'aise avec les niveaux de l'analogique d'où ma
question.
Autre chose aussi, faut-il enregistrer en 44, 48k ou 96K ?
je sais que la monté en fréquence d'échantillonnage apporte un plus dans
l'aigu mais encore.
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Jean-Pierre Roche
racal a écrit :
Je suis totalement newbie en enregistrement numérique, j'ai des sources analogiques diverses ayant la particularité d'être enregistrées assez fort (+2 à 3 bB au VU) avec des pics pour certaines.
Ca ne veut rien dire. Les niveaux affichés en analogique sont souvent des plus fantaisistes : faut voir quel équipement tu utilises...
Ma question, concernant la numérisation serait de savoir si cela pose un problème d'enregistrer les bandes à un niveau faible (-20db à -12db pour le pics) et ensuite d'augmenter numériquement le niveau pour garder les pics en dessous de 0dB.
? un enregistreur numérique (logiciel) est normalement capable d'afficher *avec précision* les niveaux crête. Donc il faut enregistrer avec les crêtes proches du 0 dB.
De cette manière, je règle le magnéto analogique à sa plus faible sortie et je peux passer les bandes sans me soucier des pics de modulation.
Non : la sortie du magnéto doit être au maxi (ou proche) et l'entrée réglée en conséquence pour optimiser le rapport signal/bruit.
Serait-il préférable de faire les niveaux pour chaque source analogiques en prenant le risque de saturer ?
Il ne faut *jamais* saturer en numérique ! Et on y arrive facilement avec quelques tests de niveau. Les niveaux maxi sont assez aisés à déterminer.
Autre chose aussi, faut-il enregistrer en 44, 48k ou 96K ?
je sais que la monté en fréquence d'échantillonnage apporte un plus dans l'aigu mais encore.
Ben... Bien peu de sources analogiques exigent plus de 44 kHz... Et puis il faut savoir ce qu'on fait ensuite des enregistrements : la plupart des utilisations ne permettent pas de dépasser 48 kHz (peu d'appareils grand public lisent du 96 kHz).
-- Jean-Pierre Roche
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racal a écrit :
Je suis totalement newbie en enregistrement numérique, j'ai des sources
analogiques diverses ayant la particularité d'être enregistrées assez
fort (+2 à 3 bB au VU) avec des pics pour certaines.
Ca ne veut rien dire. Les niveaux affichés en analogique
sont souvent des plus fantaisistes : faut voir quel
équipement tu utilises...
Ma question, concernant la numérisation serait de savoir si cela pose un
problème d'enregistrer les bandes à un niveau faible (-20db à -12db pour
le pics) et ensuite d'augmenter numériquement le niveau pour garder les
pics en dessous de 0dB.
? un enregistreur numérique (logiciel) est normalement
capable d'afficher *avec précision* les niveaux crête. Donc
il faut enregistrer avec les crêtes proches du 0 dB.
De cette manière, je règle le magnéto analogique à sa plus faible sortie
et je peux passer les bandes sans me soucier des pics de modulation.
Non : la sortie du magnéto doit être au maxi (ou proche) et
l'entrée réglée en conséquence pour optimiser le rapport
signal/bruit.
Serait-il préférable de faire les niveaux pour chaque source
analogiques en prenant le risque de saturer ?
Il ne faut *jamais* saturer en numérique ! Et on y arrive
facilement avec quelques tests de niveau. Les niveaux maxi
sont assez aisés à déterminer.
Autre chose aussi, faut-il enregistrer en 44, 48k ou 96K ?
je sais que la monté en fréquence d'échantillonnage apporte un plus dans
l'aigu mais encore.
Ben... Bien peu de sources analogiques exigent plus de 44
kHz... Et puis il faut savoir ce qu'on fait ensuite des
enregistrements : la plupart des utilisations ne permettent
pas de dépasser 48 kHz (peu d'appareils grand public lisent
du 96 kHz).
--
Jean-Pierre Roche
jproche@sanspubnumericable.com
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Je suis totalement newbie en enregistrement numérique, j'ai des sources analogiques diverses ayant la particularité d'être enregistrées assez fort (+2 à 3 bB au VU) avec des pics pour certaines.
Ca ne veut rien dire. Les niveaux affichés en analogique sont souvent des plus fantaisistes : faut voir quel équipement tu utilises...
Ma question, concernant la numérisation serait de savoir si cela pose un problème d'enregistrer les bandes à un niveau faible (-20db à -12db pour le pics) et ensuite d'augmenter numériquement le niveau pour garder les pics en dessous de 0dB.
? un enregistreur numérique (logiciel) est normalement capable d'afficher *avec précision* les niveaux crête. Donc il faut enregistrer avec les crêtes proches du 0 dB.
De cette manière, je règle le magnéto analogique à sa plus faible sortie et je peux passer les bandes sans me soucier des pics de modulation.
Non : la sortie du magnéto doit être au maxi (ou proche) et l'entrée réglée en conséquence pour optimiser le rapport signal/bruit.
Serait-il préférable de faire les niveaux pour chaque source analogiques en prenant le risque de saturer ?
Il ne faut *jamais* saturer en numérique ! Et on y arrive facilement avec quelques tests de niveau. Les niveaux maxi sont assez aisés à déterminer.
Autre chose aussi, faut-il enregistrer en 44, 48k ou 96K ?
je sais que la monté en fréquence d'échantillonnage apporte un plus dans l'aigu mais encore.
Ben... Bien peu de sources analogiques exigent plus de 44 kHz... Et puis il faut savoir ce qu'on fait ensuite des enregistrements : la plupart des utilisations ne permettent pas de dépasser 48 kHz (peu d'appareils grand public lisent du 96 kHz).
-- Jean-Pierre Roche
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racal
Jean-Pierre Roche a écrit :
Ca ne veut rien dire. Les niveaux affichés en analogique sont souvent des plus fantaisistes : faut voir quel équipement tu utilises...
Là c'est du gros matos analogiques, REVOX B77 STUDER A80 et C37 OTARI donc niveau assez représentatif de ce qu'il y a sur la bande, matos de studio réglé au poil ;-)
? un enregistreur numérique (logiciel) est normalement capable d'afficher *avec précision* les niveaux crête. Donc il faut enregistrer avec les crêtes proches du 0 dB.
oui, je sais mais le fait est que j'ai des bandes qui poussent à +3dB et que le réglage des niveaux n'est pas simple. Il faut à chaque fois lire la bande dans son intégralité pour vérifier les crêtes etc.
Non : la sortie du magnéto doit être au maxi (ou proche) et l'entrée réglée en conséquence pour optimiser le rapport signal/bruit.
Je ne peux pas mettre au max, je sature l'entrée de la carte même en baissant les niveaux d'entrée. Je crois que la carte est une M audio 2496 ou une EMU
Il ne faut *jamais* saturer en numérique ! Et on y arrive facilement avec quelques tests de niveau. Les niveaux maxi sont assez aisés à déterminer.
je sais qu'il ne faut pas saturer, ma question est plus de comment trouver un bon compromis entre des bandes analogiques enregistrées au taquet (juste en dessous de la saturation). Faire des niveaux sur du matos à -10dB du commerce est peut-être simple mais là la patate de la bande + les niveaux de sortie du matos, j'ai un peu de mal à trouver un réglage qui va bien.
D'après ce que tu indiques, il faut garder les automatismes de l'enregistrement analogique avec un bémol de ne pas dépasser le OdB. Si c'est ça, j'ai du taf pour repiquer mes quelques bandes ;-)
Ben... Bien peu de sources analogiques exigent plus de 44 kHz...
euh certains proposent du 192khz ... pourquoi ?
de mon temps par exemple on faisait tourner les magnétos à 38 ou 76 cm/s pour une meilleur qualité ...
Et puis
il faut savoir ce qu'on fait ensuite des enregistrements : la plupart des utilisations ne permettent pas de dépasser 48 kHz (peu d'appareils grand public lisent du 96 kHz).
Je ne parle pas de matos grand public, je veux juste savoir ce qu'implique le choix d'une fréquence élevée, l'intérêt que cela apporte.
Mon idée étant de conserver les fichiers master en numérique par exemple soit en 96K ou 48K et à partir de ça je peux toujours faire des copies en 44K si besoin.
Pour l'instant la norme est de 44 à 48K mais demain ...
Cdlt
Christophe
Jean-Pierre Roche a écrit :
Ca ne veut rien dire. Les niveaux affichés en analogique sont souvent
des plus fantaisistes : faut voir quel équipement tu utilises...
Là c'est du gros matos analogiques, REVOX B77 STUDER A80 et C37 OTARI
donc niveau assez représentatif de ce qu'il y a sur la bande, matos de
studio réglé au poil ;-)
? un enregistreur numérique (logiciel) est normalement capable
d'afficher *avec précision* les niveaux crête. Donc il faut enregistrer
avec les crêtes proches du 0 dB.
oui, je sais mais le fait est que j'ai des bandes qui poussent à +3dB et
que le réglage des niveaux n'est pas simple. Il faut à chaque fois lire
la bande dans son intégralité pour vérifier les crêtes etc.
Non : la sortie du magnéto doit être au maxi (ou proche) et l'entrée
réglée en conséquence pour optimiser le rapport signal/bruit.
Je ne peux pas mettre au max, je sature l'entrée de la carte même en
baissant les niveaux d'entrée.
Je crois que la carte est une M audio 2496 ou une EMU
Il ne faut *jamais* saturer en numérique ! Et on y arrive facilement
avec quelques tests de niveau. Les niveaux maxi sont assez aisés à
déterminer.
je sais qu'il ne faut pas saturer, ma question est plus de comment
trouver un bon compromis entre des bandes analogiques enregistrées au
taquet (juste en dessous de la saturation). Faire des niveaux sur du
matos à -10dB du commerce est peut-être simple mais là la patate de la
bande + les niveaux de sortie du matos, j'ai un peu de mal à trouver un
réglage qui va bien.
D'après ce que tu indiques, il faut garder les automatismes de
l'enregistrement analogique avec un bémol de ne pas dépasser le OdB.
Si c'est ça, j'ai du taf pour repiquer mes quelques bandes ;-)
Ben... Bien peu de sources analogiques exigent plus de 44 kHz...
euh certains proposent du 192khz ...
pourquoi ?
de mon temps par exemple on faisait tourner les magnétos à 38 ou 76 cm/s
pour une meilleur qualité ...
Et puis
il faut savoir ce qu'on fait ensuite des enregistrements : la plupart
des utilisations ne permettent pas de dépasser 48 kHz (peu d'appareils
grand public lisent du 96 kHz).
Je ne parle pas de matos grand public, je veux juste savoir ce
qu'implique le choix d'une fréquence élevée, l'intérêt que cela apporte.
Mon idée étant de conserver les fichiers master en numérique par exemple
soit en 96K ou 48K et à partir de ça je peux toujours faire des copies
en 44K si besoin.
Pour l'instant la norme est de 44 à 48K mais demain ...
Ca ne veut rien dire. Les niveaux affichés en analogique sont souvent des plus fantaisistes : faut voir quel équipement tu utilises...
Là c'est du gros matos analogiques, REVOX B77 STUDER A80 et C37 OTARI donc niveau assez représentatif de ce qu'il y a sur la bande, matos de studio réglé au poil ;-)
? un enregistreur numérique (logiciel) est normalement capable d'afficher *avec précision* les niveaux crête. Donc il faut enregistrer avec les crêtes proches du 0 dB.
oui, je sais mais le fait est que j'ai des bandes qui poussent à +3dB et que le réglage des niveaux n'est pas simple. Il faut à chaque fois lire la bande dans son intégralité pour vérifier les crêtes etc.
Non : la sortie du magnéto doit être au maxi (ou proche) et l'entrée réglée en conséquence pour optimiser le rapport signal/bruit.
Je ne peux pas mettre au max, je sature l'entrée de la carte même en baissant les niveaux d'entrée. Je crois que la carte est une M audio 2496 ou une EMU
Il ne faut *jamais* saturer en numérique ! Et on y arrive facilement avec quelques tests de niveau. Les niveaux maxi sont assez aisés à déterminer.
je sais qu'il ne faut pas saturer, ma question est plus de comment trouver un bon compromis entre des bandes analogiques enregistrées au taquet (juste en dessous de la saturation). Faire des niveaux sur du matos à -10dB du commerce est peut-être simple mais là la patate de la bande + les niveaux de sortie du matos, j'ai un peu de mal à trouver un réglage qui va bien.
D'après ce que tu indiques, il faut garder les automatismes de l'enregistrement analogique avec un bémol de ne pas dépasser le OdB. Si c'est ça, j'ai du taf pour repiquer mes quelques bandes ;-)
Ben... Bien peu de sources analogiques exigent plus de 44 kHz...
euh certains proposent du 192khz ... pourquoi ?
de mon temps par exemple on faisait tourner les magnétos à 38 ou 76 cm/s pour une meilleur qualité ...
Et puis
il faut savoir ce qu'on fait ensuite des enregistrements : la plupart des utilisations ne permettent pas de dépasser 48 kHz (peu d'appareils grand public lisent du 96 kHz).
Je ne parle pas de matos grand public, je veux juste savoir ce qu'implique le choix d'une fréquence élevée, l'intérêt que cela apporte.
Mon idée étant de conserver les fichiers master en numérique par exemple soit en 96K ou 48K et à partir de ça je peux toujours faire des copies en 44K si besoin.
Pour l'instant la norme est de 44 à 48K mais demain ...
Cdlt
Christophe
Jean-Pierre Roche
racal a écrit :
je sais mais le fait est que j'ai des bandes qui poussent à +3dB et que le réglage des niveaux n'est pas simple. Il faut à chaque fois lire la bande dans son intégralité pour vérifier les crêtes etc.
Si tu enregistres à -6 dB tu perds peu et tu as quand même une bonne marge...
Je ne peux pas mettre au max, je sature l'entrée de la carte même en baissant les niveaux d'entrée. Je crois que la carte est une M audio 2496 ou une EMU
Je ne connais pas tes engins mais le niveau pro normalisé est de +4 dBu. C'est à peu près le niveau qui doit transiter entre tes deux équipements...
je sais qu'il ne faut pas saturer, ma question est plus de comment trouver un bon compromis entre des bandes analogiques enregistrées au taquet (juste en dessous de la saturation). Faire des niveaux sur du matos à -10dB du commerce est peut-être simple mais là la patate de la bande + les niveaux de sortie du matos, j'ai un peu de mal à trouver un réglage qui va bien.
Fait un enregistrement et analyse le : je doute que tu trouves des niveaux vraiment très au dessus du 0 dB.
euh certains proposent du 192khz ... pourquoi ?
192 c'est largement du pipeau... sauf cas très particulier, 96 suffit normalement à tous les besoins.
de mon temps par exemple on faisait tourner les magnétos à 38 ou 76 cm/s pour une meilleur qualité ...
Et puis
il faut savoir ce qu'on fait ensuite des enregistrements : la plupart des utilisations ne permettent pas de dépasser 48 kHz (peu d'appareils grand public lisent du 96 kHz).
Je ne parle pas de matos grand public, je veux juste savoir ce qu'implique le choix d'une fréquence élevée, l'intérêt que cela apporte.
Ce qui apporte vraiment quelque chose c'est le 24 bits (et non 16). Ensuite augmenter la fréquence d'échantillonnage étend la bande passante vers le haut. Du moins en théorie car il faut que tout suive ce qui est rarement le cas en pratique. Donc aller au-delà de 96...
-- Jean-Pierre Roche
enlever sanspub pour m'écrire...
racal a écrit :
je sais mais le fait est que j'ai des bandes qui poussent à +3dB et
que le réglage des niveaux n'est pas simple. Il faut à chaque fois lire
la bande dans son intégralité pour vérifier les crêtes etc.
Si tu enregistres à -6 dB tu perds peu et tu as quand même
une bonne marge...
Je ne peux pas mettre au max, je sature l'entrée de la carte même en
baissant les niveaux d'entrée.
Je crois que la carte est une M audio 2496 ou une EMU
Je ne connais pas tes engins mais le niveau pro normalisé
est de +4 dBu. C'est à peu près le niveau qui doit transiter
entre tes deux équipements...
je sais qu'il ne faut pas saturer, ma question est plus de comment
trouver un bon compromis entre des bandes analogiques enregistrées au
taquet (juste en dessous de la saturation). Faire des niveaux sur du
matos à -10dB du commerce est peut-être simple mais là la patate de la
bande + les niveaux de sortie du matos, j'ai un peu de mal à trouver un
réglage qui va bien.
Fait un enregistrement et analyse le : je doute que tu
trouves des niveaux vraiment très au dessus du 0 dB.
euh certains proposent du 192khz ...
pourquoi ?
192 c'est largement du pipeau... sauf cas très particulier,
96 suffit normalement à tous les besoins.
de mon temps par exemple on faisait tourner les magnétos à 38 ou 76 cm/s
pour une meilleur qualité ...
Et puis
il faut savoir ce qu'on fait ensuite des enregistrements : la plupart
des utilisations ne permettent pas de dépasser 48 kHz (peu d'appareils
grand public lisent du 96 kHz).
Je ne parle pas de matos grand public, je veux juste savoir ce
qu'implique le choix d'une fréquence élevée, l'intérêt que cela apporte.
Ce qui apporte vraiment quelque chose c'est le 24 bits (et
non 16). Ensuite augmenter la fréquence d'échantillonnage
étend la bande passante vers le haut. Du moins en théorie
car il faut que tout suive ce qui est rarement le cas en
pratique. Donc aller au-delà de 96...
--
Jean-Pierre Roche
jproche@sanspubnumericable.com
enlever sanspub pour m'écrire...
je sais mais le fait est que j'ai des bandes qui poussent à +3dB et que le réglage des niveaux n'est pas simple. Il faut à chaque fois lire la bande dans son intégralité pour vérifier les crêtes etc.
Si tu enregistres à -6 dB tu perds peu et tu as quand même une bonne marge...
Je ne peux pas mettre au max, je sature l'entrée de la carte même en baissant les niveaux d'entrée. Je crois que la carte est une M audio 2496 ou une EMU
Je ne connais pas tes engins mais le niveau pro normalisé est de +4 dBu. C'est à peu près le niveau qui doit transiter entre tes deux équipements...
je sais qu'il ne faut pas saturer, ma question est plus de comment trouver un bon compromis entre des bandes analogiques enregistrées au taquet (juste en dessous de la saturation). Faire des niveaux sur du matos à -10dB du commerce est peut-être simple mais là la patate de la bande + les niveaux de sortie du matos, j'ai un peu de mal à trouver un réglage qui va bien.
Fait un enregistrement et analyse le : je doute que tu trouves des niveaux vraiment très au dessus du 0 dB.
euh certains proposent du 192khz ... pourquoi ?
192 c'est largement du pipeau... sauf cas très particulier, 96 suffit normalement à tous les besoins.
de mon temps par exemple on faisait tourner les magnétos à 38 ou 76 cm/s pour une meilleur qualité ...
Et puis
il faut savoir ce qu'on fait ensuite des enregistrements : la plupart des utilisations ne permettent pas de dépasser 48 kHz (peu d'appareils grand public lisent du 96 kHz).
Je ne parle pas de matos grand public, je veux juste savoir ce qu'implique le choix d'une fréquence élevée, l'intérêt que cela apporte.
Ce qui apporte vraiment quelque chose c'est le 24 bits (et non 16). Ensuite augmenter la fréquence d'échantillonnage étend la bande passante vers le haut. Du moins en théorie car il faut que tout suive ce qui est rarement le cas en pratique. Donc aller au-delà de 96...
-- Jean-Pierre Roche
enlever sanspub pour m'écrire...
racal
Jean-Pierre Roche a écrit :
Si tu enregistres à -6 dB tu perds peu et tu as quand même une bonne marge...
j'ai testé mais ça ne fonctionne pas, il faut que je regarde au niveau de la carte son, peut-être un soucis à ce niveau (patch).
Je ne connais pas tes engins mais le niveau pro normalisé est de +4 dBu. C'est à peu près le niveau qui doit transiter entre tes deux équipements...
oui
Fait un enregistrement et analyse le : je doute que tu trouves des niveaux vraiment très au dessus du 0 dB.
J'ai déjà testé et mag à fond, j'ai une patate d'enfer ... Mais bon je vais refaire la manip, il y un truc que je ne comprends pas, pourtant habituer à utiliser des tables de mixage analogique et autre mag. Mais ma démarche de mettre un pied dans le numérique pour être en phase avec mon temps n'est pas gagnée ;-)
192 c'est largement du pipeau... sauf cas très particulier, 96 suffit normalement à tous les besoins.
De mémoire j'avais entendu une fois un appareil NORD STAR quelque chose comme ça qui diffusait en 192Khz. Mais c'était pour de la diffusion donc peut-être suréchantillonnage, rien à voir avec une freq d'enregistrement (je suppose).
Ce qui apporte vraiment quelque chose c'est le 24 bits (et non 16). Ensuite augmenter la fréquence d'échantillonnage étend la bande passante vers le haut. Du moins en théorie car il faut que tout suive ce qui est rarement le cas en pratique. Donc aller au-delà de 96...
ok pour le 24bits et pour la BP vers le haut, je suis pas certain de l'intérêt pour de la bande analogique de 30 ans ...
Jean-Pierre Roche a écrit :
Si tu enregistres à -6 dB tu perds peu et tu as quand même une bonne
marge...
j'ai testé mais ça ne fonctionne pas, il faut que je regarde au niveau
de la carte son, peut-être un soucis à ce niveau (patch).
Je ne connais pas tes engins mais le niveau pro normalisé est de +4 dBu.
C'est à peu près le niveau qui doit transiter entre tes deux équipements...
oui
Fait un enregistrement et analyse le : je doute que tu trouves des
niveaux vraiment très au dessus du 0 dB.
J'ai déjà testé et mag à fond, j'ai une patate d'enfer ...
Mais bon je vais refaire la manip, il y un truc que je ne comprends pas,
pourtant habituer à utiliser des tables de mixage analogique et autre mag.
Mais ma démarche de mettre un pied dans le numérique pour être en phase
avec mon temps n'est pas gagnée ;-)
192 c'est largement du pipeau... sauf cas très particulier, 96 suffit
normalement à tous les besoins.
De mémoire j'avais entendu une fois un appareil NORD STAR quelque chose
comme ça qui diffusait en 192Khz. Mais c'était pour de la diffusion donc
peut-être suréchantillonnage, rien à voir avec une freq d'enregistrement
(je suppose).
Ce qui apporte vraiment quelque chose c'est le 24 bits (et non 16).
Ensuite augmenter la fréquence d'échantillonnage étend la bande passante
vers le haut. Du moins en théorie car il faut que tout suive ce qui est
rarement le cas en pratique. Donc aller au-delà de 96...
ok pour le 24bits
et pour la BP vers le haut, je suis pas certain de l'intérêt pour de la
bande analogique de 30 ans ...
Si tu enregistres à -6 dB tu perds peu et tu as quand même une bonne marge...
j'ai testé mais ça ne fonctionne pas, il faut que je regarde au niveau de la carte son, peut-être un soucis à ce niveau (patch).
Je ne connais pas tes engins mais le niveau pro normalisé est de +4 dBu. C'est à peu près le niveau qui doit transiter entre tes deux équipements...
oui
Fait un enregistrement et analyse le : je doute que tu trouves des niveaux vraiment très au dessus du 0 dB.
J'ai déjà testé et mag à fond, j'ai une patate d'enfer ... Mais bon je vais refaire la manip, il y un truc que je ne comprends pas, pourtant habituer à utiliser des tables de mixage analogique et autre mag. Mais ma démarche de mettre un pied dans le numérique pour être en phase avec mon temps n'est pas gagnée ;-)
192 c'est largement du pipeau... sauf cas très particulier, 96 suffit normalement à tous les besoins.
De mémoire j'avais entendu une fois un appareil NORD STAR quelque chose comme ça qui diffusait en 192Khz. Mais c'était pour de la diffusion donc peut-être suréchantillonnage, rien à voir avec une freq d'enregistrement (je suppose).
Ce qui apporte vraiment quelque chose c'est le 24 bits (et non 16). Ensuite augmenter la fréquence d'échantillonnage étend la bande passante vers le haut. Du moins en théorie car il faut que tout suive ce qui est rarement le cas en pratique. Donc aller au-delà de 96...
ok pour le 24bits et pour la BP vers le haut, je suis pas certain de l'intérêt pour de la bande analogique de 30 ans ...
racal
Bonsoir,
C'était un problème de soft du PC, l'installateur a réparer le problème
le numérique c'est pas aussi simple que l'analogique
;-)
Christophe
Bonsoir,
C'était un problème de soft du PC, l'installateur a réparer le problème
le numérique c'est pas aussi simple que l'analogique