Représentés sous la forme de diagrammes, ces
rapports mettent en évidence les erreurs ergonomiques, dans le cas d'une
application Web il pourrait s'agir par exemple d'un chemin assez tordu que
doit emprunter un utilisateur pour acheter un produit dans une boutique en
ligne. Amazon ont beaucoup bossé là-dessus afin de définir le plus court
chemin pour mener tous les visiteurs vers le but ultime : l'achat en
quelques clics. L'aboutissement étant le fameux "One Click". De même si
l'utilisateur doit se contorsionner pour accéder à la fonctionnalité qu'il
utilise le plus fréquemment, c'est qu'il y a un problème.
Représentés sous la forme de diagrammes, ces
rapports mettent en évidence les erreurs ergonomiques, dans le cas d'une
application Web il pourrait s'agir par exemple d'un chemin assez tordu que
doit emprunter un utilisateur pour acheter un produit dans une boutique en
ligne. Amazon ont beaucoup bossé là-dessus afin de définir le plus court
chemin pour mener tous les visiteurs vers le but ultime : l'achat en
quelques clics. L'aboutissement étant le fameux "One Click". De même si
l'utilisateur doit se contorsionner pour accéder à la fonctionnalité qu'il
utilise le plus fréquemment, c'est qu'il y a un problème.
Représentés sous la forme de diagrammes, ces
rapports mettent en évidence les erreurs ergonomiques, dans le cas d'une
application Web il pourrait s'agir par exemple d'un chemin assez tordu que
doit emprunter un utilisateur pour acheter un produit dans une boutique en
ligne. Amazon ont beaucoup bossé là-dessus afin de définir le plus court
chemin pour mener tous les visiteurs vers le but ultime : l'achat en
quelques clics. L'aboutissement étant le fameux "One Click". De même si
l'utilisateur doit se contorsionner pour accéder à la fonctionnalité qu'il
utilise le plus fréquemment, c'est qu'il y a un problème.
C'est pour ça d'ailleurs qu'à la base, la démarche de Jean-Marie me
semble pour le moins mal préparée, un tel travail de conseil en
ergonomie ne pouvant guère se faire à la fin du processus de
développement, [...]
C'est pour ça d'ailleurs qu'à la base, la démarche de Jean-Marie me
semble pour le moins mal préparée, un tel travail de conseil en
ergonomie ne pouvant guère se faire à la fin du processus de
développement, [...]
C'est pour ça d'ailleurs qu'à la base, la démarche de Jean-Marie me
semble pour le moins mal préparée, un tel travail de conseil en
ergonomie ne pouvant guère se faire à la fin du processus de
développement, [...]
C'est pour ça d'ailleurs qu'à la base, la démarche de Jean-Marie me
semble pour le moins mal préparée, un tel travail de conseil en
ergonomie ne pouvant guère se faire à la fin du processus de
développement, [...]
Jean-Marie ne poste pas ici pour la 1ière fois, il y a peu il nous
parlait d'une application existante dont l'IHM est construite sous X11
et qu'il souhaitait porter sous Java (qui à d'autres façon, d'autres
rendus, ...)
se rappeller de ce post aurait éviter cette leçon, un peu, déplacée.
C'est pour ça d'ailleurs qu'à la base, la démarche de Jean-Marie me
semble pour le moins mal préparée, un tel travail de conseil en
ergonomie ne pouvant guère se faire à la fin du processus de
développement, [...]
Jean-Marie ne poste pas ici pour la 1ière fois, il y a peu il nous
parlait d'une application existante dont l'IHM est construite sous X11
et qu'il souhaitait porter sous Java (qui à d'autres façon, d'autres
rendus, ...)
se rappeller de ce post aurait éviter cette leçon, un peu, déplacée.
C'est pour ça d'ailleurs qu'à la base, la démarche de Jean-Marie me
semble pour le moins mal préparée, un tel travail de conseil en
ergonomie ne pouvant guère se faire à la fin du processus de
développement, [...]
Jean-Marie ne poste pas ici pour la 1ière fois, il y a peu il nous
parlait d'une application existante dont l'IHM est construite sous X11
et qu'il souhaitait porter sous Java (qui à d'autres façon, d'autres
rendus, ...)
se rappeller de ce post aurait éviter cette leçon, un peu, déplacée.
Le ton de mon message était peut-être un peu emporté [...]
Le ton de mon message était peut-être un peu emporté [...]
Le ton de mon message était peut-être un peu emporté [...]
Jean-Marc Molina wrote:Représentés sous la forme de diagrammes, ces
rapports mettent en évidence les erreurs ergonomiques, dans le cas d'une
application Web il pourrait s'agir par exemple d'un chemin assez tordu que
doit emprunter un utilisateur pour acheter un produit dans une boutique en
ligne. Amazon ont beaucoup bossé là-dessus afin de définir le plus court
chemin pour mener tous les visiteurs vers le but ultime : l'achat en
quelques clics. L'aboutissement étant le fameux "One Click". De même si
l'utilisateur doit se contorsionner pour accéder à la fonctionnalité qu'il
utilise le plus fréquemment, c'est qu'il y a un problème.
Je me permet de réagir, vu les raccourcis quelque peu rapides dont il
est question ici, car le travail sur l'ergonomie des logiciels, et en
particulier de tout ce qui touche au web, qu'il s'agisse d'applications
web ou de sites web, ne se conçoit pas vraiment en étudiant après coup
l'existant et en comptant le nombre de clics pour le réduire autant que
possible.
Bien au contraire, et au-delà de ce que je dis ici cela sera cent fois
mieux expliqué en lisant des bouquins comme le fameux "Elements of User
Experience" de Jesse James Garret, il importe de bien spécifier les
objectifs du logiciel ou du site avant toutes choses, et de construire
ses principes de fonctionnements, son cahier des charges fonctionnel, sa
structure d'interface graphique et finalement le design graphique venant
habiller le tout. Et de là découle que le nombre de clics n'a finalement
pas vraiment d'importance, car il vaudra toujours mieux un processus
demandant 5 ou 6 clics, mais avec un cheminement qui est logique pour
l'utilisateur, qu'un processus ne demandant qu'un ou deux clics mais qui
soit complètement contre-nature.
C'est pour ça d'ailleurs qu'à la base, la démarche de Jean-Marie me
semble pour le moins mal préparée, un tel travail de conseil en
ergonomie ne pouvant guère se faire à la fin du processus de
développement, c'est quelque chose qu'il faut envisager à partir du tout
début de l'expression de l'idée même de développer un logiciel, et qui
doit accompagner l'ensemble des phases de développement, non pas sous la
forme d'une grosse prestation de conseil à la fin, mais par petites
touches tout au long du projet. A moins qu'il n'ait "hérité" d'un
logiciel déjà existant et qu'il n'ait été chargé de le faire évoluer,
auquel cas la démarche est déjà là plus pertinente... (même si bien
souvent, pour bien faire, il faudra probablement être prêt à revoir les
choses en profondeur...)
Jean-Marc Molina <jmmolina@PASDEPOURRIEL-free.fr.invalid> wrote:
Représentés sous la forme de diagrammes, ces
rapports mettent en évidence les erreurs ergonomiques, dans le cas d'une
application Web il pourrait s'agir par exemple d'un chemin assez tordu que
doit emprunter un utilisateur pour acheter un produit dans une boutique en
ligne. Amazon ont beaucoup bossé là-dessus afin de définir le plus court
chemin pour mener tous les visiteurs vers le but ultime : l'achat en
quelques clics. L'aboutissement étant le fameux "One Click". De même si
l'utilisateur doit se contorsionner pour accéder à la fonctionnalité qu'il
utilise le plus fréquemment, c'est qu'il y a un problème.
Je me permet de réagir, vu les raccourcis quelque peu rapides dont il
est question ici, car le travail sur l'ergonomie des logiciels, et en
particulier de tout ce qui touche au web, qu'il s'agisse d'applications
web ou de sites web, ne se conçoit pas vraiment en étudiant après coup
l'existant et en comptant le nombre de clics pour le réduire autant que
possible.
Bien au contraire, et au-delà de ce que je dis ici cela sera cent fois
mieux expliqué en lisant des bouquins comme le fameux "Elements of User
Experience" de Jesse James Garret, il importe de bien spécifier les
objectifs du logiciel ou du site avant toutes choses, et de construire
ses principes de fonctionnements, son cahier des charges fonctionnel, sa
structure d'interface graphique et finalement le design graphique venant
habiller le tout. Et de là découle que le nombre de clics n'a finalement
pas vraiment d'importance, car il vaudra toujours mieux un processus
demandant 5 ou 6 clics, mais avec un cheminement qui est logique pour
l'utilisateur, qu'un processus ne demandant qu'un ou deux clics mais qui
soit complètement contre-nature.
C'est pour ça d'ailleurs qu'à la base, la démarche de Jean-Marie me
semble pour le moins mal préparée, un tel travail de conseil en
ergonomie ne pouvant guère se faire à la fin du processus de
développement, c'est quelque chose qu'il faut envisager à partir du tout
début de l'expression de l'idée même de développer un logiciel, et qui
doit accompagner l'ensemble des phases de développement, non pas sous la
forme d'une grosse prestation de conseil à la fin, mais par petites
touches tout au long du projet. A moins qu'il n'ait "hérité" d'un
logiciel déjà existant et qu'il n'ait été chargé de le faire évoluer,
auquel cas la démarche est déjà là plus pertinente... (même si bien
souvent, pour bien faire, il faudra probablement être prêt à revoir les
choses en profondeur...)
Jean-Marc Molina wrote:Représentés sous la forme de diagrammes, ces
rapports mettent en évidence les erreurs ergonomiques, dans le cas d'une
application Web il pourrait s'agir par exemple d'un chemin assez tordu que
doit emprunter un utilisateur pour acheter un produit dans une boutique en
ligne. Amazon ont beaucoup bossé là-dessus afin de définir le plus court
chemin pour mener tous les visiteurs vers le but ultime : l'achat en
quelques clics. L'aboutissement étant le fameux "One Click". De même si
l'utilisateur doit se contorsionner pour accéder à la fonctionnalité qu'il
utilise le plus fréquemment, c'est qu'il y a un problème.
Je me permet de réagir, vu les raccourcis quelque peu rapides dont il
est question ici, car le travail sur l'ergonomie des logiciels, et en
particulier de tout ce qui touche au web, qu'il s'agisse d'applications
web ou de sites web, ne se conçoit pas vraiment en étudiant après coup
l'existant et en comptant le nombre de clics pour le réduire autant que
possible.
Bien au contraire, et au-delà de ce que je dis ici cela sera cent fois
mieux expliqué en lisant des bouquins comme le fameux "Elements of User
Experience" de Jesse James Garret, il importe de bien spécifier les
objectifs du logiciel ou du site avant toutes choses, et de construire
ses principes de fonctionnements, son cahier des charges fonctionnel, sa
structure d'interface graphique et finalement le design graphique venant
habiller le tout. Et de là découle que le nombre de clics n'a finalement
pas vraiment d'importance, car il vaudra toujours mieux un processus
demandant 5 ou 6 clics, mais avec un cheminement qui est logique pour
l'utilisateur, qu'un processus ne demandant qu'un ou deux clics mais qui
soit complètement contre-nature.
C'est pour ça d'ailleurs qu'à la base, la démarche de Jean-Marie me
semble pour le moins mal préparée, un tel travail de conseil en
ergonomie ne pouvant guère se faire à la fin du processus de
développement, c'est quelque chose qu'il faut envisager à partir du tout
début de l'expression de l'idée même de développer un logiciel, et qui
doit accompagner l'ensemble des phases de développement, non pas sous la
forme d'une grosse prestation de conseil à la fin, mais par petites
touches tout au long du projet. A moins qu'il n'ait "hérité" d'un
logiciel déjà existant et qu'il n'ait été chargé de le faire évoluer,
auquel cas la démarche est déjà là plus pertinente... (même si bien
souvent, pour bien faire, il faudra probablement être prêt à revoir les
choses en profondeur...)
C'est pour ça d'ailleurs qu'à la base, la démarche de Jean-Marie me
semble pour le moins mal préparée, un tel travail de conseil en
ergonomie ne pouvant guère se faire à la fin du processus de
développement, c'est quelque chose qu'il faut envisager à partir du
tout début de l'expression de l'idée même de développer un logiciel,
et qui doit accompagner l'ensemble des phases de développement, non
pas sous la forme d'une grosse prestation de conseil à la fin, mais
par petites touches tout au long du projet. A moins qu'il n'ait
"hérité" d'un logiciel déjà existant et qu'il n'ait été chargé de le
faire évoluer, auquel cas la démarche est déjà là plus pertinente...
(même si bien souvent, pour bien faire, il faudra probablement être
prêt à revoir les choses en profondeur...)
C'est pour ça d'ailleurs qu'à la base, la démarche de Jean-Marie me
semble pour le moins mal préparée, un tel travail de conseil en
ergonomie ne pouvant guère se faire à la fin du processus de
développement, c'est quelque chose qu'il faut envisager à partir du
tout début de l'expression de l'idée même de développer un logiciel,
et qui doit accompagner l'ensemble des phases de développement, non
pas sous la forme d'une grosse prestation de conseil à la fin, mais
par petites touches tout au long du projet. A moins qu'il n'ait
"hérité" d'un logiciel déjà existant et qu'il n'ait été chargé de le
faire évoluer, auquel cas la démarche est déjà là plus pertinente...
(même si bien souvent, pour bien faire, il faudra probablement être
prêt à revoir les choses en profondeur...)
C'est pour ça d'ailleurs qu'à la base, la démarche de Jean-Marie me
semble pour le moins mal préparée, un tel travail de conseil en
ergonomie ne pouvant guère se faire à la fin du processus de
développement, c'est quelque chose qu'il faut envisager à partir du
tout début de l'expression de l'idée même de développer un logiciel,
et qui doit accompagner l'ensemble des phases de développement, non
pas sous la forme d'une grosse prestation de conseil à la fin, mais
par petites touches tout au long du projet. A moins qu'il n'ait
"hérité" d'un logiciel déjà existant et qu'il n'ait été chargé de le
faire évoluer, auquel cas la démarche est déjà là plus pertinente...
(même si bien souvent, pour bien faire, il faudra probablement être
prêt à revoir les choses en profondeur...)