Claude Pompidou, née Claude Jacqueline Cahour le 13 novembre 1912 était
la veuve du dix-neuvième Président de la République française, Georges
Pompidou († 1974) et à ce titre, fut la deuxième Première Dame de
France de la Ve République du 20 juin 1969 au 2 avril 1974. Elle
présidait depuis plus de 30 ans une fondation qui porte son nom : la
Fondation Claude-Pompidou. Elle est décédée le 3 juillet 2007.
Fondation Claude-Pompidou
Créée en 1970 sous l’impulsion de Claude Pompidou, la Fondation,
reconnue d’utilité publique, a pour but de venir en aide aux personnes
âgées, aux malades hospitalisés ainsi qu’aux enfants handicapés. Elle
agit grâce à des équipes de bénévoles qui interviennent, à Paris et en
Province, dans les hôpitaux et aux domiciles des enfants handicapés.
Parallèlement, elle construit et gère des établissements spécialisés
dans le domaine du handicap et du grand âge.
Cette action est irreversible, confirmez la suppression du commentaire ?
Signaler le commentaire
Veuillez sélectionner un problème
Nudité
Violence
Harcèlement
Fraude
Vente illégale
Discours haineux
Terrorisme
Autre
La fouine
La fouine a couché sur son écran :
Claude Pompidou, née Claude Jacqueline Cahour le 13 novembre 1912 était la veuve du dix-neuvième Président de la République française, Georges Pompidou († 1974) et à ce titre, fut la deuxième Première Dame de France de la Ve République du 20 juin 1969 au 2 avril 1974. Elle présidait depuis plus de 30 ans une fondation qui porte son nom : la Fondation Claude-Pompidou. Elle est décédée le 3 juillet 2007.
Fondation Claude-Pompidou
Créée en 1970 sous l’impulsion de Claude Pompidou, la Fondation, reconnue d’utilité publique, a pour but de venir en aide aux personnes âgées, aux malades hospitalisés ainsi qu’aux enfants handicapés. Elle agit grâce à des équipes de bénévoles qui interviennent, à Paris et en Province, dans les hôpitaux et aux domiciles des enfants handicapés. Parallèlement, elle construit et gère des établissements spécialisés dans le domaine du handicap et du grand âge.
En 2004, l’épouse de l’ancien chef de l’État évoquait pour « Le Figaro » les années passées à l’Elysée et livre son regard sur le monde actuel
LE FIGARO. Pour beaucoup de Français, les années Pompidou restent une période un peu bénie, peut-être la dernière période de sérénité dans leur conscience collective. Que vous inspire cette idée ?
Claude POMPIDOU. D’abord les années Pompidou, elles ont commencé en 1962, quand mon mari a été premier ministre. Quant à me faire dire que ces années-là ont été heureuses, il me semble qu’on faisait bien ce qu’on devait faire, même si c’était dur. Les gens me disent très souvent que cette période fut heureuse. On ne m’a jamais dit le contraire.
En 1999, vous avez publié l’Elan du coeur, un livre dans lequel vous expliquez que les forces politiques ont oublié le message politique de votre mari.
La fouine a couché sur son écran :
Claude Pompidou, née Claude Jacqueline Cahour le 13 novembre 1912 était la
veuve du dix-neuvième Président de la République française, Georges Pompidou
(† 1974) et à ce titre, fut la deuxième Première Dame de France de la Ve
République du 20 juin 1969 au 2 avril 1974. Elle présidait depuis plus de 30
ans une fondation qui porte son nom : la Fondation Claude-Pompidou. Elle est
décédée le 3 juillet 2007.
Fondation Claude-Pompidou
Créée en 1970 sous l’impulsion de Claude Pompidou, la Fondation, reconnue
d’utilité publique, a pour but de venir en aide aux personnes âgées, aux
malades hospitalisés ainsi qu’aux enfants handicapés. Elle agit grâce à des
équipes de bénévoles qui interviennent, à Paris et en Province, dans les
hôpitaux et aux domiciles des enfants handicapés. Parallèlement, elle
construit et gère des établissements spécialisés dans le domaine du handicap
et du grand âge.
En 2004, l’épouse de l’ancien chef de l’État évoquait pour « Le Figaro
» les années passées à l’Elysée et livre son regard sur le monde actuel
LE FIGARO. Pour beaucoup de Français, les années Pompidou restent une
période un peu bénie, peut-être la dernière période de sérénité dans
leur conscience collective. Que vous inspire cette idée ?
Claude POMPIDOU. D’abord les années Pompidou, elles ont commencé en
1962, quand mon mari a été premier ministre. Quant à me faire dire que
ces années-là ont été heureuses, il me semble qu’on faisait bien ce
qu’on devait faire, même si c’était dur. Les gens me disent très
souvent que cette période fut heureuse. On ne m’a jamais dit le
contraire.
En 1999, vous avez publié l’Elan du coeur, un livre dans lequel vous
expliquez que les forces politiques ont oublié le message politique de
votre mari.
Claude Pompidou, née Claude Jacqueline Cahour le 13 novembre 1912 était la veuve du dix-neuvième Président de la République française, Georges Pompidou († 1974) et à ce titre, fut la deuxième Première Dame de France de la Ve République du 20 juin 1969 au 2 avril 1974. Elle présidait depuis plus de 30 ans une fondation qui porte son nom : la Fondation Claude-Pompidou. Elle est décédée le 3 juillet 2007.
Fondation Claude-Pompidou
Créée en 1970 sous l’impulsion de Claude Pompidou, la Fondation, reconnue d’utilité publique, a pour but de venir en aide aux personnes âgées, aux malades hospitalisés ainsi qu’aux enfants handicapés. Elle agit grâce à des équipes de bénévoles qui interviennent, à Paris et en Province, dans les hôpitaux et aux domiciles des enfants handicapés. Parallèlement, elle construit et gère des établissements spécialisés dans le domaine du handicap et du grand âge.
En 2004, l’épouse de l’ancien chef de l’État évoquait pour « Le Figaro » les années passées à l’Elysée et livre son regard sur le monde actuel
LE FIGARO. Pour beaucoup de Français, les années Pompidou restent une période un peu bénie, peut-être la dernière période de sérénité dans leur conscience collective. Que vous inspire cette idée ?
Claude POMPIDOU. D’abord les années Pompidou, elles ont commencé en 1962, quand mon mari a été premier ministre. Quant à me faire dire que ces années-là ont été heureuses, il me semble qu’on faisait bien ce qu’on devait faire, même si c’était dur. Les gens me disent très souvent que cette période fut heureuse. On ne m’a jamais dit le contraire.
En 1999, vous avez publié l’Elan du coeur, un livre dans lequel vous expliquez que les forces politiques ont oublié le message politique de votre mari.