Au début de la prise en otage en Irak des deux journalistes français,
quelques "humoristes" (de ceux qui comme Ruquier & Co déclenchent
applaudissements commandés plus que rires spontanés) furent
"scandalisés" du fait que le chauffeur n'était pas cité dans la
plupart des dépêches. Aujourd'hui, il est amusant (sic) d'entendre
systématiquement journalistes et hommes politiques conclure par "et
leur chauffeur syrien".
Un bien-pensant va-t-il se révolter sur le thème: en disant "les deux
journalistes français et leur chauffeur syrien", vous mettez l'accent
sur la différence de nationalité, donc de traitement, entre les deux
français et le syrien ?
--
Pierre
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Mark Warner
Pierre Maurette wrote:
Au début de la prise en otage en Irak des deux journalistes français, quelques "humoristes" (de ceux qui comme Ruquier & Co déclenchent applaudissements commandés plus que rires spontanés) furent "scandalisés" du fait que le chauffeur n'était pas cité dans la plupart des dépêches. Aujourd'hui, il est amusant (sic) d'entendre systématiquement journalistes et hommes politiques conclure par "et leur chauffeur syrien".
Le sort des 2 journalistes on s'en fiche. Pour le chauffeur, syrien ne lui arrive ce serait deja pas mal.
-- Par l'hokuto a viandes, je couperai vos gigots
Pierre Maurette wrote:
Au début de la prise en otage en Irak des deux journalistes français,
quelques "humoristes" (de ceux qui comme Ruquier & Co déclenchent
applaudissements commandés plus que rires spontanés) furent
"scandalisés" du fait que le chauffeur n'était pas cité dans la
plupart des dépêches. Aujourd'hui, il est amusant (sic) d'entendre
systématiquement journalistes et hommes politiques conclure par "et
leur chauffeur syrien".
Le sort des 2 journalistes on s'en fiche. Pour le chauffeur, syrien ne
lui arrive ce serait deja pas mal.
Au début de la prise en otage en Irak des deux journalistes français, quelques "humoristes" (de ceux qui comme Ruquier & Co déclenchent applaudissements commandés plus que rires spontanés) furent "scandalisés" du fait que le chauffeur n'était pas cité dans la plupart des dépêches. Aujourd'hui, il est amusant (sic) d'entendre systématiquement journalistes et hommes politiques conclure par "et leur chauffeur syrien".
Le sort des 2 journalistes on s'en fiche. Pour le chauffeur, syrien ne lui arrive ce serait deja pas mal.
-- Par l'hokuto a viandes, je couperai vos gigots
Pierre Maurette
Mark Warner a écrit:
Pierre Maurette wrote:
Au début de la prise en otage en Irak des deux journalistes français, quelques "humoristes" (de ceux qui comme Ruquier & Co déclenchent applaudissements commandés plus que rires spontanés) furent "scandalisés" du fait que le chauffeur n'était pas cité dans la plupart des dépêches. Aujourd'hui, il est amusant (sic) d'entendre systématiquement journalistes et hommes politiques conclure par "et leur chauffeur syrien".
Le sort des 2 journalistes on s'en fiche. Pour le chauffeur, syrien ne lui arrive ce serait deja pas mal.
Vous avez avalé un clown, mais de travers. Toussez un coup, ça ira mieux. -- Pierre
Mark Warner <lixialong@aol.com> a écrit:
Pierre Maurette wrote:
Au début de la prise en otage en Irak des deux journalistes français,
quelques "humoristes" (de ceux qui comme Ruquier & Co déclenchent
applaudissements commandés plus que rires spontanés) furent
"scandalisés" du fait que le chauffeur n'était pas cité dans la
plupart des dépêches. Aujourd'hui, il est amusant (sic) d'entendre
systématiquement journalistes et hommes politiques conclure par "et
leur chauffeur syrien".
Le sort des 2 journalistes on s'en fiche. Pour le chauffeur, syrien ne
lui arrive ce serait deja pas mal.
Vous avez avalé un clown, mais de travers. Toussez un coup, ça ira
mieux.
--
Pierre
Au début de la prise en otage en Irak des deux journalistes français, quelques "humoristes" (de ceux qui comme Ruquier & Co déclenchent applaudissements commandés plus que rires spontanés) furent "scandalisés" du fait que le chauffeur n'était pas cité dans la plupart des dépêches. Aujourd'hui, il est amusant (sic) d'entendre systématiquement journalistes et hommes politiques conclure par "et leur chauffeur syrien".
Le sort des 2 journalistes on s'en fiche. Pour le chauffeur, syrien ne lui arrive ce serait deja pas mal.
Vous avez avalé un clown, mais de travers. Toussez un coup, ça ira mieux. -- Pierre
chevalier b.
"Pierre Maurette"
Au début de la prise en otage en Irak des deux journalistes français, quelques "humoristes" (de ceux qui comme Ruquier & Co déclenchent applaudissements commandés plus que rires spontanés) furent "scandalisés" du fait que le chauffeur n'était pas cité dans la plupart des dépêches. Aujourd'hui, il est amusant (sic) d'entendre systématiquement journalistes et hommes politiques conclure par "et leur chauffeur syrien".
Moi aussi, la mention tardive du chauffeur me choque. Et pourquoi ne pas l'appeler par son nom, on dirait qu'il y a deux classes sociales : les journalistes et le chauffeur, moins important à cause de ses fonctions subalternes et donc cité en dernier par sa seule fonction. (et aussi parce qu'il n'est "que" syrien) C'est un peu comme les femmes qui n'ont droit qu'au prénom quand elles présentent une émission avec un homme (Maryse et Christian Morin, dans le temps sur Europe 1), ou qu'elles sont secrétaires de direction, ou au XIXe siècle bien sûr, femmes de ménage.
"Pierre Maurette"
Au début de la prise en otage en Irak des deux journalistes français,
quelques "humoristes" (de ceux qui comme Ruquier & Co déclenchent
applaudissements commandés plus que rires spontanés) furent
"scandalisés" du fait que le chauffeur n'était pas cité dans la
plupart des dépêches. Aujourd'hui, il est amusant (sic) d'entendre
systématiquement journalistes et hommes politiques conclure par "et
leur chauffeur syrien".
Moi aussi, la mention tardive du chauffeur me choque. Et pourquoi ne pas
l'appeler par son nom, on dirait qu'il y a deux classes sociales : les
journalistes et le chauffeur, moins important à cause de ses fonctions
subalternes et donc cité en dernier par sa seule fonction. (et aussi
parce qu'il n'est "que" syrien) C'est un peu comme les femmes qui n'ont
droit qu'au prénom quand elles présentent une émission avec un homme
(Maryse et Christian Morin, dans le temps sur Europe 1), ou qu'elles
sont secrétaires de direction, ou au XIXe siècle bien sûr, femmes de
ménage.
Au début de la prise en otage en Irak des deux journalistes français, quelques "humoristes" (de ceux qui comme Ruquier & Co déclenchent applaudissements commandés plus que rires spontanés) furent "scandalisés" du fait que le chauffeur n'était pas cité dans la plupart des dépêches. Aujourd'hui, il est amusant (sic) d'entendre systématiquement journalistes et hommes politiques conclure par "et leur chauffeur syrien".
Moi aussi, la mention tardive du chauffeur me choque. Et pourquoi ne pas l'appeler par son nom, on dirait qu'il y a deux classes sociales : les journalistes et le chauffeur, moins important à cause de ses fonctions subalternes et donc cité en dernier par sa seule fonction. (et aussi parce qu'il n'est "que" syrien) C'est un peu comme les femmes qui n'ont droit qu'au prénom quand elles présentent une émission avec un homme (Maryse et Christian Morin, dans le temps sur Europe 1), ou qu'elles sont secrétaires de direction, ou au XIXe siècle bien sûr, femmes de ménage.
Maitre Po
"chevalier b." a écrit
Moi aussi, la mention tardive du chauffeur me choque. Et pourquoi ne pas l'appeler par son nom, on dirait qu'il y a deux classes sociales : les journalistes et le chauffeur
Ils t'ont entendu (ou lu). Hier, j'ai remarqué que Pujadas donnait le nom de leur-chauffeur-syrien (en un seul mot). Bon, peut-être n'était-ce point la première fois mais ce l'était pour moi.
Maître Po
"chevalier b." <pledge@spock.fr> a écrit
Moi aussi, la mention tardive du chauffeur me choque. Et pourquoi ne pas
l'appeler par son nom, on dirait qu'il y a deux classes sociales : les
journalistes et le chauffeur
Ils t'ont entendu (ou lu). Hier, j'ai remarqué que Pujadas donnait le nom de
leur-chauffeur-syrien (en un seul mot). Bon, peut-être n'était-ce point la
première fois mais ce l'était pour moi.
Moi aussi, la mention tardive du chauffeur me choque. Et pourquoi ne pas l'appeler par son nom, on dirait qu'il y a deux classes sociales : les journalistes et le chauffeur
Ils t'ont entendu (ou lu). Hier, j'ai remarqué que Pujadas donnait le nom de leur-chauffeur-syrien (en un seul mot). Bon, peut-être n'était-ce point la première fois mais ce l'était pour moi.
Maître Po
Pierre Maurette
"chevalier b." a écrit:
"Pierre Maurette"
Au début de la prise en otage en Irak des deux journalistes français, quelques "humoristes" (de ceux qui comme Ruquier & Co déclenchent applaudissements commandés plus que rires spontanés) furent "scandalisés" du fait que le chauffeur n'était pas cité dans la plupart des dépêches. Aujourd'hui, il est amusant (sic) d'entendre systématiquement journalistes et hommes politiques conclure par "et leur chauffeur syrien".
Moi aussi, la mention tardive du chauffeur me choque. Et pourquoi ne pas l'appeler par son nom, on dirait qu'il y a deux classes sociales : les journalistes et le chauffeur, moins important à cause de ses fonctions subalternes et donc cité en dernier par sa seule fonction. (et aussi parce qu'il n'est "que" syrien) C'est un peu comme les femmes qui n'ont droit qu'au prénom quand elles présentent une émission avec un homme (Maryse et Christian Morin, dans le temps sur Europe 1), ou qu'elles sont secrétaires de direction, ou au XIXe siècle bien sûr, femmes de ménage.
En réalité, je ne suis pas spécialement choqué. Plutôt amusé par le fait que tout le monde se met au diapason d'une phrase type. Qui pourrait bien changer s'il est remarqué par Ruquier ou dans "Arrêt sur image" qu'on ne donne pas le nom du chauffeur. Pour le prénom des femmes, il me semble que chaque animateur se choisit un nom, ou plutôt un pseudo. On dit Maryse et Christian Morin (je crois que c'est Maryse et Laurent Ruquier actuellement), mais Anne Gaillard, Fabrice, Le Doc. -- Pierre
"chevalier b." <pledge@spock.fr> a écrit:
"Pierre Maurette"
Au début de la prise en otage en Irak des deux journalistes français,
quelques "humoristes" (de ceux qui comme Ruquier & Co déclenchent
applaudissements commandés plus que rires spontanés) furent
"scandalisés" du fait que le chauffeur n'était pas cité dans la
plupart des dépêches. Aujourd'hui, il est amusant (sic) d'entendre
systématiquement journalistes et hommes politiques conclure par "et
leur chauffeur syrien".
Moi aussi, la mention tardive du chauffeur me choque. Et pourquoi ne pas
l'appeler par son nom, on dirait qu'il y a deux classes sociales : les
journalistes et le chauffeur, moins important à cause de ses fonctions
subalternes et donc cité en dernier par sa seule fonction. (et aussi
parce qu'il n'est "que" syrien) C'est un peu comme les femmes qui n'ont
droit qu'au prénom quand elles présentent une émission avec un homme
(Maryse et Christian Morin, dans le temps sur Europe 1), ou qu'elles
sont secrétaires de direction, ou au XIXe siècle bien sûr, femmes de
ménage.
En réalité, je ne suis pas spécialement choqué. Plutôt amusé par le
fait que tout le monde se met au diapason d'une phrase type. Qui
pourrait bien changer s'il est remarqué par Ruquier ou dans "Arrêt sur
image" qu'on ne donne pas le nom du chauffeur.
Pour le prénom des femmes, il me semble que chaque animateur se
choisit un nom, ou plutôt un pseudo. On dit Maryse et Christian Morin
(je crois que c'est Maryse et Laurent Ruquier actuellement), mais Anne
Gaillard, Fabrice, Le Doc.
--
Pierre
Au début de la prise en otage en Irak des deux journalistes français, quelques "humoristes" (de ceux qui comme Ruquier & Co déclenchent applaudissements commandés plus que rires spontanés) furent "scandalisés" du fait que le chauffeur n'était pas cité dans la plupart des dépêches. Aujourd'hui, il est amusant (sic) d'entendre systématiquement journalistes et hommes politiques conclure par "et leur chauffeur syrien".
Moi aussi, la mention tardive du chauffeur me choque. Et pourquoi ne pas l'appeler par son nom, on dirait qu'il y a deux classes sociales : les journalistes et le chauffeur, moins important à cause de ses fonctions subalternes et donc cité en dernier par sa seule fonction. (et aussi parce qu'il n'est "que" syrien) C'est un peu comme les femmes qui n'ont droit qu'au prénom quand elles présentent une émission avec un homme (Maryse et Christian Morin, dans le temps sur Europe 1), ou qu'elles sont secrétaires de direction, ou au XIXe siècle bien sûr, femmes de ménage.
En réalité, je ne suis pas spécialement choqué. Plutôt amusé par le fait que tout le monde se met au diapason d'une phrase type. Qui pourrait bien changer s'il est remarqué par Ruquier ou dans "Arrêt sur image" qu'on ne donne pas le nom du chauffeur. Pour le prénom des femmes, il me semble que chaque animateur se choisit un nom, ou plutôt un pseudo. On dit Maryse et Christian Morin (je crois que c'est Maryse et Laurent Ruquier actuellement), mais Anne Gaillard, Fabrice, Le Doc. -- Pierre
chevalier b.
"Pierre Maurette"
En réalité, je ne suis pas spécialement choqué. Plutôt amusé par le fait que tout le monde se met au diapason d'une phrase type.
Ca me rappelle une anecdote de Jean Claude Brialy, dans "le Ruisseau des singes" : ils ont tourné "les Malheurs de Sophie" dans un château prêté par une châtelaine, et le dernier jour, ils ont présenté les acteurs à la dame, à sa demande : elle a serré la main à tout le monde, sauf à l'actrice qui jouait la bonne (qu'elle a saluée poliment de loin).
"Pierre Maurette"
En réalité, je ne suis pas spécialement choqué. Plutôt amusé par le
fait que tout le monde se met au diapason d'une phrase type.
Ca me rappelle une anecdote de Jean Claude Brialy, dans "le Ruisseau des
singes" : ils ont tourné "les Malheurs de Sophie" dans un château prêté
par une châtelaine, et le dernier jour, ils ont présenté les acteurs à
la dame, à sa demande : elle a serré la main à tout le monde, sauf à
l'actrice qui jouait la bonne (qu'elle a saluée poliment de loin).
En réalité, je ne suis pas spécialement choqué. Plutôt amusé par le fait que tout le monde se met au diapason d'une phrase type.
Ca me rappelle une anecdote de Jean Claude Brialy, dans "le Ruisseau des singes" : ils ont tourné "les Malheurs de Sophie" dans un château prêté par une châtelaine, et le dernier jour, ils ont présenté les acteurs à la dame, à sa demande : elle a serré la main à tout le monde, sauf à l'actrice qui jouait la bonne (qu'elle a saluée poliment de loin).
Pierre Maurette
"chevalier b." a écrit:
"Pierre Maurette"
En réalité, je ne suis pas spécialement choqué. Plutôt amusé par le fait que tout le monde se met au diapason d'une phrase type.
Ca me rappelle une anecdote de Jean Claude Brialy, dans "le Ruisseau des singes" : ils ont tourné "les Malheurs de Sophie" dans un château prêté par une châtelaine, et le dernier jour, ils ont présenté les acteurs à la dame, à sa demande : elle a serré la main à tout le monde, sauf à l'actrice qui jouait la bonne (qu'elle a saluée poliment de loin).
Brialy est une mine d'or en anecdotes, je l'ai entendu à midi sur Inter, avec Stéphane Bern, c'était "mignon".
Les artistes en opération promotion ont un tel besoin d'anecdotes que j'ai parfois des doutes. La chanteuse Emilie Simon, génération minaudeurs têtes à claques (chef de file Delerm fils), la nuit à la radio. Elle la joue rebelle SDF etc. Elle raconte qu'elle à débuté dans un squat. Elle commence sa phrase "Je répétais dans un squat, y'avais pas de chauffage, pas d'électr...". Et là, elle se rend compte que sa spécialité, ce sont les synthès et qu'elle est mal barrée. Elle se reprend :"...enfin, très peu d'électricité" ;-) Tiens, votre histoire de bonne m'en rappelle une autre, qu'on entend de temps en temps. Les figurants d'une armée, tous recrutés au même tarif, se regrouperaient lors de la pause cantine en groupes d'officiers, de soldats, etc. Belle histoire, même si elle n'est pas tout à fait exacte. Personnellement, je rajouterais bien un bourreau qui bouffe seul, ça aurait de la gueule ... -- Pierre
"chevalier b." <pledge@spock.fr> a écrit:
"Pierre Maurette"
En réalité, je ne suis pas spécialement choqué. Plutôt amusé par le
fait que tout le monde se met au diapason d'une phrase type.
Ca me rappelle une anecdote de Jean Claude Brialy, dans "le Ruisseau des
singes" : ils ont tourné "les Malheurs de Sophie" dans un château prêté
par une châtelaine, et le dernier jour, ils ont présenté les acteurs à
la dame, à sa demande : elle a serré la main à tout le monde, sauf à
l'actrice qui jouait la bonne (qu'elle a saluée poliment de loin).
Brialy est une mine d'or en anecdotes, je l'ai entendu à midi sur
Inter, avec Stéphane Bern, c'était "mignon".
Les artistes en opération promotion ont un tel besoin d'anecdotes que
j'ai parfois des doutes.
La chanteuse Emilie Simon, génération minaudeurs têtes à claques (chef
de file Delerm fils), la nuit à la radio. Elle la joue rebelle SDF
etc. Elle raconte qu'elle à débuté dans un squat. Elle commence sa
phrase "Je répétais dans un squat, y'avais pas de chauffage, pas
d'électr...". Et là, elle se rend compte que sa spécialité, ce sont
les synthès et qu'elle est mal barrée. Elle se reprend :"...enfin,
très peu d'électricité" ;-)
Tiens, votre histoire de bonne m'en rappelle une autre, qu'on entend
de temps en temps. Les figurants d'une armée, tous recrutés au même
tarif, se regrouperaient lors de la pause cantine en groupes
d'officiers, de soldats, etc. Belle histoire, même si elle n'est pas
tout à fait exacte. Personnellement, je rajouterais bien un bourreau
qui bouffe seul, ça aurait de la gueule ...
--
Pierre
En réalité, je ne suis pas spécialement choqué. Plutôt amusé par le fait que tout le monde se met au diapason d'une phrase type.
Ca me rappelle une anecdote de Jean Claude Brialy, dans "le Ruisseau des singes" : ils ont tourné "les Malheurs de Sophie" dans un château prêté par une châtelaine, et le dernier jour, ils ont présenté les acteurs à la dame, à sa demande : elle a serré la main à tout le monde, sauf à l'actrice qui jouait la bonne (qu'elle a saluée poliment de loin).
Brialy est une mine d'or en anecdotes, je l'ai entendu à midi sur Inter, avec Stéphane Bern, c'était "mignon".
Les artistes en opération promotion ont un tel besoin d'anecdotes que j'ai parfois des doutes. La chanteuse Emilie Simon, génération minaudeurs têtes à claques (chef de file Delerm fils), la nuit à la radio. Elle la joue rebelle SDF etc. Elle raconte qu'elle à débuté dans un squat. Elle commence sa phrase "Je répétais dans un squat, y'avais pas de chauffage, pas d'électr...". Et là, elle se rend compte que sa spécialité, ce sont les synthès et qu'elle est mal barrée. Elle se reprend :"...enfin, très peu d'électricité" ;-) Tiens, votre histoire de bonne m'en rappelle une autre, qu'on entend de temps en temps. Les figurants d'une armée, tous recrutés au même tarif, se regrouperaient lors de la pause cantine en groupes d'officiers, de soldats, etc. Belle histoire, même si elle n'est pas tout à fait exacte. Personnellement, je rajouterais bien un bourreau qui bouffe seul, ça aurait de la gueule ... -- Pierre
pons.cantenys
Comme dit l'autre : Un chauffeur sinon RIEN hi hi hi bof !
Comme dit l'autre : Un chauffeur sinon RIEN hi hi hi bof !