On Wed, 22 Oct 2003 22:03:22 +0200, "Frederick" wrote:
:On compte début 2003 sur le plan national : : a.. 16 614 radioamateurs dûment autorisés ; : b.. 644 radio-clubs actifs ; : c.. 375 stations répétitrices autorisées
:Nouveaux indicatif sur une période de 3 mois : : :28 nouveaux indicatifs dont : : :17 Classe 3 - NON CEPT (FØ) : 9 Classe 2 - CEPT (F1/F4) : 2 Classe 1 - CEPT (F5) : :Que doit-on en penser... ?
1 - Qu'il y a 16614 radioamateurs dont une partie fréquente 644 radio-clubs, soit plusieurs par département, et qu'il y a aussi 375 stations répétitrices qui permettent de créer un lien un peu partout entre les moins bien équipés et les moins bricoleurs, grâce au travail bénévole d'une poignée des 16614 précédents.
2 - Que 16614 radioamateurs en France, dont peut-être un peu plus que la moitié sont adhérents d'une association, c'est beaucoup plus que les 3600 membres du REF de 1958, et à cette époque puisque la plupart des radioamateurs étaient "associés", on peut donc supposer qu'il y avait moins de 5000 amateurs officiels en France en 1960.
3 - Que si l'on en croit F9ND, vice-président du REF qui s'exprimait en 1963 toujours, dans Radio-REF : "Demain nous serons dix mille, sachez être les entraineurs et non les inutiles qu'on abandonne sur le bord du chemin. [...] Et si demain nous sommes dix mille, nos bandes exclusives seront mieux respectées, toutes nos bandes seront mieux défendues, on nous accordera de nouvelles facilités, sachez être de ceux à qui nous le devrons. [...] Allez aux réunions, participez [...], proposez vous pour un travail, pour animer un groupe, donner un peu de vous-même."
4 - Que si on s'en tient seulement aux chiffres de ces 20 dernières années, la progression du nombre de radioamateurs a été un peu cahotique et qu'il y a peut-être quelques explications à celà : - On ne gagne pas en se divisant mais en se rassemblant au moins sur les principes fondamentaux. - On ne gagne pas en s'affaiblissant mutuellement lorsqu'on en est arrivé à la division. - On ne gagne pas en grossissant artificiellement et rapidement le nombre avec des utilisateurs de matériel commercial et en croyant ensuite qu'on peut se reposer sur ses lauriers. - On ne gagne pas en recrutant des adhérents qui consomment des produits et des services sans sortir de chez eux et sans donner un peu d'eux-mêmes, comme le faisait remarquer F9ND.
5 - Que 5000 à 10000 radioamateurs à peu près respectueux des règles et assez soucieux des usages, pas encore atteints par le goût de la procédure judiciaire, et donnant un peu d'eux-mêmes, ont réussi à mettre en place un service amateur français respectable et respecté et qui a progressé pendant les trois premiers quarts de son existence alors qu'il n'est pas certain qu'on puisse en dire autant du dernier quart que nous venons de vivre.
6 - Qu'il y a peut-être 16614 titulaires d'une licence amateur, mais qu'il n'est plus certain qu'il ait aussi 16614 radioamateurs tels qu'ils sont définis par la réglementation.
7 - Que 28 licences ont été attribuées en un trimestre dont 17 n'ont aucune valeur en-dehors de nos frontières. Il reste donc 11 licenciés par trimestre + une partie des 28 précédents qui vont faire l'effort de quitter leur situation de novice, soit un total aux environs d'une centaine par an si çà continue.
8 - Que le point 7 a au minimum une explication partielle : lorsqu'on sait que le régime auquel on est soumis va changer, on attend passivement que le régime change pour décider de bouger. Visiblement, pour l'instant, il n'y a eu que 28 téméraires en trois mois dont 2 seulement ont en plus accepté courageusement de passer un examen qui devrait disparaître un jour où l'autre.
9 - Qu'on avait déja eu droit à un blocage assez long des sessions d'examen pour cause de démélés judiciaires en Conseil d'Etat.
10 - Qu'en attendant encore un peu, il n'y aura plus de nouveaux licenciés durant les trois ou quatre prochaines années car la propagation dont vont bénéficier, si je puis dire, les bandes HF va décourager les derniers candidats mécontentents de leur sort actuel et qui rêvent de loisirs paradisiaques "en déca".
Conclusion temporaire :
Serais-ce une catastrophe que nous retombions à 15000 ou même 12000 en 2010 ? Chacun jugera en son âme et conscience... Ensuite la propagation HF nous aidera éventuellement et en attendant, seuls les bricoleurs survivront. Les autres resteront ... sur le bord du chemin, privés de leur seule oxygène : les QSO "conviviaux".
Francis F6AWN
Bonsoir,
On Wed, 22 Oct 2003 22:03:22 +0200, "Frederick" <f0dbd@free.fx> wrote:
:On compte début 2003 sur le plan national :
: a.. 16 614 radioamateurs dûment autorisés ;
: b.. 644 radio-clubs actifs ;
: c.. 375 stations répétitrices autorisées
:Nouveaux indicatif sur une période de 3 mois :
:
:28 nouveaux indicatifs dont :
:
:17 Classe 3 - NON CEPT (FØ)
: 9 Classe 2 - CEPT (F1/F4)
: 2 Classe 1 - CEPT (F5)
:
:Que doit-on en penser... ?
1 - Qu'il y a 16614 radioamateurs dont une partie fréquente 644
radio-clubs, soit plusieurs par département, et qu'il y a aussi 375
stations répétitrices qui permettent de créer un lien un peu partout
entre les moins bien équipés et les moins bricoleurs, grâce au travail
bénévole d'une poignée des 16614 précédents.
2 - Que 16614 radioamateurs en France, dont peut-être un peu plus que
la moitié sont adhérents d'une association, c'est beaucoup plus que
les 3600 membres du REF de 1958, et à cette époque puisque la plupart
des radioamateurs étaient "associés", on peut donc supposer qu'il y
avait moins de 5000 amateurs officiels en France en 1960.
3 - Que si l'on en croit F9ND, vice-président du REF qui s'exprimait
en 1963 toujours, dans Radio-REF : "Demain nous serons dix mille,
sachez être les entraineurs et non les inutiles qu'on abandonne sur le
bord du chemin. [...] Et si demain nous sommes dix mille, nos bandes
exclusives seront mieux respectées, toutes nos bandes seront mieux
défendues, on nous accordera de nouvelles facilités, sachez être de
ceux à qui nous le devrons. [...] Allez aux réunions, participez
[...], proposez vous pour un travail, pour animer un groupe, donner un
peu de vous-même."
4 - Que si on s'en tient seulement aux chiffres de ces 20 dernières
années, la progression du nombre de radioamateurs a été un peu
cahotique et qu'il y a peut-être quelques explications à celà :
- On ne gagne pas en se divisant mais en se rassemblant au moins sur
les principes fondamentaux.
- On ne gagne pas en s'affaiblissant mutuellement lorsqu'on en est
arrivé à la division.
- On ne gagne pas en grossissant artificiellement et rapidement le
nombre avec des utilisateurs de matériel commercial et en croyant
ensuite qu'on peut se reposer sur ses lauriers.
- On ne gagne pas en recrutant des adhérents qui consomment des
produits et des services sans sortir de chez eux et sans donner un peu
d'eux-mêmes, comme le faisait remarquer F9ND.
5 - Que 5000 à 10000 radioamateurs à peu près respectueux des règles
et assez soucieux des usages, pas encore atteints par le goût de la
procédure judiciaire, et donnant un peu d'eux-mêmes, ont réussi à
mettre en place un service amateur français respectable et respecté et
qui a progressé pendant les trois premiers quarts de son existence
alors qu'il n'est pas certain qu'on puisse en dire autant du dernier
quart que nous venons de vivre.
6 - Qu'il y a peut-être 16614 titulaires d'une licence amateur, mais
qu'il n'est plus certain qu'il ait aussi 16614 radioamateurs tels
qu'ils sont définis par la réglementation.
7 - Que 28 licences ont été attribuées en un trimestre dont 17 n'ont
aucune valeur en-dehors de nos frontières. Il reste donc 11 licenciés
par trimestre + une partie des 28 précédents qui vont faire l'effort
de quitter leur situation de novice, soit un total aux environs d'une
centaine par an si çà continue.
8 - Que le point 7 a au minimum une explication partielle : lorsqu'on
sait que le régime auquel on est soumis va changer, on attend
passivement que le régime change pour décider de bouger. Visiblement,
pour l'instant, il n'y a eu que 28 téméraires en trois mois dont 2
seulement ont en plus accepté courageusement de passer un examen qui
devrait disparaître un jour où l'autre.
9 - Qu'on avait déja eu droit à un blocage assez long des sessions
d'examen pour cause de démélés judiciaires en Conseil d'Etat.
10 - Qu'en attendant encore un peu, il n'y aura plus de nouveaux
licenciés durant les trois ou quatre prochaines années car la
propagation dont vont bénéficier, si je puis dire, les bandes HF va
décourager les derniers candidats mécontentents de leur sort actuel et
qui rêvent de loisirs paradisiaques "en déca".
Conclusion temporaire :
Serais-ce une catastrophe que nous retombions à 15000 ou même 12000 en
2010 ? Chacun jugera en son âme et conscience... Ensuite la
propagation HF nous aidera éventuellement et en attendant, seuls les
bricoleurs survivront. Les autres resteront ... sur le bord du chemin,
privés de leur seule oxygène : les QSO "conviviaux".
On Wed, 22 Oct 2003 22:03:22 +0200, "Frederick" wrote:
:On compte début 2003 sur le plan national : : a.. 16 614 radioamateurs dûment autorisés ; : b.. 644 radio-clubs actifs ; : c.. 375 stations répétitrices autorisées
:Nouveaux indicatif sur une période de 3 mois : : :28 nouveaux indicatifs dont : : :17 Classe 3 - NON CEPT (FØ) : 9 Classe 2 - CEPT (F1/F4) : 2 Classe 1 - CEPT (F5) : :Que doit-on en penser... ?
1 - Qu'il y a 16614 radioamateurs dont une partie fréquente 644 radio-clubs, soit plusieurs par département, et qu'il y a aussi 375 stations répétitrices qui permettent de créer un lien un peu partout entre les moins bien équipés et les moins bricoleurs, grâce au travail bénévole d'une poignée des 16614 précédents.
2 - Que 16614 radioamateurs en France, dont peut-être un peu plus que la moitié sont adhérents d'une association, c'est beaucoup plus que les 3600 membres du REF de 1958, et à cette époque puisque la plupart des radioamateurs étaient "associés", on peut donc supposer qu'il y avait moins de 5000 amateurs officiels en France en 1960.
3 - Que si l'on en croit F9ND, vice-président du REF qui s'exprimait en 1963 toujours, dans Radio-REF : "Demain nous serons dix mille, sachez être les entraineurs et non les inutiles qu'on abandonne sur le bord du chemin. [...] Et si demain nous sommes dix mille, nos bandes exclusives seront mieux respectées, toutes nos bandes seront mieux défendues, on nous accordera de nouvelles facilités, sachez être de ceux à qui nous le devrons. [...] Allez aux réunions, participez [...], proposez vous pour un travail, pour animer un groupe, donner un peu de vous-même."
4 - Que si on s'en tient seulement aux chiffres de ces 20 dernières années, la progression du nombre de radioamateurs a été un peu cahotique et qu'il y a peut-être quelques explications à celà : - On ne gagne pas en se divisant mais en se rassemblant au moins sur les principes fondamentaux. - On ne gagne pas en s'affaiblissant mutuellement lorsqu'on en est arrivé à la division. - On ne gagne pas en grossissant artificiellement et rapidement le nombre avec des utilisateurs de matériel commercial et en croyant ensuite qu'on peut se reposer sur ses lauriers. - On ne gagne pas en recrutant des adhérents qui consomment des produits et des services sans sortir de chez eux et sans donner un peu d'eux-mêmes, comme le faisait remarquer F9ND.
5 - Que 5000 à 10000 radioamateurs à peu près respectueux des règles et assez soucieux des usages, pas encore atteints par le goût de la procédure judiciaire, et donnant un peu d'eux-mêmes, ont réussi à mettre en place un service amateur français respectable et respecté et qui a progressé pendant les trois premiers quarts de son existence alors qu'il n'est pas certain qu'on puisse en dire autant du dernier quart que nous venons de vivre.
6 - Qu'il y a peut-être 16614 titulaires d'une licence amateur, mais qu'il n'est plus certain qu'il ait aussi 16614 radioamateurs tels qu'ils sont définis par la réglementation.
7 - Que 28 licences ont été attribuées en un trimestre dont 17 n'ont aucune valeur en-dehors de nos frontières. Il reste donc 11 licenciés par trimestre + une partie des 28 précédents qui vont faire l'effort de quitter leur situation de novice, soit un total aux environs d'une centaine par an si çà continue.
8 - Que le point 7 a au minimum une explication partielle : lorsqu'on sait que le régime auquel on est soumis va changer, on attend passivement que le régime change pour décider de bouger. Visiblement, pour l'instant, il n'y a eu que 28 téméraires en trois mois dont 2 seulement ont en plus accepté courageusement de passer un examen qui devrait disparaître un jour où l'autre.
9 - Qu'on avait déja eu droit à un blocage assez long des sessions d'examen pour cause de démélés judiciaires en Conseil d'Etat.
10 - Qu'en attendant encore un peu, il n'y aura plus de nouveaux licenciés durant les trois ou quatre prochaines années car la propagation dont vont bénéficier, si je puis dire, les bandes HF va décourager les derniers candidats mécontentents de leur sort actuel et qui rêvent de loisirs paradisiaques "en déca".
Conclusion temporaire :
Serais-ce une catastrophe que nous retombions à 15000 ou même 12000 en 2010 ? Chacun jugera en son âme et conscience... Ensuite la propagation HF nous aidera éventuellement et en attendant, seuls les bricoleurs survivront. Les autres resteront ... sur le bord du chemin, privés de leur seule oxygène : les QSO "conviviaux".
Francis F6AWN
Didier
Bonjour Alain,
Que dans 5 ans les F0 seront majoritaires ...
Je ne le pense pas... bien au contraire.
La F0 ne peut être qu'une "étape" avant la classe 2 ou 1. C'est bien comme cela qu'il faut la considérer.
C'est ce que j'esperais, mais force est de constater que ce n'est pas le cas. Si cette licence avait été limitée dans le temps ou entre l'age de 16 à 18 ans, cela aurait été une fort bonne affaire pour le radioamateurisme.
On passe la licence en deux fois, en clair on se débarrasse d'une partie un peu chiante (tous les tableaux à apprendre par coeur...) qui permet quand même de prendre le micro et surtout de mettre le pied dans le monde radioamateur.
Je ne dis pas le contraire, mais je constate aussi qu'un nombre non negligeable de F0 reste F0 et n'a pas évolué depuis la licence initiale. Et c'est bien domage. Peut etre ceux ci ne sont pas assez "poussés" par les OM's locaux.
Il y a un paradoxe par ailleurs: certains F0 ont un niveau technique bien supérieur à l'examen technique mais restent F0.
Donc, sauf cas exceptionnels, les F0 sont appelés à devenir des classes 2 ou 1. Et puis c'est marrant, en ce moment il y a un F0 qui bossse la classe 2 tout seul, quand il ne sait pas faire un exercice il demande sur le relais local... pratique quand même !
C'est exactement pour celà qu'a été créee la classe F0: pour préparer la licence complète. Connait-on le pourcentage de F0 passant en F4 ? Je ne suis pas sur, qu'actuellemnt il soit important. Peut etre se décideront ils avec l'autorisation d'emettre sur déca, à moins qu'elle soit accordée aussi aux F0.
Et puis, avec la FO, c'est la première que je discute en radio avec un de mes élèves en allant au radio-club pour les cours, ou en revenant...
Il aurait été F1, cela n'aurait rien changé, mais je l'admets, ca fait plaisir!
73 Didier
Bonjour Alain,
Que dans 5 ans les F0 seront majoritaires ...
Je ne le pense pas... bien au contraire.
La F0 ne peut être qu'une "étape" avant la classe 2 ou 1. C'est bien comme
cela qu'il faut la considérer.
C'est ce que j'esperais, mais force est de constater que ce n'est pas le cas. Si
cette licence avait été limitée dans le temps ou entre l'age de 16 à 18 ans,
cela aurait été une fort bonne affaire pour le radioamateurisme.
On passe la licence en deux fois, en clair
on se débarrasse d'une partie un peu chiante (tous les tableaux à
apprendre par coeur...) qui permet quand même de prendre le micro et
surtout de mettre le pied dans le monde radioamateur.
Je ne dis pas le contraire, mais je constate aussi qu'un nombre non negligeable
de F0 reste F0 et n'a pas évolué depuis la licence initiale. Et c'est bien
domage. Peut etre ceux ci ne sont pas assez "poussés" par les OM's locaux.
Il y a un paradoxe par ailleurs: certains F0 ont un niveau technique bien
supérieur à l'examen technique mais restent F0.
Donc, sauf cas exceptionnels, les F0 sont appelés à devenir des classes 2
ou 1. Et puis c'est marrant, en ce moment il y a un F0 qui bossse la
classe 2 tout seul, quand il ne sait pas faire un exercice il demande sur
le relais local... pratique quand même !
C'est exactement pour celà qu'a été créee la classe F0: pour préparer la licence
complète.
Connait-on le pourcentage de F0 passant en F4 ? Je ne suis pas sur,
qu'actuellemnt il soit important. Peut etre se décideront ils avec
l'autorisation d'emettre sur déca, à moins qu'elle soit accordée aussi aux F0.
Et puis, avec la FO, c'est la première que je discute en radio avec un de
mes élèves en allant au radio-club pour les cours, ou en revenant...
Il aurait été F1, cela n'aurait rien changé, mais je l'admets, ca fait plaisir!
La F0 ne peut être qu'une "étape" avant la classe 2 ou 1. C'est bien comme cela qu'il faut la considérer.
C'est ce que j'esperais, mais force est de constater que ce n'est pas le cas. Si cette licence avait été limitée dans le temps ou entre l'age de 16 à 18 ans, cela aurait été une fort bonne affaire pour le radioamateurisme.
On passe la licence en deux fois, en clair on se débarrasse d'une partie un peu chiante (tous les tableaux à apprendre par coeur...) qui permet quand même de prendre le micro et surtout de mettre le pied dans le monde radioamateur.
Je ne dis pas le contraire, mais je constate aussi qu'un nombre non negligeable de F0 reste F0 et n'a pas évolué depuis la licence initiale. Et c'est bien domage. Peut etre ceux ci ne sont pas assez "poussés" par les OM's locaux.
Il y a un paradoxe par ailleurs: certains F0 ont un niveau technique bien supérieur à l'examen technique mais restent F0.
Donc, sauf cas exceptionnels, les F0 sont appelés à devenir des classes 2 ou 1. Et puis c'est marrant, en ce moment il y a un F0 qui bossse la classe 2 tout seul, quand il ne sait pas faire un exercice il demande sur le relais local... pratique quand même !
C'est exactement pour celà qu'a été créee la classe F0: pour préparer la licence complète. Connait-on le pourcentage de F0 passant en F4 ? Je ne suis pas sur, qu'actuellemnt il soit important. Peut etre se décideront ils avec l'autorisation d'emettre sur déca, à moins qu'elle soit accordée aussi aux F0.
Et puis, avec la FO, c'est la première que je discute en radio avec un de mes élèves en allant au radio-club pour les cours, ou en revenant...
Il aurait été F1, cela n'aurait rien changé, mais je l'admets, ca fait plaisir!
73 Didier
Didier
Régis Perdreau wrote:
Bonjour,
Bonne question, J'aurais envie de dire que le radioamateurisme n'intéresse pas grand monde. Une centaine de nouveau oms par an sur 60 000 0000 d'habitants...1 ou 2 par départements et par an.
Je me demande si le radioamateurisme est de nature à etre une activité de "masse", comme le foot ou le tennis. Je n'.ne suis pas certain, pas plus qu'il y ait une décroissance du nombre de radioamateurs. Nous avons toujours été une infime minorité et je pense que nous le resterons.
Cette course au nombre m'a toujours étonné. Que nous menions des actions pour faire conaitre nos activités est normal, mais voir une association donner une "prime" au recrutement dans les départements m'avait, à l'époque, choqué.
Les arrivées ne compensent sans doute pas les départs donc le nombre de radioamateurs ne peut que baisser.
Il suffit de calculer le ratio nombre de radioamateurs/population. Je ne suis pas sûr que ce ratio ait diminué durant ces 20 dernieres années. Je penserais meme qu'il est en augmentation.
73, Didier
Régis Perdreau wrote:
Bonjour,
Bonne question,
J'aurais envie de dire que le radioamateurisme n'intéresse pas grand monde.
Une centaine de nouveau oms par an sur 60 000 0000 d'habitants...1 ou 2
par départements et par an.
Je me demande si le radioamateurisme est de nature à etre une activité de
"masse", comme le foot ou le tennis. Je n'.ne suis pas certain, pas plus qu'il y
ait une décroissance du nombre de radioamateurs. Nous avons toujours été une
infime minorité et je pense que nous le resterons.
Cette course au nombre m'a toujours étonné. Que nous menions des actions pour
faire conaitre nos activités est normal, mais voir une association donner une
"prime" au recrutement dans les départements m'avait, à l'époque, choqué.
Les arrivées ne compensent sans doute pas les départs donc le nombre de radioamateurs
ne peut que baisser.
Il suffit de calculer le ratio nombre de radioamateurs/population. Je ne suis
pas sûr que ce ratio ait diminué durant ces 20 dernieres années. Je penserais
meme qu'il est en augmentation.
Bonne question, J'aurais envie de dire que le radioamateurisme n'intéresse pas grand monde. Une centaine de nouveau oms par an sur 60 000 0000 d'habitants...1 ou 2 par départements et par an.
Je me demande si le radioamateurisme est de nature à etre une activité de "masse", comme le foot ou le tennis. Je n'.ne suis pas certain, pas plus qu'il y ait une décroissance du nombre de radioamateurs. Nous avons toujours été une infime minorité et je pense que nous le resterons.
Cette course au nombre m'a toujours étonné. Que nous menions des actions pour faire conaitre nos activités est normal, mais voir une association donner une "prime" au recrutement dans les départements m'avait, à l'époque, choqué.
Les arrivées ne compensent sans doute pas les départs donc le nombre de radioamateurs ne peut que baisser.
Il suffit de calculer le ratio nombre de radioamateurs/population. Je ne suis pas sûr que ce ratio ait diminué durant ces 20 dernieres années. Je penserais meme qu'il est en augmentation.