Rien de nouveau sous le soleil ! Il y a 1/2 siècle, quand l'ascenseur social fonctionnait bien, le droit "pur" n'offait pas d'énormes débouchés, sauf à passer les concours de l'administration ou de la magistrature, ou d'avoir la chance d'avoir un papa avocat ou notaire.
Néanmoins, pour travailler dans le privé, autrement que comme sous-fifre, il pouvait s'avérer une référence utile. Soit à condition de venir en complément d'une autre formation, écoles de commerce, sces po, instituts de gestion... Soit en poussant le 3 ème cycle dans une spécialité recherchée, comme le droit pénal des affaires très apprécié des patrons voyous :-[ ou plus prosaïquement le maritime ou l'aérien.
Enfin, une boutade non dénuée de vérité circulait : "Le droit mène à tout, à condition d'en sortir. Le plus vite est le mieux !" Façon de rappeler que dans divers secteurs tels que publicité, tourisme, négociation, journalisme, politique, où il faut savoir prendre des initiatives tout en gardant les pieds sur terre, et avoir la culture du résultat sans violer ouvertement la loi mais sans craindre non plus d'opérer border line, pour les employeurs c'était un bonus.
Rien de nouveau sous le soleil !
Il y a 1/2 siècle, quand l'ascenseur social fonctionnait bien,
le droit "pur" n'offait pas d'énormes débouchés, sauf à passer
les concours de l'administration ou de la magistrature, ou d'avoir
la chance d'avoir un papa avocat ou notaire.
Néanmoins, pour travailler dans le privé, autrement que comme
sous-fifre, il pouvait s'avérer une référence utile.
Soit à condition de venir en complément d'une autre formation,
écoles de commerce, sces po, instituts de gestion...
Soit en poussant le 3 ème cycle dans une spécialité recherchée,
comme le droit pénal des affaires très apprécié des patrons
voyous :-[ ou plus prosaïquement le maritime ou l'aérien.
Enfin, une boutade non dénuée de vérité circulait :
"Le droit mène à tout, à condition d'en sortir. Le plus vite
est le mieux !"
Façon de rappeler que dans divers secteurs tels que publicité,
tourisme, négociation, journalisme, politique, où il faut savoir
prendre des initiatives tout en gardant les pieds sur terre,
et avoir la culture du résultat sans violer ouvertement la loi
mais sans craindre non plus d'opérer border line, pour les employeurs
c'était un bonus.
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Mort du journalisme citoyen :
http://christian.navis.over-blog.com
Rien de nouveau sous le soleil ! Il y a 1/2 siècle, quand l'ascenseur social fonctionnait bien, le droit "pur" n'offait pas d'énormes débouchés, sauf à passer les concours de l'administration ou de la magistrature, ou d'avoir la chance d'avoir un papa avocat ou notaire.
Néanmoins, pour travailler dans le privé, autrement que comme sous-fifre, il pouvait s'avérer une référence utile. Soit à condition de venir en complément d'une autre formation, écoles de commerce, sces po, instituts de gestion... Soit en poussant le 3 ème cycle dans une spécialité recherchée, comme le droit pénal des affaires très apprécié des patrons voyous :-[ ou plus prosaïquement le maritime ou l'aérien.
Enfin, une boutade non dénuée de vérité circulait : "Le droit mène à tout, à condition d'en sortir. Le plus vite est le mieux !" Façon de rappeler que dans divers secteurs tels que publicité, tourisme, négociation, journalisme, politique, où il faut savoir prendre des initiatives tout en gardant les pieds sur terre, et avoir la culture du résultat sans violer ouvertement la loi mais sans craindre non plus d'opérer border line, pour les employeurs c'était un bonus.