J'ai travaillé pour une entreprise qui fait des logiciels dans le
domaine juridique dirigée par ex huissier. Nous avons réalisé pour eux 4
sites pour des huissiers + le site de leur entreprise.
Concernant leur site, nous sommes partis SANS BON DE COMMANDE. Le
dirigeant de cette société a pleuré à l'époque pour que nous lui
accordions des délais de paiement. Nous avons finalement facturé au
bout de presque 1 an de la façon suivante.
J'ai facturé une première partie du site le 3/01/2005. Cette facture a
été payée.
J'ai facturé le reste du site le 1/02/2006. Le client conteste cette
facture. Je cite :
> Par ailleurs, concernant la facture émise par vos soins le
> 01/02/2006, nous vous rappelons que nous restons toujours dans
> l'attente du bon de commande la justifiant car en tout étatde cause
> sa contestation est toujours d'actualité.
La facture N°1 portes les indications suivantes :
1 Pack Web (10 pages)
7 Pages supplémentaires
La facture N°2 portes les indications suivantes :
12 Pages supplémentaires pour le site jurisoft.fr
4 Pages supplémentaires pour le site jurisoft.fr avec formulaire
J'ai un dossier avec tous les éléments fournis par le client. J'ai
les sources PSD (Photoshop). La seule chose que je n'ai pas c'est le bon
de commande.
il est très vraisemblable que vous ne pourrez vous sortir de cette situation que par l'intermédiaire d'une lettre d'avocat (qui alors vous donnera les conseils appropriés)
j'étais prêt à parier que charité bien ordonnée commençant par soi-même, vous ne prêchiez que pour votre paroisse.
J'ose espérer que tel n'est pas le cas car ce genre de réaction n'honorerait pas un Avocat et puis, tout bien considéré, je doute réellement que ce soit le cas car un Avocat n'ignorerait pas que les prétoires (ou plus exactement le banc des accusés ... pardon! des mises en examen!) regorgent des individus qu'il dépeint.
Naturellement, en désignant les spécialistes de la relation financière client, je ne visais pas davantage les sociétés de recouvrement mais cela, vous me semblez l'avoir fort bien compris ... d'où peut-être votre agacement.
Moisse a écrit :
a écrit : > Bonjour, > > En réponse à tous ces commentaires dont je prend connaissance, je > dirai:
[troll intéressant] > La solution est, à mon sens, de faire appel à des spécialistes de la > gestion de la relation financière client, des personnes qui > maîtrisent la psychologie du débiteur comme la procédure et le > risque client. >
J'en connais. Ils travaillent avec leur matériel, battes de base-ball, chaînes, nunchakus, mercurochrome et compresses d'alginate. Lorsqu'ils violent les enfants du débiteur, ils prennent le soin d'utiliser des préservatifs. Voyez-vous, la prophilaxie dans les relations professionelles, il n'y a que cela de vrai.
:-)
Bonjour,
Vous voulez sans doute parler de prophylaxie.
Vu votre précédente intervention:
il est très vraisemblable que vous ne pourrez vous sortir de cette
situation que par l'intermédiaire d'une lettre d'avocat (qui alors
vous donnera les conseils appropriés)
j'étais prêt à parier que charité bien ordonnée commençant par
soi-même, vous ne prêchiez que pour votre paroisse.
J'ose espérer que tel n'est pas le cas car ce genre de réaction
n'honorerait pas un Avocat et puis, tout bien considéré, je doute
réellement que ce soit le cas car un Avocat n'ignorerait pas que les
prétoires (ou plus exactement le banc des accusés ... pardon! des
mises en examen!) regorgent des individus qu'il dépeint.
Naturellement, en désignant les spécialistes de la relation
financière client, je ne visais pas davantage les sociétés de
recouvrement mais cela, vous me semblez l'avoir fort bien compris ...
d'où peut-être votre agacement.
Moisse a écrit :
77online@gmail.com a écrit :
> Bonjour,
>
> En réponse à tous ces commentaires dont je prend connaissance, je
> dirai:
[troll intéressant]
> La solution est, à mon sens, de faire appel à des spécialistes de la
> gestion de la relation financière client, des personnes qui
> maîtrisent la psychologie du débiteur comme la procédure et le
> risque client.
>
J'en connais.
Ils travaillent avec leur matériel, battes de base-ball, chaînes,
nunchakus, mercurochrome et compresses d'alginate.
Lorsqu'ils violent les enfants du débiteur, ils prennent le soin
d'utiliser des préservatifs.
Voyez-vous, la prophilaxie dans les relations professionelles, il n'y a
que cela de vrai.
il est très vraisemblable que vous ne pourrez vous sortir de cette situation que par l'intermédiaire d'une lettre d'avocat (qui alors vous donnera les conseils appropriés)
j'étais prêt à parier que charité bien ordonnée commençant par soi-même, vous ne prêchiez que pour votre paroisse.
J'ose espérer que tel n'est pas le cas car ce genre de réaction n'honorerait pas un Avocat et puis, tout bien considéré, je doute réellement que ce soit le cas car un Avocat n'ignorerait pas que les prétoires (ou plus exactement le banc des accusés ... pardon! des mises en examen!) regorgent des individus qu'il dépeint.
Naturellement, en désignant les spécialistes de la relation financière client, je ne visais pas davantage les sociétés de recouvrement mais cela, vous me semblez l'avoir fort bien compris ... d'où peut-être votre agacement.
Moisse a écrit :
a écrit : > Bonjour, > > En réponse à tous ces commentaires dont je prend connaissance, je > dirai:
[troll intéressant] > La solution est, à mon sens, de faire appel à des spécialistes de la > gestion de la relation financière client, des personnes qui > maîtrisent la psychologie du débiteur comme la procédure et le > risque client. >
J'en connais. Ils travaillent avec leur matériel, battes de base-ball, chaînes, nunchakus, mercurochrome et compresses d'alginate. Lorsqu'ils violent les enfants du débiteur, ils prennent le soin d'utiliser des préservatifs. Voyez-vous, la prophilaxie dans les relations professionelles, il n'y a que cela de vrai.
:-)
Moisse
a écrit :
Bonjour,
Vous voulez sans doute parler de prophylaxie.
Vu votre précédente intervention:
> il est très vraisemblable que vous ne pourrez vous sortir de cette > situation que par l'intermédiaire d'une lettre d'avocat (qui alors > vous donnera les conseils appropriés)
Vous me prêtez des propos qui ne sont pas les miens (lettre d'avocat...) Par contre les vôtres ne sont que discours sans fondement juridique, du genre fond ou forme, concussion d'huissiers, éventualité de copinage au TC et j'en passe de la solvabilité organisée. J'ai cru qu'il s'agissait d'un troll se voulant burlesque d'où mon apport final. Il est manifeste que vous ignorez tout du sujet. Le monde des relations commerciales a débuté avec les phéniciens et les contestations avec.
77online@gmail.com a écrit :
Bonjour,
Vous voulez sans doute parler de prophylaxie.
Vu votre précédente intervention:
> il est très vraisemblable que vous ne pourrez vous sortir de cette
> situation que par l'intermédiaire d'une lettre d'avocat (qui alors
> vous donnera les conseils appropriés)
Vous me prêtez des propos qui ne sont pas les miens (lettre
d'avocat...)
Par contre les vôtres ne sont que discours sans fondement juridique,
du genre fond ou forme, concussion d'huissiers, éventualité de
copinage au TC et j'en passe de la solvabilité organisée.
J'ai cru qu'il s'agissait d'un troll se voulant burlesque d'où mon
apport final.
Il est manifeste que vous ignorez tout du sujet.
Le monde des relations commerciales a débuté avec les phéniciens et
les contestations avec.
> il est très vraisemblable que vous ne pourrez vous sortir de cette > situation que par l'intermédiaire d'une lettre d'avocat (qui alors > vous donnera les conseils appropriés)
Vous me prêtez des propos qui ne sont pas les miens (lettre d'avocat...) Par contre les vôtres ne sont que discours sans fondement juridique, du genre fond ou forme, concussion d'huissiers, éventualité de copinage au TC et j'en passe de la solvabilité organisée. J'ai cru qu'il s'agissait d'un troll se voulant burlesque d'où mon apport final. Il est manifeste que vous ignorez tout du sujet. Le monde des relations commerciales a débuté avec les phéniciens et les contestations avec.