Le 28/01/2015 23:16, Bernard Isambert a écrit :Le 28/01/2015 20:59, Philippe Deleval a écrit :Bonjour à tous
C'est une blague? A mon avis, tout programmeur utilisant la fonction de
bibliothèque C char *strcpy (s, ct) devrait être renvoyé de la boîte où
il travaille pour faute grave! Il y a à côté strncpy(char *strncpy (s,
ct, n), le petit n fait la différence.
Cordialement
Philippe Deleval
Et ceux qui créé la fonction strcpy sont des criminels qui devraient
être guillotinés sur le champ. Heureusement, Zorro est arrivé et a
sauvé l'informatique...
Ceux qui ont créé strcpy n'étaient sans doute pas conscients que le
système qu'ils écrivaient et le langage qu'ils concevaient auraient une
telle fortune, avaient-ils prévu Internet? Après tout, ma source sur C
est signée Kernighan-Ritchie. C'est l'expérience qui a dégagé ce qui
était plus ou moins bon. strcpy peut encore être utilisé sans danger par
un programmeur qui sait ce qu'il fait et maîtrise la longiueur des
chaînes qu'il manipule, je pnese que c'était la vocation première. Mais
lire par strcpy une chaîne qui vient d'ailleurs, c'est un risque notoire!
Cordialement
Philippe Deleval (et non zorro, je ne sais pas monter à cheval!)
Le 28/01/2015 23:16, Bernard Isambert a écrit :
Le 28/01/2015 20:59, Philippe Deleval a écrit :
Bonjour à tous
C'est une blague? A mon avis, tout programmeur utilisant la fonction de
bibliothèque C char *strcpy (s, ct) devrait être renvoyé de la boîte où
il travaille pour faute grave! Il y a à côté strncpy(char *strncpy (s,
ct, n), le petit n fait la différence.
Cordialement
Philippe Deleval
Et ceux qui créé la fonction strcpy sont des criminels qui devraient
être guillotinés sur le champ. Heureusement, Zorro est arrivé et a
sauvé l'informatique...
Ceux qui ont créé strcpy n'étaient sans doute pas conscients que le
système qu'ils écrivaient et le langage qu'ils concevaient auraient une
telle fortune, avaient-ils prévu Internet? Après tout, ma source sur C
est signée Kernighan-Ritchie. C'est l'expérience qui a dégagé ce qui
était plus ou moins bon. strcpy peut encore être utilisé sans danger par
un programmeur qui sait ce qu'il fait et maîtrise la longiueur des
chaînes qu'il manipule, je pnese que c'était la vocation première. Mais
lire par strcpy une chaîne qui vient d'ailleurs, c'est un risque notoire!
Cordialement
Philippe Deleval (et non zorro, je ne sais pas monter à cheval!)
Le 28/01/2015 23:16, Bernard Isambert a écrit :Le 28/01/2015 20:59, Philippe Deleval a écrit :Bonjour à tous
C'est une blague? A mon avis, tout programmeur utilisant la fonction de
bibliothèque C char *strcpy (s, ct) devrait être renvoyé de la boîte où
il travaille pour faute grave! Il y a à côté strncpy(char *strncpy (s,
ct, n), le petit n fait la différence.
Cordialement
Philippe Deleval
Et ceux qui créé la fonction strcpy sont des criminels qui devraient
être guillotinés sur le champ. Heureusement, Zorro est arrivé et a
sauvé l'informatique...
Ceux qui ont créé strcpy n'étaient sans doute pas conscients que le
système qu'ils écrivaient et le langage qu'ils concevaient auraient une
telle fortune, avaient-ils prévu Internet? Après tout, ma source sur C
est signée Kernighan-Ritchie. C'est l'expérience qui a dégagé ce qui
était plus ou moins bon. strcpy peut encore être utilisé sans danger par
un programmeur qui sait ce qu'il fait et maîtrise la longiueur des
chaînes qu'il manipule, je pnese que c'était la vocation première. Mais
lire par strcpy une chaîne qui vient d'ailleurs, c'est un risque notoire!
Cordialement
Philippe Deleval (et non zorro, je ne sais pas monter à cheval!)
Le 28/01/2015 20:59, Philippe Deleval a écrit :C'est une blague? A mon avis, tout programmeur utilisant la fonction de
bibliothèque C char *strcpy (s, ct) devrait être renvoyé de la boîte où
il travaille pour faute grave!
strcpy peut encore être utilisé sans danger par
un programmeur qui sait ce qu'il fait et maîtrise la longiueur des
chaînes qu'il manipule,
Le 28/01/2015 20:59, Philippe Deleval a écrit :
C'est une blague? A mon avis, tout programmeur utilisant la fonction de
bibliothèque C char *strcpy (s, ct) devrait être renvoyé de la boîte où
il travaille pour faute grave!
strcpy peut encore être utilisé sans danger par
un programmeur qui sait ce qu'il fait et maîtrise la longiueur des
chaînes qu'il manipule,
Le 28/01/2015 20:59, Philippe Deleval a écrit :C'est une blague? A mon avis, tout programmeur utilisant la fonction de
bibliothèque C char *strcpy (s, ct) devrait être renvoyé de la boîte où
il travaille pour faute grave!
strcpy peut encore être utilisé sans danger par
un programmeur qui sait ce qu'il fait et maîtrise la longiueur des
chaînes qu'il manipule,
C'est une blague? A mon avis, tout programmeur utilisant la fonction
de bibliothèque C char *strcpy (s, ct) devrait être renvoyà © de la
boîte où il travaille pour faute grave! Il y a à côt é strncpy(char
*strncpy (s, ct, n), le petit n fait la différence.
C'est une blague? A mon avis, tout programmeur utilisant la fonction
de bibliothèque C char *strcpy (s, ct) devrait être renvoyà © de la
boîte où il travaille pour faute grave! Il y a à côt é strncpy(char
*strncpy (s, ct, n), le petit n fait la différence.
C'est une blague? A mon avis, tout programmeur utilisant la fonction
de bibliothèque C char *strcpy (s, ct) devrait être renvoyà © de la
boîte où il travaille pour faute grave! Il y a à côt é strncpy(char
*strncpy (s, ct, n), le petit n fait la différence.
Il y a de ça. Chaque ouverture d'un fichier compte pour un lien vers
l'inode correspondant, au même titre que les liens durs dans les
répertoires. La mise à jour fait pointer le nom du fichier vers un
nouvel inode
qui contient la nouvelle version du fichier, mais l'inode
originel reste présent
tant qu'il reste des liens, donc tant qu'il n'est
pas fermé par les processus qui l'ont ouvert.
Il y a de ça. Chaque ouverture d'un fichier compte pour un lien vers
l'inode correspondant, au même titre que les liens durs dans les
répertoires. La mise à jour fait pointer le nom du fichier vers un
nouvel inode
qui contient la nouvelle version du fichier, mais l'inode
originel reste présent
tant qu'il reste des liens, donc tant qu'il n'est
pas fermé par les processus qui l'ont ouvert.
Il y a de ça. Chaque ouverture d'un fichier compte pour un lien vers
l'inode correspondant, au même titre que les liens durs dans les
répertoires. La mise à jour fait pointer le nom du fichier vers un
nouvel inode
qui contient la nouvelle version du fichier, mais l'inode
originel reste présent
tant qu'il reste des liens, donc tant qu'il n'est
pas fermé par les processus qui l'ont ouvert.
Sur les distrib plus récentes (wheezy-backports, jessie, sid) tu
peux utiliser la commande "needrestart", du paquet du même nom, qui
liste les daemons à redémarrer et les redémarre si tu le s ouhaite.
Une fois le paquet "needrestart" installé, il est lancé à la fin des
installations par apt.
Sur les distrib plus récentes (wheezy-backports, jessie, sid) tu
peux utiliser la commande "needrestart", du paquet du même nom, qui
liste les daemons à redémarrer et les redémarre si tu le s ouhaite.
Une fois le paquet "needrestart" installé, il est lancé à la fin des
installations par apt.
Sur les distrib plus récentes (wheezy-backports, jessie, sid) tu
peux utiliser la commande "needrestart", du paquet du même nom, qui
liste les daemons à redémarrer et les redémarre si tu le s ouhaite.
Une fois le paquet "needrestart" installé, il est lancé à la fin des
installations par apt.
Bonjour,
Le Wed, 28 Jan 2015 15:50:11 +0100,
Frédéric MASSOT a écrit :
[...]Sur les distrib plus récentes (wheezy-backports, jessie, sid) tu
peux utiliser la commande "needrestart", du paquet du même nom, qui
liste les daemons à redémarrer et les redémarre si tu le souhaite.
Une fois le paquet "needrestart" installé, il est lancé à la fin des
installations par apt.
J'utilise en effet needrestart sur mon ordi personnel et il fonctionne
parfaitement.
Maintenant, sachant qu'il est lancé automatiquement à la fin de la mise
à jour, je me demandais comment cela se passait dans le cas d'un
lancement batch de mise à jour [j'avoue que je n'ai pas encore testé] ?
Est-ce paramétrable ? Peut-on lui dire, dans ce cas, de ne rien faire
ou, au contraire, de relancer tous les services qui ont besoin de
l'être, voire, enfin, de tout relancer si nécessaire (y compris le
système complet en cas de MAJ du noyau par exemple) ?
Bonjour,
Le Wed, 28 Jan 2015 15:50:11 +0100,
Frédéric MASSOT <frederic@juliana-multimedia.com> a écrit :
[...]
Sur les distrib plus récentes (wheezy-backports, jessie, sid) tu
peux utiliser la commande "needrestart", du paquet du même nom, qui
liste les daemons à redémarrer et les redémarre si tu le souhaite.
Une fois le paquet "needrestart" installé, il est lancé à la fin des
installations par apt.
J'utilise en effet needrestart sur mon ordi personnel et il fonctionne
parfaitement.
Maintenant, sachant qu'il est lancé automatiquement à la fin de la mise
à jour, je me demandais comment cela se passait dans le cas d'un
lancement batch de mise à jour [j'avoue que je n'ai pas encore testé] ?
Est-ce paramétrable ? Peut-on lui dire, dans ce cas, de ne rien faire
ou, au contraire, de relancer tous les services qui ont besoin de
l'être, voire, enfin, de tout relancer si nécessaire (y compris le
système complet en cas de MAJ du noyau par exemple) ?
Bonjour,
Le Wed, 28 Jan 2015 15:50:11 +0100,
Frédéric MASSOT a écrit :
[...]Sur les distrib plus récentes (wheezy-backports, jessie, sid) tu
peux utiliser la commande "needrestart", du paquet du même nom, qui
liste les daemons à redémarrer et les redémarre si tu le souhaite.
Une fois le paquet "needrestart" installé, il est lancé à la fin des
installations par apt.
J'utilise en effet needrestart sur mon ordi personnel et il fonctionne
parfaitement.
Maintenant, sachant qu'il est lancé automatiquement à la fin de la mise
à jour, je me demandais comment cela se passait dans le cas d'un
lancement batch de mise à jour [j'avoue que je n'ai pas encore testé] ?
Est-ce paramétrable ? Peut-on lui dire, dans ce cas, de ne rien faire
ou, au contraire, de relancer tous les services qui ont besoin de
l'être, voire, enfin, de tout relancer si nécessaire (y compris le
système complet en cas de MAJ du noyau par exemple) ?
Le 03/02/2015 14:57, David BERCOT a écrit :
> Bonjour,
>
> Le Wed, 28 Jan 2015 15:50:11 +0100,
> Frédéric MASSOT a écri t :
> [...]
>> Sur les distrib plus récentes (wheezy-backports, jessie, sid) tu
>> peux utiliser la commande "needrestart", du paquet du même nom, q ui
>> liste les daemons à redémarrer et les redémarre si tu l e souhaite.
>>
>> Une fois le paquet "needrestart" installé, il est lancé à la fin
>> des installations par apt.
>
> J'utilise en effet needrestart sur mon ordi personnel et il
> fonctionne parfaitement.
>
> Maintenant, sachant qu'il est lancé automatiquement à la fin de la
> mise à jour, je me demandais comment cela se passait dans le cas
> d'un lancement batch de mise à jour [j'avoue que je n'ai pas encore
> testé] ? Est-ce paramétrable ? Peut-on lui dire, dans ce cas, de ne
> rien faire ou, au contraire, de relancer tous les services qui ont
> besoin de l'être, voire, enfin, de tout relancer si nécessair e (y
> compris le système complet en cas de MAJ du noyau par exemple) ?
Qu'est-ce que tu appelles un lancement batch ? un système de
déploiement ?
D'après la page de manuel il y a un mode batch, la config est dans c e
dossier "/etc/needrestart/".
/etc/needrestart/
âââ conf.d
â âââ README.needrestart
âââ hook.d
â âââ 10-dpkg
â âââ 20-rpm
â âââ 90-none
âââ needrestart.conf
à la fin de la mise à jour, comme avec un "apt-get dist-upgrade ",
needrestart affiche une petite fenêtre avec la liste des daemons Ã
relancer. Il y a une case à cocher en face de chacun d'eux, certain
sont déjà sélectionnés d'autres non. Tu peux valider les
re-démarrages des daemons ou ne rien faire.
needrestart est lancé par ce fichier
"/etc/apt/apt.conf.d/99needrestart", mais tu peux lancer la commande
"needrestart" Ã la main quand tu veux.
Pour la mise à jour du noyau il faut rebooter, voir dans certain cas
on peut utiliser ksplice.
Le 03/02/2015 14:57, David BERCOT a écrit :
> Bonjour,
>
> Le Wed, 28 Jan 2015 15:50:11 +0100,
> Frédéric MASSOT <frederic@juliana-multimedia.com> a écri t :
> [...]
>> Sur les distrib plus récentes (wheezy-backports, jessie, sid) tu
>> peux utiliser la commande "needrestart", du paquet du même nom, q ui
>> liste les daemons à redémarrer et les redémarre si tu l e souhaite.
>>
>> Une fois le paquet "needrestart" installé, il est lancé à la fin
>> des installations par apt.
>
> J'utilise en effet needrestart sur mon ordi personnel et il
> fonctionne parfaitement.
>
> Maintenant, sachant qu'il est lancé automatiquement à la fin de la
> mise à jour, je me demandais comment cela se passait dans le cas
> d'un lancement batch de mise à jour [j'avoue que je n'ai pas encore
> testé] ? Est-ce paramétrable ? Peut-on lui dire, dans ce cas, de ne
> rien faire ou, au contraire, de relancer tous les services qui ont
> besoin de l'être, voire, enfin, de tout relancer si nécessair e (y
> compris le système complet en cas de MAJ du noyau par exemple) ?
Qu'est-ce que tu appelles un lancement batch ? un système de
déploiement ?
D'après la page de manuel il y a un mode batch, la config est dans c e
dossier "/etc/needrestart/".
/etc/needrestart/
âââ conf.d
â âââ README.needrestart
âââ hook.d
â âââ 10-dpkg
â âââ 20-rpm
â âââ 90-none
âââ needrestart.conf
à la fin de la mise à jour, comme avec un "apt-get dist-upgrade ",
needrestart affiche une petite fenêtre avec la liste des daemons Ã
relancer. Il y a une case à cocher en face de chacun d'eux, certain
sont déjà sélectionnés d'autres non. Tu peux valider les
re-démarrages des daemons ou ne rien faire.
needrestart est lancé par ce fichier
"/etc/apt/apt.conf.d/99needrestart", mais tu peux lancer la commande
"needrestart" Ã la main quand tu veux.
Pour la mise à jour du noyau il faut rebooter, voir dans certain cas
on peut utiliser ksplice.
Le 03/02/2015 14:57, David BERCOT a écrit :
> Bonjour,
>
> Le Wed, 28 Jan 2015 15:50:11 +0100,
> Frédéric MASSOT a écri t :
> [...]
>> Sur les distrib plus récentes (wheezy-backports, jessie, sid) tu
>> peux utiliser la commande "needrestart", du paquet du même nom, q ui
>> liste les daemons à redémarrer et les redémarre si tu l e souhaite.
>>
>> Une fois le paquet "needrestart" installé, il est lancé à la fin
>> des installations par apt.
>
> J'utilise en effet needrestart sur mon ordi personnel et il
> fonctionne parfaitement.
>
> Maintenant, sachant qu'il est lancé automatiquement à la fin de la
> mise à jour, je me demandais comment cela se passait dans le cas
> d'un lancement batch de mise à jour [j'avoue que je n'ai pas encore
> testé] ? Est-ce paramétrable ? Peut-on lui dire, dans ce cas, de ne
> rien faire ou, au contraire, de relancer tous les services qui ont
> besoin de l'être, voire, enfin, de tout relancer si nécessair e (y
> compris le système complet en cas de MAJ du noyau par exemple) ?
Qu'est-ce que tu appelles un lancement batch ? un système de
déploiement ?
D'après la page de manuel il y a un mode batch, la config est dans c e
dossier "/etc/needrestart/".
/etc/needrestart/
âââ conf.d
â âââ README.needrestart
âââ hook.d
â âââ 10-dpkg
â âââ 20-rpm
â âââ 90-none
âââ needrestart.conf
à la fin de la mise à jour, comme avec un "apt-get dist-upgrade ",
needrestart affiche une petite fenêtre avec la liste des daemons Ã
relancer. Il y a une case à cocher en face de chacun d'eux, certain
sont déjà sélectionnés d'autres non. Tu peux valider les
re-démarrages des daemons ou ne rien faire.
needrestart est lancé par ce fichier
"/etc/apt/apt.conf.d/99needrestart", mais tu peux lancer la commande
"needrestart" Ã la main quand tu veux.
Pour la mise à jour du noyau il faut rebooter, voir dans certain cas
on peut utiliser ksplice.
Pour la mise à jour du noyau il faut rebooter, voir dans certain cas on
peut utiliser ksplice.
Pour la mise à jour du noyau il faut rebooter, voir dans certain cas on
peut utiliser ksplice.
Pour la mise à jour du noyau il faut rebooter, voir dans certain cas on
peut utiliser ksplice.