A l'heure où Baudis se refait une santé médiatique, on peut se demander si la
diffusion d'un sujet sur "l'affaire Doucé", toujours non résolue, décortiquée
par le menu dans l'excellente série "Faites entrer l'accusé" n'en irritait pas
certains.
Déjà, vendredi, la mise au placard soudaine de Christophe Ondelatte, soi-disant
volontaire, suite à un article qui tombait à pic où il est décrit comme un
"curaillon grave", "célibataire de toujours", menant une vie de moine
mystérieuse et secrète. Entre les lignes, on nous dresse le portrait d'un type
que le bon Pasteur Doucé n'aurait pas renié. Portant un premier coup pour
s'abstenir d'accorder du crédit à ce qu'il allait nous servir dans son émission
d'investigations.
Mais par un hasard de circonstances (?) cette dernière est tout simplement
passée à la trappe pour cause d'hommage à rallonge à un comédien qui a
eu la bonne idée de décéder.
Jeudi 19 juillet 1990. Joseph Doucé, pasteur homosexuel des marginaux, des
transsexuels, des sadomasochistes et aussi des pédophiles - qu'il accueille au
«Centre du Christ libérateur», un lieu de réconciliation pour les exclus du
christianisme - rentre chez lui où il est attendu par son compagnon, Guy Bondar.
Une heure plus tard, il est emmené par deux policiers. Il n'est jamais rentré.
Treize jours après sa disparition, les journaux révèlent que Joseph Doucé était
suivi par les RG. Ils parlent de «réseaux pédophiles» et s'interrogent sur ceux
qui auraient eu de bonnes raisons de vouloir le faire disparaître. On dit que
Joseph Doucé posséderait un fichier de près de dix mille noms de «déviants
sexuels». Des personnalités du monde politique et du show-business y auraient
figuré.
Notes : Comme toujours, la mise en scène de Christophe Hondelatte est efficace.
L'émission met ce soir l'accent sur une affaire un peu moins médiatisée que
d'habitude.
le [31/01/2005 14:48:14], vous, *2102425*, déclariez :
Question: c'est celui qui c'est fait viré du 20,00h???
Du 13h, plutôt... Mais peu importe. Faire le rapprochement entre ces deux événements semble pertinent. Intéressant, en tout cas !
-- jean b.
emmanuel
interessant, a creuser
"Walter" a écrit dans le message de news:
A l'heure où Baudis se refait une santé médiatique, on peut se demander si la diffusion d'un sujet sur "l'affaire Doucé", toujours non résolue, décortiquée par le menu dans l'excellente série "Faites entrer l'accusé" n'en irritait pas certains.
Déjà, vendredi, la mise au placard soudaine de Christophe Ondelatte, soi-disant volontaire, suite à un article qui tombait à pic où il est décrit comme un "curaillon grave", "célibataire de toujours", menant une vie de moine mystérieuse et secrète. Entre les lignes, on nous dresse le portrait d'un type que le bon Pasteur Doucé n'aurait pas renié. Portant un premier coup pour s'abstenir d'accorder du crédit à ce qu'il allait nous servir dans son émission d'investigations.
Mais par un hasard de circonstances (?) cette dernière est tout simplement passée à la trappe pour cause d'hommage à rallonge à un comédien qui a eu la bonne idée de décéder.
Jeudi 19 juillet 1990. Joseph Doucé, pasteur homosexuel des marginaux, des transsexuels, des sadomasochistes et aussi des pédophiles - qu'il accueille au «Centre du Christ libérateur», un lieu de réconciliation pour les exclus du christianisme - rentre chez lui où il est attendu par son compagnon, Guy Bondar. Une heure plus tard, il est emmené par deux policiers. Il n'est jamais rentré. Treize jours après sa disparition, les journaux révèlent que Joseph Doucé était suivi par les RG. Ils parlent de «réseaux pédophiles» et s'interrogent sur ceux qui auraient eu de bonnes raisons de vouloir le faire disparaître. On dit que Joseph Doucé posséderait un fichier de près de dix mille noms de «déviants sexuels». Des personnalités du monde politique et du show-business y auraient figuré.
Notes : Comme toujours, la mise en scène de Christophe Hondelatte est efficace. L'émission met ce soir l'accent sur une affaire un peu moins médiatisée que d'habitude.
"Walter" <Walter@yahou.com> a écrit dans le message de news:
41fd864f.4006204@news.free.fr...
A l'heure où Baudis se refait une santé médiatique, on peut se demander si
la
diffusion d'un sujet sur "l'affaire Doucé", toujours non résolue,
décortiquée
par le menu dans l'excellente série "Faites entrer l'accusé" n'en irritait
pas
certains.
Déjà, vendredi, la mise au placard soudaine de Christophe Ondelatte,
soi-disant
volontaire, suite à un article qui tombait à pic où il est décrit comme un
"curaillon grave", "célibataire de toujours", menant une vie de moine
mystérieuse et secrète. Entre les lignes, on nous dresse le portrait d'un
type
que le bon Pasteur Doucé n'aurait pas renié. Portant un premier coup pour
s'abstenir d'accorder du crédit à ce qu'il allait nous servir dans son
émission
d'investigations.
Mais par un hasard de circonstances (?) cette dernière est tout simplement
passée à la trappe pour cause d'hommage à rallonge à un comédien qui a
eu la bonne idée de décéder.
Jeudi 19 juillet 1990. Joseph Doucé, pasteur homosexuel des marginaux, des
transsexuels, des sadomasochistes et aussi des pédophiles - qu'il
accueille au
«Centre du Christ libérateur», un lieu de réconciliation pour les exclus
du
christianisme - rentre chez lui où il est attendu par son compagnon, Guy
Bondar.
Une heure plus tard, il est emmené par deux policiers. Il n'est jamais
rentré.
Treize jours après sa disparition, les journaux révèlent que Joseph Doucé
était
suivi par les RG. Ils parlent de «réseaux pédophiles» et s'interrogent sur
ceux
qui auraient eu de bonnes raisons de vouloir le faire disparaître. On dit
que
Joseph Doucé posséderait un fichier de près de dix mille noms de «déviants
sexuels». Des personnalités du monde politique et du show-business y
auraient
figuré.
Notes : Comme toujours, la mise en scène de Christophe Hondelatte est
efficace.
L'émission met ce soir l'accent sur une affaire un peu moins médiatisée
que
d'habitude.
A l'heure où Baudis se refait une santé médiatique, on peut se demander si la diffusion d'un sujet sur "l'affaire Doucé", toujours non résolue, décortiquée par le menu dans l'excellente série "Faites entrer l'accusé" n'en irritait pas certains.
Déjà, vendredi, la mise au placard soudaine de Christophe Ondelatte, soi-disant volontaire, suite à un article qui tombait à pic où il est décrit comme un "curaillon grave", "célibataire de toujours", menant une vie de moine mystérieuse et secrète. Entre les lignes, on nous dresse le portrait d'un type que le bon Pasteur Doucé n'aurait pas renié. Portant un premier coup pour s'abstenir d'accorder du crédit à ce qu'il allait nous servir dans son émission d'investigations.
Mais par un hasard de circonstances (?) cette dernière est tout simplement passée à la trappe pour cause d'hommage à rallonge à un comédien qui a eu la bonne idée de décéder.
Jeudi 19 juillet 1990. Joseph Doucé, pasteur homosexuel des marginaux, des transsexuels, des sadomasochistes et aussi des pédophiles - qu'il accueille au «Centre du Christ libérateur», un lieu de réconciliation pour les exclus du christianisme - rentre chez lui où il est attendu par son compagnon, Guy Bondar. Une heure plus tard, il est emmené par deux policiers. Il n'est jamais rentré. Treize jours après sa disparition, les journaux révèlent que Joseph Doucé était suivi par les RG. Ils parlent de «réseaux pédophiles» et s'interrogent sur ceux qui auraient eu de bonnes raisons de vouloir le faire disparaître. On dit que Joseph Doucé posséderait un fichier de près de dix mille noms de «déviants sexuels». Des personnalités du monde politique et du show-business y auraient figuré.
Notes : Comme toujours, la mise en scène de Christophe Hondelatte est efficace. L'émission met ce soir l'accent sur une affaire un peu moins médiatisée que d'habitude.
