alors voici une photo - qui date un peu, 2008, le temps passe vite - et que
je soumet à vos commentaires.
J'expliquerai après le pourquoi de cette photo et la démarche qu'elle a
demandée.
Le 14/06/11 06:37, René a écrit : Aucune des mises en
scène prévues n'ont été essayées. Isa dansait, tournoyait et jouait avec sa fille, le soleil est apparu, j'ai suggéré un autre coin du parc. J'avais fait le tour, ce que je voyait me plaisait imparfaitement mais il fallait terminer, j'ai dit "embrassez-vous", clic clic clic. Rien de composé pour un photographe-voyeur! L'herbe, les feuilles étaient d'un vert pétant, le parapluie rouge vif...
On compose toujours, même sans mise en scène. L'œil compose, pèse, se promène dans le cadre et commande à la main de déclencher ou pas. On voit. On trie après, parfois on recadre ( je voudrais un numérique carré, moi). Pendant des années je me suis interdit de déplacer le moindre brin d'herbe. Je commence tout juste à photographier des gens, je trouve ça difficile. C'est toujours la lumière qui me donne envie, ou pas. Merci d'avoir partagé.
Noëlle Adam
Le 14/06/11 06:37, René a écrit :
Aucune des mises en
scène prévues n'ont été essayées. Isa dansait, tournoyait et jouait avec
sa fille, le soleil est apparu, j'ai suggéré un autre coin du parc.
J'avais fait le tour, ce que je voyait me plaisait imparfaitement mais
il fallait terminer, j'ai dit "embrassez-vous", clic clic clic. Rien de
composé pour un photographe-voyeur! L'herbe, les feuilles étaient d'un
vert pétant, le parapluie rouge vif...
On compose toujours, même sans mise en scène. L'œil compose, pèse, se
promène dans le cadre et commande à la main de déclencher ou pas.
On voit. On trie après, parfois on recadre ( je voudrais un numérique
carré, moi).
Pendant des années je me suis interdit de déplacer le moindre brin d'herbe.
Je commence tout juste à photographier des gens, je trouve ça difficile.
C'est toujours la lumière qui me donne envie, ou pas.
Merci d'avoir partagé.
Le 14/06/11 06:37, René a écrit : Aucune des mises en
scène prévues n'ont été essayées. Isa dansait, tournoyait et jouait avec sa fille, le soleil est apparu, j'ai suggéré un autre coin du parc. J'avais fait le tour, ce que je voyait me plaisait imparfaitement mais il fallait terminer, j'ai dit "embrassez-vous", clic clic clic. Rien de composé pour un photographe-voyeur! L'herbe, les feuilles étaient d'un vert pétant, le parapluie rouge vif...
On compose toujours, même sans mise en scène. L'œil compose, pèse, se promène dans le cadre et commande à la main de déclencher ou pas. On voit. On trie après, parfois on recadre ( je voudrais un numérique carré, moi). Pendant des années je me suis interdit de déplacer le moindre brin d'herbe. Je commence tout juste à photographier des gens, je trouve ça difficile. C'est toujours la lumière qui me donne envie, ou pas. Merci d'avoir partagé.