Répondre à un con ne sert à rien, il ne comprendra pas, il ne changera pas,
puisqu'il est con.
Cela ne sert à rien non plus pour les autres lecteurs de la réponse, car
soit ils sont cons et il ne comprendront rien, soit ils ne sont pas cons, et
dans ce cas ils avaient déja compris que l'autre était con, donc inutile de
le leur répéter
Et les observateurs non-cons se disent "en voila un qui répond à un con,
alors que tout non-con sait que ça ne sert à rien; il lui répond, donc c'est
un con"
Les observateurs peuvent se dire aussi "en voila un qui répond à un con,
mais apparemment il n'a pas vu que l'autre était con puisqu'il lui répond,
donc c'est un con"
Plus grave encore, c'est quand celui qui répond traite l'autre de con, car
là il n'a même plus le bénéfice du doute, il n'est plus dans le cas du con
qui n'a pas repéré que l'autre est con; il est en pleine connaissance de
cause, il répond à un con et il le sait, c'est pire; ou alors il traite de
con quelqu'un qui ne l'est pas, et alors il est vraiment très con.
Ca me semble clair.
Mais je résume quand même:
1-Si vous répondez à un con, vous êtes con
conséquence:
2-Si vous répondez à quelqu'un en le traitant de con, vous êtes doublement
con
J'ai une répartie que vous pourriez m'adresser:
Tout ce que je dis là, tous les non-cons le savent, ce message ne s'adresse
donc qu'aux cons, ce qui me place ipso facto dans la catégorie 1.
Mais si vous me le dites, vous vous placez dans la catégorie 2; c'est
dramatique (pour vous).
Ted Procson
PS Faut-il répondre aux malades ? (relevant de la psychiatrie , pas ceux qui
ont la grippe) mêmes réponses
