La présentation et la mise en scène dans les documentaires du magazine
"Faites entrer l'accusé" me laisse toujours sur une indescriptible
sensation de malaise. Hier soir, c'était pour ainsi dire pire avec la
révélation finale que le "routard" sacrifié sur l'autel du fric n'était
pas un con. Censée réfuter l'argumentation de l'assassin selon laquelle
il avait débarrassé la société d'un "déchet" humain, elle en accréditait
néanmoins les présupposés, à savoir que, si ce dernier avait été un vrai
con ivrogne, sans domicile et qui n'aimait pas Brassens, le meurtre eût
été moins grave.
On retrouve la même logique dans l'article du Monde ici :
http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3208,36-348851,0.html
Cette action est irreversible, confirmez la suppression du commentaire ?
Signaler le commentaire
Veuillez sélectionner un problème
Nudité
Violence
Harcèlement
Fraude
Vente illégale
Discours haineux
Terrorisme
Autre
robert
"shannon" a écrit dans le message news: btuc3t$te3$
La présentation et la mise en scène dans les documentaires du magazine "Faites entrer l'accusé" me laisse toujours sur une indescriptible sensation de malaise. Hier soir, c'était pour ainsi dire pire avec la révélation finale que le "routard" sacrifié sur l'autel du fric n'était pas un con. Censée réfuter l'argumentation de l'assassin selon laquelle il avait débarrassé la société d'un "déchet" humain, elle en accréditait néanmoins les présupposés, à savoir que, si ce dernier avait été un vrai con ivrogne, sans domicile et qui n'aimait pas Brassens, le meurtre eût été moins grave.
Oui et il semble même que l'avocat de Dandonneau ait argumenté dans ce sens.
Macabre
On retrouve la même logique dans l'article du Monde ici : http://www.lemonde.fr/web/article/0,,36-348851,0.html
Yves Dandonneau est libre aujourd'hui.
Shannon.
"shannon" <cambe.c@com.invalid> a écrit dans le message news:
btuc3t$te3$1@news-reader1.wanadoo.fr...
La présentation et la mise en scène dans les documentaires du magazine
"Faites entrer l'accusé" me laisse toujours sur une indescriptible
sensation de malaise. Hier soir, c'était pour ainsi dire pire avec la
révélation finale que le "routard" sacrifié sur l'autel du fric n'était
pas un con. Censée réfuter l'argumentation de l'assassin selon laquelle
il avait débarrassé la société d'un "déchet" humain, elle en accréditait
néanmoins les présupposés, à savoir que, si ce dernier avait été un vrai
con ivrogne, sans domicile et qui n'aimait pas Brassens, le meurtre eût
été moins grave.
Oui et il semble même que l'avocat de Dandonneau ait argumenté dans ce sens.
Macabre
On retrouve la même logique dans l'article du Monde ici :
http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3208,36-348851,0.html
"shannon" a écrit dans le message news: btuc3t$te3$
La présentation et la mise en scène dans les documentaires du magazine "Faites entrer l'accusé" me laisse toujours sur une indescriptible sensation de malaise. Hier soir, c'était pour ainsi dire pire avec la révélation finale que le "routard" sacrifié sur l'autel du fric n'était pas un con. Censée réfuter l'argumentation de l'assassin selon laquelle il avait débarrassé la société d'un "déchet" humain, elle en accréditait néanmoins les présupposés, à savoir que, si ce dernier avait été un vrai con ivrogne, sans domicile et qui n'aimait pas Brassens, le meurtre eût été moins grave.
Oui et il semble même que l'avocat de Dandonneau ait argumenté dans ce sens.
Macabre
On retrouve la même logique dans l'article du Monde ici : http://www.lemonde.fr/web/article/0,,36-348851,0.html
Yves Dandonneau est libre aujourd'hui.
Shannon.
Kevin K
"shannon" a écrit dans le message de news: btuc3t$te3$
La présentation et la mise en scène dans les documentaires du magazine "Faites entrer l'accusé" me laisse toujours sur une indescriptible sensation de malaise. Hier soir, c'était pour ainsi dire pire avec la révélation finale que le "routard" sacrifié sur l'autel du fric n'était pas un con. Censée réfuter l'argumentation de l'assassin selon laquelle il avait débarrassé la société d'un "déchet" humain, elle en accréditait néanmoins les présupposés, à savoir que, si ce dernier avait été un vrai con ivrogne, sans domicile et qui n'aimait pas Brassens, le meurtre eût été moins grave.
En tout cas l'émission a eu le mérite de montrer que quand il y a du fric en jeu, les assurances déploient des moyens énormes pour ne pas payer.
"shannon" <cambe.c@com.invalid> a écrit dans le message de news:
btuc3t$te3$1@news-reader1.wanadoo.fr...
La présentation et la mise en scène dans les documentaires du magazine
"Faites entrer l'accusé" me laisse toujours sur une indescriptible
sensation de malaise. Hier soir, c'était pour ainsi dire pire avec la
révélation finale que le "routard" sacrifié sur l'autel du fric n'était
pas un con. Censée réfuter l'argumentation de l'assassin selon laquelle
il avait débarrassé la société d'un "déchet" humain, elle en accréditait
néanmoins les présupposés, à savoir que, si ce dernier avait été un vrai
con ivrogne, sans domicile et qui n'aimait pas Brassens, le meurtre eût
été moins grave.
En tout cas l'émission a eu le mérite de montrer que quand il y a du fric en
jeu, les assurances déploient des moyens énormes pour ne pas payer.
"shannon" a écrit dans le message de news: btuc3t$te3$
La présentation et la mise en scène dans les documentaires du magazine "Faites entrer l'accusé" me laisse toujours sur une indescriptible sensation de malaise. Hier soir, c'était pour ainsi dire pire avec la révélation finale que le "routard" sacrifié sur l'autel du fric n'était pas un con. Censée réfuter l'argumentation de l'assassin selon laquelle il avait débarrassé la société d'un "déchet" humain, elle en accréditait néanmoins les présupposés, à savoir que, si ce dernier avait été un vrai con ivrogne, sans domicile et qui n'aimait pas Brassens, le meurtre eût été moins grave.
En tout cas l'émission a eu le mérite de montrer que quand il y a du fric en jeu, les assurances déploient des moyens énormes pour ne pas payer.
Manu R
Bah l'article du Monde ne parle pas de la thèse intéressante que tu développes ici... Il ne fait que relater l'affaire, tout comme l'émission de la 2.
"shannon" a écrit dans le message de news: btuc3t$te3$
La présentation et la mise en scène dans les documentaires du magazine "Faites entrer l'accusé" me laisse toujours sur une indescriptible sensation de malaise. Hier soir, c'était pour ainsi dire pire avec la révélation finale que le "routard" sacrifié sur l'autel du fric n'était pas un con. Censée réfuter l'argumentation de l'assassin selon laquelle il avait débarrassé la société d'un "déchet" humain, elle en accréditait néanmoins les présupposés, à savoir que, si ce dernier avait été un vrai con ivrogne, sans domicile et qui n'aimait pas Brassens, le meurtre eût été moins grave.
On retrouve la même logique dans l'article du Monde ici : http://www.lemonde.fr/web/article/0,,36-348851,0.html
Yves Dandonneau est libre aujourd'hui.
Shannon.
Bah l'article du Monde ne parle pas de la thèse intéressante que tu
développes ici...
Il ne fait que relater l'affaire, tout comme l'émission de la 2.
"shannon" <cambe.c@com.invalid> a écrit dans le message de news:
btuc3t$te3$1@news-reader1.wanadoo.fr...
La présentation et la mise en scène dans les documentaires du magazine
"Faites entrer l'accusé" me laisse toujours sur une indescriptible
sensation de malaise. Hier soir, c'était pour ainsi dire pire avec la
révélation finale que le "routard" sacrifié sur l'autel du fric n'était
pas un con. Censée réfuter l'argumentation de l'assassin selon laquelle
il avait débarrassé la société d'un "déchet" humain, elle en accréditait
néanmoins les présupposés, à savoir que, si ce dernier avait été un vrai
con ivrogne, sans domicile et qui n'aimait pas Brassens, le meurtre eût
été moins grave.
On retrouve la même logique dans l'article du Monde ici :
http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3208,36-348851,0.html
Bah l'article du Monde ne parle pas de la thèse intéressante que tu développes ici... Il ne fait que relater l'affaire, tout comme l'émission de la 2.
"shannon" a écrit dans le message de news: btuc3t$te3$
La présentation et la mise en scène dans les documentaires du magazine "Faites entrer l'accusé" me laisse toujours sur une indescriptible sensation de malaise. Hier soir, c'était pour ainsi dire pire avec la révélation finale que le "routard" sacrifié sur l'autel du fric n'était pas un con. Censée réfuter l'argumentation de l'assassin selon laquelle il avait débarrassé la société d'un "déchet" humain, elle en accréditait néanmoins les présupposés, à savoir que, si ce dernier avait été un vrai con ivrogne, sans domicile et qui n'aimait pas Brassens, le meurtre eût été moins grave.
On retrouve la même logique dans l'article du Monde ici : http://www.lemonde.fr/web/article/0,,36-348851,0.html
Yves Dandonneau est libre aujourd'hui.
Shannon.
Manu R
Je ne pense pas que la thèse que tu développes, n'ait été l'intention du reportage. C'est tout d'abord l'enquête elle même qui a cherché à répondre à la question "Est-ce que le routard sacrifié était un déchet humain comme le prétend Dandonneau ou non ?". Pourquoi ? non pas pour alléger la peine de Dandonneau du meutre, un meutre est un meurtre. Mais parce que c'était le mobile de Dandonneau. La justice devait donc vérifier si son mobile était plausible ou pas. L'enquête a montré qu'il ne l'était pas en enquêtant sur ce Joel donc que son crime n'avait aucune justification aussi macabre soit elle (débarrasser la société d'un déchet). Imagine, dans une affaire de crime passionnel, si un type tue un autre en disant que c'est l'amant de sa femme, la justice doit vérifier que ce mobile est vrai en vérifiant le fait que c'était bien l'amant de sa femme, sinon ce n'est pas un crime passionnel mais autre chose (crime crapuleux par exemple). Cela dit, je suis d'accord pour dire qu'on est bien en présence d'un crime crapuleux donc que sa peine n'était pas assez lourde.
"shannon" a écrit dans le message de news: btuc3t$te3$
La présentation et la mise en scène dans les documentaires du magazine "Faites entrer l'accusé" me laisse toujours sur une indescriptible sensation de malaise. Hier soir, c'était pour ainsi dire pire avec la révélation finale que le "routard" sacrifié sur l'autel du fric n'était pas un con. Censée réfuter l'argumentation de l'assassin selon laquelle il avait débarrassé la société d'un "déchet" humain, elle en accréditait néanmoins les présupposés, à savoir que, si ce dernier avait été un vrai con ivrogne, sans domicile et qui n'aimait pas Brassens, le meurtre eût été moins grave.
On retrouve la même logique dans l'article du Monde ici : http://www.lemonde.fr/web/article/0,,36-348851,0.html
Yves Dandonneau est libre aujourd'hui.
Shannon.
Je ne pense pas que la thèse que tu développes, n'ait été l'intention du
reportage. C'est tout d'abord l'enquête elle même qui a cherché à répondre à
la question "Est-ce que le routard sacrifié était un déchet humain comme le
prétend Dandonneau ou non ?".
Pourquoi ? non pas pour alléger la peine de Dandonneau du meutre, un meutre
est un meurtre. Mais parce que c'était le mobile de Dandonneau. La justice
devait donc vérifier si son mobile était plausible ou pas. L'enquête a
montré qu'il ne l'était pas en enquêtant sur ce Joel donc que son crime
n'avait aucune justification aussi macabre soit elle (débarrasser la société
d'un déchet).
Imagine, dans une affaire de crime passionnel, si un type tue un autre en
disant que c'est l'amant de sa femme, la justice doit vérifier que ce mobile
est vrai en vérifiant le fait que c'était bien l'amant de sa femme, sinon ce
n'est pas un crime passionnel mais autre chose (crime crapuleux par
exemple).
Cela dit, je suis d'accord pour dire qu'on est bien en présence d'un crime
crapuleux donc que sa peine n'était pas assez lourde.
"shannon" <cambe.c@com.invalid> a écrit dans le message de news:
btuc3t$te3$1@news-reader1.wanadoo.fr...
La présentation et la mise en scène dans les documentaires du magazine
"Faites entrer l'accusé" me laisse toujours sur une indescriptible
sensation de malaise. Hier soir, c'était pour ainsi dire pire avec la
révélation finale que le "routard" sacrifié sur l'autel du fric n'était
pas un con. Censée réfuter l'argumentation de l'assassin selon laquelle
il avait débarrassé la société d'un "déchet" humain, elle en accréditait
néanmoins les présupposés, à savoir que, si ce dernier avait été un vrai
con ivrogne, sans domicile et qui n'aimait pas Brassens, le meurtre eût
été moins grave.
On retrouve la même logique dans l'article du Monde ici :
http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3208,36-348851,0.html
Je ne pense pas que la thèse que tu développes, n'ait été l'intention du reportage. C'est tout d'abord l'enquête elle même qui a cherché à répondre à la question "Est-ce que le routard sacrifié était un déchet humain comme le prétend Dandonneau ou non ?". Pourquoi ? non pas pour alléger la peine de Dandonneau du meutre, un meutre est un meurtre. Mais parce que c'était le mobile de Dandonneau. La justice devait donc vérifier si son mobile était plausible ou pas. L'enquête a montré qu'il ne l'était pas en enquêtant sur ce Joel donc que son crime n'avait aucune justification aussi macabre soit elle (débarrasser la société d'un déchet). Imagine, dans une affaire de crime passionnel, si un type tue un autre en disant que c'est l'amant de sa femme, la justice doit vérifier que ce mobile est vrai en vérifiant le fait que c'était bien l'amant de sa femme, sinon ce n'est pas un crime passionnel mais autre chose (crime crapuleux par exemple). Cela dit, je suis d'accord pour dire qu'on est bien en présence d'un crime crapuleux donc que sa peine n'était pas assez lourde.
"shannon" a écrit dans le message de news: btuc3t$te3$
La présentation et la mise en scène dans les documentaires du magazine "Faites entrer l'accusé" me laisse toujours sur une indescriptible sensation de malaise. Hier soir, c'était pour ainsi dire pire avec la révélation finale que le "routard" sacrifié sur l'autel du fric n'était pas un con. Censée réfuter l'argumentation de l'assassin selon laquelle il avait débarrassé la société d'un "déchet" humain, elle en accréditait néanmoins les présupposés, à savoir que, si ce dernier avait été un vrai con ivrogne, sans domicile et qui n'aimait pas Brassens, le meurtre eût été moins grave.
On retrouve la même logique dans l'article du Monde ici : http://www.lemonde.fr/web/article/0,,36-348851,0.html