Un défaut, j'ai l'impression qu'il te regarde et non son interlocuteur. Si ce n'est pas toi qu'il regarde il y se passe deux choses, une de trop puisqu'on ne sait pas de quoi il s'agit et cela n'apporte rien.
Exemples contraires :
- Il ou elle s'embrassent et l'un des deux regarde le ciel, sa montre... - Un groupe est de dos et regarde la tour Eiffel en arrière plan et l'un d'eux est face à toi.
En bref, s'il y a une action importante qui justifie le regard « normal » l'autre doit être beaucoup, beaucoup plus importante.
-- "La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi. Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et personne ne sait pourquoi !" [ Albert Einstein ]
Un défaut, j'ai l'impression qu'il te regarde et non son interlocuteur.
Si ce n'est pas toi qu'il regarde il y se passe deux choses, une de trop
puisqu'on ne sait pas de quoi il s'agit et cela n'apporte rien.
Exemples contraires :
- Il ou elle s'embrassent et l'un des deux regarde le ciel, sa montre...
- Un groupe est de dos et regarde la tour Eiffel en arrière plan et l'un
d'eux est face à toi.
En bref, s'il y a une action importante qui justifie le regard
« normal » l'autre doit être beaucoup, beaucoup plus importante.
--
"La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La
pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi.
Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et
personne ne sait pourquoi !" [ Albert Einstein ]
Un défaut, j'ai l'impression qu'il te regarde et non son interlocuteur. Si ce n'est pas toi qu'il regarde il y se passe deux choses, une de trop puisqu'on ne sait pas de quoi il s'agit et cela n'apporte rien.
Exemples contraires :
- Il ou elle s'embrassent et l'un des deux regarde le ciel, sa montre... - Un groupe est de dos et regarde la tour Eiffel en arrière plan et l'un d'eux est face à toi.
En bref, s'il y a une action importante qui justifie le regard « normal » l'autre doit être beaucoup, beaucoup plus importante.
-- "La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi. Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et personne ne sait pourquoi !" [ Albert Einstein ]
victor.naytoayeur
Le mercredi 11 novembre 2015 13:57:33 UTC+1, Alf92 a écrit :
Un vrai régal que d'aller acheter du poisson bien frais au port !...... J'y ai acheté des kilos de sardines, pour pas grand chose..... Je trouve toujours ce port pleins de couleurs, de chaleur, de vie .....
Le mercredi 11 novembre 2015 13:57:33 UTC+1, Alf92 a écrit :
Stephane Legras-Decussy :
> Alf921 :
>> http://www.cjoint.com/data/EKkw4VRjjb4_CIMG6641r.jpg
>
> bonne attitude mais en vertical c'aurait été
> mieux amha...
Un vrai régal que d'aller acheter du poisson bien frais au port !......
J'y ai acheté des kilos de sardines, pour pas grand chose.....
Je trouve toujours ce port pleins de couleurs, de chaleur, de vie .....
Un vrai régal que d'aller acheter du poisson bien frais au port !...... J'y ai acheté des kilos de sardines, pour pas grand chose..... Je trouve toujours ce port pleins de couleurs, de chaleur, de vie .....
Un défaut, j'ai l'impression qu'il te regarde et non son interlocuteur. Si ce n'est pas toi qu'il regarde il y se passe deux choses, une de trop puisqu'on ne sait pas de quoi il s'agit et cela n'apporte rien.
c'est bien moi qu'il regardait, et ça le faisait chier d'être photographié. tant pis, c'est comme ça. :-)
Un défaut, j'ai l'impression qu'il te regarde et non son interlocuteur.
Si ce n'est pas toi qu'il regarde il y se passe deux choses, une de trop
puisqu'on ne sait pas de quoi il s'agit et cela n'apporte rien.
c'est bien moi qu'il regardait, et ça le faisait chier d'être
photographié. tant pis, c'est comme ça. :-)
lui (ou elle) a été plus rapide que moi :
http://www.cjoint.com/doc/15_11/EKmlAdOhzvc_CIMG6646.JPG
c'est le jeu, je ne gagne pas à tout le coup.
cette prise de risque (minime) m'excite quand je protographie dans la
rue.
Un défaut, j'ai l'impression qu'il te regarde et non son interlocuteur. Si ce n'est pas toi qu'il regarde il y se passe deux choses, une de trop puisqu'on ne sait pas de quoi il s'agit et cela n'apporte rien.
c'est bien moi qu'il regardait, et ça le faisait chier d'être photographié. tant pis, c'est comme ça. :-)
cette prise de risque (minime) m'excite quand je protographie dans la rue.
benoit
Alf92 wrote:
Benoit : > Alf92 :
>> http://www.cjoint.com/data/EKkw4VRjjb4_CIMG6641r.jpg > > Un défaut, j'ai l'impression qu'il te regarde et non son interlocuteur. > Si ce n'est pas toi qu'il regarde il y se passe deux choses, une de trop > puisqu'on ne sait pas de quoi il s'agit et cela n'apporte rien.
c'est bien moi qu'il regardait, et ça le faisait chier d'être photographié. tant pis, c'est comme ça. :-)
cette prise de risque (minime) m'excite quand je protographie dans la rue.
C'est là où les capteurs pleins de pixels et les optiques impeccables ont un avantage : Tu shootes sans regarder l'appareil ni même le sujet et ensuite tu recadreras.
Avec de l'entraînement tu sais assez bien viser avec l'appareil sur le ventre. Tu peux tricher en basculant l'écran vers le haut et tu photographies comme avec avec un bon vieux 6x6. Un coup d'½il en bas pour cadrer, on relève la tête, on regarde ailleurs (au-dessus, au-dessous, à droite ou à gauche du sujet) et on shoote.
De toute façon, plus tu as un grand angle, plus tu as de chance que le sujet soit dans le champ et moins tu devras recadrer après. Un inconvénient : ton appareil est assez bas et est donc en contre-plongée pour les sujets debouts. (Pour contrecarrer ça il faut viser à la 6x6 et monter l'appareil vers les yeux, shooter, continuer de monter pour viser « normalement » et photographier autre chose)
Je reconnais que ce n'est pas facile de faire un portrait serré, sans métier on ne peut tout avoir...
Je m'entraîne de temps en temps à shooter sans viser pendant les fêtes de famille : plein de déchets, mais une ou deux bonnes.
-- "La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi. Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et personne ne sait pourquoi !" [ Albert Einstein ]
Alf92 <alf921@gmail.com> wrote:
Benoit :
> Alf92 :
>> http://www.cjoint.com/data/EKkw4VRjjb4_CIMG6641r.jpg
>
> Un défaut, j'ai l'impression qu'il te regarde et non son interlocuteur.
> Si ce n'est pas toi qu'il regarde il y se passe deux choses, une de trop
> puisqu'on ne sait pas de quoi il s'agit et cela n'apporte rien.
c'est bien moi qu'il regardait, et ça le faisait chier d'être
photographié. tant pis, c'est comme ça. :-)
lui (ou elle) a été plus rapide que moi :
http://www.cjoint.com/doc/15_11/EKmlAdOhzvc_CIMG6646.JPG
c'est le jeu, je ne gagne pas à tout le coup.
cette prise de risque (minime) m'excite quand je protographie dans la
rue.
C'est là où les capteurs pleins de pixels et les optiques impeccables
ont un avantage : Tu shootes sans regarder l'appareil ni même le sujet
et ensuite tu recadreras.
Avec de l'entraînement tu sais assez bien viser avec l'appareil sur le
ventre. Tu peux tricher en basculant l'écran vers le haut et tu
photographies comme avec avec un bon vieux 6x6. Un coup d'½il en bas
pour cadrer, on relève la tête, on regarde ailleurs (au-dessus,
au-dessous, à droite ou à gauche du sujet) et on shoote.
De toute façon, plus tu as un grand angle, plus tu as de chance que le
sujet soit dans le champ et moins tu devras recadrer après. Un
inconvénient : ton appareil est assez bas et est donc en contre-plongée
pour les sujets debouts. (Pour contrecarrer ça il faut viser à la 6x6 et
monter l'appareil vers les yeux, shooter, continuer de monter pour viser
« normalement » et photographier autre chose)
Je reconnais que ce n'est pas facile de faire un portrait serré, sans
métier on ne peut tout avoir...
Je m'entraîne de temps en temps à shooter sans viser pendant les fêtes
de famille : plein de déchets, mais une ou deux bonnes.
--
"La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La
pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi.
Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et
personne ne sait pourquoi !" [ Albert Einstein ]
>> http://www.cjoint.com/data/EKkw4VRjjb4_CIMG6641r.jpg > > Un défaut, j'ai l'impression qu'il te regarde et non son interlocuteur. > Si ce n'est pas toi qu'il regarde il y se passe deux choses, une de trop > puisqu'on ne sait pas de quoi il s'agit et cela n'apporte rien.
c'est bien moi qu'il regardait, et ça le faisait chier d'être photographié. tant pis, c'est comme ça. :-)
cette prise de risque (minime) m'excite quand je protographie dans la rue.
C'est là où les capteurs pleins de pixels et les optiques impeccables ont un avantage : Tu shootes sans regarder l'appareil ni même le sujet et ensuite tu recadreras.
Avec de l'entraînement tu sais assez bien viser avec l'appareil sur le ventre. Tu peux tricher en basculant l'écran vers le haut et tu photographies comme avec avec un bon vieux 6x6. Un coup d'½il en bas pour cadrer, on relève la tête, on regarde ailleurs (au-dessus, au-dessous, à droite ou à gauche du sujet) et on shoote.
De toute façon, plus tu as un grand angle, plus tu as de chance que le sujet soit dans le champ et moins tu devras recadrer après. Un inconvénient : ton appareil est assez bas et est donc en contre-plongée pour les sujets debouts. (Pour contrecarrer ça il faut viser à la 6x6 et monter l'appareil vers les yeux, shooter, continuer de monter pour viser « normalement » et photographier autre chose)
Je reconnais que ce n'est pas facile de faire un portrait serré, sans métier on ne peut tout avoir...
Je m'entraîne de temps en temps à shooter sans viser pendant les fêtes de famille : plein de déchets, mais une ou deux bonnes.
-- "La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi. Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et personne ne sait pourquoi !" [ Albert Einstein ]
Un défaut, j'ai l'impression qu'il te regarde et non son interlocuteur. Si ce n'est pas toi qu'il regarde il y se passe deux choses, une de trop puisqu'on ne sait pas de quoi il s'agit et cela n'apporte rien.
c'est bien moi qu'il regardait, et ça le faisait chier d'être photographié. tant pis, c'est comme ça. :-)
cette prise de risque (minime) m'excite quand je protographie dans la rue.
C'est là où les capteurs pleins de pixels et les optiques impeccables ont un avantage : Tu shootes sans regarder l'appareil ni même le sujet et ensuite tu recadreras.
Avec de l'entraînement tu sais assez bien viser avec l'appareil sur le ventre. Tu peux tricher en basculant l'écran vers le haut et tu photographies comme avec avec un bon vieux 6x6. Un coup d'½il en bas pour cadrer, on relève la tête, on regarde ailleurs (au-dessus, au-dessous, à droite ou à gauche du sujet) et on shoote.
Et là /on/ entend "clic clac" et on félicite l'inconnu qui, lui, a réussi une belle image d'un vrai con.
Un défaut, j'ai l'impression qu'il te regarde et non son interlocuteur.
Si ce n'est pas toi qu'il regarde il y se passe deux choses, une de trop
puisqu'on ne sait pas de quoi il s'agit et cela n'apporte rien.
c'est bien moi qu'il regardait, et ça le faisait chier d'être
photographié. tant pis, c'est comme ça. :-)
lui (ou elle) a été plus rapide que moi :
http://www.cjoint.com/doc/15_11/EKmlAdOhzvc_CIMG6646.JPG
c'est le jeu, je ne gagne pas à tout le coup.
cette prise de risque (minime) m'excite quand je protographie dans la
rue.
C'est là où les capteurs pleins de pixels et les optiques impeccables
ont un avantage : Tu shootes sans regarder l'appareil ni même le sujet
et ensuite tu recadreras.
Avec de l'entraînement tu sais assez bien viser avec l'appareil sur le
ventre. Tu peux tricher en basculant l'écran vers le haut et tu
photographies comme avec avec un bon vieux 6x6. Un coup d'½il en bas
pour cadrer, on relève la tête, on regarde ailleurs (au-dessus,
au-dessous, à droite ou à gauche du sujet) et on shoote.
Et là /on/ entend "clic clac" et on félicite l'inconnu qui, lui, a
réussi une belle image d'un vrai con.
Un défaut, j'ai l'impression qu'il te regarde et non son interlocuteur. Si ce n'est pas toi qu'il regarde il y se passe deux choses, une de trop puisqu'on ne sait pas de quoi il s'agit et cela n'apporte rien.
c'est bien moi qu'il regardait, et ça le faisait chier d'être photographié. tant pis, c'est comme ça. :-)
cette prise de risque (minime) m'excite quand je protographie dans la rue.
C'est là où les capteurs pleins de pixels et les optiques impeccables ont un avantage : Tu shootes sans regarder l'appareil ni même le sujet et ensuite tu recadreras.
Avec de l'entraînement tu sais assez bien viser avec l'appareil sur le ventre. Tu peux tricher en basculant l'écran vers le haut et tu photographies comme avec avec un bon vieux 6x6. Un coup d'½il en bas pour cadrer, on relève la tête, on regarde ailleurs (au-dessus, au-dessous, à droite ou à gauche du sujet) et on shoote.
Et là /on/ entend "clic clac" et on félicite l'inconnu qui, lui, a réussi une belle image d'un vrai con.