Proposition sans risque de faux-positifs:
Les FAI pourraient au minimum utiliser les listes officielles de
spammers comme celles par exemple de SpamCop (bl.spamcop.net) ou ORDB
(relays.ordb.org) qui filtrent dejà le quart de mes spams dans mon
application anti-spam.
Ce n'est pas d'une réelle difficulté technique, c'est juste une question
de (bonne) volonté ... et de respect du client.
Je crois qu'il a eu lui aussi son lot de faux positifs...
Vous avez des informations plus fiables que cela ?
-- olive
Xavier Henner
dans (in) fr.reseaux.internet.fournisseurs, Xavier Henner ecrivait (wrote) :
Bonsoir Xavier,
meme en utilisant un antivirus libre, filtrer les mails avec des virus ca prend un paquet de ressource machine,
Je pensais comme toi, mais mes collègues techniciens m'ont expliqué que filtrer les virus entrants est très peu coûteux en ressources pour le serveur, et à supposer que ce le soit un peu quand même, on s'y retrouve plus que largement en évitant le trafic induit en sortie par les virus en question se répliquant depuis des postes infectés.
le trafic sortant, pour le FAI, ne coute généralement rien
au pire, il peut servir a négocier les peerings. Et la plupart des virus ayant leur propre serveur SMTP, ce n'est pas couteux en termes de ressources pour les serveurs du FAI.
et pour le cout de réparation du aux attaques viral, ce n'est pas non plus le probleme du FAI.
-- Xavier Henner
dans (in) fr.reseaux.internet.fournisseurs, Xavier Henner
<euclide@nerim.net.nospam> ecrivait (wrote) :
Bonsoir Xavier,
meme en utilisant un antivirus libre, filtrer les mails avec des virus
ca prend un paquet de ressource machine,
Je pensais comme toi, mais mes collègues techniciens m'ont expliqué que
filtrer les virus entrants est très peu coûteux en ressources pour le
serveur, et à supposer que ce le soit un peu quand même, on s'y retrouve
plus que largement en évitant le trafic induit en sortie par les virus
en question se répliquant depuis des postes infectés.
le trafic sortant, pour le FAI, ne coute généralement rien
au pire, il peut servir a négocier les peerings.
Et la plupart des virus ayant leur propre serveur SMTP, ce n'est pas
couteux en termes de ressources pour les serveurs du FAI.
et pour le cout de réparation du aux attaques viral, ce n'est pas non
plus le probleme du FAI.
dans (in) fr.reseaux.internet.fournisseurs, Xavier Henner ecrivait (wrote) :
Bonsoir Xavier,
meme en utilisant un antivirus libre, filtrer les mails avec des virus ca prend un paquet de ressource machine,
Je pensais comme toi, mais mes collègues techniciens m'ont expliqué que filtrer les virus entrants est très peu coûteux en ressources pour le serveur, et à supposer que ce le soit un peu quand même, on s'y retrouve plus que largement en évitant le trafic induit en sortie par les virus en question se répliquant depuis des postes infectés.
le trafic sortant, pour le FAI, ne coute généralement rien
au pire, il peut servir a négocier les peerings. Et la plupart des virus ayant leur propre serveur SMTP, ce n'est pas couteux en termes de ressources pour les serveurs du FAI.
et pour le cout de réparation du aux attaques viral, ce n'est pas non plus le probleme du FAI.
-- Xavier Henner
Eric Demeester
dans (in) fr.reseaux.internet.fournisseurs, Xavier Henner ecrivait (wrote) :
Bonsoir,
le trafic sortant, pour le FAI, ne coute généralement rien
Euh... Le trafic sur le transit est facturé au mbps dans les deux sens (on loue une bp symétrique). Si on reprend l'exemple de SWEN qui se propageait (et se propage toujours d'ailleurs) à coups de messages de 150 ko pièce, ça chiffre vite.
au pire, il peut servir a négocier les peerings.
Au pire, oui, mais bon, ce n'est pas comme ça qu'on passe des accords de peering, généralement.
Et la plupart des virus ayant leur propre serveur SMTP, ce n'est pas couteux en termes de ressources pour les serveurs du FAI.
Certes, mais cf mes remarques ci-dessus, c'est couteux en bande passante.
et pour le cout de réparation du aux attaques viral, ce n'est pas non plus le probleme du FAI.
Si vous parlez des dégats provoqués par les virus chez les clients, effectivement, ce n'est pas le problème du FAI.
-- Eric Demeester - http://www.galacsys.net
dans (in) fr.reseaux.internet.fournisseurs, Xavier Henner
<euclide@nerim.net.nospam> ecrivait (wrote) :
Bonsoir,
le trafic sortant, pour le FAI, ne coute généralement rien
Euh... Le trafic sur le transit est facturé au mbps dans les deux sens
(on loue une bp symétrique). Si on reprend l'exemple de SWEN qui se
propageait (et se propage toujours d'ailleurs) à coups de messages de
150 ko pièce, ça chiffre vite.
au pire, il peut servir a négocier les peerings.
Au pire, oui, mais bon, ce n'est pas comme ça qu'on passe des accords de
peering, généralement.
Et la plupart des virus ayant leur propre serveur SMTP, ce n'est pas
couteux en termes de ressources pour les serveurs du FAI.
Certes, mais cf mes remarques ci-dessus, c'est couteux en bande
passante.
et pour le cout de réparation du aux attaques viral, ce n'est pas non
plus le probleme du FAI.
Si vous parlez des dégats provoqués par les virus chez les clients,
effectivement, ce n'est pas le problème du FAI.
dans (in) fr.reseaux.internet.fournisseurs, Xavier Henner ecrivait (wrote) :
Bonsoir,
le trafic sortant, pour le FAI, ne coute généralement rien
Euh... Le trafic sur le transit est facturé au mbps dans les deux sens (on loue une bp symétrique). Si on reprend l'exemple de SWEN qui se propageait (et se propage toujours d'ailleurs) à coups de messages de 150 ko pièce, ça chiffre vite.
au pire, il peut servir a négocier les peerings.
Au pire, oui, mais bon, ce n'est pas comme ça qu'on passe des accords de peering, généralement.
Et la plupart des virus ayant leur propre serveur SMTP, ce n'est pas couteux en termes de ressources pour les serveurs du FAI.
Certes, mais cf mes remarques ci-dessus, c'est couteux en bande passante.
et pour le cout de réparation du aux attaques viral, ce n'est pas non plus le probleme du FAI.
Si vous parlez des dégats provoqués par les virus chez les clients, effectivement, ce n'est pas le problème du FAI.